La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°713)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°713) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°713)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°711) -

Ce gode me pénètre profondément, par des vas et viens, entre mes reins, profonds mais en des mouvements amples et lents, presque lancinants. Toujours la même allure, la même cadence, je le sens me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs jamais jusqu’ici égalés. Est-ce la posture ? Je ne bande plus, mais je mouille terriblement ! Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonne. Je me fais enculer, tel un simple objet, une sodomie, comme ça, pour rien si ce n’est m’humilier ou me rabaisser, une pénétration sans récompense ultime, mon cul ne sera même pas dosé… Je me cramponne, mes bras tendus ne fléchissent pas et me laisse porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants de Monsieur le Marquis. Sans doute vient-il de jouir… Je le vois se retirer de cette petite chienne soumise Nara et s’affaler, allongé, comme repu, sur le moelleux tapis…. Un coup de reins plus violent me bouscule et m’oblige à avancer sur les mains. Un second d’une même intensité me fait avaler le gode tout entier. Le pubis de Maitresse Parashurâma reste collé à mon entrejambe et suis poussé ainsi, obligé de me mouvoir sur les mains en me laissant darder dans ce coït immobile et tout en profondeur. La Domina m’entraine jusqu’au Maître ou tout au moins son sexe juteux et encore semi gonflé.

- Nettoie ce Noble Sexe petite chienne ! Me lance la Domina.

Comme en lévitation, toujours emmanché par le cul et agrippé par les cuisses relevées juste au-dessus du corps immobile du Maitre, je pose à plat mes mains de part et d’autre de son bassin. Ma bouche cherche en vain à happer ce sexe bien crémeux, alors que la lente et longue enculade reprend. Je parviens tant bien que mal à le gober et l’avaler et le pompe au rythme des secousses irradiant mon cul d’abord et tout mon corps ensuite ! Mais très vite le Maître se retire et se redresse. Il attrape Nara tout à côté, lui place son entrejambe à portée de ma bouche, lui écarte ses lèvres intimes et m’ordonne :

- Viens salope, viens laver ce doux minou, régale toi ma pute de Ma noble semence que j’y ai déposé !

Dieu merci, Maîtresse Parashurâma se retire enfin et m’autorise à m’installer genoux au sol, cul cambré, devant cet abricot doré et gorgé de miels intimes...Je le lape puis le dévore avec empressement faisant gémir de plaisir Nara, telle une chienne en chaleur.

- Ne jouis pas Nara ! lui ordonne la Maîtresse, puis à mon endroit : Et toi excite là mieux que ça !

Et pendant plus d’un quart d’heure, j’avale, j’absorbe, je bouffe, je croque, je taquine, j’enquiquine cette chatte et ce clito offerts à ma bouche, à ma langue alors que Nara s’agite, se tord, se contorsionne, se vrille, et gigote en tous sens, pour tenter de contenir un orgasme, sous le regard, les railleries et les brocards des deux Dominants observant leur deux esclaves s’abandonnant sur ordre, au fruit défendu, ou tout au moins à la jouissance interdite ! .. Les deux Dominants usent et abusent de nos corps pendant encore une bonne heure avant de stopper les ébats …

Le cocktail mondain -

Le Maître me presse, nous venons de regagner Sa chambre, il m’ordonne de lui faire couler un bain et de préparer sa tenue de soirée, un costume smoking iconique en laine vierge grain de poudre texture noir de chez Saint-Laurent, une chemise blanche col cassé, avec un petit nœud papillon noir. L’ensemble est très classique et très chic, peut-être un peu vieille France, mais devrait sied à Monsieur le Marquis parfaitement.

- Vient me laver salope !

J’obéis. Méticuleux et précautionneux, je prends grand soin de son corps, le frotte, le lave, le rince. Quelle fierté pour moi de pouvoir ainsi m’occuper du Maître. Je bénéficie de l’eau de Son bain pour faire une rapide mais soigneuse toilette, et alors que je suis encore dans la baignoire, Monsieur le Marquis me pisse dessus ! Je sors de l’eau, me sèche, Monsieur le Marquis se rase puis se brosse les dents, j’en fais tout autant.

- Va chercher le collier, celui en cuir se fermant avec un cadenas.

J’accoure, je reviens, me mets à genoux, tête basse puis tends le collier posé sur la paume de mes mains, en me mettant à genoux, tête basse devant Le Maître. Lui me regarde, me prend le collier des mains, le pose sur le meuble près du lavabo. De son index et majeur, il me soulève le menton, son regard semble bienveillant.

- Relève toi Ma putain, pose un pied sur le rebord de la baignoire, tout en gardant l’autre au sol.

J’exécute sans comprendre, je ne me questionne même pas, j’agis.

- J’aime voir tes couilles bien pleines, bien pendantes, tu es beau comme ça… Déhanche-toi et montre-moi comme elles remuent bien !

Je fais ce que le Maître m’ordonne sans réfléchir

- Dis-moi mon esclave, ça fait combien de temps que je ne t’ai pas autorisé à jouir…
- Je ne sais plus Maître !

Ma queue vient de s’enflammer d’un coup… Le Maître est maintenant derrière moi, son pubis collé contre l’une de mes fesses, ses mains me caressent l’entrejambe s’attardent sur ma raie, puis glissent délicatement sur mes couilles. L’une d’elle-même me branle délicatement…. Quel bonheur !

- Ca fait exactement dix-huit jours que je ne t’ai pas autorisé à jouir, mon chien… dix-huit jours de chasteté contrainte et forcée. Je suis sûr que tu apprécies !
- Oui Maître !
- Mais si j’en crois l’état de ta bite, je suis certain que tu aimerais gicler, là, maintenant. Réponds-moi franchement, Mon chien.

Monsieur le Marquis me branlait toujours tout doucement d’une main molle et nonchalante mais ô combien excitante par l’érection forte qu’il me provoque…

- Oui Maître, j’aimerai gicler.
- Et bien NON ! (d’une voix ferme) Non tu n’es pas autorisé à jouir… je te l’interdis formellement d’ailleurs, ce soir comme tout le temps que nous resterons ici. Si d’aventure, tu ne parvenais à te contenir, il faudrait que tu m’en parles immédiatement, avant même qu’un Dominant ou qu’une Dominante m’en parle. Tu le sais, si tu désobéis, tu seras puni bien entendu, sévèrement bien sûr… Mais de te savoir excité, m’excite… De voir ta nouille tendue, exacerbe mes sens… De te savoir esclave de ta queue, me rend fou de joie et développe mes pulsions de Domination par Ma Maîtrise et Emprise parfaite te concernant… Tu as bien compris, Mon chien, Ma petite pute !
- Oui Maître, je vous promets de ne pas jouir…
- Ne fais pas des promesses, sans être sûr de pouvoir les tenir ! Promets-moi seulement que si tu éjacules, tu m’en parleras aussitôt et que tu accepteras la punition aussi rude soit-elle !
- Je vous le promets Maître Vénéré.
- Bien parfait, approche ton cou !

Le Maître s’habille en hâte. Je l’aide même à mettre sa veste, lui range son nœud papillon, mis de travers. Je le trouve très beau et très chic et me surprends à le lui dire.

- Même si ces mots me font grand plaisir Mon Chien, reste et demeure à ta place. Tu n’as pas à faire de commentaires sur le Maître.

Je présente mes plus humbles excuses, puis empoigné fermement par mon collier, debout, je suis le Maître. Il m’entraine dehors, nous regagnons la vaste salle, juste au-dessus des garages, celle déjà utilisée cette après-midi, lors de la présentation des esclaves. Sont rassemblés déjà un grand nombre d’Invités. Sitôt le seuil de la porte franchi, Monsieur Armand se précipite et questionne Monsieur le Marquis.

- Ah, Edouard, je t’attendais, … Dis-moi Edouard, Ton chien pourrait-il faire partie de ces esclaves assurant le service.
- Evidemment, mon cher Ami ! Tiens je te le mets immédiatement à ta disposition.

Je suis Monsieur Armand et nous regagnons une impressionnante cuisine. Un Grand Chef est là, un meneur d’hommes, il supervise toute une équipe, toutes et tous affairés et concentrés sur leur travail. Le chef, lui est vigilant sur la cadence et la qualité, il est rigoureux sur le respect des normes d’hygiène. Etrange atmosphère, j’ai l’impression d’être ici dans un monde étranger à celui de la relation D/s, plutôt dans un monde « vanille ». Pourtant personne ne semble s’inquiéter de voir, ici et là des soumises et soumis, tous à poil, un collier autour du cou.

- Allez c’est parti ! Toi, toi et vous cinq encore, allez servir le champagne, vous autres vous passerez parmi les Invités pour servir les toasts. Vous encore, prenez les verres, et attention pas de casse ! dicte le chef.

Je fais partie de ceux qui ont une bouteille de champagne en main, nous regagnons la grande salle et humblement nous nous frayons un chemin parmi les Dominantes et Dominants et commençons le service. Un vrai brouhaha ici, haut en couleur… Chaque Maîtresse ou Maître s’est habillé dans une tenue traditionnelle de son pays. Sari, boubou, smoking, djellaba, Kimono et bien d’autres tenues se côtoient. Les Dominants tous élégamment vêtus, les Maîtresses richement parées de bijoux somptueux, échangent, discutent, parlent sans même regarder ceux et celles qui les servent… Les soumises et soumis non utilisés pour le service, sont installés agenouillés par terre, tous enchainés entre eux par les pieds. Leurs mains sont toutes attachées dans le dos. Parfois, quelques Dominants s’intéressent à eux, ils viennent tâter et flatter une croupe, presser un mamelon ou une paire de couilles, puis repartent discuter. Ma bouteille de champagne est vide, vite je repars en cuisine d’un pas pressé. Je longe le long couloir, passe devant un petit local où discutent deux ou trois Dominants, quand soudainement une main me happe et me pousse à l’intérieur de ce local obscur. Plaqué debout contre un mur, je comprends très vite que ceux qui m’ont attiré et entrainé ici exige me voir faire tout autre chose que du service. Des mains me frôlent, me caressent, m’imposent une posture sans équivoque. Je vais me faire prendre, là, debout, deux doigts sont déjà dans mon cul. Très vite une bite remplace ces deux doigts, appuie tout contre mon anneau et me pénètre gaillardement et profondément. Je geins sous la pression, mais au diable mes plaintes, on me fait reculer puis incliner et pour étouffer mes gémissements, une grosse queue glisse dans ma bouche et s’installe en fond de gorge. J’étouffe !

- Oh qu’il est bon ce cul, j’en gardais un souvenir extraordinaire. Dès l’instant où je t’ai revu salope, j’ai eu immédiatement envie de te sauter !

Tels sont les mots de mon enculeur. Il me burine le cul, s’enfonce et ressort tout en me fessant joyeusement.

- Tu la reconnais ma queue grosse salope ?

La queue non, mais cette voix me dit bien quelque chose …

- Il faut dire que tu en prends tellement souvent des queues, petite putain !

L’homme me laboure le ventre, va et vient copieusement et généreusement… Un frison m’irradie l’échine… La queue que j’ai dans la bouche se retire, une main s’agrippe à mes cheveux et relève ma tête. Une claque tombe sur mon visage.

- Lorsqu’on te parle chien, tu réponds, ton trou de lope reconnait-il celui qui t’encule ?.
- Non Monsieur…

Alors celui qui me prend me fesse violemment tout en m’enculant sévèrement.

- Je suis déçu, vraiment petite chienne, pourtant ton cul j’en ai usé et abusé… dans un grand hôtel New Yorkais…

Je commence subitement à réaliser et souhaite m’exprimer, mais ma bouche est de nouveau encombrée. Je me fais ramoner de tout coté….

- Je suis l’Emir Abdallah salope, je suis sûr que tu vas pour toujours te rappeler de mon membre, je vais te défoncer comme une chienne, salope !…

(A suivre…)

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