La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°728)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°728)
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°726) -
Cette fois, Monsieur le Marquis tellement interloqué, dans sa grande stupéfaction, décide de lire en entier l’article du vieux journal qu’il n’avait pas, dans l’émotion de la surprise, lu la veille au soir au manoir et donc il ne veut pas se contenter de survoler le titre et la photo des deux femmes :
‘‘Journal Le Gaulois - Villefranche-sur-Saône, le 22 mars 1916 -
Est-ce que c’est parce que nos valeureux soldats sont envoyés sur le front en cette terrible guerre depuis 1914 que nos femmes vont chercher ce qui leur manque là où il reste des hommes en cette France en conflit ?’’
Voila comment commençait l’article en sous-titre par ces mots rappelant le contexte de la période du drame. Le Noble continua sa lecture :
‘‘ Il était 8h ce matin du 21 mars 1916, quand le laitier Francis Pichon tira comme chaque matin la chainette de la cloche de la grille du petit manoir du Dranier de Beaujeu. Mais cette fois-ci, il fut intrigué de trouver le portail grand ouvert, ce qui lui parut inhabituel. Quand il porta, alors, son regard dans le petit parc, il fut horrifié par ce qu’il découvrit : Les silhouettes de deux femmes étendues sur le ventre inanimées, l’une sur les marches des escaliers de la porte d’entrée et l’autre en contre-bas sur le gazon. Quand il s’approcha, il ne put hélas que constater leur décès par strangulation. Il s’agit de Madame La Comtesse du Manoir du Dranier et sa fille muette Clara, âgée de 19 ans. La porte d’entrée de la demeure étant aussi grande ouverte, le laitier entra et découvrit à l’intérieur, avec horreur, le corps gisant au sol de Monsieur le Comte ayant mis fin à ses jours en se donnant un coup de fusil. Une lettre qu’il a visiblement laissé sur la table explique les faits et les raisons de son tragique geste : ‘’Ma femme et ma fille ont commis l’irréparable en s’adonnant à la luxure la plus perverse par des orgies sexuelles chez notre voisin au Château des Evans. Quand j’ai eu vent de ces odieuses pratiques, d’apprendre que mon épouse, Madame la Comtesse me trompe dans la plus grande dépravation avec ce libertin de Marquis Louis-Alexandre Evans, le déshonneur est total. De plus, elle a su pervertir avec elle, ce qui était le plus cher à mes yeux, ma fille muette Clara, si innocente jusque-là des choses de la vie. Ne pouvant vivre avec ce scandale intolérable, avec le déshonneur de mon nom, de mon titre, de ma réputation, je mets donc fin à mes jours après avoir commis, dans une folie destructrice la pire des choses, en trucidant ma femme et ma fille afin qu’elles soient jugées par Dieu Lui-même de leur honteuses débauches. Je sais que je vais les retrouver en Enfer mais Celui-ci sera encore plus doux que la honte et le déshonneur. Que Dieu pardonne mes actes assassins. Monsieur le Comte Léonard Dranier’’
Monsieur le Marquis reste bouche bée. Il ne connaissait pas cette tragique histoire, pourtant locale. Son père, son grand père ne lui en avaient jamais, absolument jamais parlé et il se demande bien pourquoi. Louis-Alexandre Evans est effectivement son arrière-grand-père, le Marquis de l’époque du conflit de 14-18. Et celui-ci perpétuait, à l’instar de tous ses autres aïeux et lui-même, le cheptel d’esclaves depuis déjà plusieurs siècles (voir les Origines de la Saga…). Ce que le Noble sait, c’est qu’à l’époque de la Grande-Guerre, il n’y avait pas, au Château, de jeunes adultes esclaves mâles à cause de la Mobilisation au conflit mondial. En cette triste période, il y avait uniquement des personnes masculines de plus de 40 ans d’âge et en revanche, les femelles étaient plus nombreuses, trouvant au Château un véritable refuge et de quoi survivre. Son père lui avait souvent parlé de Louis-Alexandre, lui disant aussi qu’il était aussi un grand coureur de jupons, alors conclure à un idylle Amour avec la comtesse du Dranier et son aïeul, cela est fort plausible… Mais pour l’heure, le Marquis d’Evans étant d’un esprit cartésien, veut savoir comment est arrivé ce vieux journal jusqu’à dans son courrier matinal et s’est sans plus attendre qu’il appelle Walter, via l’interphone mural. Deux minutes plus tard, le Majordome se trouve dans la chambre du Châtelain :
- Ah, Walter, qui a apporté le courrier, ce matin ?
- Eh bien comme d’habitude ! Maxime, notre brave facteur dépose le courrier dans la boite aux lettres du portail du Château. L’esclave Adrien MDE est chargé de lever ce courrier et de me l’apporter en main propre comme chaque matin et ensuite je vous l’apporte aussitôt avec votre petit-déjeuner… Mais rien d’exceptionnel à tous ça, ce n’est que routine … Y’a-il quelque chose qui ne conviendrai pas dans la procédure ? Dois-je punir le chien d’Adrien MDE s’il a commis une quelconque faute avec le courrier ? s’inquiète Walter
- Non, non Adrien MDE n’a rien à voir avec mes interrogations. Il y a simplement des choses que je n’explique pas … Mais laisse-moi, j’ai besoin de réfléchir …
- Bien, Monsieur le Marquis … Vous me paraissez tourmenté ce matin, vous m’inquiétez vraiment … Si je puis faire quelque chose …
- Non, mon brave Walter, ça ira, ne t’inquiète pas … Je vais bien … Je vais partir... Je dois partir … Fait sortir du garage un 4x4 à me garer en bas du perron et ne me prévoit aucun chauffeur, laisse juste la clé de contact sur le tableau de bord, prêt à démarrer …
- Oui, Monsieur le Marquis … dit Walter en saluant et en quittant les lieux, mais de plus en plus intrigué du comportement de son patron …
Trente minutes plus tard, le Marquis d’Evans se retrouve devant la grille du Manoir du Dranier. Il retrouve le lieu tel qu’il l’avait laissé dans la nuit. Un vantail de la grille rouillée à terre, celui qu’il avait défoncé lui-même à coup d’épaule. Le Châtelain décide d’entrer dans la propriété abandonnée. Il ne peut retenir un certain effroi, en regardant le sol où jadis, il devait y avoir un magnifique gazon et un autre regard au niveau du bas des escaliers en pensant que les deux femmes étaient décédées à ces deux emplacements. Un autre effroi une fois entré à l’endroit où devait gésir le corps du Comte suicidé. Le Noble revoit ses pas dans la poussière mais le vieux journal qu’il avait laissé sur la petite table avait disparu… pour réapparaitre dans son courrier se pense-t’il avec un grand étonnement. Et sa pensée va jusqu’à lui faire dire qu’on a voulu absolument qu’il prenne connaissance de ce qui s’est passé, ici en 1916... Mais qui a voulu ? Les deux femmes ? La mère qui devait certainement être très amoureuse de son aïeul, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ? Ce qui expliquerait que son fantôme était si caressant, si tendre lors de la nuit, dans le lit du Marquis … Si le Noble est revenu au manoir sur les lieux de tous ces mystères, c’est pour essayer de découvrir autre chose, un indice, une éventuelle explication sur cette histoire abracadabrante… Mais peut-on avoir une explication rationnelle quand on a affaire à des fantômes, se dit-il pour ensuite se dire dans un sursaut de rationalité que c’est impossible, que les spectres n’existent pas… Et pourtant, le journal dans le courrier lui a démontré qu’il n’avait pas rêvé … Alors il est revenu pour essayer, tenter de comprendre, de trouver une explication ….
Instinctivement, il décide de monter à l’étage mais sans savoir pourquoi il ressent ce besoin qui le pousse de s’y rendre, comme s’il était guidé par une force inconnue lui incitant grandement à aller voir là-haut ce qu’il va découvrir… C’est avec mille précautions qu’il gravit les marches en bois d’un escalier craquant sous son poids et à moitié pourri par le temps et l’humidité, se frayant un passage entre les toiles d’araignées. Arrivé à l’étage, se trouve un long couloir, un véritable nid à souris où sont disposées plusieurs portes toutes fermées de chaque côté. Mais en observant de plus près, le Noble constate qu’il y a une seule porte grande ouverte au fond du couloir et c’est dans cette pièce qu’il décide d’entrer. Il découvre ce qui devait être une chambre. Un vieux lit délabré, une vieille armoire à moitié disloquée, une table de chevet au tiroir ouvert gisent dans la poussière. En s’approchant mieux, il trouve une petite clé métallique dans le tiroir ouvert. Visiblement, elle ressemble à une clé de coffre-fort comme on les faisait à l’époque. Ensuite le Châtelain se tourne vers la vieille armoire dont une des deux portes est à moitié dégondée, ce qui lui permet de découvrir qu’à l’intérieur se trouve un petit coffre-fort. Il ne lui faut que quelques secondes pour deviner que la petite clé est celle de ce coffre. Alors il l’extirpe du rayonnage de l’armoire, prend la clé et ouvre le coffre avec un peu de difficulté, causé par un léger grippage du mécanisme d’ouverture. Un gros livre épais parfaitement conservé par la protection hermétique du petit coffre-fort lui apparait. Sur ce livre à la reliure en cuir doré est écrit, à la plume d’oie, sur la belle couverture : ‘’Journal intime de la Comtesse du Dranier démarré en Janvier 1915 …’’ Le Marquis prend avec précaution ce livre qui, il le pressent, devrait être un véritable témoignage de l’époque d’avant les faits et qu’il va donc découvrir car il n’en doute plus une seule seconde, beaucoup de choses à la lecture des confessions intimes de la Comtesse.
Le Noble n’éprouve pas le besoin de commencer à feuilleter le livre ici dans la poussière car il ressent ce sentiment fort d’avoir trouvé ce qu’il est venu chercher sans en comprendre pourquoi il ressent cela, mais il en est persuadé, cette vieille demeure délabrée ne lui apprendra rien d’autre de plus. Tout ce qu’il pourra découvrir doit être consigné dans ce journal intime. Et donc afin d’être dans de meilleures conditions de confort de lecture, le Châtelain décide de quitter au plus vite ces lieux poussiéreux afin de se plonger tranquillement dans les récits croustillants du contenu de ce journal intime… Il rentre au plus vite au Château, va dans son bureau, s’installe dans son confortable fauteuil en cuir, exige qu’on ne le dérange pas sous aucun prétexte et commence à ouvrir et lire la première page :
(NDLA : les nombreux épisodes, qui suivront, narreront les faits sexuels et de Dominations/soumission de la Comtesse et de sa fille Clara au Château des Evans de janvier 1915 à sa mort en mars 1916)
‘Beaujeu, le 5 janvier 1915 – Après la nouvelle et perverse soirée d’hier soir au proche Château de mon bien aimé Monsieur le Marquis Louis-Alexandre d’Evans, comment ne pas repenser à tous ces merveilleux moments qui me reviennent sans cesse à l’esprit. Si je les consigne ici par écrits, c’est d’abord pour laisser mon témoignage personnel sur mon ressenti à ma douce fille Clara. En effet, j’éprouve ce besoin fort d’exprimer dans ce journal intime mes souvenirs de ce monde délicieux de la perversité auquel mon bien aimé Marquis nous a fait découvrir, à moi-même et à Clara en la dépucelant d’abord, en l’offrant à d’autres et mille sublimes débauches ensuite. Si elle n’a pas eu de chance en naissant muette, elle profite enfin du bonheur de vivre dans le plus grand secret et à mes côtés les moments les plus intenses de son existence. Certes, mon mari, son père si puritain, le comte Léonard du Dranier nous tuerait s’il avait connaissance de ce que nous vivons, mais il faut bien reconnaitre qu’il y a si longtemps qu’il ne me touche plus et ne me regarde plus, ni moi, ni mon corps qui pourtant vibre encore mais désormais pour mon bien aimé Marquis d’Evans.
Ma relation amoureuse et avec mon divin Marquis a commencé le soir du 14 juillet 1914 lors du bal populaire du village. Louis-Alexandre d’Evans me courtisait longuement devant un rafraichissement à la buvette champêtre sur la place de l’église. Mon mari était absent lors de cette soirée, parti 3 jours en Bourgogne pour affaires viticoles, avec ma bien aimée Clara afin de la sortir un peu du manoir. Il y avait déjà longtemps que mon plus proche voisin me courtisait et j’avoue que je n’ai jamais été insensible à ses avances mais je n’avais osé dans un premier temps à tromper mon mari. Il ne tarda pas à m’emmener dans une grange de ferme à proximité du bal où je cédai aux plaisirs charnel quand je sentis mon corps se détendre sous ses douces caresses, ses baisers fougueux et l’odeur du foin... La présence d’une certaine excitation s'affirmait en mon bas-ventre quand il me dénuda, enfin quelqu’un me touchait, quelqu’un qui avait envie de me prendre, envie de mon corps… quel bonheur de se sentir encore désirable quand on a un peu plus de quarante ans… Je me souviens de sa main affirmée, sûre d'elle, qui se glissait entre mes cuisses et sans hésitation fouillait mes chairs intimes. Une main qui m’incitait à écarter encore plus mes cuisses, jusqu'à pouvoir à peine encore me tenir debout et ses doigts qui entraient en mon intimité alors que son autre main pelotait mes seins, ses doigts qui saisissaient mes lèvres humides et palpitantes de désir...
Puis cette main encore qui remontait sur mon ventre, mes seins... qui pinçait mes tétons déjà dressés, d'abord presque tendrement et puis de plus en plus perversement ce qui m’excitait encore plus, jusqu'à obtenir de ma part une grimace de douleur et qui m'obligeait à me mordre les lèvres pour ne pas crier au risque d'alerter le voisinage de la proche rue. Puis la pression se relâchait, sa deuxième main se joignit à la première. J’étais dans une montée de plaisirs incroyable, caressée, palpée, pelotée, fouillée... Je me rappelle avoir tremblé de tout mon corps, me mordre encore pour ne pas gémir bruyamment... Puis le Marquis me poussait dans le foin ou je me retrouvais couchée, jambes largement écartées. Il me saisit mes poignets pour m’imposer de garder les bars largement écartés haut dessus de ma tête. C’est couché sur moi, que ses mains s'égarèrent sur mes fesses, mon ventre, mon sexe, je me cambrai dans un mouvement de bassin afin qu’il me prenne, qu’il me possède... Ses doigts suivaient la ligne de ma raie de mon anus jusqu’à mon vagin pour redescendre vers mon petit trou. Il l'écartait doucement jusqu'à introduire un doigt humide dans ma rosette offerte... puis un deuxième doigt se frayait un chemin, l'ouvrant un peu plus encore alors qu’un troisième, le pouce, masturbait mon clitoris et pénétrait mon sexe trempé dans une suave pression d’un doigté exquis...
Je me rappelle de son souffle rauque qui lui échappait lorsqu'un quatrième doigt se joignait aux deux précédents écartant plus largement mon petit trou, ouvrant ainsi la voie à son gland violacé qui déjà se frayait un chemin, forçait sur ma rosette épanouie, pénétrait et s'introduisit en elle... Je laissais juste échapper un petit cri vite étouffé, tandis que le Marquis s'enfonçait en moi, dans mon fondement, d'abord lentement, puis de plus en plus bestialement, secouant tout mon corps de spasmes de plaisirs par ses coups de boutoir appuyés. Je trouvais encore la force à me mordre mes lèvres pour ne pas hurler de douleur et de plaisirs inouïs entremêlés... Le Marquis me sodomisait ainsi longuement, profondément, puissamment, ouvrant mon petit trou du cul, en faisant un orifice totalement offert à Ses Plaisirs sauvages... Il allait et venait en moi, je n’étais que son jouet de plaisirs et j’aimais terriblement ça, déchirant sans ménagement mon fondement de femelle soumise, voila comment je me voyais à ce moment-là. Tandis que qu’il me besognait à grands coups de reins, il saisit mes deux seins fermes dans ses mains et les pressait sans ménagement, ce qui me fit encore plus mouiller d’excitation. Le Marquis ne prononçait pas un mot. Régulièrement, méthodiquement, il m’enculait, moi j’étais devenue sa chose, et quand il se retirait, il me fit nettoyer sa verge dressée en me la fourrant dans la bouche, puis il me possédait toute la nuit par tous mes orifices en de multiples positions qu’il me fit découvrir, toutes plus scabreuses les unes que les autres. Jamais je n’ai été aussi bien comblée, baisée, jamais je n’oublierai cette nuit-là, une nuit orgiaque à deux. Désormais, je lui étais totalement acquise… Et je découvris dans les jours qui suivirent un monde exceptionnel que je ne connaissais pas, un monde de Domination et soumission qui entrainera, par la suite, et avec moi, ma fille, ma tendre chérie Clara dans la luxure et la débauche la plus perverse bien loin du monde ultra puritain de mon mari ....
(A suivre)
Cette fois, Monsieur le Marquis tellement interloqué, dans sa grande stupéfaction, décide de lire en entier l’article du vieux journal qu’il n’avait pas, dans l’émotion de la surprise, lu la veille au soir au manoir et donc il ne veut pas se contenter de survoler le titre et la photo des deux femmes :
‘‘Journal Le Gaulois - Villefranche-sur-Saône, le 22 mars 1916 -
Est-ce que c’est parce que nos valeureux soldats sont envoyés sur le front en cette terrible guerre depuis 1914 que nos femmes vont chercher ce qui leur manque là où il reste des hommes en cette France en conflit ?’’
Voila comment commençait l’article en sous-titre par ces mots rappelant le contexte de la période du drame. Le Noble continua sa lecture :
‘‘ Il était 8h ce matin du 21 mars 1916, quand le laitier Francis Pichon tira comme chaque matin la chainette de la cloche de la grille du petit manoir du Dranier de Beaujeu. Mais cette fois-ci, il fut intrigué de trouver le portail grand ouvert, ce qui lui parut inhabituel. Quand il porta, alors, son regard dans le petit parc, il fut horrifié par ce qu’il découvrit : Les silhouettes de deux femmes étendues sur le ventre inanimées, l’une sur les marches des escaliers de la porte d’entrée et l’autre en contre-bas sur le gazon. Quand il s’approcha, il ne put hélas que constater leur décès par strangulation. Il s’agit de Madame La Comtesse du Manoir du Dranier et sa fille muette Clara, âgée de 19 ans. La porte d’entrée de la demeure étant aussi grande ouverte, le laitier entra et découvrit à l’intérieur, avec horreur, le corps gisant au sol de Monsieur le Comte ayant mis fin à ses jours en se donnant un coup de fusil. Une lettre qu’il a visiblement laissé sur la table explique les faits et les raisons de son tragique geste : ‘’Ma femme et ma fille ont commis l’irréparable en s’adonnant à la luxure la plus perverse par des orgies sexuelles chez notre voisin au Château des Evans. Quand j’ai eu vent de ces odieuses pratiques, d’apprendre que mon épouse, Madame la Comtesse me trompe dans la plus grande dépravation avec ce libertin de Marquis Louis-Alexandre Evans, le déshonneur est total. De plus, elle a su pervertir avec elle, ce qui était le plus cher à mes yeux, ma fille muette Clara, si innocente jusque-là des choses de la vie. Ne pouvant vivre avec ce scandale intolérable, avec le déshonneur de mon nom, de mon titre, de ma réputation, je mets donc fin à mes jours après avoir commis, dans une folie destructrice la pire des choses, en trucidant ma femme et ma fille afin qu’elles soient jugées par Dieu Lui-même de leur honteuses débauches. Je sais que je vais les retrouver en Enfer mais Celui-ci sera encore plus doux que la honte et le déshonneur. Que Dieu pardonne mes actes assassins. Monsieur le Comte Léonard Dranier’’
Monsieur le Marquis reste bouche bée. Il ne connaissait pas cette tragique histoire, pourtant locale. Son père, son grand père ne lui en avaient jamais, absolument jamais parlé et il se demande bien pourquoi. Louis-Alexandre Evans est effectivement son arrière-grand-père, le Marquis de l’époque du conflit de 14-18. Et celui-ci perpétuait, à l’instar de tous ses autres aïeux et lui-même, le cheptel d’esclaves depuis déjà plusieurs siècles (voir les Origines de la Saga…). Ce que le Noble sait, c’est qu’à l’époque de la Grande-Guerre, il n’y avait pas, au Château, de jeunes adultes esclaves mâles à cause de la Mobilisation au conflit mondial. En cette triste période, il y avait uniquement des personnes masculines de plus de 40 ans d’âge et en revanche, les femelles étaient plus nombreuses, trouvant au Château un véritable refuge et de quoi survivre. Son père lui avait souvent parlé de Louis-Alexandre, lui disant aussi qu’il était aussi un grand coureur de jupons, alors conclure à un idylle Amour avec la comtesse du Dranier et son aïeul, cela est fort plausible… Mais pour l’heure, le Marquis d’Evans étant d’un esprit cartésien, veut savoir comment est arrivé ce vieux journal jusqu’à dans son courrier matinal et s’est sans plus attendre qu’il appelle Walter, via l’interphone mural. Deux minutes plus tard, le Majordome se trouve dans la chambre du Châtelain :
- Ah, Walter, qui a apporté le courrier, ce matin ?
- Eh bien comme d’habitude ! Maxime, notre brave facteur dépose le courrier dans la boite aux lettres du portail du Château. L’esclave Adrien MDE est chargé de lever ce courrier et de me l’apporter en main propre comme chaque matin et ensuite je vous l’apporte aussitôt avec votre petit-déjeuner… Mais rien d’exceptionnel à tous ça, ce n’est que routine … Y’a-il quelque chose qui ne conviendrai pas dans la procédure ? Dois-je punir le chien d’Adrien MDE s’il a commis une quelconque faute avec le courrier ? s’inquiète Walter
- Non, non Adrien MDE n’a rien à voir avec mes interrogations. Il y a simplement des choses que je n’explique pas … Mais laisse-moi, j’ai besoin de réfléchir …
- Bien, Monsieur le Marquis … Vous me paraissez tourmenté ce matin, vous m’inquiétez vraiment … Si je puis faire quelque chose …
- Non, mon brave Walter, ça ira, ne t’inquiète pas … Je vais bien … Je vais partir... Je dois partir … Fait sortir du garage un 4x4 à me garer en bas du perron et ne me prévoit aucun chauffeur, laisse juste la clé de contact sur le tableau de bord, prêt à démarrer …
- Oui, Monsieur le Marquis … dit Walter en saluant et en quittant les lieux, mais de plus en plus intrigué du comportement de son patron …
Trente minutes plus tard, le Marquis d’Evans se retrouve devant la grille du Manoir du Dranier. Il retrouve le lieu tel qu’il l’avait laissé dans la nuit. Un vantail de la grille rouillée à terre, celui qu’il avait défoncé lui-même à coup d’épaule. Le Châtelain décide d’entrer dans la propriété abandonnée. Il ne peut retenir un certain effroi, en regardant le sol où jadis, il devait y avoir un magnifique gazon et un autre regard au niveau du bas des escaliers en pensant que les deux femmes étaient décédées à ces deux emplacements. Un autre effroi une fois entré à l’endroit où devait gésir le corps du Comte suicidé. Le Noble revoit ses pas dans la poussière mais le vieux journal qu’il avait laissé sur la petite table avait disparu… pour réapparaitre dans son courrier se pense-t’il avec un grand étonnement. Et sa pensée va jusqu’à lui faire dire qu’on a voulu absolument qu’il prenne connaissance de ce qui s’est passé, ici en 1916... Mais qui a voulu ? Les deux femmes ? La mère qui devait certainement être très amoureuse de son aïeul, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ? Ce qui expliquerait que son fantôme était si caressant, si tendre lors de la nuit, dans le lit du Marquis … Si le Noble est revenu au manoir sur les lieux de tous ces mystères, c’est pour essayer de découvrir autre chose, un indice, une éventuelle explication sur cette histoire abracadabrante… Mais peut-on avoir une explication rationnelle quand on a affaire à des fantômes, se dit-il pour ensuite se dire dans un sursaut de rationalité que c’est impossible, que les spectres n’existent pas… Et pourtant, le journal dans le courrier lui a démontré qu’il n’avait pas rêvé … Alors il est revenu pour essayer, tenter de comprendre, de trouver une explication ….
Instinctivement, il décide de monter à l’étage mais sans savoir pourquoi il ressent ce besoin qui le pousse de s’y rendre, comme s’il était guidé par une force inconnue lui incitant grandement à aller voir là-haut ce qu’il va découvrir… C’est avec mille précautions qu’il gravit les marches en bois d’un escalier craquant sous son poids et à moitié pourri par le temps et l’humidité, se frayant un passage entre les toiles d’araignées. Arrivé à l’étage, se trouve un long couloir, un véritable nid à souris où sont disposées plusieurs portes toutes fermées de chaque côté. Mais en observant de plus près, le Noble constate qu’il y a une seule porte grande ouverte au fond du couloir et c’est dans cette pièce qu’il décide d’entrer. Il découvre ce qui devait être une chambre. Un vieux lit délabré, une vieille armoire à moitié disloquée, une table de chevet au tiroir ouvert gisent dans la poussière. En s’approchant mieux, il trouve une petite clé métallique dans le tiroir ouvert. Visiblement, elle ressemble à une clé de coffre-fort comme on les faisait à l’époque. Ensuite le Châtelain se tourne vers la vieille armoire dont une des deux portes est à moitié dégondée, ce qui lui permet de découvrir qu’à l’intérieur se trouve un petit coffre-fort. Il ne lui faut que quelques secondes pour deviner que la petite clé est celle de ce coffre. Alors il l’extirpe du rayonnage de l’armoire, prend la clé et ouvre le coffre avec un peu de difficulté, causé par un léger grippage du mécanisme d’ouverture. Un gros livre épais parfaitement conservé par la protection hermétique du petit coffre-fort lui apparait. Sur ce livre à la reliure en cuir doré est écrit, à la plume d’oie, sur la belle couverture : ‘’Journal intime de la Comtesse du Dranier démarré en Janvier 1915 …’’ Le Marquis prend avec précaution ce livre qui, il le pressent, devrait être un véritable témoignage de l’époque d’avant les faits et qu’il va donc découvrir car il n’en doute plus une seule seconde, beaucoup de choses à la lecture des confessions intimes de la Comtesse.
Le Noble n’éprouve pas le besoin de commencer à feuilleter le livre ici dans la poussière car il ressent ce sentiment fort d’avoir trouvé ce qu’il est venu chercher sans en comprendre pourquoi il ressent cela, mais il en est persuadé, cette vieille demeure délabrée ne lui apprendra rien d’autre de plus. Tout ce qu’il pourra découvrir doit être consigné dans ce journal intime. Et donc afin d’être dans de meilleures conditions de confort de lecture, le Châtelain décide de quitter au plus vite ces lieux poussiéreux afin de se plonger tranquillement dans les récits croustillants du contenu de ce journal intime… Il rentre au plus vite au Château, va dans son bureau, s’installe dans son confortable fauteuil en cuir, exige qu’on ne le dérange pas sous aucun prétexte et commence à ouvrir et lire la première page :
(NDLA : les nombreux épisodes, qui suivront, narreront les faits sexuels et de Dominations/soumission de la Comtesse et de sa fille Clara au Château des Evans de janvier 1915 à sa mort en mars 1916)
‘Beaujeu, le 5 janvier 1915 – Après la nouvelle et perverse soirée d’hier soir au proche Château de mon bien aimé Monsieur le Marquis Louis-Alexandre d’Evans, comment ne pas repenser à tous ces merveilleux moments qui me reviennent sans cesse à l’esprit. Si je les consigne ici par écrits, c’est d’abord pour laisser mon témoignage personnel sur mon ressenti à ma douce fille Clara. En effet, j’éprouve ce besoin fort d’exprimer dans ce journal intime mes souvenirs de ce monde délicieux de la perversité auquel mon bien aimé Marquis nous a fait découvrir, à moi-même et à Clara en la dépucelant d’abord, en l’offrant à d’autres et mille sublimes débauches ensuite. Si elle n’a pas eu de chance en naissant muette, elle profite enfin du bonheur de vivre dans le plus grand secret et à mes côtés les moments les plus intenses de son existence. Certes, mon mari, son père si puritain, le comte Léonard du Dranier nous tuerait s’il avait connaissance de ce que nous vivons, mais il faut bien reconnaitre qu’il y a si longtemps qu’il ne me touche plus et ne me regarde plus, ni moi, ni mon corps qui pourtant vibre encore mais désormais pour mon bien aimé Marquis d’Evans.
Ma relation amoureuse et avec mon divin Marquis a commencé le soir du 14 juillet 1914 lors du bal populaire du village. Louis-Alexandre d’Evans me courtisait longuement devant un rafraichissement à la buvette champêtre sur la place de l’église. Mon mari était absent lors de cette soirée, parti 3 jours en Bourgogne pour affaires viticoles, avec ma bien aimée Clara afin de la sortir un peu du manoir. Il y avait déjà longtemps que mon plus proche voisin me courtisait et j’avoue que je n’ai jamais été insensible à ses avances mais je n’avais osé dans un premier temps à tromper mon mari. Il ne tarda pas à m’emmener dans une grange de ferme à proximité du bal où je cédai aux plaisirs charnel quand je sentis mon corps se détendre sous ses douces caresses, ses baisers fougueux et l’odeur du foin... La présence d’une certaine excitation s'affirmait en mon bas-ventre quand il me dénuda, enfin quelqu’un me touchait, quelqu’un qui avait envie de me prendre, envie de mon corps… quel bonheur de se sentir encore désirable quand on a un peu plus de quarante ans… Je me souviens de sa main affirmée, sûre d'elle, qui se glissait entre mes cuisses et sans hésitation fouillait mes chairs intimes. Une main qui m’incitait à écarter encore plus mes cuisses, jusqu'à pouvoir à peine encore me tenir debout et ses doigts qui entraient en mon intimité alors que son autre main pelotait mes seins, ses doigts qui saisissaient mes lèvres humides et palpitantes de désir...
Puis cette main encore qui remontait sur mon ventre, mes seins... qui pinçait mes tétons déjà dressés, d'abord presque tendrement et puis de plus en plus perversement ce qui m’excitait encore plus, jusqu'à obtenir de ma part une grimace de douleur et qui m'obligeait à me mordre les lèvres pour ne pas crier au risque d'alerter le voisinage de la proche rue. Puis la pression se relâchait, sa deuxième main se joignit à la première. J’étais dans une montée de plaisirs incroyable, caressée, palpée, pelotée, fouillée... Je me rappelle avoir tremblé de tout mon corps, me mordre encore pour ne pas gémir bruyamment... Puis le Marquis me poussait dans le foin ou je me retrouvais couchée, jambes largement écartées. Il me saisit mes poignets pour m’imposer de garder les bars largement écartés haut dessus de ma tête. C’est couché sur moi, que ses mains s'égarèrent sur mes fesses, mon ventre, mon sexe, je me cambrai dans un mouvement de bassin afin qu’il me prenne, qu’il me possède... Ses doigts suivaient la ligne de ma raie de mon anus jusqu’à mon vagin pour redescendre vers mon petit trou. Il l'écartait doucement jusqu'à introduire un doigt humide dans ma rosette offerte... puis un deuxième doigt se frayait un chemin, l'ouvrant un peu plus encore alors qu’un troisième, le pouce, masturbait mon clitoris et pénétrait mon sexe trempé dans une suave pression d’un doigté exquis...
Je me rappelle de son souffle rauque qui lui échappait lorsqu'un quatrième doigt se joignait aux deux précédents écartant plus largement mon petit trou, ouvrant ainsi la voie à son gland violacé qui déjà se frayait un chemin, forçait sur ma rosette épanouie, pénétrait et s'introduisit en elle... Je laissais juste échapper un petit cri vite étouffé, tandis que le Marquis s'enfonçait en moi, dans mon fondement, d'abord lentement, puis de plus en plus bestialement, secouant tout mon corps de spasmes de plaisirs par ses coups de boutoir appuyés. Je trouvais encore la force à me mordre mes lèvres pour ne pas hurler de douleur et de plaisirs inouïs entremêlés... Le Marquis me sodomisait ainsi longuement, profondément, puissamment, ouvrant mon petit trou du cul, en faisant un orifice totalement offert à Ses Plaisirs sauvages... Il allait et venait en moi, je n’étais que son jouet de plaisirs et j’aimais terriblement ça, déchirant sans ménagement mon fondement de femelle soumise, voila comment je me voyais à ce moment-là. Tandis que qu’il me besognait à grands coups de reins, il saisit mes deux seins fermes dans ses mains et les pressait sans ménagement, ce qui me fit encore plus mouiller d’excitation. Le Marquis ne prononçait pas un mot. Régulièrement, méthodiquement, il m’enculait, moi j’étais devenue sa chose, et quand il se retirait, il me fit nettoyer sa verge dressée en me la fourrant dans la bouche, puis il me possédait toute la nuit par tous mes orifices en de multiples positions qu’il me fit découvrir, toutes plus scabreuses les unes que les autres. Jamais je n’ai été aussi bien comblée, baisée, jamais je n’oublierai cette nuit-là, une nuit orgiaque à deux. Désormais, je lui étais totalement acquise… Et je découvris dans les jours qui suivirent un monde exceptionnel que je ne connaissais pas, un monde de Domination et soumission qui entrainera, par la suite, et avec moi, ma fille, ma tendre chérie Clara dans la luxure et la débauche la plus perverse bien loin du monde ultra puritain de mon mari ....
(A suivre)
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