La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°731)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°731)
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°728) -
Monsieur le marquis Edouard d’Evans lit et relit ce premier témoignage de ce gros livre du journal intime de la comtesse du Dranier. Et ce qu’il supposait s’avère être une réalité, son aïeul le Marquis Louis-Alexandre d’Evans et la comtesse, ont bel et bien eu une relation intime, amoureuse voire passionnée et D/s allant bien plus loin qu’une simple relation de bon voisinage. Mais ses questions ne trouvent pas toutes des réponses comme par exemple celles relatives aux fantômes mais aussi celle qui exprime pourquoi il n’est pas au courant de ce tragique drame et qu’il en n’ait jamais entendu parler jusqu’à ce jour. Alors qu’il médite sur toutes ses interrogations, il sent subitement comme une présence autour de lui. Il met tous ses sens en exergue tels que l’ouïe ou la vue mais rien, ni sur sa droite, ni sur sa gauche, ni derrière ou en face de lui, il n’y a absolument personne dans son bureau, alors que ce sentiment d’être observé est bien réel. Un petit bruit sur le côté et son regard se dirige vers celui-ci, vers la porte sur le côté de son bureau, celle qui mène dans une petite salle de bain. Il reste figé de stupeur quand il voit cette porte s’ouvrir tout doucement et toute seule dans un grincement lugubre des gonds. Cette porte reste ainsi ouverte quelques longues secondes pour se refermer de la même façon en grinçant et sans aucune une présence humaine. Au bout d’un très court instant, il ressent une main mais qui n’est absolument pas du tout agressive, voire même légèrement caressante se poser sur son épaule droite. Le Noble reste fixé sur son fauteuil, un peu par la peur, mais aussi ne sachant que faire sur l’instant. Au même moment, il voit se déplacer tout seul le journal intime dans les airs autour de lui. En effet, le livre de la comtesse se positionne à environ 50 centimètres au-dessus de la table, comme si quelqu’un l’avait pris et soulevé et le maintenait ouvert en main pour le lire. Ensuite il voit, comme par magie, la page se tourner toute seule et le livre vient de nouveau se remettre à sa place initiale devant lui sur la table de son bureau. Alors qu’il jette un regard sur la page tournée, celle qui suit le premier écrit de la comtesse narré dans l’épisode précédent, il reste surpris de constater qu’il n’y a que quelques mots ainsi qu’une date d’inscrits à la plume d’encre tout en haut de cette page blanche : ‘’Evènements du 15 juillet 1914’’
Il relève la tête rapidement car une luminosité subite le fait réagir ainsi. En effet, il lui apparait d’un seul coup, à sa droite la comtesse du Dranier, la main posée doucereusement sur l’épaule du Noble. Elle est habillée de tout en blanc comme lors de sa première rencontre dans la nuit au bord de la route. A sa gauche, il y a subitement une deuxième apparition, c’est celle de Clara, habillée, elle aussi en blanc de la tête aux pieds. Toutes les deux sont tels des spectres, c’est-à-dire translucides à travers un petit halo épousant les contours de leur silhouette tout autour, nuage lumineux et légèrement bleuâtre, contrairement à la première rencontre, où malgré leur pâleur, elles apparaissaient beaucoup plus humaines et vivantes. Elles ne paraissent absolument pas agressives, bien au contraire, elles sont souriantes et montrent à l’évidence une certaine bienveillance envers le Marquis. Mais aucun mot ne sort de la bouche de la comtesse. Ensuite, elle tend sa deuxième main en direction de son journal intime comme pour inciter le Châtelain à lire mais celui-ci se dit que pourrait-il bien lire sur une page blanche ! Il porte néanmoins à nouveau son regard sur la page du journal intime quand, à sa grande surprise, il voit apparaitre des images animées en couleur telle une vidéo sur une tablette ! Mais par quelle magie, est-ce possible ? se dit le Noble. Ce qu’il voit le surprend tellement qu’il oublie vite ses interrogations : Il voit son propre Château avec une animation forte dans la cour, dans les pelouses où beaucoup de gens entièrement nus s’activent sous un magnifique soleil d’un après-midi d’été. Ce qui le surprend, c’est qu’il ne reconnait personne mais en comprend vite le pourquoi, quand il voit les quelques automobiles garées de chaque côté du perron, telle qu’une Ford T, le modèle le plus connu en ... 1914 ! Le Châtelain comprend alors qu’il va découvrir les évènements du 15 juillet 1914 mais en images animées et à cette date qui reste inscrite en haut de page :
Tout d’un coup, un homme, grand, richement habillé de pied en cape avec un large chapeau où une plume rouge est dressée sur le côté, arrive de l’intérieur du Château pour se positionner sur le haut du perron. (Le Noble reconnait d’emblée son aïeul qu’il a souvent observé sur son portait dans un des couloirs du Château où sont exposés tous les Marquis qui se sont succédés depuis 1625.) Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans est majestueux dans sa prestance, il se tient droit, une canne d’élégance à sa main, une laisse dans l’autre. Au bout de la laisse, il y a un gros homme à quatre pattes. Il doit dépasser les 130 kgs, il est entièrement nu mis à part son collier. Quatre femelles nues et fort belles aux formes sinueuses suivent derrière en quadrupédie. Elles sont tenues en laisse d’une seule main par celle d’un homme en habit de domestique, certainement le Majordome de l’époque, il est de taille normale mais un détail n’échappe pas au Noble, il est amputé d’un bras. Soudain, les gens s’activant dans la cour s’écartent sous le bruit tonitruant d’une automobile surgissant à 5 km/h dans la cour du Château. C’est une voiture moderne pour l’époque, une Saxon Model A Roadster, dernier modèle. Le véhicule stoppe au bas du perron et une femme d’une grande élégance sort de l’automobile. Elle est souriante et très belle. C’est la comtesse du Dranier, habillée d’une belle et longue robe d’époque très colorée. Elle monte les escaliers et arrivée en haut du perron, elle s’agenouille au pied du Marquis :
- Maître, comme vous me l’avez exigé après cette nuit d’Amour, je viens me mettre à Votre disposition à Vos Nobles pieds. Il est 16h et je me devais d’être ponctuelle afin de Vous Satisfaire. Je suis désormais entièrement à Vous. Faites de moi ce que vous voudrez, mon corps et mon esprit ne m’appartiennent plus depuis le moment, cette fin de nuit, où vous m’avez demandé comme soumise. Je sais que vous m’avez dit de choisir : Soit je venais à cet instant me soumettre pour toujours à Vous, soit je ne devais plus vous revoir en une autre relation de bon voisinage… Me voila, ce qui Vous démontre mon choix d’appartenance à Votre Noble Domination et de répondre ainsi à Votre Exigence de venir me prosterner à Vos pieds’’
- Fort bien. Alors qu’attends-tu, chienne, pour te dévêtir pour te prosterner devant Moi. Tu ne crois pas tout de même que tu vas entrer dans Ma Demeure ainsi habillée…
- Mais ?… là ? … dehors ?… devant tout ce monde … ?
- Regarde autour de toi, la réalité des choses … Regarde la nudité de Mes esclaves aussi bien dans cette cour que derrière moi Ils ne sont absolument pas gênés… Alors, si tu n’es pas dénudée dans les minutes qui suivent, tu redescends ces escaliers, tu remontes dans ton automobile et tu quittes pour de bon Mon Château… J’ai dit.
- Bi … Bien Maî… Maître, ce sera comme vous l’exigez …
La comtesse est mal à l’aise et il lui faut plusieurs minutes pour se dévêtir car à l’époque les femmes portaient multiples choses sous leur robe, tel que corset, jupon, etc… C’est une fois qu’elle est entièrement nue, et sous le regard Dominant du Marquis et de son Majordome mutilé qu’elle s’étale de tout son long sur plusieurs marches d’escaliers pour se prosterner aux pieds du Maître, exhibant ainsi une fessier fort arrondi aux regards, de plus sa poitrine est écrasée contre la pierre des marches, les bras allongés en avant, ses doigts effleurent à peine les chaussures du Marquis Louis-Alexandre d’Evans.
- Très bien chienne, tu peux entrer à l’intérieur maintenant en quadrupédie. On va prendre soin de tes habits. Suis-moi à quatre pattes, je te mettrai ton collier très bientôt … Nous allons dans le Grand Salon …
Une fois arrivés dans celui-ci, le Marquis Louis-Alexandre exige qu’on le laisse seul avec sa nouvelle conquête. Il exige qu’elle se relève debout et ainsi la comtesse du Dranier se tient nue face au Marquis Louis-Alexandre d'Evans qui, immobile, ne dit aucun mot et qui se contente simplement de la regarder sous toutes les coutures ... Droite, les yeux baissés, habitée par une sensation qu'elle n'a jamais éprouvée auparavant, une sensation qu’elle n'avait même jamais osé imaginer ! Elle se sent si mal à l'aise, autant que de se dénuder, tantôt, devant tout le monde sur le perron ! Mais comment pourrait-il en être autrement ? Dans une telle situation, si humiliante, dégradante ! Mais quelque chose en elle, lui intime de rester, c’est ce besoin d’être aux pieds du Noble... Elle le désire plus que tout et se sent déterminée depuis qu’Il l’a enculée et baisée toute la nuit et depuis, elle est devenue quelqu’un d’autre, elle est devenue enfin elle-même, elle se sent enfin être, vivre pour une autre personne à qui elle désire tellement appartenir. La comtesse n'ose pas lever les yeux, n'ose pas bouger, à peine respirer. Elle voudrait à ce moment-là tant un mot, un geste, n'importe quoi qui lui permettrait de se raccrocher à quelque chose. Mais rien ne vient. Elle a juste entendu les pas du Marquis s'éloigner vers le centre du Salon, ses talons claquer sur le luxueux marbre qui pave l'immense pièce, les pas qui évoluent pour s’immobiliser plus loin.
De longues minutes s'écoulent. La comtesse du Dranier demeure toujours immobile et silencieuse comme Celui-qui l’observe, elle a les mains jointes dans le dos. Elle serre les cuisses pour tenter, bien illusoirement de se sentir moins nue et fragile. Pourtant, elle sait déjà qu'elle vient de basculer, de plonger dans un abîme dont elle ignore tout. Elle devrait sans doute être désespérée, s'enfuir ! Mais comment s'enfuir ? Et de toute façon elle n'en a pas envie. Aussi humiliée qu'elle soit par cette position, elle désire tellement être soumise, vivre sa soumission qui lui manque tant, cette soumission que le Noble lui a fait prendre conscience, la nuit précédente. Elle a envie d'être là, de Le comprendre et d'être à Lui... Les pas à nouveau raisonnent... Il s'approche... Sa présence là, tout près... Elle peut Le sentir... Il se plante de nouveau face à elle... Elle sent alors sur elle son regard, un regard qu’elle devine insistant, sévère, fixe, Dominateur. Du bout des doigts, il saisit son menton et la force à relever la tête vers Lui qui la domine de Sa haute stature :
- Regarde moi ! ordonne-t-il froidement. Elle obéit... Tu avais le choix. Tu es venue de ton plein gré. Tu as voulu rester. Si tu es nue maintenant devant moi, c'est que tu l'as choisi. Mais je sais ton inexpérience, alors dans ma grande magnanimité, je t'accorde une dernière alternative. Tu peux partir tout de suite ! Mais sache que si tu restes, alors cela signifiera que tu te soumets à Ma Loi en toutes choses. Que désormais tu M'appartiens et que je peux te plier à Ma Volonté en toutes choses. Alors, je te demande de me confirmer ce que tu m’as dit sur le perron, il y a quelques instants :
Un silence... puis timidement, la voix de la comtesse balbutie, et une petite larme d’émotion pure de bonheur coule doucement...
- Je... je sou … je souhaiterai rester... Faites de moi ce que Vous voudrez...
Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ne prononce pas un mot de plus. Il caresse le visage de la comtesse, passe son doigt sur la larme pour l’étancher, caresse son cou, ses épaules... il se saisit d'un sein, le palpe, le presse doucement... puis la main descend sur les hanches... s'immisce entre les cuisses qu'Il force à s'écarter. La main caresse la douce toison féminine, les doigts écartent tendrement les chairs humides, s'enfoncent lentement... puis se retirent... La comtesse tremblante ne bouge pas… docile, elle gémit légèrement de plaisir. Oui elle a l’air d’apprécier les caresses du Noble, mais n’ose parler. Il la prend par le bras mais sans brusquerie, elle se laisse entraîner vers le centre du salon, jusqu'à la table. Elle n'est qu'une poupée sans forces, sans volonté, qui se laisse amener là où bon Lui semble. Il la mène où il le veut, elle ne résiste pas, n'hésite pas, ne réfléchit pas. Elle est venue pour Lui, sans savoir ce qui l'attendait exactement après cette folle nuit de folie sexuelle que le Noble lui a fait vivre... Elle acceptera tout, puisqu'elle s'y est engagée. Jusqu'au bout de tout ce qu'il exigera, quoiqu'il en coûte.
Alors, Il se saisit de son corps et la force à de pencher sur la table, le haut de son corps reposant sur le dessus, écrasant ses seins contre le bois froid. Alors qu'il écarte ses cuisses, elle sent les mains épaisses du Marquis qui s'emparent de ses poignets et qui les enserre dans des liens qu'il attache aux pieds de la table. Pui ses mêmes mains d'Evans caressent sa croupe formant comme d'invisibles volutes sur ses fesses et le bas de ses reins. Elle s'abandonne et se laisse bercer par la voix chaude mais autoritaire de son amant et Maître...
- Tu vas m'appartenir, comme tu m’as appartenu cette nuit… Je vais reprendre ce que tu as de plus précieux. Ce sexe béant que je vois largement offert et qui n’attend que ma noble verge. Je vais te posséder totalement encore et encore. Et lorsque je te détacherai, tu ne seras plus la même car tu seras mienne, tu seras une autre, si ce n’est pas déjà le cas depuis cette nuit, tu seras celle que je ferai de toi... Et si tu ne sais pas ce que cela signifie, tu l'apprendras et aussi dur que cela soit, tu le subiras avec dévotion pour Moi. Tu iras où je voudrai, tu seras et feras tout ce que j'exigerai de toi...
Tout en disant cela, Le Marquis Louis-Alexandre d'Evans glisse un doigt humide dans le sexe déjà poisseux de la comtesse. Puis un autre... Le Noble a très vite déboutonné son pantalon pour exhiber une verge en érection et c’est de son volumineux sexe dressé qu’il s’enfonce lentement entre les cuisses de la femme. Il entre en elle, s'enfonce encore, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit de plaisirs. Elle se sent possédée et souhaite cette verge tout entière en elle alors elle écarte encore plus les jambes. Le sexe du Marquis la possède pleinement. Longuement, il la baise ainsi lentement, savourant pleinement Sa Possession et Sa Domination par le sexe. C'est Sa Victoire totale et définitive qu'Il déguste ainsi, ce Pouvoir absolu sur elle. Il est un peu étonné de la facilité avec laquelle il est entré en elle et la possède virilement à la hussarde et désormais de plus en plus profond, de plus en plus vite, de plus en plus cadencé, comme si cette femelle soumise voulait l'engloutir tout entier
- Ooohhh .... oooh … Ouiiiiiiiiiiiii, murmure-t-elle de plaisirs…
Mais le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ne l'écoute même pas, il s'enfonce en elle et la baise longuement, profondément... La comtesse ressent fortement cet éclair si puissant qui traverse son corps, tout son corps jusqu'à ses plus infimes extrémités par des petits spasmes jouissifs qui l’irradient. Elle sait qu'une telle sensation de plaisirs jouissifs peut exister car elle l’a ressenti plusieurs fois par des orgasmes puissants la nuit précédente mais cette fois, c’est aussi fort. En elle, se mêlent la pulsion animale du plaisir et l'étonnante sensation de ne plus être dans son propre corps. Elle est parcourue de vibrations incontrôlables. Elle sait qu'elle gémit, qu'elle râle, qu'elle crie. Elle ne contrôle plus rien. Elle n'est plus elle-même, ou plutôt elle devient vraiment elle-même ! En la baisant ainsi, c'est sa vie de femme fidèle d’aristocrate frustrée et en manque que Le Marquis a brisé, lui permettant à sa vraie nature de s'exposer au grand jour, de s'exprimer totalement... Avec le peu de liberté qui lui reste, la femme agite son corps, se cambre, non pour s'échapper, mais de façon incontrôlable... Parce qu'elle est saisie d'une série de vibrations qui la parcourent en tous sens, qui lui font perdre tout contrôle, elle jouit à n’en plus finir, quand elle arrive à sortir ces quelques mots dans son esprit.
- C'est donc ça que je suis ! se dit-elle
Et si heureuse de l’être enfin, d’être cette créature de chair qui jouit sans retenue ! Qui se livre sans pudeur, prête à tout pour Lui ... Pour Celui qui la possède maintenant pleinement. Elle crie encore ! s'entend hurler pour supplier qu'Il la prenne encore. Oui la comtesse comprend ce qu'elle est. Elle se souvient de ces pauvres créatures miséreuses, ces femmes de mauvaise vie qu'elle méprisait lorsqu'elle les voyait arpentant les rues les plus sordides. Elle est devenue la même, une catin. Moins qu'une catin, puisqu'elle n'a pas l'excuse de la misère, de la faim. La seule faim qui l'anime, c'est celle du puissant désir d’être possédée, d’être remplie. Elle Le veut ! Elle veut Lui appartenir, qu'Il la prenne encore et encore, qu'Il la possède totalement et toujours. Elle rampera à Ses pieds pour qu'Il consente encore à la faire Sienne, s’il le faut. Elle jouit sans retenue et son corps est pris encore d'un tremblement incontrôlable tandis que Le Marquis jouit avec abondance sans retenue et se retire d'elle. Le plaisir de Celui qu'elle aime s'est mêlé au sien... Elle en dégouline, elle est heureuse de sentir leurs plaisirs qui coulent lentement à l'intérieur de ses cuisses. Elle est épuisée, haletante... Le Marquis Louis-Alexandre d'Evans contemple ce corps agité de faibles soubresauts...
C’est sur cette image que le Marquis Edouard d’Evans constate la fin du récit en images animées telle une vidéo. La page du journal intime redevient subitement blanche. Il lève son regard pensant voir les deux fantômes à ses côtés, mais alors qu’il était absorbé par le contenu de ces images animées, il réalise que la Comtesse et sa fille Clara ont disparues, il est de nouveau seul dans son bureau. Et quand il jette un dernier regard sur le journal intime, il constate, à sa grande surprise, que ce qu’il vient d’apprendre sur cette après-midi du 15 juillet 1914 est apparu, à la place de la page blanche et sous la date, en texte à l’encre de plume d’oie tel qu’il avait été écrit à l’époque par la comtesse de son vivant…
(A suivre…)
Monsieur le marquis Edouard d’Evans lit et relit ce premier témoignage de ce gros livre du journal intime de la comtesse du Dranier. Et ce qu’il supposait s’avère être une réalité, son aïeul le Marquis Louis-Alexandre d’Evans et la comtesse, ont bel et bien eu une relation intime, amoureuse voire passionnée et D/s allant bien plus loin qu’une simple relation de bon voisinage. Mais ses questions ne trouvent pas toutes des réponses comme par exemple celles relatives aux fantômes mais aussi celle qui exprime pourquoi il n’est pas au courant de ce tragique drame et qu’il en n’ait jamais entendu parler jusqu’à ce jour. Alors qu’il médite sur toutes ses interrogations, il sent subitement comme une présence autour de lui. Il met tous ses sens en exergue tels que l’ouïe ou la vue mais rien, ni sur sa droite, ni sur sa gauche, ni derrière ou en face de lui, il n’y a absolument personne dans son bureau, alors que ce sentiment d’être observé est bien réel. Un petit bruit sur le côté et son regard se dirige vers celui-ci, vers la porte sur le côté de son bureau, celle qui mène dans une petite salle de bain. Il reste figé de stupeur quand il voit cette porte s’ouvrir tout doucement et toute seule dans un grincement lugubre des gonds. Cette porte reste ainsi ouverte quelques longues secondes pour se refermer de la même façon en grinçant et sans aucune une présence humaine. Au bout d’un très court instant, il ressent une main mais qui n’est absolument pas du tout agressive, voire même légèrement caressante se poser sur son épaule droite. Le Noble reste fixé sur son fauteuil, un peu par la peur, mais aussi ne sachant que faire sur l’instant. Au même moment, il voit se déplacer tout seul le journal intime dans les airs autour de lui. En effet, le livre de la comtesse se positionne à environ 50 centimètres au-dessus de la table, comme si quelqu’un l’avait pris et soulevé et le maintenait ouvert en main pour le lire. Ensuite il voit, comme par magie, la page se tourner toute seule et le livre vient de nouveau se remettre à sa place initiale devant lui sur la table de son bureau. Alors qu’il jette un regard sur la page tournée, celle qui suit le premier écrit de la comtesse narré dans l’épisode précédent, il reste surpris de constater qu’il n’y a que quelques mots ainsi qu’une date d’inscrits à la plume d’encre tout en haut de cette page blanche : ‘’Evènements du 15 juillet 1914’’
Il relève la tête rapidement car une luminosité subite le fait réagir ainsi. En effet, il lui apparait d’un seul coup, à sa droite la comtesse du Dranier, la main posée doucereusement sur l’épaule du Noble. Elle est habillée de tout en blanc comme lors de sa première rencontre dans la nuit au bord de la route. A sa gauche, il y a subitement une deuxième apparition, c’est celle de Clara, habillée, elle aussi en blanc de la tête aux pieds. Toutes les deux sont tels des spectres, c’est-à-dire translucides à travers un petit halo épousant les contours de leur silhouette tout autour, nuage lumineux et légèrement bleuâtre, contrairement à la première rencontre, où malgré leur pâleur, elles apparaissaient beaucoup plus humaines et vivantes. Elles ne paraissent absolument pas agressives, bien au contraire, elles sont souriantes et montrent à l’évidence une certaine bienveillance envers le Marquis. Mais aucun mot ne sort de la bouche de la comtesse. Ensuite, elle tend sa deuxième main en direction de son journal intime comme pour inciter le Châtelain à lire mais celui-ci se dit que pourrait-il bien lire sur une page blanche ! Il porte néanmoins à nouveau son regard sur la page du journal intime quand, à sa grande surprise, il voit apparaitre des images animées en couleur telle une vidéo sur une tablette ! Mais par quelle magie, est-ce possible ? se dit le Noble. Ce qu’il voit le surprend tellement qu’il oublie vite ses interrogations : Il voit son propre Château avec une animation forte dans la cour, dans les pelouses où beaucoup de gens entièrement nus s’activent sous un magnifique soleil d’un après-midi d’été. Ce qui le surprend, c’est qu’il ne reconnait personne mais en comprend vite le pourquoi, quand il voit les quelques automobiles garées de chaque côté du perron, telle qu’une Ford T, le modèle le plus connu en ... 1914 ! Le Châtelain comprend alors qu’il va découvrir les évènements du 15 juillet 1914 mais en images animées et à cette date qui reste inscrite en haut de page :
Tout d’un coup, un homme, grand, richement habillé de pied en cape avec un large chapeau où une plume rouge est dressée sur le côté, arrive de l’intérieur du Château pour se positionner sur le haut du perron. (Le Noble reconnait d’emblée son aïeul qu’il a souvent observé sur son portait dans un des couloirs du Château où sont exposés tous les Marquis qui se sont succédés depuis 1625.) Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans est majestueux dans sa prestance, il se tient droit, une canne d’élégance à sa main, une laisse dans l’autre. Au bout de la laisse, il y a un gros homme à quatre pattes. Il doit dépasser les 130 kgs, il est entièrement nu mis à part son collier. Quatre femelles nues et fort belles aux formes sinueuses suivent derrière en quadrupédie. Elles sont tenues en laisse d’une seule main par celle d’un homme en habit de domestique, certainement le Majordome de l’époque, il est de taille normale mais un détail n’échappe pas au Noble, il est amputé d’un bras. Soudain, les gens s’activant dans la cour s’écartent sous le bruit tonitruant d’une automobile surgissant à 5 km/h dans la cour du Château. C’est une voiture moderne pour l’époque, une Saxon Model A Roadster, dernier modèle. Le véhicule stoppe au bas du perron et une femme d’une grande élégance sort de l’automobile. Elle est souriante et très belle. C’est la comtesse du Dranier, habillée d’une belle et longue robe d’époque très colorée. Elle monte les escaliers et arrivée en haut du perron, elle s’agenouille au pied du Marquis :
- Maître, comme vous me l’avez exigé après cette nuit d’Amour, je viens me mettre à Votre disposition à Vos Nobles pieds. Il est 16h et je me devais d’être ponctuelle afin de Vous Satisfaire. Je suis désormais entièrement à Vous. Faites de moi ce que vous voudrez, mon corps et mon esprit ne m’appartiennent plus depuis le moment, cette fin de nuit, où vous m’avez demandé comme soumise. Je sais que vous m’avez dit de choisir : Soit je venais à cet instant me soumettre pour toujours à Vous, soit je ne devais plus vous revoir en une autre relation de bon voisinage… Me voila, ce qui Vous démontre mon choix d’appartenance à Votre Noble Domination et de répondre ainsi à Votre Exigence de venir me prosterner à Vos pieds’’
- Fort bien. Alors qu’attends-tu, chienne, pour te dévêtir pour te prosterner devant Moi. Tu ne crois pas tout de même que tu vas entrer dans Ma Demeure ainsi habillée…
- Mais ?… là ? … dehors ?… devant tout ce monde … ?
- Regarde autour de toi, la réalité des choses … Regarde la nudité de Mes esclaves aussi bien dans cette cour que derrière moi Ils ne sont absolument pas gênés… Alors, si tu n’es pas dénudée dans les minutes qui suivent, tu redescends ces escaliers, tu remontes dans ton automobile et tu quittes pour de bon Mon Château… J’ai dit.
- Bi … Bien Maî… Maître, ce sera comme vous l’exigez …
La comtesse est mal à l’aise et il lui faut plusieurs minutes pour se dévêtir car à l’époque les femmes portaient multiples choses sous leur robe, tel que corset, jupon, etc… C’est une fois qu’elle est entièrement nue, et sous le regard Dominant du Marquis et de son Majordome mutilé qu’elle s’étale de tout son long sur plusieurs marches d’escaliers pour se prosterner aux pieds du Maître, exhibant ainsi une fessier fort arrondi aux regards, de plus sa poitrine est écrasée contre la pierre des marches, les bras allongés en avant, ses doigts effleurent à peine les chaussures du Marquis Louis-Alexandre d’Evans.
- Très bien chienne, tu peux entrer à l’intérieur maintenant en quadrupédie. On va prendre soin de tes habits. Suis-moi à quatre pattes, je te mettrai ton collier très bientôt … Nous allons dans le Grand Salon …
Une fois arrivés dans celui-ci, le Marquis Louis-Alexandre exige qu’on le laisse seul avec sa nouvelle conquête. Il exige qu’elle se relève debout et ainsi la comtesse du Dranier se tient nue face au Marquis Louis-Alexandre d'Evans qui, immobile, ne dit aucun mot et qui se contente simplement de la regarder sous toutes les coutures ... Droite, les yeux baissés, habitée par une sensation qu'elle n'a jamais éprouvée auparavant, une sensation qu’elle n'avait même jamais osé imaginer ! Elle se sent si mal à l'aise, autant que de se dénuder, tantôt, devant tout le monde sur le perron ! Mais comment pourrait-il en être autrement ? Dans une telle situation, si humiliante, dégradante ! Mais quelque chose en elle, lui intime de rester, c’est ce besoin d’être aux pieds du Noble... Elle le désire plus que tout et se sent déterminée depuis qu’Il l’a enculée et baisée toute la nuit et depuis, elle est devenue quelqu’un d’autre, elle est devenue enfin elle-même, elle se sent enfin être, vivre pour une autre personne à qui elle désire tellement appartenir. La comtesse n'ose pas lever les yeux, n'ose pas bouger, à peine respirer. Elle voudrait à ce moment-là tant un mot, un geste, n'importe quoi qui lui permettrait de se raccrocher à quelque chose. Mais rien ne vient. Elle a juste entendu les pas du Marquis s'éloigner vers le centre du Salon, ses talons claquer sur le luxueux marbre qui pave l'immense pièce, les pas qui évoluent pour s’immobiliser plus loin.
De longues minutes s'écoulent. La comtesse du Dranier demeure toujours immobile et silencieuse comme Celui-qui l’observe, elle a les mains jointes dans le dos. Elle serre les cuisses pour tenter, bien illusoirement de se sentir moins nue et fragile. Pourtant, elle sait déjà qu'elle vient de basculer, de plonger dans un abîme dont elle ignore tout. Elle devrait sans doute être désespérée, s'enfuir ! Mais comment s'enfuir ? Et de toute façon elle n'en a pas envie. Aussi humiliée qu'elle soit par cette position, elle désire tellement être soumise, vivre sa soumission qui lui manque tant, cette soumission que le Noble lui a fait prendre conscience, la nuit précédente. Elle a envie d'être là, de Le comprendre et d'être à Lui... Les pas à nouveau raisonnent... Il s'approche... Sa présence là, tout près... Elle peut Le sentir... Il se plante de nouveau face à elle... Elle sent alors sur elle son regard, un regard qu’elle devine insistant, sévère, fixe, Dominateur. Du bout des doigts, il saisit son menton et la force à relever la tête vers Lui qui la domine de Sa haute stature :
- Regarde moi ! ordonne-t-il froidement. Elle obéit... Tu avais le choix. Tu es venue de ton plein gré. Tu as voulu rester. Si tu es nue maintenant devant moi, c'est que tu l'as choisi. Mais je sais ton inexpérience, alors dans ma grande magnanimité, je t'accorde une dernière alternative. Tu peux partir tout de suite ! Mais sache que si tu restes, alors cela signifiera que tu te soumets à Ma Loi en toutes choses. Que désormais tu M'appartiens et que je peux te plier à Ma Volonté en toutes choses. Alors, je te demande de me confirmer ce que tu m’as dit sur le perron, il y a quelques instants :
Un silence... puis timidement, la voix de la comtesse balbutie, et une petite larme d’émotion pure de bonheur coule doucement...
- Je... je sou … je souhaiterai rester... Faites de moi ce que Vous voudrez...
Le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ne prononce pas un mot de plus. Il caresse le visage de la comtesse, passe son doigt sur la larme pour l’étancher, caresse son cou, ses épaules... il se saisit d'un sein, le palpe, le presse doucement... puis la main descend sur les hanches... s'immisce entre les cuisses qu'Il force à s'écarter. La main caresse la douce toison féminine, les doigts écartent tendrement les chairs humides, s'enfoncent lentement... puis se retirent... La comtesse tremblante ne bouge pas… docile, elle gémit légèrement de plaisir. Oui elle a l’air d’apprécier les caresses du Noble, mais n’ose parler. Il la prend par le bras mais sans brusquerie, elle se laisse entraîner vers le centre du salon, jusqu'à la table. Elle n'est qu'une poupée sans forces, sans volonté, qui se laisse amener là où bon Lui semble. Il la mène où il le veut, elle ne résiste pas, n'hésite pas, ne réfléchit pas. Elle est venue pour Lui, sans savoir ce qui l'attendait exactement après cette folle nuit de folie sexuelle que le Noble lui a fait vivre... Elle acceptera tout, puisqu'elle s'y est engagée. Jusqu'au bout de tout ce qu'il exigera, quoiqu'il en coûte.
Alors, Il se saisit de son corps et la force à de pencher sur la table, le haut de son corps reposant sur le dessus, écrasant ses seins contre le bois froid. Alors qu'il écarte ses cuisses, elle sent les mains épaisses du Marquis qui s'emparent de ses poignets et qui les enserre dans des liens qu'il attache aux pieds de la table. Pui ses mêmes mains d'Evans caressent sa croupe formant comme d'invisibles volutes sur ses fesses et le bas de ses reins. Elle s'abandonne et se laisse bercer par la voix chaude mais autoritaire de son amant et Maître...
- Tu vas m'appartenir, comme tu m’as appartenu cette nuit… Je vais reprendre ce que tu as de plus précieux. Ce sexe béant que je vois largement offert et qui n’attend que ma noble verge. Je vais te posséder totalement encore et encore. Et lorsque je te détacherai, tu ne seras plus la même car tu seras mienne, tu seras une autre, si ce n’est pas déjà le cas depuis cette nuit, tu seras celle que je ferai de toi... Et si tu ne sais pas ce que cela signifie, tu l'apprendras et aussi dur que cela soit, tu le subiras avec dévotion pour Moi. Tu iras où je voudrai, tu seras et feras tout ce que j'exigerai de toi...
Tout en disant cela, Le Marquis Louis-Alexandre d'Evans glisse un doigt humide dans le sexe déjà poisseux de la comtesse. Puis un autre... Le Noble a très vite déboutonné son pantalon pour exhiber une verge en érection et c’est de son volumineux sexe dressé qu’il s’enfonce lentement entre les cuisses de la femme. Il entre en elle, s'enfonce encore, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit de plaisirs. Elle se sent possédée et souhaite cette verge tout entière en elle alors elle écarte encore plus les jambes. Le sexe du Marquis la possède pleinement. Longuement, il la baise ainsi lentement, savourant pleinement Sa Possession et Sa Domination par le sexe. C'est Sa Victoire totale et définitive qu'Il déguste ainsi, ce Pouvoir absolu sur elle. Il est un peu étonné de la facilité avec laquelle il est entré en elle et la possède virilement à la hussarde et désormais de plus en plus profond, de plus en plus vite, de plus en plus cadencé, comme si cette femelle soumise voulait l'engloutir tout entier
- Ooohhh .... oooh … Ouiiiiiiiiiiiii, murmure-t-elle de plaisirs…
Mais le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ne l'écoute même pas, il s'enfonce en elle et la baise longuement, profondément... La comtesse ressent fortement cet éclair si puissant qui traverse son corps, tout son corps jusqu'à ses plus infimes extrémités par des petits spasmes jouissifs qui l’irradient. Elle sait qu'une telle sensation de plaisirs jouissifs peut exister car elle l’a ressenti plusieurs fois par des orgasmes puissants la nuit précédente mais cette fois, c’est aussi fort. En elle, se mêlent la pulsion animale du plaisir et l'étonnante sensation de ne plus être dans son propre corps. Elle est parcourue de vibrations incontrôlables. Elle sait qu'elle gémit, qu'elle râle, qu'elle crie. Elle ne contrôle plus rien. Elle n'est plus elle-même, ou plutôt elle devient vraiment elle-même ! En la baisant ainsi, c'est sa vie de femme fidèle d’aristocrate frustrée et en manque que Le Marquis a brisé, lui permettant à sa vraie nature de s'exposer au grand jour, de s'exprimer totalement... Avec le peu de liberté qui lui reste, la femme agite son corps, se cambre, non pour s'échapper, mais de façon incontrôlable... Parce qu'elle est saisie d'une série de vibrations qui la parcourent en tous sens, qui lui font perdre tout contrôle, elle jouit à n’en plus finir, quand elle arrive à sortir ces quelques mots dans son esprit.
- C'est donc ça que je suis ! se dit-elle
Et si heureuse de l’être enfin, d’être cette créature de chair qui jouit sans retenue ! Qui se livre sans pudeur, prête à tout pour Lui ... Pour Celui qui la possède maintenant pleinement. Elle crie encore ! s'entend hurler pour supplier qu'Il la prenne encore. Oui la comtesse comprend ce qu'elle est. Elle se souvient de ces pauvres créatures miséreuses, ces femmes de mauvaise vie qu'elle méprisait lorsqu'elle les voyait arpentant les rues les plus sordides. Elle est devenue la même, une catin. Moins qu'une catin, puisqu'elle n'a pas l'excuse de la misère, de la faim. La seule faim qui l'anime, c'est celle du puissant désir d’être possédée, d’être remplie. Elle Le veut ! Elle veut Lui appartenir, qu'Il la prenne encore et encore, qu'Il la possède totalement et toujours. Elle rampera à Ses pieds pour qu'Il consente encore à la faire Sienne, s’il le faut. Elle jouit sans retenue et son corps est pris encore d'un tremblement incontrôlable tandis que Le Marquis jouit avec abondance sans retenue et se retire d'elle. Le plaisir de Celui qu'elle aime s'est mêlé au sien... Elle en dégouline, elle est heureuse de sentir leurs plaisirs qui coulent lentement à l'intérieur de ses cuisses. Elle est épuisée, haletante... Le Marquis Louis-Alexandre d'Evans contemple ce corps agité de faibles soubresauts...
C’est sur cette image que le Marquis Edouard d’Evans constate la fin du récit en images animées telle une vidéo. La page du journal intime redevient subitement blanche. Il lève son regard pensant voir les deux fantômes à ses côtés, mais alors qu’il était absorbé par le contenu de ces images animées, il réalise que la Comtesse et sa fille Clara ont disparues, il est de nouveau seul dans son bureau. Et quand il jette un dernier regard sur le journal intime, il constate, à sa grande surprise, que ce qu’il vient d’apprendre sur cette après-midi du 15 juillet 1914 est apparu, à la place de la page blanche et sous la date, en texte à l’encre de plume d’oie tel qu’il avait été écrit à l’époque par la comtesse de son vivant…
(A suivre…)
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