La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°774)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°774)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°773) - Un bordel suisse (2/2) –
Je m’exécute en bandant fort encore… Je monte sur une espèce de petite table rembourrée et couverte d’un skaï noir.
- Ton cul tout au bord de cette table et relève les cuisses, la chienne! me dicte-t-elle encore.
A peine suis-je installé dans la position requise, que mes hanches, mes cuisses relevées et mes mollets sont pris dans un carcan formé par des planches de bois posées les unes sur les autres avec des trous plus ou moins larges, permettant d’emprisonner mes jambes et ma taille. Cette construction ingénieuse m’empêche tout mouvement de bassin et de mes membres inférieurs mais aussi de voir ce qui se passe derrière cette haute cloison de bois laissant sans doute, mes fesses bien exposées et maintenues largement écartées. Mais ma captivité ne s’arrête pas là, la vieille dominante m’enferme le cou et les bras dans un autre carcan me contraignant et me clouant à l’immobilisme parfait. Un bandeau m’est ensuite posé sur les yeux.
- Je te prédis l’extase la chienne, que tu le veuilles ou non, tu vas en prendre plein ton cul, espèce de grosse salope ! Que de bites affamées ce soir vont te prendre dans ton trou de catin, tu en as de la chance ! me lance celle qui m’a séquestrée.
Au même moment, elle m’attrape les deux mamelons, les pinces et les tire sauvagement à m’en faire hurler et bander instantanément. Deux pinces japonaises mordantes viennent remplacer ces doigts, la chainettes les reliant entre elles se tend et semble être accrochée à l’un des panneaux de bois enserrant mon cou. Et comme si la douleur n’était pas suffisante, une corde me noue les couilles et ma nouille tendue à l’extrême. Mon paquet est relevé, soigneusement étiré, solidement attaché, laissant ma marge anale bien dégagée. La posture devient terriblement pénible tout autant que follement jouissive. Je suis là parfaitement offert, immobile, tel un simple objet attendant les ruades et enculades. Cette vieille Dominante ne m’avait pas menti, des bites, j’en ai pris, toute la soirée et une grande partie de la nuit… des petites, des lourdes, des fines, des épaisses, des hors nomes, des plus frêles ! Mon cul comme ma bouche n’ont été que deux déversoirs à foutre, certains mâles surexcités m’ont même pissé dessus et inondé mes trous de lope soumise. Des Dominantes endiablées m’ont offert leurs sexes à lécher, leur liqueur intime à avaler, d’autres mon travailler le cul avec des godes-ceintures plus ou moins longs, plus ou moins larges. Si bien que je suis totalement anéanti, éreinté, lorsqu’on me détache et libère. Impossible de me relever, j’ai des crampes de partout, du foutre qui regorge de mes trous, de la cyprine sur mes lèvres boursoufflées. Ce fut une véritable orgie sexuelle concernant les pénétrations dans mes trous où je n’ai été qu’un objet sexuel de plaisir total, un vulgaire vide-couilles entre mes entrailles ou on a usé et abusé de moi sans modération, et j’avoue que malgré la fatigue, la pénibilité de la position attachée et immobile, j’en ai tiré un incompréhensible et sublime plaisir masochiste, j’en ai incroyablement bandé durant la totalité des multiples et profondes ruades et sodomies. Je souhaitais être pris par le cul, j’ai eu ma dose, et quelle dose !!! Une fois fini, une fois que plus personne n’eut envie de m’enculer, on me détacha et je tombais à terre épuisé mais si heureux, si épanoui de me sentir une putain, un simple trou à bites…
Heureusement on me laisse là, couché en chien de fusil. Les yeux mi-clos, je me repasse le film de cette soirée et nuitée, mon addiction sexuelle à la soumission totale et masochiste n’est plus à démontrer. Je suis dans la compulsion, la dépendance, n’arrivant plus à résister à mes envies toujours plus hard. J’aime me faire démonter, besogner, défoncer, emboiter, bafouer, humilier, tel un besoin quasi maladif. Et cette addiction, je la dois à Monsieur le Marquis d’Evans, qui a su me dresser, me dominer me construire. Il a su faire de moi une bonne pute, Sa catin, Sa petite chienne toujours affamée. Je bande en pensant au Maître, je suis au bord de l’épuisement mais pour autant ma queue se redresse encore et sans effort… Epuisé je le suis, je ne bouge pas, ne réagis même pas lorsque je sens une main m’écarter les fesses, lorsqu’un doigt glisse sur ma raie et s’immisce dans mon trou béant et gluant. Je ferme les yeux, ouvre la bouche instinctivement en gémissant bruyamment. Un souffle chaud se répand sur ma raie, une langue caresse mon orifice. J’entends :
- Bouffe et nettoie correctement, bâtard !
Je reconnais la voix de Karl. Mes lobes fessiers sont plus largement écartés, je m’offre en levrette en jetant un regard rapide sur celui obligé. Le jeune esclave blond de Karl est là, derrière moi, entre mes cuisses, sa bouche rivée sur mon anus meurtri, sa langue cueillant le surplus de foutre dégoulinant de mes entrailles. Son corps est terriblement zébré. Cet anulingus me remet sur pied, je m’offre en fermant de nouveau les yeux tout en gémissant tapageusement. Une main me saisit la bite, je suis raide, mon gland décalotté et bien humide. De longs et doux vas et viens sur ma hampe turgescente me font rapidement décoller. J’avale difficilement ma salive, je soupire et respire longuement. Mes jambes vibres et trembles, mon échine frissonne. Je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, même si cette masturbation est douce et très lente. Je m’enflamme encore, la langue du jeune esclave me pénètre largement. Oh que c’est bon !
- Pitié Monsieur, je vais….
Mais cette main rivée à ma bite accélère le rythme. Mon corps tout entier palpite et flageole. Je m’affole, m’agite, me trémousse, m’épouvante, ce n’est plus possible…
- Pitié, pitié, je vais jouir Monsieur !
Je tressaille et vacille encore tentant de contenir mon éjaculation.
- Vas-y crache Ma pute, là, maintenant, je t’y autorise...
Cette voix… oui cette voix… et cet orgasme au même instant. Je décharge longuement, vigoureusement en rouvrant les yeux et en me retournant.
- Oh Maître… Maître vénéré, vous êtes ici!
Monsieur le Marquis me regarde silencieusement, ses yeux bleus captivent les miens. Je suis tellement heureux, tellement bien
- Qu’attends-tu pour me remercier Ma chienne ?
Je me ressaisis immédiatement.
- Oh Merci Maître, merci Vénéré Maître…
La main de Monsieur le Marquis s’approche de mes lèvres, je lui baise délicatement les doigts
- Tu t’es bien donné ma pute, tu méritais d’être récompensé…
Je m’apprête à remercier encore, lorsque le Maître m’attrape par ma chevelure, je suis contraint de me relever. Sans douceur, je suis poussé contre l’angle d’un mur.
- Mains sur la tête, cuisses écartées
L’ordre tombe sèchement
- Cambre ton cul de chienne, grosse salope …
Je m’exécute sans comprendre. Pourquoi une telle agressivité verbale après tant de douceur ? Je ne tarde pas à connaitre les raisons de cette ardeur. D’un coup d’un seul, je suis éperonné et empalé. Debout, je me fais enculer sauvagement par le Maître…
- Une autre récompense Ma salope ! Me dicte le Maître déjà haletant.
Je me donne, m’offre, m’écarte, vas et viens sur cette Noble queue qui me perfore et me transperce. Des coups de butoirs puissants, violents, énergiques et dominants.
- C’est la vingt-sixième queue que tu prends dans ton cul de lope, en moins de douze heures. Te rends-tu comptes Mon chien, un peu plus de deux queues par heures…
Je n’avais pas compté… mais peu importe, celle qui me laboure le cul, à l’instant même, est celle qui me donne le plus de plaisir, le plus de bonheur. Elle me rappelle, à chaque coup de reins, ce que je suis, pour qui je suis…et combien il bon d’être un esclave MDE...
(A suivre…)
Je m’exécute en bandant fort encore… Je monte sur une espèce de petite table rembourrée et couverte d’un skaï noir.
- Ton cul tout au bord de cette table et relève les cuisses, la chienne! me dicte-t-elle encore.
A peine suis-je installé dans la position requise, que mes hanches, mes cuisses relevées et mes mollets sont pris dans un carcan formé par des planches de bois posées les unes sur les autres avec des trous plus ou moins larges, permettant d’emprisonner mes jambes et ma taille. Cette construction ingénieuse m’empêche tout mouvement de bassin et de mes membres inférieurs mais aussi de voir ce qui se passe derrière cette haute cloison de bois laissant sans doute, mes fesses bien exposées et maintenues largement écartées. Mais ma captivité ne s’arrête pas là, la vieille dominante m’enferme le cou et les bras dans un autre carcan me contraignant et me clouant à l’immobilisme parfait. Un bandeau m’est ensuite posé sur les yeux.
- Je te prédis l’extase la chienne, que tu le veuilles ou non, tu vas en prendre plein ton cul, espèce de grosse salope ! Que de bites affamées ce soir vont te prendre dans ton trou de catin, tu en as de la chance ! me lance celle qui m’a séquestrée.
Au même moment, elle m’attrape les deux mamelons, les pinces et les tire sauvagement à m’en faire hurler et bander instantanément. Deux pinces japonaises mordantes viennent remplacer ces doigts, la chainettes les reliant entre elles se tend et semble être accrochée à l’un des panneaux de bois enserrant mon cou. Et comme si la douleur n’était pas suffisante, une corde me noue les couilles et ma nouille tendue à l’extrême. Mon paquet est relevé, soigneusement étiré, solidement attaché, laissant ma marge anale bien dégagée. La posture devient terriblement pénible tout autant que follement jouissive. Je suis là parfaitement offert, immobile, tel un simple objet attendant les ruades et enculades. Cette vieille Dominante ne m’avait pas menti, des bites, j’en ai pris, toute la soirée et une grande partie de la nuit… des petites, des lourdes, des fines, des épaisses, des hors nomes, des plus frêles ! Mon cul comme ma bouche n’ont été que deux déversoirs à foutre, certains mâles surexcités m’ont même pissé dessus et inondé mes trous de lope soumise. Des Dominantes endiablées m’ont offert leurs sexes à lécher, leur liqueur intime à avaler, d’autres mon travailler le cul avec des godes-ceintures plus ou moins longs, plus ou moins larges. Si bien que je suis totalement anéanti, éreinté, lorsqu’on me détache et libère. Impossible de me relever, j’ai des crampes de partout, du foutre qui regorge de mes trous, de la cyprine sur mes lèvres boursoufflées. Ce fut une véritable orgie sexuelle concernant les pénétrations dans mes trous où je n’ai été qu’un objet sexuel de plaisir total, un vulgaire vide-couilles entre mes entrailles ou on a usé et abusé de moi sans modération, et j’avoue que malgré la fatigue, la pénibilité de la position attachée et immobile, j’en ai tiré un incompréhensible et sublime plaisir masochiste, j’en ai incroyablement bandé durant la totalité des multiples et profondes ruades et sodomies. Je souhaitais être pris par le cul, j’ai eu ma dose, et quelle dose !!! Une fois fini, une fois que plus personne n’eut envie de m’enculer, on me détacha et je tombais à terre épuisé mais si heureux, si épanoui de me sentir une putain, un simple trou à bites…
Heureusement on me laisse là, couché en chien de fusil. Les yeux mi-clos, je me repasse le film de cette soirée et nuitée, mon addiction sexuelle à la soumission totale et masochiste n’est plus à démontrer. Je suis dans la compulsion, la dépendance, n’arrivant plus à résister à mes envies toujours plus hard. J’aime me faire démonter, besogner, défoncer, emboiter, bafouer, humilier, tel un besoin quasi maladif. Et cette addiction, je la dois à Monsieur le Marquis d’Evans, qui a su me dresser, me dominer me construire. Il a su faire de moi une bonne pute, Sa catin, Sa petite chienne toujours affamée. Je bande en pensant au Maître, je suis au bord de l’épuisement mais pour autant ma queue se redresse encore et sans effort… Epuisé je le suis, je ne bouge pas, ne réagis même pas lorsque je sens une main m’écarter les fesses, lorsqu’un doigt glisse sur ma raie et s’immisce dans mon trou béant et gluant. Je ferme les yeux, ouvre la bouche instinctivement en gémissant bruyamment. Un souffle chaud se répand sur ma raie, une langue caresse mon orifice. J’entends :
- Bouffe et nettoie correctement, bâtard !
Je reconnais la voix de Karl. Mes lobes fessiers sont plus largement écartés, je m’offre en levrette en jetant un regard rapide sur celui obligé. Le jeune esclave blond de Karl est là, derrière moi, entre mes cuisses, sa bouche rivée sur mon anus meurtri, sa langue cueillant le surplus de foutre dégoulinant de mes entrailles. Son corps est terriblement zébré. Cet anulingus me remet sur pied, je m’offre en fermant de nouveau les yeux tout en gémissant tapageusement. Une main me saisit la bite, je suis raide, mon gland décalotté et bien humide. De longs et doux vas et viens sur ma hampe turgescente me font rapidement décoller. J’avale difficilement ma salive, je soupire et respire longuement. Mes jambes vibres et trembles, mon échine frissonne. Je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, même si cette masturbation est douce et très lente. Je m’enflamme encore, la langue du jeune esclave me pénètre largement. Oh que c’est bon !
- Pitié Monsieur, je vais….
Mais cette main rivée à ma bite accélère le rythme. Mon corps tout entier palpite et flageole. Je m’affole, m’agite, me trémousse, m’épouvante, ce n’est plus possible…
- Pitié, pitié, je vais jouir Monsieur !
Je tressaille et vacille encore tentant de contenir mon éjaculation.
- Vas-y crache Ma pute, là, maintenant, je t’y autorise...
Cette voix… oui cette voix… et cet orgasme au même instant. Je décharge longuement, vigoureusement en rouvrant les yeux et en me retournant.
- Oh Maître… Maître vénéré, vous êtes ici!
Monsieur le Marquis me regarde silencieusement, ses yeux bleus captivent les miens. Je suis tellement heureux, tellement bien
- Qu’attends-tu pour me remercier Ma chienne ?
Je me ressaisis immédiatement.
- Oh Merci Maître, merci Vénéré Maître…
La main de Monsieur le Marquis s’approche de mes lèvres, je lui baise délicatement les doigts
- Tu t’es bien donné ma pute, tu méritais d’être récompensé…
Je m’apprête à remercier encore, lorsque le Maître m’attrape par ma chevelure, je suis contraint de me relever. Sans douceur, je suis poussé contre l’angle d’un mur.
- Mains sur la tête, cuisses écartées
L’ordre tombe sèchement
- Cambre ton cul de chienne, grosse salope …
Je m’exécute sans comprendre. Pourquoi une telle agressivité verbale après tant de douceur ? Je ne tarde pas à connaitre les raisons de cette ardeur. D’un coup d’un seul, je suis éperonné et empalé. Debout, je me fais enculer sauvagement par le Maître…
- Une autre récompense Ma salope ! Me dicte le Maître déjà haletant.
Je me donne, m’offre, m’écarte, vas et viens sur cette Noble queue qui me perfore et me transperce. Des coups de butoirs puissants, violents, énergiques et dominants.
- C’est la vingt-sixième queue que tu prends dans ton cul de lope, en moins de douze heures. Te rends-tu comptes Mon chien, un peu plus de deux queues par heures…
Je n’avais pas compté… mais peu importe, celle qui me laboure le cul, à l’instant même, est celle qui me donne le plus de plaisir, le plus de bonheur. Elle me rappelle, à chaque coup de reins, ce que je suis, pour qui je suis…et combien il bon d’être un esclave MDE...
(A suivre…)
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