La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°837)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°837)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode précédent N°836) –
Monsieur le Marquis allait enfin besogner ce chien soumis qui s’était mal comporter à plusieurs reprises. Son sexe dressé au zénith s’approcha. Olivier sentit le gland écarter ses chairs puis la poussée régulière et profonde du Noble, jusqu’à qu’enfin le soumis sentit les testicules du Maître buter contre ses fesses marquant par la même que le Châtelain l’avait pris au plus profond de ses entrailles. Le Châtelain marquait ainsi son autorité sur cet esclave en le prenant par le cul, il le possédait dans tous les sens du terme. Le Châtelain pris du plaisir à faire cette saillie, et les Invités savaient ce que cette prise de possession du cul par le Maître des lieux voulait dire. En marquant ainsi Sa propriété sur ce chien soumis en l’enculant ainsi. Le Noble avait investi la place, il sentait sa verge épaisse et longue bien serrée, le cul du soumis était vraiment de qualité, la façon dont celui-ci s’était positionné, fesses bien en l’air, montrait qu’il attendait lui aussi ce moment d’être possédé. Olivier bandait comme jamais tant il était excité. Sa récompense allait bientôt commencer, car Monsieur le Marquis démarra son vas et vient, d’abord d’un mouvement lent et régulier puis de plus en plus rapide. De temps en temps, il prenait bien soin de déculer complètement, le Noble gland palpitait, gorgé de sang, et le Châtelain d’un mouvement puissant prenait de nouveau et bien à fond le cul du soumis qui gémissait de plaisirs.
Les mouvements se firent de plus en plus rapides, les testicules frappaient les fesses en cadence, les coups de boutoirs de plus en plus puissants et profonds. Olivier gémissait de plus en plus. Le Châtelain pris alors le ceinturon, sentant sa jouissance arriver, il voulait fouetter le soumis en cadence avec son éjaculation dans les entrailles de Son chien soumis. Quand le premier jet de sperme partit, il asséna un coup puissant sur la croupe d’Oliver, puis un deuxième, un troisième, les jets de spermes fusaient et c’est au bout du cinquième coup de ceinturon que Monsieur le Marquis s’arrêta, satisfait de cet esclave, il se retira lentement. Puis il présenta son noble sexe à la bouche du soumis :
- Lèche salope, nettoie bien avec la langue de pute, ma noble verge de mon noble foutre et de tes secrétions anales de chien, viens que ta bouche soit chaude et accueillante.
Et la bouche du chien soumis excité s’ouvrit alors laissant paraitre sa langue. Le Maître y appliqua alors son gland. Le soumis le prit en bouche et le lécha et d’un mouvement de bassin le Châtelain se fit engloutir le sexe. Olivier s’obligea à nettoyer méthodiquement la noble verge du Maître. Les Invités appréciaient le spectacle. Un Maître, prenant possession de Son soumis était toujours un spectacle gratifiant mais la soirée comme l’avait promis Monsieur le Marquis devait se terminer par l’intromission d’un énorme god en plastique moulé en forme de pénis d’un étalon. Il fallait donc encore entrainer l’anus de ce chien soumis à accepter des gods de plus grosses tailles. Mais le soumis devait pour l’heure recevoir sa correction par les trois Dominas, il fut donc attaché de nouveau à la Croix de Saint André et il subit avec fierté les coups de fouets que lui assénaient à tour de rôle les trois sévères femmes qui ne ménageaient pas la puissance de chaque coups. Conformément à l’Exigence de Monsieur le Marquis, Olivier répéta la phrase après chaque coup reçu :
- Je suis un chien juste bon à être enculé appartenant à Monsieur le Marquis, Le Seigneur et Maître, (et il rajoutait aussi comme cela lui avait exigé : ) Je vous prie de m’excuser car je suis incapable de donner du plaisir à Vous, les femmes Dominas.
Avec ses propos imposés, la honte était totale par cette suprême humiliation ce qui excitait grandement le soumis. Les coups de fouet marquèrent la peu d’Olivier de longs traits, la peau serait marquée sûrement pendant plusieurs jours. Mais le soumis ne pouvait pas cacher sa forte érection. Une fois le travail du fouet achevé, il fut décidé qu’Olivier serait empalé sur un god de plus grosse taille, pour cela le dispositif consistait à l’attacher par des bracelets de cuir lui prenant les poignets à une chaine reprise à un palan électrique, chaîne allant jusqu’à la poutre du plafond. Ainsi en tirant d’un côté Olivier était hissé en l’air, une fois ainsi positionné, la pointe des pieds touchant à peine le sol, Monsieur le Marquis décida qu’il fallait que ce chien soumis soit empaler tout seul sur le gode qui était fixé sur un chevalet. La perverse idée imaginée par le Noble consistait à lever le soumis en l’air et ainsi on pouvait lui faire écarter les jambes et poser les pieds sur deux tabourets. Et ainsi suspendu et écartelé, il suffisait de positionner le god sous le cul du soumis et qu’en écartant les tabourets le soumis naturellement du fait de sa position et de son poids allait descendre s’empaler tout seul sur le god. Cette position de grand écart permettrai l’introduction naturel du god, puis la fatigue faisant le soumis serait obligé de poser les pieds par terre pour se soulager à ce moment-là le god devrait l’enculer littéralement. Tout cela ne faisait que démultiplier l’excitation d’Olivier malgré l’appréhension ! Sa nouille était raide comme un bâton.
Le soumis fut donc obliger de prendre cette position. Puis en écartant les tabourets son cul descendait effectivement vers le god. Olivier appréhendait le moment de l’intromission mais celle-ci se fit naturellement, les convives virent que le volumineux god prenait toute sa place dans le cul du chien soumis. Celui-ci tentait de résister à cause de l’appréhension, malgré son excitation visible par son érection. En revanche en essayant de se lever par la pointe des pieds avec les jambes écartées, il fatiguait rapidement. Monsieur le Marquis remarqua le moment ou la résistance du soumis serait veine, le moment où vaincu, il accepterait l’introduction complète du god. C’est avec un cri quasi jouissif qu’Olivier renonça à se lever sur les pointes des pieds, en effet il se laissait choir sur le god, de temps en temps pour se soulager il se hissait de nouveau cela créait un mouvement de vas et viens, mais il avait du plaisir masochiste malgré la douleur de la pénétration. Olivier sanglotait et … bandait encore plus ! Le god dont la base s’élargissait lui écartait complètement le cul, quand le Noble estima que son anus était suffisamment ouvert, il fit appeler Walter, son Majordome. Celui-ci arriva, il avait pris le soin d’amener le god en plastique représentant le vit du plus bel étalon ! Mais avant de procéder à son intromission dans le cul du chien soumis, le Châtelain exigea que l’on détache Olivier, il fut hisser et tout le monde constata que son anus était bien béant. Walter s’approcha à ce moment et d’un mouvement il fit introduire le gros et imposant god, Olivier comprit que quelque chose n’était pas naturel, le diamètre du god sa forme particulière sa longueur. Monsieur le Marquis lui expliqua alors les choses :
- Le god en plastique qui est en toi est le moule exact d’un sexe d’un étalon en rut. Montre toi digne de cela, prend-le en me remerciant de l’honneur qui t’es fait.
L’assemblée apprécia le spectacle encore une fois le Maître leur avait préparé une belle soirée D/s. Ce chien esclave venait de trouver sa destinée … Olivier venait de subir une sodomie disons hors normes et pour le moins profonde. Walter savait alterner les moments où il devait se retirer puis de nouveau enfoncer le gros membre en plastique dur ainsi petit à petit le chibre immense avait été avalé dans le cul d’Olivier. Celui-ci stoïque par une respiration complètement maîtrisé a pu accepter de prendre pratiquement en entier le membre, mais il ne pouvait absolument pas cacher son excitation par une bandaison extrême.
Monsieur le Marquis avait ainsi une idée en tête mais pour clôturer la cérémonie, il voulait offrir à ses Invités un dernier spectacle auquel ils allaient pouvoir participer. Il y avait dans le Donjon, une baignoire et celle-ci servait à l’acte de purification. Pour cela, il ordonna que l’on détache le chien soumis du palan et imposa à Olivier d’y prendre place. Nu comme un vers le soumis cru que l’on allait lui offrir un bain mais il n’en était rien.
- Mes amis, venez à tour de rôle autour de la baignoire je vous autorise à vous soulager en urinant sur ce chien
Les amis du Châtelain apprécièrent la proposition et à tour de rôle ils vinrent uriner sur le soumis. Le premier laissa jaillir un jet puissant, le deuxième fit de même il en fut ainsi. Olivier stoïque ne disait rien seul la satisfaction du Maître le guidait et plus on lui pissait dessus, plus il bandait fort. À la fin Monsieur le Marquis fut le dernier à se présenter son sexe apparut au soumis et il ordonna à celui-ci d’ouvrir la bouche. Le soumis put recevoir la noble urine et il avala comme il pouvait mais il s’appliquait pour montrer à tous quel était sa place : l’esclave chien soumis de Monsieur le Marquis d’Evans …
(A suivre …)
Monsieur le Marquis allait enfin besogner ce chien soumis qui s’était mal comporter à plusieurs reprises. Son sexe dressé au zénith s’approcha. Olivier sentit le gland écarter ses chairs puis la poussée régulière et profonde du Noble, jusqu’à qu’enfin le soumis sentit les testicules du Maître buter contre ses fesses marquant par la même que le Châtelain l’avait pris au plus profond de ses entrailles. Le Châtelain marquait ainsi son autorité sur cet esclave en le prenant par le cul, il le possédait dans tous les sens du terme. Le Châtelain pris du plaisir à faire cette saillie, et les Invités savaient ce que cette prise de possession du cul par le Maître des lieux voulait dire. En marquant ainsi Sa propriété sur ce chien soumis en l’enculant ainsi. Le Noble avait investi la place, il sentait sa verge épaisse et longue bien serrée, le cul du soumis était vraiment de qualité, la façon dont celui-ci s’était positionné, fesses bien en l’air, montrait qu’il attendait lui aussi ce moment d’être possédé. Olivier bandait comme jamais tant il était excité. Sa récompense allait bientôt commencer, car Monsieur le Marquis démarra son vas et vient, d’abord d’un mouvement lent et régulier puis de plus en plus rapide. De temps en temps, il prenait bien soin de déculer complètement, le Noble gland palpitait, gorgé de sang, et le Châtelain d’un mouvement puissant prenait de nouveau et bien à fond le cul du soumis qui gémissait de plaisirs.
Les mouvements se firent de plus en plus rapides, les testicules frappaient les fesses en cadence, les coups de boutoirs de plus en plus puissants et profonds. Olivier gémissait de plus en plus. Le Châtelain pris alors le ceinturon, sentant sa jouissance arriver, il voulait fouetter le soumis en cadence avec son éjaculation dans les entrailles de Son chien soumis. Quand le premier jet de sperme partit, il asséna un coup puissant sur la croupe d’Oliver, puis un deuxième, un troisième, les jets de spermes fusaient et c’est au bout du cinquième coup de ceinturon que Monsieur le Marquis s’arrêta, satisfait de cet esclave, il se retira lentement. Puis il présenta son noble sexe à la bouche du soumis :
- Lèche salope, nettoie bien avec la langue de pute, ma noble verge de mon noble foutre et de tes secrétions anales de chien, viens que ta bouche soit chaude et accueillante.
Et la bouche du chien soumis excité s’ouvrit alors laissant paraitre sa langue. Le Maître y appliqua alors son gland. Le soumis le prit en bouche et le lécha et d’un mouvement de bassin le Châtelain se fit engloutir le sexe. Olivier s’obligea à nettoyer méthodiquement la noble verge du Maître. Les Invités appréciaient le spectacle. Un Maître, prenant possession de Son soumis était toujours un spectacle gratifiant mais la soirée comme l’avait promis Monsieur le Marquis devait se terminer par l’intromission d’un énorme god en plastique moulé en forme de pénis d’un étalon. Il fallait donc encore entrainer l’anus de ce chien soumis à accepter des gods de plus grosses tailles. Mais le soumis devait pour l’heure recevoir sa correction par les trois Dominas, il fut donc attaché de nouveau à la Croix de Saint André et il subit avec fierté les coups de fouets que lui assénaient à tour de rôle les trois sévères femmes qui ne ménageaient pas la puissance de chaque coups. Conformément à l’Exigence de Monsieur le Marquis, Olivier répéta la phrase après chaque coup reçu :
- Je suis un chien juste bon à être enculé appartenant à Monsieur le Marquis, Le Seigneur et Maître, (et il rajoutait aussi comme cela lui avait exigé : ) Je vous prie de m’excuser car je suis incapable de donner du plaisir à Vous, les femmes Dominas.
Avec ses propos imposés, la honte était totale par cette suprême humiliation ce qui excitait grandement le soumis. Les coups de fouet marquèrent la peu d’Olivier de longs traits, la peau serait marquée sûrement pendant plusieurs jours. Mais le soumis ne pouvait pas cacher sa forte érection. Une fois le travail du fouet achevé, il fut décidé qu’Olivier serait empalé sur un god de plus grosse taille, pour cela le dispositif consistait à l’attacher par des bracelets de cuir lui prenant les poignets à une chaine reprise à un palan électrique, chaîne allant jusqu’à la poutre du plafond. Ainsi en tirant d’un côté Olivier était hissé en l’air, une fois ainsi positionné, la pointe des pieds touchant à peine le sol, Monsieur le Marquis décida qu’il fallait que ce chien soumis soit empaler tout seul sur le gode qui était fixé sur un chevalet. La perverse idée imaginée par le Noble consistait à lever le soumis en l’air et ainsi on pouvait lui faire écarter les jambes et poser les pieds sur deux tabourets. Et ainsi suspendu et écartelé, il suffisait de positionner le god sous le cul du soumis et qu’en écartant les tabourets le soumis naturellement du fait de sa position et de son poids allait descendre s’empaler tout seul sur le god. Cette position de grand écart permettrai l’introduction naturel du god, puis la fatigue faisant le soumis serait obligé de poser les pieds par terre pour se soulager à ce moment-là le god devrait l’enculer littéralement. Tout cela ne faisait que démultiplier l’excitation d’Olivier malgré l’appréhension ! Sa nouille était raide comme un bâton.
Le soumis fut donc obliger de prendre cette position. Puis en écartant les tabourets son cul descendait effectivement vers le god. Olivier appréhendait le moment de l’intromission mais celle-ci se fit naturellement, les convives virent que le volumineux god prenait toute sa place dans le cul du chien soumis. Celui-ci tentait de résister à cause de l’appréhension, malgré son excitation visible par son érection. En revanche en essayant de se lever par la pointe des pieds avec les jambes écartées, il fatiguait rapidement. Monsieur le Marquis remarqua le moment ou la résistance du soumis serait veine, le moment où vaincu, il accepterait l’introduction complète du god. C’est avec un cri quasi jouissif qu’Olivier renonça à se lever sur les pointes des pieds, en effet il se laissait choir sur le god, de temps en temps pour se soulager il se hissait de nouveau cela créait un mouvement de vas et viens, mais il avait du plaisir masochiste malgré la douleur de la pénétration. Olivier sanglotait et … bandait encore plus ! Le god dont la base s’élargissait lui écartait complètement le cul, quand le Noble estima que son anus était suffisamment ouvert, il fit appeler Walter, son Majordome. Celui-ci arriva, il avait pris le soin d’amener le god en plastique représentant le vit du plus bel étalon ! Mais avant de procéder à son intromission dans le cul du chien soumis, le Châtelain exigea que l’on détache Olivier, il fut hisser et tout le monde constata que son anus était bien béant. Walter s’approcha à ce moment et d’un mouvement il fit introduire le gros et imposant god, Olivier comprit que quelque chose n’était pas naturel, le diamètre du god sa forme particulière sa longueur. Monsieur le Marquis lui expliqua alors les choses :
- Le god en plastique qui est en toi est le moule exact d’un sexe d’un étalon en rut. Montre toi digne de cela, prend-le en me remerciant de l’honneur qui t’es fait.
L’assemblée apprécia le spectacle encore une fois le Maître leur avait préparé une belle soirée D/s. Ce chien esclave venait de trouver sa destinée … Olivier venait de subir une sodomie disons hors normes et pour le moins profonde. Walter savait alterner les moments où il devait se retirer puis de nouveau enfoncer le gros membre en plastique dur ainsi petit à petit le chibre immense avait été avalé dans le cul d’Olivier. Celui-ci stoïque par une respiration complètement maîtrisé a pu accepter de prendre pratiquement en entier le membre, mais il ne pouvait absolument pas cacher son excitation par une bandaison extrême.
Monsieur le Marquis avait ainsi une idée en tête mais pour clôturer la cérémonie, il voulait offrir à ses Invités un dernier spectacle auquel ils allaient pouvoir participer. Il y avait dans le Donjon, une baignoire et celle-ci servait à l’acte de purification. Pour cela, il ordonna que l’on détache le chien soumis du palan et imposa à Olivier d’y prendre place. Nu comme un vers le soumis cru que l’on allait lui offrir un bain mais il n’en était rien.
- Mes amis, venez à tour de rôle autour de la baignoire je vous autorise à vous soulager en urinant sur ce chien
Les amis du Châtelain apprécièrent la proposition et à tour de rôle ils vinrent uriner sur le soumis. Le premier laissa jaillir un jet puissant, le deuxième fit de même il en fut ainsi. Olivier stoïque ne disait rien seul la satisfaction du Maître le guidait et plus on lui pissait dessus, plus il bandait fort. À la fin Monsieur le Marquis fut le dernier à se présenter son sexe apparut au soumis et il ordonna à celui-ci d’ouvrir la bouche. Le soumis put recevoir la noble urine et il avala comme il pouvait mais il s’appliquait pour montrer à tous quel était sa place : l’esclave chien soumis de Monsieur le Marquis d’Evans …
(A suivre …)
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