La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°838)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°838)
Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode N°819)- Episode N°2 - (1/3) – Une dernière nuit avant le départ -
Monsieur Le Marquis d’Evans venait de faire le tour de la salle à manger où se tenait la soirée orgiaque donnée par le Châtelain à tous les serviteurs (gardes et autres salariés) et tous Ses esclaves MDE pour fêter son départ en vacances. Il était immensément ravi de voir les fornications débridées et d’entendre les râles de jouissance que le plaisir sexuel fait naître. La nuitée, ludique autant que lubrique, qu’IL avait imaginée pour divertir sa maisonnée ne ressemblait pas aux autres soirées de Domination/soumission organisées entre les murs du Château ancestral. Mais le Châtelain l’avait volontairement désiré ainsi, voulant imprégner les esprits de ceux qui resteraient à demeure sur Ses Terres, en leur offrant des souvenirs réjouissants à défaut de cinglants, autant que des plaisirs jouissifs et bien peu punitifs. La vie au quotidien reprendrait son cours après le départ du Maître des Lieux sous la responsabilité du fidèle Majordome, Walter, qui saurait très bien, grâce à son expérience, comment diriger tout ce petit monde de serviteurs zélés, et surtout Maîtriser la meute de chiens et chiennes MDE qui résidaient au Château de leur plein gré pour pouvoir découvrir aux pieds du Maître Vénéré les joies de la Domination/soumission, et avoir la chance de vivre sous Son Joug affirmé, ce qu’ils étaient au plus profond d’eux, des esclaves-soumis(e)s dans l’âme, qui n’aspiraient qu’à être guidé(e)s et Dominé(e)s.
Le Châtelain s’approcha des quatre esclaves qui avaient eu la chance de tirer un Roi dans le jeu de cartes et il tapa dans Ses mains. Une seule fois fut suffisante pour que les deux chiennes et les deux chiens s’arrêtent dans leurs ébats sexuels autorisés, tout autant qu’imposés, par le Marquis d’Evans quelques dizaines de minutes plus tôt. Tous se mirent immédiatement à genoux aux pieds du Maître Vénéré. Aucun n’osa prendre la parole, faute d’avoir été invité expressément à le faire, et pourtant il n’y en avait pas un qui n’aurait voulu remercier Le Noble Dominant car ils venaient de vivre de vrais moments de plaisirs charnels donnés et reçus avec moult jouissances dont, ni les femelles, ni les mâles, ne s’étaient privés.
- Eh bien ! Mes bons toutous qui étaient en train de faire joyeusement « joujou », n’avez-vous donc rien de mieux à dire au Maître Vénéré ?
Les quatre esclaves se prosternèrent d’un même élan tête contre sol, pour remercier d’une même voix à l’unisson, tant les phrases prononcées par chacun se ressemblaient, comme s’ils les avaient apprises par cœur préalablement, alors que c’était juste un même conditionnement d’esclaves MDE bien dressés depuis des lustres qui parlait pour eux.
- Merci, Maître Vénéré, pour nous avoir donné à boire Votre divine semence et pour ces plaisirs jouissifs que Vous nous avez accordés pendant la soirée.
Le premier des mâles ajouta, suivi immédiatement par le deuxième :
- Merci également, Maître Vénéré, pour avoir daigné dilater ma rondelle et utiliser mon conduit étroit pour venir y loger Votre Noble Joyau phallique.
- Oh Oui ! Merci beaucoup, Maître Vénéré, de m’avoir pris et possédé avec force. C’est un véritable honneur que d’être enculé par Le Maître Vénéré en personne.
Le Marquis d’Evans repris sans tarder pour exposer Ses nouvelles consignes.
- Le sort vous a été favorable et vous a désigné tous les quatre pour être à Mes côtés autant qu’à Mes pieds en cette soirée. Sachez que vous ne partirez pas avec Moi sur l’Odyssée comme tous ceux que je viens de pointer du doigt pour participer aux soirées inaugurales qui seront données pour célébrer la mise à l’eau du paquebot. Quand on désire mener une vraie vie de soumission dans une totale abnégation et Dévotion, on ne peut pas tous les jours avoir de la chance et recevoir des récompenses, vous finiriez par y prendre trop goût et en vouloir tant et plus, tout en oubliant pourquoi vous êtes ici à Mes pieds, pour mon bon plaisir avant tout qui doit primer sur vos petits plaisirs personnels …. J’AI DIT ! (d’un ton plus appuyé)
Le Marquis d’Evans avait parlé distinctement avec fermeté et autorité, comme s’il fallait qu’à travers Ses paroles avisées, chacun de Ses quatre esclaves, follement excités par les caresses buccales en 69 qu’ils et elles venaient de pratiquer longuement, reprennent leurs esprits et leurs places, faites de soumission et de mise à disposition, mais aussi très souvent de frustrations. Puis changeant de voix, car IL aimait jouer du chaud et du froid en permanence, le Dominant ajouta d’un ton plus enchanteur qui laissait déjà inaugurer de la suite :
- Mais, ce n’est pas terminé pour autant pour vous quatre. Vous allez M’accompagner dans Ma chambre jusqu’à ce que JE décide de Vous renvoyer dans vos chenils habituels. Mes deux chiennes, vous allez me suivre et les deux cabots mâles vous emboiteront le pas juste derrière, leur museau entre vos fesses, car il est bien connu que les chiens aiment renifler le cul des chiennes en chaleur. Telles sont Mes exigences !
Le Châtelain attrapa deux laisses qu’IL accrocha sur les colliers des deux esclaves-soumises et sans plus attendre ni leur accorder le moindre regard supplémentaire, IL se mit en marche et avança en direction de la sortie, suivi de Ses deux femelles, et immédiatement après des deux mâles. Monsieur Le Marquis d’Evans jeta un dernier coup d’œil dans toute la salle à manger transformée en véritable lupanar. Les couples formés par le fait du tirage au sort du jeu de cartes étaient en pleine débauches orgiaques s’adonnant à des copulations orgasmiques ininterrompues. Le Châtelain était content de l’idée qu’il avait eu d’organiser cette soirée pour fêter son départ en croisière à bord de Son immense et luxueux paquebot l’Odyssée, qui avait été construit pour être réservé à une élite fortunée d’initiés au BDSM. Mais, IL savourait avec volupté la luxure qu’IL savait si bien faire éclore entre les nobles murs de Son Château ancestral qui avaient été habité par d’innombrables Marquis d’Evans, de père en fils depuis presque 400 ans, tous passés Maître dans l’Art de la Domination/soumission, reconnu pour leurs innombrables qualités de Dominant et largement Vénérés tous autant les uns que les autres.
Le Noble s’arrêta au passage tout près de Walter qu’IL désirait prévenir qu’IL se retirait pour la suite de la nuitée. Le Majordome était en train de besogner sauvagement l’arrière-train de celle que le sort lui avait attribuée tout en ne cessant pas de la fesser en cadence sur chaque globe de son large postérieur arrondi, tandis que sa grosse queue raide s’enfonçait profondément dans de bestiaux vas-et-viens puissants. Les fesses de la soumise avait, à ce stade de la soirée, pris une couleur des plus écarlates avec des traces qui avaient déjà viré au pourpre. Walter ne s’était pas privé de prendre un malin plaisir à lui rappeler la faute commise lorsqu’elle était venue le rejoindre en bipédie et il avait commencé par lui administrer de nouvelles volées de cravache punitives ne s’arrêtant que lorsqu’il eut mal au bras et que sa bandaison ait atteint un seuil tel qu’il lui fallait décharger sans plus attendre dans le cul rougeoyant qui l’attirait et faisait croître son excitation. Le fidèle domestique n’avait pas été à l’encontre de ce qui avait été annoncé par le Maître des Lieux en faveur de tout Son cheptel, laissant l’esclave libre de jouir sous ses assauts de mâle en rut si elle pouvait atteindre l’orgasme. Mais sous son air vicieux et pernicieux, il était bien décidé à tout faire pour ne songer qu’à la satisfaction de son seul plaisir phallique, s’occupant bien peu des gémissements de celle qu’il malmenait physiquement, mais également verbalement.
Un bref échange de regard entre le fidèle serviteur et Son Patron suffit pour interrompre les élans effrénés sodomites du Majordome, qui se releva presque, tandis que son sexe gonflé à souhait commençait à vouloir sortir de l’orifice dilaté et chaud qu’il pourfendait la seconde d’avant. Le Marquis d’Evans lui mit la main sur l’épaule pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas besoin de bouger, mais juste de l’écouter.
- Mon cher Walter, je me retire pour la nuit dans Ma chambre. J’ai assez de compagnie pour Me satisfaire pleinement avec ces chiens et chiennes en chaleur favorisés par le tirage des quatre cartes royales qu’ils ont rapportés à Mes pieds… Je te charge de la suite comme nous en avons convenu. Demain, il y aura pas mal de travail pour préparer Mon départ avec tous Mes bagages, je compte sur toi pour que tout soit prêt à l’heure. Mais pour l’instant, termine d’abord ce que tu as à faire avec cette chienne de femelle et tu pourras sonner le gong pour que tous puissent aller se reposer un peu. J’ai vu en arrivant tout à l’heure et en traversant la haie de « déshonneur » qu’il y aurait assez de punis pour s’occuper de tout ranger sans tarder. Tu me feras passer la liste de ces derniers, de véritables cabots mal dressés à qui je réserve une petite surprise qu’ils ne seront pas prêts d’oublier, tout comme je n’oublierai certainement pas le fait qu’ils n’ont pas su être dignes et reconnaissants de Ma Noble Domination, au moment même où je voulais que la veille de mon départ soit une vraie fête ludique et jouissive pour toute Ma maisonnée, serviteurs à Mon service et esclaves MDE M’appartenant…
- Très bien, Monsieur le Marquis, tout sera fait comme Vous l’avez décidé. Je Vous souhaite une excellente nuit et tous les plaisirs que Vous pouvez en attendre.
Le Majordome reprenait d’un seul coup de reins possession de celle qu’il enculait avec force, tout en ayant encore plus de vigueur. En effet ses coups de boutoirs étant puissants, cadencés, rapides et profonds. Il prenait possession entièrement ce cul offert à son bon plaisir. Des ‘’han’’ de bucheron sortaient de sa bouche à chaque poussée profonde, sa verge dressée au zénith, raide comme un bâton, longue et épaisse, possédait pleinement la chienne qui gémissait de plaisir à défaut d’être autorisée à jouir. Cette saillie des plus viriles secouait tout le corps de celle qui se retenait donc pour ne pas jouir du cul, tellement son étalon la besognait. Les fessées volaient en même temps par une main plate et puissante. C’est dans cette luxure sexuelle que le Majordome empoigna la femelle en chaleur par les hanches. Ainsi il la tirait à lui et chaque coup de reins faisait claquer ses couilles contre les fesses de la soumise. La jouissance de Walter n’allait pas tarder, à l’évidence, il accélérait ses vas-et-viens de cette copulation forcenée, bestiale, sauvage quand dans de longs râles jouissifs de mâle en rut, il déversa sa semence en de puissantes saccades jusqu’au plus profond des entrailles dans le cul rougi par une correction appliquée avec la perversité qui le caractérisait… Puis Walter restait planté ainsi immobile en coït profond, imposant ainsi sa possession, sa domination quasi animale, sur cette femelle remplie par le cul
Pendant ce temps, le Maître des Lieux souriait d’un air enchanté à voir son Majordome posséder une de Ses chiennes quand Il reprit sa marche d’un pas assuré. Les chiennes et chiens avaient du mal à suivre en quadrupédie…
(A suivre…)
Monsieur Le Marquis d’Evans venait de faire le tour de la salle à manger où se tenait la soirée orgiaque donnée par le Châtelain à tous les serviteurs (gardes et autres salariés) et tous Ses esclaves MDE pour fêter son départ en vacances. Il était immensément ravi de voir les fornications débridées et d’entendre les râles de jouissance que le plaisir sexuel fait naître. La nuitée, ludique autant que lubrique, qu’IL avait imaginée pour divertir sa maisonnée ne ressemblait pas aux autres soirées de Domination/soumission organisées entre les murs du Château ancestral. Mais le Châtelain l’avait volontairement désiré ainsi, voulant imprégner les esprits de ceux qui resteraient à demeure sur Ses Terres, en leur offrant des souvenirs réjouissants à défaut de cinglants, autant que des plaisirs jouissifs et bien peu punitifs. La vie au quotidien reprendrait son cours après le départ du Maître des Lieux sous la responsabilité du fidèle Majordome, Walter, qui saurait très bien, grâce à son expérience, comment diriger tout ce petit monde de serviteurs zélés, et surtout Maîtriser la meute de chiens et chiennes MDE qui résidaient au Château de leur plein gré pour pouvoir découvrir aux pieds du Maître Vénéré les joies de la Domination/soumission, et avoir la chance de vivre sous Son Joug affirmé, ce qu’ils étaient au plus profond d’eux, des esclaves-soumis(e)s dans l’âme, qui n’aspiraient qu’à être guidé(e)s et Dominé(e)s.
Le Châtelain s’approcha des quatre esclaves qui avaient eu la chance de tirer un Roi dans le jeu de cartes et il tapa dans Ses mains. Une seule fois fut suffisante pour que les deux chiennes et les deux chiens s’arrêtent dans leurs ébats sexuels autorisés, tout autant qu’imposés, par le Marquis d’Evans quelques dizaines de minutes plus tôt. Tous se mirent immédiatement à genoux aux pieds du Maître Vénéré. Aucun n’osa prendre la parole, faute d’avoir été invité expressément à le faire, et pourtant il n’y en avait pas un qui n’aurait voulu remercier Le Noble Dominant car ils venaient de vivre de vrais moments de plaisirs charnels donnés et reçus avec moult jouissances dont, ni les femelles, ni les mâles, ne s’étaient privés.
- Eh bien ! Mes bons toutous qui étaient en train de faire joyeusement « joujou », n’avez-vous donc rien de mieux à dire au Maître Vénéré ?
Les quatre esclaves se prosternèrent d’un même élan tête contre sol, pour remercier d’une même voix à l’unisson, tant les phrases prononcées par chacun se ressemblaient, comme s’ils les avaient apprises par cœur préalablement, alors que c’était juste un même conditionnement d’esclaves MDE bien dressés depuis des lustres qui parlait pour eux.
- Merci, Maître Vénéré, pour nous avoir donné à boire Votre divine semence et pour ces plaisirs jouissifs que Vous nous avez accordés pendant la soirée.
Le premier des mâles ajouta, suivi immédiatement par le deuxième :
- Merci également, Maître Vénéré, pour avoir daigné dilater ma rondelle et utiliser mon conduit étroit pour venir y loger Votre Noble Joyau phallique.
- Oh Oui ! Merci beaucoup, Maître Vénéré, de m’avoir pris et possédé avec force. C’est un véritable honneur que d’être enculé par Le Maître Vénéré en personne.
Le Marquis d’Evans repris sans tarder pour exposer Ses nouvelles consignes.
- Le sort vous a été favorable et vous a désigné tous les quatre pour être à Mes côtés autant qu’à Mes pieds en cette soirée. Sachez que vous ne partirez pas avec Moi sur l’Odyssée comme tous ceux que je viens de pointer du doigt pour participer aux soirées inaugurales qui seront données pour célébrer la mise à l’eau du paquebot. Quand on désire mener une vraie vie de soumission dans une totale abnégation et Dévotion, on ne peut pas tous les jours avoir de la chance et recevoir des récompenses, vous finiriez par y prendre trop goût et en vouloir tant et plus, tout en oubliant pourquoi vous êtes ici à Mes pieds, pour mon bon plaisir avant tout qui doit primer sur vos petits plaisirs personnels …. J’AI DIT ! (d’un ton plus appuyé)
Le Marquis d’Evans avait parlé distinctement avec fermeté et autorité, comme s’il fallait qu’à travers Ses paroles avisées, chacun de Ses quatre esclaves, follement excités par les caresses buccales en 69 qu’ils et elles venaient de pratiquer longuement, reprennent leurs esprits et leurs places, faites de soumission et de mise à disposition, mais aussi très souvent de frustrations. Puis changeant de voix, car IL aimait jouer du chaud et du froid en permanence, le Dominant ajouta d’un ton plus enchanteur qui laissait déjà inaugurer de la suite :
- Mais, ce n’est pas terminé pour autant pour vous quatre. Vous allez M’accompagner dans Ma chambre jusqu’à ce que JE décide de Vous renvoyer dans vos chenils habituels. Mes deux chiennes, vous allez me suivre et les deux cabots mâles vous emboiteront le pas juste derrière, leur museau entre vos fesses, car il est bien connu que les chiens aiment renifler le cul des chiennes en chaleur. Telles sont Mes exigences !
Le Châtelain attrapa deux laisses qu’IL accrocha sur les colliers des deux esclaves-soumises et sans plus attendre ni leur accorder le moindre regard supplémentaire, IL se mit en marche et avança en direction de la sortie, suivi de Ses deux femelles, et immédiatement après des deux mâles. Monsieur Le Marquis d’Evans jeta un dernier coup d’œil dans toute la salle à manger transformée en véritable lupanar. Les couples formés par le fait du tirage au sort du jeu de cartes étaient en pleine débauches orgiaques s’adonnant à des copulations orgasmiques ininterrompues. Le Châtelain était content de l’idée qu’il avait eu d’organiser cette soirée pour fêter son départ en croisière à bord de Son immense et luxueux paquebot l’Odyssée, qui avait été construit pour être réservé à une élite fortunée d’initiés au BDSM. Mais, IL savourait avec volupté la luxure qu’IL savait si bien faire éclore entre les nobles murs de Son Château ancestral qui avaient été habité par d’innombrables Marquis d’Evans, de père en fils depuis presque 400 ans, tous passés Maître dans l’Art de la Domination/soumission, reconnu pour leurs innombrables qualités de Dominant et largement Vénérés tous autant les uns que les autres.
Le Noble s’arrêta au passage tout près de Walter qu’IL désirait prévenir qu’IL se retirait pour la suite de la nuitée. Le Majordome était en train de besogner sauvagement l’arrière-train de celle que le sort lui avait attribuée tout en ne cessant pas de la fesser en cadence sur chaque globe de son large postérieur arrondi, tandis que sa grosse queue raide s’enfonçait profondément dans de bestiaux vas-et-viens puissants. Les fesses de la soumise avait, à ce stade de la soirée, pris une couleur des plus écarlates avec des traces qui avaient déjà viré au pourpre. Walter ne s’était pas privé de prendre un malin plaisir à lui rappeler la faute commise lorsqu’elle était venue le rejoindre en bipédie et il avait commencé par lui administrer de nouvelles volées de cravache punitives ne s’arrêtant que lorsqu’il eut mal au bras et que sa bandaison ait atteint un seuil tel qu’il lui fallait décharger sans plus attendre dans le cul rougeoyant qui l’attirait et faisait croître son excitation. Le fidèle domestique n’avait pas été à l’encontre de ce qui avait été annoncé par le Maître des Lieux en faveur de tout Son cheptel, laissant l’esclave libre de jouir sous ses assauts de mâle en rut si elle pouvait atteindre l’orgasme. Mais sous son air vicieux et pernicieux, il était bien décidé à tout faire pour ne songer qu’à la satisfaction de son seul plaisir phallique, s’occupant bien peu des gémissements de celle qu’il malmenait physiquement, mais également verbalement.
Un bref échange de regard entre le fidèle serviteur et Son Patron suffit pour interrompre les élans effrénés sodomites du Majordome, qui se releva presque, tandis que son sexe gonflé à souhait commençait à vouloir sortir de l’orifice dilaté et chaud qu’il pourfendait la seconde d’avant. Le Marquis d’Evans lui mit la main sur l’épaule pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas besoin de bouger, mais juste de l’écouter.
- Mon cher Walter, je me retire pour la nuit dans Ma chambre. J’ai assez de compagnie pour Me satisfaire pleinement avec ces chiens et chiennes en chaleur favorisés par le tirage des quatre cartes royales qu’ils ont rapportés à Mes pieds… Je te charge de la suite comme nous en avons convenu. Demain, il y aura pas mal de travail pour préparer Mon départ avec tous Mes bagages, je compte sur toi pour que tout soit prêt à l’heure. Mais pour l’instant, termine d’abord ce que tu as à faire avec cette chienne de femelle et tu pourras sonner le gong pour que tous puissent aller se reposer un peu. J’ai vu en arrivant tout à l’heure et en traversant la haie de « déshonneur » qu’il y aurait assez de punis pour s’occuper de tout ranger sans tarder. Tu me feras passer la liste de ces derniers, de véritables cabots mal dressés à qui je réserve une petite surprise qu’ils ne seront pas prêts d’oublier, tout comme je n’oublierai certainement pas le fait qu’ils n’ont pas su être dignes et reconnaissants de Ma Noble Domination, au moment même où je voulais que la veille de mon départ soit une vraie fête ludique et jouissive pour toute Ma maisonnée, serviteurs à Mon service et esclaves MDE M’appartenant…
- Très bien, Monsieur le Marquis, tout sera fait comme Vous l’avez décidé. Je Vous souhaite une excellente nuit et tous les plaisirs que Vous pouvez en attendre.
Le Majordome reprenait d’un seul coup de reins possession de celle qu’il enculait avec force, tout en ayant encore plus de vigueur. En effet ses coups de boutoirs étant puissants, cadencés, rapides et profonds. Il prenait possession entièrement ce cul offert à son bon plaisir. Des ‘’han’’ de bucheron sortaient de sa bouche à chaque poussée profonde, sa verge dressée au zénith, raide comme un bâton, longue et épaisse, possédait pleinement la chienne qui gémissait de plaisir à défaut d’être autorisée à jouir. Cette saillie des plus viriles secouait tout le corps de celle qui se retenait donc pour ne pas jouir du cul, tellement son étalon la besognait. Les fessées volaient en même temps par une main plate et puissante. C’est dans cette luxure sexuelle que le Majordome empoigna la femelle en chaleur par les hanches. Ainsi il la tirait à lui et chaque coup de reins faisait claquer ses couilles contre les fesses de la soumise. La jouissance de Walter n’allait pas tarder, à l’évidence, il accélérait ses vas-et-viens de cette copulation forcenée, bestiale, sauvage quand dans de longs râles jouissifs de mâle en rut, il déversa sa semence en de puissantes saccades jusqu’au plus profond des entrailles dans le cul rougi par une correction appliquée avec la perversité qui le caractérisait… Puis Walter restait planté ainsi immobile en coït profond, imposant ainsi sa possession, sa domination quasi animale, sur cette femelle remplie par le cul
Pendant ce temps, le Maître des Lieux souriait d’un air enchanté à voir son Majordome posséder une de Ses chiennes quand Il reprit sa marche d’un pas assuré. Les chiennes et chiens avaient du mal à suivre en quadrupédie…
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