La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°839)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°839)
Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode précédent N°838)- Episode N°2 - (2/3) – Une dernière nuit avant le départ -
Une fois arrivée dans la chambre du Marquis d’Evans, sans qu’il y ait besoin qu’un seul mot soit prononcé, les quatre esclaves se mirent en position d’attente, prosternés avec la tête au sol tout en gardant les jambes bien écartées et le cul relevé au maximum. Le Châtelain savourait de pouvoir regarder les postérieurs et les sexes exposés de ceux et celles qui lui vouaient une Vénération sans bornes. Ce n’était pas par voyeurisme qu’il agissait, mais bien par pulsion de Domination qu’il avait plaisir à regarder intensément tous ceux et celles qui Lui appartenaient. Après avoir fait plusieurs fois le tour de Ses esclaves dont IL caressait les croupes de temps à autre, provocant chaque fois un frisson électrisant le corps du soumis ou de la soumise, qui de manière presque instinctive contractait les muscles fessiers avant de se détendre à nouveau et de s’ouvrir encore plus intensément sans la moindre pudeur en écartant les jambes et cambrant le dos. Après s’être assis dans un large et somptueux fauteuil de velours à accoudoirs, Monsieur le Marquis d’Evans mit un terme au silence, pesant mais si excitant tant pour le Dominant que pour les quatre esclaves.
- La soirée a commencé sous la forme d’un moment ludique, voulu comme tel même si ce n’est pas très habituel en Ma Noble demeure. Car j’ai toujours considéré la Domination/soumission, non comme un jeu pour mettre un peu de piment dans des plaisirs charnels érotiques, mais bien comme un véritable Art de Vivre que je Vous permets dans ma grande générosité de Dominant affirmé de pouvoir venir vivre à mes pieds. Et ceci afin de laisser exprimer ce qui est profondément inscrit dans l’âme de chacun et chacune d’entre vous, à savoir la soumission à laquelle vous étiez destiné(e)s.
Ces mots raisonnaient dans les esprits des dominé (e)s qui savaient tous et toutes combien ils et elles devaient être reconnaissants vis-à-vis du Maître Vénéré qui leur permettait de méditer sur ce que Le Maître venait de leur inculqué, qui n’était pas nouveau, mais qu’il était bon de rappeler régulièrement.
- La partie de cartes dans laquelle le sort déciderait pour chacun de la suite du moment de réjouissances autorisé n’est pas tout à fait terminé. Lequel d’entre vous avait tiré la carte avec un Roi de pique ?
- C’est moi, Maître Vénéré… (répondit sans attendre l’un des deux chiens-mâles, tout en redressant légèrement la tête et en levant le doigt comme un enfant sage)
- Sais-tu quelle est la signification des enseignes, que l’on appelle souvent les couleurs dans un jeu de cartes, donc en rouge le cœur et le carreau, et en noir le trèfle et le pique ?
- Non, Maître Vénéré, je suis désolé, je l’ignore. Je n’ai jamais vraiment été un joueur invétéré avant d’arriver au Château, et je dois dire que depuis, c’est la première fois que je tombe sur un jeu de cartes, car il n’en traine guère dans le chenil. Seuls les gardes en ont pour passer le temps lorsqu’ils sont en poste.
La réponse ne se fit pas attendre, un coup de cravache s’abattit énergiquement sur la fesse gauche de l’esclave qui comprit aussi sec qu’il valait mieux qu’il reprenne sa position car il avait dû s’exprimer à tort.
- Ma question attendait comme réponse un « oui Maître» ou « non Maître » respectueux lorsque tu es autorisé à t’adresser à Moi. Je n’ai que faire de ton laïus à rallonge et de ta vie vanille avant ton entrée dans le Château. De plus, qui es-tu pour te permettre de juger de la bonne exécution du travail des salariés que j’emploie au poste de garde ? T’ai-je chargé à quelque moment que ce soit du poste de surveillant de Mes gardes ? Non, évidemment !
Les coups de cravache se firent plus virulents, une fois que Monsieur le Marquis d’Evans eut expliqué le bien-fondé de son courroux et de la punition cinglante que cela entrainait. En Dominant juste et éclairé, le Noble ne punissait jamais pour le plaisir de faire mal, d’ailleurs IL n’aimait pas punir. Mais si cela était nécessaire, IL n’hésitait pas à sanctionner sévèrement sans états d’âme, tout en voulant avant tout que la faute soit comprise, la sanction méritée acceptée et que le châtiment enduré puisse servir de leçon pour ne pas risquer de recommencer deux fois la même bêtise. L’esclave se mordit les lèvres pour ne pas crier d’une part, mais aussi parce dans l’élan de la soirée festive, il s’était laissé emporter à trop parler et il s’en voulait de constater que le Châtelain n’avait pas du tout apprécié ses commentaires. A peine le Dominant eut-il terminé de sévir que le chien soumis s’empressa de venir déposer un baiser sur chacun des pieds du Marquis d’Evans, n’osant même plus ouvrir la bouche pour accompagner son geste d’un « merci Maître », craignant de se faire réprimander une fois de plus avoir d’avoir été invité à remercier verbalement, d’autant plus qu’il voulait montrer qu’il avait retenu la leçon et qu’il s’en tiendrait pour la suite à des réponses plus concises, voire mieux à un silence imposé en l’absence d’autorisation. D’ailleurs, le Châtelain ne tarda pas à embrayer :
- Je ne vais pas rentrer dans une explication détaillée, n’étant pas coutumier de la cartomancie, et ce, d’autant plus que je ne suis pas là pour faire une conférence sur le sujet, mais juste pour passer un moment agréable suivant mon bon vouloir avant de Me décider à dormir pour Me reposer. Le pique signifie entre autres le pouvoir, la loi. Cela tombe très bien que ce soit cette pie bavarde à la langue bien pendue que le sort ait désigné, car je vais pouvoir user de Mon pouvoir….. N’est-ce pas ? (insistant lourdement sur la fin de la phrase)…
En disant cela, Monsieur Le Marquis d’Evans attrapa le menton de l’esclave et le força à se mettre à genou. Il plongea ses deux grands yeux d’un bleu profond et envoutant dans ceux du soumis qui frissonnait déjà et ne put soutenir le regard presque hypnotisant du Dominant plus d’une seconde avant de fermer les paupières, faute de pouvoir baisser la tête maintenue fermement. Le Châtelain attrapa les deux lèvres de l’esclave entre le pouce et l’index tout en serrant très fort, lui faisant encore plus ressentir par là où il avait péché. Et le tirant par les lèvres, il le conduisit jusqu’à Son immense lit à baldaquin. En le maintenant à genoux, Le Noble attacha son chien les deux bras écartés sanglés aux deux colonnes arrière du lit et il fit de même avec les deux chevilles sanglées aux pieds du lit. La position n’était pas des plus inconfortables mais elle risquait fort de le devenir s’il devait rester là une bonne partie de la nuit, ne pouvant pas replier les jambes, ni s’asseoir sur les talons, ni se redresser complètement. L’esclave gardait la bouche fermée et les deux lèvres pincées en avant comme s’il faisait une moue forcée, n’ayant pas eu l’impudence de bouger, après le départ du Maître.
- Quel est donc celle ou celui qui a déposé à Mes pieds la carte avec un Roi de trèfle ?
- C’est Votre esclave MDE ici présente, Maître, répondit une petite voix féminine, tandis qu’un doigt se levait.
- Alors, c’est très bien ! Comme tu le sais le trèfle à quatre feuilles est un porte-bonheur. Dans un jeu de cartes, c’est un peu pareil, le trèfle bien qu’il soit noir symbolise notamment la chance et la protection, mais aussi le mystère. C’est donc la chance qui va te conduire sur Mon lit avec un bandeau sur les yeux pour le côté mystère.
Le Châtelain attrapa un large bandeau noir qu’il noua solidement autour du visage de Sa chienne femelle. Il prit la laisse qui pendait toujours à son cou entre ses mains et la conduisit en aveugle jusqu’au lit sur lequel il la fit grimper puis se coucher dans le sens de la longueur, lui écartant les cuisses. Il fit ensuite le tour pour venir en bout du lit afin de l’attraper par les deux pieds et la faire glisser jusqu’à Lui, chatte ouverte et luisante, parties intimes qui ne tardèrent pas à se trouver en butée sur le visage de l’esclave agenouillé et attaché aux colonnes.
- Et bien, le cabot bâtard autant que bavard, ouvre ta bouche maintenant et sors ta langue de chien. Voilà de quoi la faire travailler plus utilement que de complaire dans la jacasserie. Donne du plaisir à Ma chienne-femelle, c’est un ordre ! Je veux l’entendre geindre et jouir sous tes coups de langue. Tu n’auras le droit de t’arrêter que lorsque Je l’aurai décidé. Je pense que c’était inutile de te le préciser, mais comme il semble que ce soir tu as oublié les bonnes manières et les règles les plus élémentaires de ton dressage, un petit rappel à l’ordre est parfois nécessaire pour les petites cervelles étourdies qui parlent plus qu’elles n’écoutent.
Monsieur Le Marquis récupéra dans un tiroir de la commode un gros plug métallique et il s’approcha de l’esclave qui s’appliquait dans le cunnilingus qu’il dispensait avec concentration à sa sœur de soumission MDE aux cuisses largement ouvertes et déjà emplie de cyprine onctueuse. IL introduisit le plug dans le cul du mâle avec un petit sourire malicieux, tout en venant lui glisser à l’oreille :
- J’ai oublié tout à l’heure de faire remarquer que la forme du pique dans le jeu de cartes est comme un cœur renversé dans lequel on aurait « piqué » un triangle. On dirait presque une paire de fesses desquelles ressort un plug près à s’enfoncer un peu plus …. Comme ceci !…. (ajouta-t-il tout en enfonçant profondément d’un trait l’objet de bon calibre dont le cabochon portait les initiales ‘MDE’ du Maître Vénéré)
L’esclave forcé à sec et pris de surprise par la pénétration du gros engin poussa un cri qui lui valut deux belles fessées de plus sur son arrière-train déjà bien marqué. Mais, il prit sur lui de ne plus réagir et de reprendre sans attendre ses léchouilles baveuses de l’entrecuisse humide de la soumise qui commençait à pousser des soupirs de plus en plus caractéristiques de la montée du plaisir féminin. Elle ondulait du bassin de haut en bas et de gauche à droite, prenant presque l’ascendant des mouvements de son corps sur les coups de langue qu’elle espérait encore plus profonds et plus développés sur l’ensemble de ses grandes lèvres intimes, tout autant qu’autour de son bouton d’amour qui avait doublé de volume sous l’effet des caresses buccales. Le Marquis d’Evans pour être certain qu’IL garderait la Maîtrise sur ce cunnilingus imposé et la jouissance autorisée qui ne cesserait que sur Son ordre de Dominant décida d’attacher les deux jambes écartées de la femelle elles aussi aux colonnes montantes au pied du lit, un peu plus haut que les menottes de cuir qui servaient à sangler les bras de l’esclave mâle. IL relia également les deux bras aux mêmes attaches, de manière à ce que la chienne-soumise n’ait plus guère de possibilité de bouger et de se soustraire aux plaisirs qui lui étaient accordés…
Le soumis mâle était très excité et ceci malgré la douleur de la pénétration à sec du plug dans son cul et bien planté entre ses entrailles. En effet, il bandait dur autant par le fait de se sentir rempli par le cul que par l’humiliation subite suite à ses propos verbaux. Paradoxalement, il n’était pas fier de ce qu’il avait osé dire et il s’en voulait grandement mais en revanche cela l’avait beaucoup excité de se sentir rabaisser de la sorte. Il n’avait pas cherché à se faire réprimander, loin de là car il avait fauté plus par bêtise et non pour défier le Maître, mais force était de constater que cette simple réprimande l’excitait. Son côté masochiste le rendait ainsi ! Il se sentait à la fois fautif et excité des conséquences de sa faute ! …
(A suivre …)
Une fois arrivée dans la chambre du Marquis d’Evans, sans qu’il y ait besoin qu’un seul mot soit prononcé, les quatre esclaves se mirent en position d’attente, prosternés avec la tête au sol tout en gardant les jambes bien écartées et le cul relevé au maximum. Le Châtelain savourait de pouvoir regarder les postérieurs et les sexes exposés de ceux et celles qui lui vouaient une Vénération sans bornes. Ce n’était pas par voyeurisme qu’il agissait, mais bien par pulsion de Domination qu’il avait plaisir à regarder intensément tous ceux et celles qui Lui appartenaient. Après avoir fait plusieurs fois le tour de Ses esclaves dont IL caressait les croupes de temps à autre, provocant chaque fois un frisson électrisant le corps du soumis ou de la soumise, qui de manière presque instinctive contractait les muscles fessiers avant de se détendre à nouveau et de s’ouvrir encore plus intensément sans la moindre pudeur en écartant les jambes et cambrant le dos. Après s’être assis dans un large et somptueux fauteuil de velours à accoudoirs, Monsieur le Marquis d’Evans mit un terme au silence, pesant mais si excitant tant pour le Dominant que pour les quatre esclaves.
- La soirée a commencé sous la forme d’un moment ludique, voulu comme tel même si ce n’est pas très habituel en Ma Noble demeure. Car j’ai toujours considéré la Domination/soumission, non comme un jeu pour mettre un peu de piment dans des plaisirs charnels érotiques, mais bien comme un véritable Art de Vivre que je Vous permets dans ma grande générosité de Dominant affirmé de pouvoir venir vivre à mes pieds. Et ceci afin de laisser exprimer ce qui est profondément inscrit dans l’âme de chacun et chacune d’entre vous, à savoir la soumission à laquelle vous étiez destiné(e)s.
Ces mots raisonnaient dans les esprits des dominé (e)s qui savaient tous et toutes combien ils et elles devaient être reconnaissants vis-à-vis du Maître Vénéré qui leur permettait de méditer sur ce que Le Maître venait de leur inculqué, qui n’était pas nouveau, mais qu’il était bon de rappeler régulièrement.
- La partie de cartes dans laquelle le sort déciderait pour chacun de la suite du moment de réjouissances autorisé n’est pas tout à fait terminé. Lequel d’entre vous avait tiré la carte avec un Roi de pique ?
- C’est moi, Maître Vénéré… (répondit sans attendre l’un des deux chiens-mâles, tout en redressant légèrement la tête et en levant le doigt comme un enfant sage)
- Sais-tu quelle est la signification des enseignes, que l’on appelle souvent les couleurs dans un jeu de cartes, donc en rouge le cœur et le carreau, et en noir le trèfle et le pique ?
- Non, Maître Vénéré, je suis désolé, je l’ignore. Je n’ai jamais vraiment été un joueur invétéré avant d’arriver au Château, et je dois dire que depuis, c’est la première fois que je tombe sur un jeu de cartes, car il n’en traine guère dans le chenil. Seuls les gardes en ont pour passer le temps lorsqu’ils sont en poste.
La réponse ne se fit pas attendre, un coup de cravache s’abattit énergiquement sur la fesse gauche de l’esclave qui comprit aussi sec qu’il valait mieux qu’il reprenne sa position car il avait dû s’exprimer à tort.
- Ma question attendait comme réponse un « oui Maître» ou « non Maître » respectueux lorsque tu es autorisé à t’adresser à Moi. Je n’ai que faire de ton laïus à rallonge et de ta vie vanille avant ton entrée dans le Château. De plus, qui es-tu pour te permettre de juger de la bonne exécution du travail des salariés que j’emploie au poste de garde ? T’ai-je chargé à quelque moment que ce soit du poste de surveillant de Mes gardes ? Non, évidemment !
Les coups de cravache se firent plus virulents, une fois que Monsieur le Marquis d’Evans eut expliqué le bien-fondé de son courroux et de la punition cinglante que cela entrainait. En Dominant juste et éclairé, le Noble ne punissait jamais pour le plaisir de faire mal, d’ailleurs IL n’aimait pas punir. Mais si cela était nécessaire, IL n’hésitait pas à sanctionner sévèrement sans états d’âme, tout en voulant avant tout que la faute soit comprise, la sanction méritée acceptée et que le châtiment enduré puisse servir de leçon pour ne pas risquer de recommencer deux fois la même bêtise. L’esclave se mordit les lèvres pour ne pas crier d’une part, mais aussi parce dans l’élan de la soirée festive, il s’était laissé emporter à trop parler et il s’en voulait de constater que le Châtelain n’avait pas du tout apprécié ses commentaires. A peine le Dominant eut-il terminé de sévir que le chien soumis s’empressa de venir déposer un baiser sur chacun des pieds du Marquis d’Evans, n’osant même plus ouvrir la bouche pour accompagner son geste d’un « merci Maître », craignant de se faire réprimander une fois de plus avoir d’avoir été invité à remercier verbalement, d’autant plus qu’il voulait montrer qu’il avait retenu la leçon et qu’il s’en tiendrait pour la suite à des réponses plus concises, voire mieux à un silence imposé en l’absence d’autorisation. D’ailleurs, le Châtelain ne tarda pas à embrayer :
- Je ne vais pas rentrer dans une explication détaillée, n’étant pas coutumier de la cartomancie, et ce, d’autant plus que je ne suis pas là pour faire une conférence sur le sujet, mais juste pour passer un moment agréable suivant mon bon vouloir avant de Me décider à dormir pour Me reposer. Le pique signifie entre autres le pouvoir, la loi. Cela tombe très bien que ce soit cette pie bavarde à la langue bien pendue que le sort ait désigné, car je vais pouvoir user de Mon pouvoir….. N’est-ce pas ? (insistant lourdement sur la fin de la phrase)…
En disant cela, Monsieur Le Marquis d’Evans attrapa le menton de l’esclave et le força à se mettre à genou. Il plongea ses deux grands yeux d’un bleu profond et envoutant dans ceux du soumis qui frissonnait déjà et ne put soutenir le regard presque hypnotisant du Dominant plus d’une seconde avant de fermer les paupières, faute de pouvoir baisser la tête maintenue fermement. Le Châtelain attrapa les deux lèvres de l’esclave entre le pouce et l’index tout en serrant très fort, lui faisant encore plus ressentir par là où il avait péché. Et le tirant par les lèvres, il le conduisit jusqu’à Son immense lit à baldaquin. En le maintenant à genoux, Le Noble attacha son chien les deux bras écartés sanglés aux deux colonnes arrière du lit et il fit de même avec les deux chevilles sanglées aux pieds du lit. La position n’était pas des plus inconfortables mais elle risquait fort de le devenir s’il devait rester là une bonne partie de la nuit, ne pouvant pas replier les jambes, ni s’asseoir sur les talons, ni se redresser complètement. L’esclave gardait la bouche fermée et les deux lèvres pincées en avant comme s’il faisait une moue forcée, n’ayant pas eu l’impudence de bouger, après le départ du Maître.
- Quel est donc celle ou celui qui a déposé à Mes pieds la carte avec un Roi de trèfle ?
- C’est Votre esclave MDE ici présente, Maître, répondit une petite voix féminine, tandis qu’un doigt se levait.
- Alors, c’est très bien ! Comme tu le sais le trèfle à quatre feuilles est un porte-bonheur. Dans un jeu de cartes, c’est un peu pareil, le trèfle bien qu’il soit noir symbolise notamment la chance et la protection, mais aussi le mystère. C’est donc la chance qui va te conduire sur Mon lit avec un bandeau sur les yeux pour le côté mystère.
Le Châtelain attrapa un large bandeau noir qu’il noua solidement autour du visage de Sa chienne femelle. Il prit la laisse qui pendait toujours à son cou entre ses mains et la conduisit en aveugle jusqu’au lit sur lequel il la fit grimper puis se coucher dans le sens de la longueur, lui écartant les cuisses. Il fit ensuite le tour pour venir en bout du lit afin de l’attraper par les deux pieds et la faire glisser jusqu’à Lui, chatte ouverte et luisante, parties intimes qui ne tardèrent pas à se trouver en butée sur le visage de l’esclave agenouillé et attaché aux colonnes.
- Et bien, le cabot bâtard autant que bavard, ouvre ta bouche maintenant et sors ta langue de chien. Voilà de quoi la faire travailler plus utilement que de complaire dans la jacasserie. Donne du plaisir à Ma chienne-femelle, c’est un ordre ! Je veux l’entendre geindre et jouir sous tes coups de langue. Tu n’auras le droit de t’arrêter que lorsque Je l’aurai décidé. Je pense que c’était inutile de te le préciser, mais comme il semble que ce soir tu as oublié les bonnes manières et les règles les plus élémentaires de ton dressage, un petit rappel à l’ordre est parfois nécessaire pour les petites cervelles étourdies qui parlent plus qu’elles n’écoutent.
Monsieur Le Marquis récupéra dans un tiroir de la commode un gros plug métallique et il s’approcha de l’esclave qui s’appliquait dans le cunnilingus qu’il dispensait avec concentration à sa sœur de soumission MDE aux cuisses largement ouvertes et déjà emplie de cyprine onctueuse. IL introduisit le plug dans le cul du mâle avec un petit sourire malicieux, tout en venant lui glisser à l’oreille :
- J’ai oublié tout à l’heure de faire remarquer que la forme du pique dans le jeu de cartes est comme un cœur renversé dans lequel on aurait « piqué » un triangle. On dirait presque une paire de fesses desquelles ressort un plug près à s’enfoncer un peu plus …. Comme ceci !…. (ajouta-t-il tout en enfonçant profondément d’un trait l’objet de bon calibre dont le cabochon portait les initiales ‘MDE’ du Maître Vénéré)
L’esclave forcé à sec et pris de surprise par la pénétration du gros engin poussa un cri qui lui valut deux belles fessées de plus sur son arrière-train déjà bien marqué. Mais, il prit sur lui de ne plus réagir et de reprendre sans attendre ses léchouilles baveuses de l’entrecuisse humide de la soumise qui commençait à pousser des soupirs de plus en plus caractéristiques de la montée du plaisir féminin. Elle ondulait du bassin de haut en bas et de gauche à droite, prenant presque l’ascendant des mouvements de son corps sur les coups de langue qu’elle espérait encore plus profonds et plus développés sur l’ensemble de ses grandes lèvres intimes, tout autant qu’autour de son bouton d’amour qui avait doublé de volume sous l’effet des caresses buccales. Le Marquis d’Evans pour être certain qu’IL garderait la Maîtrise sur ce cunnilingus imposé et la jouissance autorisée qui ne cesserait que sur Son ordre de Dominant décida d’attacher les deux jambes écartées de la femelle elles aussi aux colonnes montantes au pied du lit, un peu plus haut que les menottes de cuir qui servaient à sangler les bras de l’esclave mâle. IL relia également les deux bras aux mêmes attaches, de manière à ce que la chienne-soumise n’ait plus guère de possibilité de bouger et de se soustraire aux plaisirs qui lui étaient accordés…
Le soumis mâle était très excité et ceci malgré la douleur de la pénétration à sec du plug dans son cul et bien planté entre ses entrailles. En effet, il bandait dur autant par le fait de se sentir rempli par le cul que par l’humiliation subite suite à ses propos verbaux. Paradoxalement, il n’était pas fier de ce qu’il avait osé dire et il s’en voulait grandement mais en revanche cela l’avait beaucoup excité de se sentir rabaisser de la sorte. Il n’avait pas cherché à se faire réprimander, loin de là car il avait fauté plus par bêtise et non pour défier le Maître, mais force était de constater que cette simple réprimande l’excitait. Son côté masochiste le rendait ainsi ! Il se sentait à la fois fautif et excité des conséquences de sa faute ! …
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