La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°845)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°845) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°845)
Histoire d'une soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°844)-

Olivier quitta la chambre, revêtu de ce seul peignoir. Walter l’accompagnait pour lui indiquer le chemin jusqu'à Monsieur le Marquis, les premières sensations furent étranges tout d'abord l'objet, le plug était bien présent, il sentait sa présence à chaque mouvement, le sourire discret du domestique lui montrant le chemin de la grande salle à manger lui démontrait que celui-ci comprenait qu'Olivier était disponible à suivre la suite du programme de relaxation. Mais pour l'instant c'était un moment bien particulier (et attendu) qui allait arriver : La rencontre avec Monsieur le Marquis ! La respiration d'Olivier au fur et à mesure se fit plus courte, l'instant de la découverte du Maître des lieux approchait et elle n'était pas dans un lieu anodin, ce n’était pas dans une crique, c'était dans la demeure même du Marquis d'Evans, chez lui en son Château.

La porte en bois devant lui à deux battants indiquait l'entrée de la grande salle à manger, Walter pressa le pas et ouvrit les deux montants dans un élégance digne d’un majordome d’un lord anglais. Olivier dut s'arrêter de marcher à ce moment là, ce qu'il découvrit le stupéfia, tout d'abord la hauteur de plafond, habitué à un habitât en ville aux dimensions standardisées, là il put estimer la hauteur de la pièce à plus de quatre mètres, au volumineux lustres de cristal. Au milieu de la pièce une grande table longue et rectangulaire et permettant de recevoir plus de vingt convives; de chaque coté deux buffets de style bourguignon, avec flanqués de part et d'autres de deux grands luminaires électrifié aujourd'hui mais qui avait du recevoir leur lots de bougies en des temps antérieurs. Les murs, aux nombreuses tentures de velours bordeaux à chaque haute fenêtre, étaient décorés de nombreux tableaux de maîtres. La découverte de la pièce lui fit oublier la personne assise qui attendait sa venue.

Monsieur le Marquis était devant un couvert dressé, un haut verre à pied de vin posé à coté de lui, il ne prit pas la peine de se lever, il laissa faire Walter; la place d'Olivier était en face de Monsieur le Marquis. Un couvert semblable était disposé, Walter indiqua à Olivier d'attendre devant sa place de ne pas s'asseoir, et les premiers mots qui raisonnèrent c'est Walter qui les prononcèrent

- "Monsieur le Marquis, j'ai pris le soin de vérifier si le point numéro 1 du livret a été bien remplit, il a en tout point répondu à vos exigences.
- "Parfait Walter, le dîner peut être servit, nous allons faire plus amples connaissance, asseyez vous cher ami"

Olivier tira la chaise. Le fait de poser ses fesses sur la chaise lui rappela qu'un objet lui rentrait dans les entrailles et que maintenant assis, il ne pouvait l'expulser d'une poussée volontaire. Monsieur le Marquis d'Evans sourit.

-" Alors, comment votre voyage s'est il déroulé ?"
Olivier répondit
- " Euh bien bien, je vous remercie Monsieur le Marquis"

La situation était incongrue, lui en peignoir plugé qui répondait à une conversation mondaine, il en fut ainsi pendant tout le repas.
Une servante de Monsieur le Marquis fit le service lors du repas qui dura plus d'une heure, ce qui fit que celui-ci devint inconfortable. Ce n'est pas la qualité des mets qui était en cause mais en fait l'objet le plug qui faisait sentir sa présence, les propos d'Olivier devinrent plus incohérents, son embarras était visible; Monsieur le Marquis s'en aperçut, il lui dit :

- "Alors cher ami, la fatigue se fait sentir, je vois que vous commencez à vous impatienter"
- "Monsieur le Marquis, non votre repas est excellent … mais c'est que je voudrais bouger, je suis comment vous dire … heu … indisposé !"
- "Oui je sais, Walter m'a dit que vous aviez répondu positivement à la demande que j'exprime dans le livret, c'est une bonne chose pour suivre le programme de relaxation, écourtons le dîner, passons au dessert" (Monsieur le Marquis appela Walter) "Walter nous passons au dessert"
- "Bien Monsieur le Marquis, tout de suite Monsieur le Marquis " répondu celui-ci

Olivier fut pour le moins content dans quelques minutes, le repas allait prendre fin. Walter arriva portant une panière remplis de fruits qu'il déposa délicatement face à Monsieur le Marquis, il s'approcha d'Olivier en lui indiquant que le dessert lui allait être également servi. Mais de quel dessert parlait-on, car Monsieur le Marquis dit simplement

-"Pour notre ami, c'est une séance de relaxation qui s'imposera ce soir"
A ces mots Walter dit à Olivier :
-"Veuillez vous levez "
Olivier se leva quand la phrase suivante fusa sans préambule :
- "Peignoire à terre !"

Olivier hésita mais face au regard froid et dominateur de Monsieur le Marquis, il baissa les yeux et ouvrit le vêtement. Le Marquis d’Evans sourit à la vue des tétons érigés d'Olivier, le pauvre peignoir l'ayant visiblement peu protégé du froid régnant dans une pièce aussi froide. Le peignoir tomba à terre. Walter d'une main poussa en avant Olivier, ses pieds furent écartés. Olivier, visage posé sur la table pouvait voir Maître d'Evans le regarder, c'est ainsi que le plug fut enlevé, son anus garda la forme c'est ce qui permis au sexe de Walter d'entrer sans ménagement d’un coup sec. La poussée fut constante, Olivier ne dit rien conscient que la situation était voulue par Monsieur le Marquis. Walter au membre extrêmement gonflé dans une parfaite rigidité et une fois investit la place, resta sans bouger, permettant un contact plus intime, ce n'est qu'à l'ordre de Monsieur le Marquis par ces quelques mots

- " Walter sert le dessert"

Walter commença le travail, sa tache était claire, il devait prendre la virginité anale d'Olivier... Walter conscient de la tache qui lui incombait et du moment privilégié qu'il vivait, prit son temps. L'anus vierge de tout contact devait comprendre ce qu'une sodomie voulait dire, la nature fait bien les choses, la forme du gland de Walter avait la tache d'écarter le muscle, d'investir la place. Une fois insérée, la poussée du corps de Walter d'un mouvement de hanches du bassin permettait l'intromission de toute la longueur du pénis, les testicules marquant au contact des fesses que les vingt centimètres était rentrés, jusqu’à la garde. Walter habitué à la sodomie savait que ce moment se devait d'être exécuté pour son plaisir et celui du Marquis d'Evans qui profitait du spectacle offert. Olivier savait que son anus ne résisterait pas, le plug ayant assouplit les chaires, seule la poussée du corps de Walter en étant lui même coincé par la table était douloureuse. Walter accéléra le mouvement quand tout d'un coup la voix du Marquis d'Evans se fit entendre

- "Walter stoppe ! Je ne veux pas que notre cher ami se mette à gémir dans ma salle à manger, un tel endroit n'est pas réservé à une chienne"

Walter sur ces mots, arrêta, il se retira doucement en tapotant les fesses d'Olivier. Olivier sentit le sexe sortir, il compris, que Monsieur le Marquis voulait le préserver d'une saillie trop rapide mais surtout consommée par le fluide du domestique. Walter s'écarta, un sourire satisfait par son oeuvre, l'anus d'Olivier le gratifiant par un O démontrant que son sexe avait bien laissé son empreinte. Monsieur le Marquis se leva alors, il voulait constater l'effet de tout cela sur Olivier, s'approchant lentement, il dit simplement

- "Mon ami, restez comme cela, ne bougez pas, je vous prie"

Olivier cloué sur la table, encore sous le choc, n'était de toute façon pas capable de se lever, ce n'est que lorsque le Marquis fut tout proche qu'il se redressa. Monsieur le Marquis regarda le corps offert devant lui, le spectacle qu'il vit le conforta dans sa méthodologie relaxante, en effet Olivier dont le sexe était rasé de prés, laissait voir une belle érection. Monsieur le Marquis lui dit alors :

- "Alors mon bon ami, votre dessert vous à visiblement procurer satisfaction"

Olivier ne comprenait pas ses propos, ce n'est qu'en remettant son peignoir, qu'il eu la honte de constater l'état de son sexe, une goutte perlait même du gland. Monsieur le Marquis regagna sa place visiblement satisfait.

- "Mon cher, ma méthode relaxante consiste à éprouver ses sens, le mot ‘éprouver’ et bien entendu sibyllin, à l'issue de ma méthode vous devriez pouvoir éjaculer à une simple stimulation. Votre corps va s'épanouir, c'est pour cela que votre sexe est dépourvu de poil, c'est le principe même que dicte ma méthodologie, pouvoir permettre un meilleur contact, visuel d'abord, au toucher ensuite et à la fin à l'introduction. Pour le moment regagnez votre chambre, mais n'oubliez pas le plug."

Olivier su que l'entretien avec Monsieur le Marquis était terminé. Olivier ramassant le plug à même le sol, partit de la salle à manger sous le regard inquisiteur de Maître des lieux. Ce n'est que lorsqu'il allait franchir la porte, qu'il entendit de nouveau la voix du Noble

- "Cher ami, vous avez oublié quelque chose, ou plutôt quelque chose à faire avec l'objet qui est dans votre main"

Olivier tout rouge de honte compris la demande et c'est se retournant face au Marquis qu'il remit le plug en place d'un mouvement d'ailleurs maladroit marquant son embarras. Le Marquis lui lança alors :

- "Tournez vous, présentation"

Olivier commençant à comprendre les us et coutumes du Maître des lieux, tourna alors son postérieur vers Monsieur le Marquis, soulevant les plis de la robe de chambre afin de montrer cul nu et écartant les jambes il put laisser au regard du Noble de vérifier si le plug était bien en place.

- "Bien, ça ira mais essayez de le garder pour la nuit, mais faites comme bon vous semble, pour ma part je regagne mes appartements … bonne nuit"

Olivier regagna sa chambre, plug en place et fier de lui, de ces premiers moments vécu dans le château de Monsieur le Marquis d’Evans. Tout problème lié au travail avait disparu, la méthode du Noble était pour le moins particulière mais néanmoins efficace, son esprit n'était porté que sur son sexe et son anus. En entrant dans la chambre son premier geste fut de constater à quoi ressemblait son anus plugé, la glace lui offrit la réponse, un bout rond sortait du sillon de ses fesses, allait-t-il l'enlever ? Il se mit alors à pousser et c'est avec un délice de satisfaction, qu'il sentit son oeillet s'ouvrir laissant le passage au diamètre le plus large du plug, celui ci tomba à terre. Olivier le prit le regarda et le posa sur la table de chevet, en se couchant son regard se porta sur l'objet. Le sommeil le gagna, son esprit gardant l'image du plug et de sa forme et du fait que cet objet avait été introduit en lui et qu'il en avait éprouvé finalement satisfaction.

Le lendemain matin, Olivier fut réveillé assez brutalement, une espèce d’imposante mégère à la poitrine énorme ayant investi la chambre.

- "Bonjour monsieur, dit elle, je suis Marie, femme de chambre, cuisinière, bonne à tout faire du château. Je vous apporte le petit déjeuner, ou dois je le poser ?"
Olivier répondit machinalement :
- "Sur la table de chevet, s’il vous plait, Madame."
Marie s'approcha, à la vue du plug, elle dit simplement
- "Tournez vous, il faut que je fasse de la place, cet objet m'empêche pas de poser mon tableau " dit elle en montrant le plug

Olivier se souvint effectivement que le plug était posé sur la table de nuit, Marie fut plus rapide que lui, plug en main elle dit d’un ton autoritaire :

- "Mais maintenant, où allons-nous le mettre ? Voyons ?... Tournez-vous monsieur, montrez moi votre derrière que je remette cette objet à une place qu'il n'aurait pas du quitter, mais tout d'abord, je dois vous traire"
Olivier fut interloqué. Que voulait elle bien dire.
- "Allez monsieur, prenez la position de la chienne, rappelez-vous hier soir, comment vous étiez sur la table et ce qu'à dit Monsieur le Marquis"

Olivier soumis, face à cette Marie vicieuse, perverse et surtout Domina, pris la position d'une chienne à quatre pattes. Marie s"approcha et introduisit son doigt dans l'anus d'Olivier, d'un geste rapide et expert, elle localisa rapidement la prostate, et d'un mouvement régulier et précis commença la traite. Olivier eu la stupeur de voir que de son sexe s'échappait un liquide blanchâtre qu'il connaissait trop bien, son sperme s'écoulait sans qu'il éprouve la satisfaction du rut, il se vidait sans jouissance, le seul plaisir visible, c'était la satisfaction de Marie, son travail portait ses fruits. Elle aimait vivre cet instant où elle prenait le pouvoir sur les hommes avec son regard sadique et pervers. Il est certain que le Maître des lieux l’avait embauché depuis déjà longtemps pour ses prédispositions à dominer, tout en étant une excellente cuisinière et femme de chambre. Marie était une femme naturellement autoritaire. La patronne en cet instant, c'était elle; et elle en jubilait de plaisir.

- "Alors espèce de chien, on réagit, c'est quoi qui sort de ta nouille ? Ca bande même pas, ton foutre sort tout seul, qu'elle rigolade la fameuse érection matinale".
Marie au bout d'un moment arrêta la traite, satisfaite
- "Voila, on sera plus sage pour le reste de la journée avec moins d'hormones masculines, il me reste juste à remettre, l'objet, c'est quoi d'ailleurs ce truc ?"
Olivier tout penaud par la traite qu'il venait de subir répondit sans réfléchir et craintivement
- "C’est un plug"
Marie continua de plus belle
"Et ça sert à quoi ?"
Olivier compris à ce moment là qu'il avait à faire à une véritable perverse, qu’elle savait très bien ce qu’était un plug et qu’elle se jouait de lui. Marie continua de plus belle
- "Montre moi un peu, comment on l'utilise, le chien !"

Olivier tout honteux s'introduisit alors le plug dans l'anus devant la cuisinière perverse. Marie lui demandant alors plus d'explication sur l'objet et sa forme particulière. Olivier dut lui expliquer dans le détail que la forme de l'engin permettait une fois en place et introduit, de sortir sans une forte et volontaire poussée. Marie rigola ironiquement dans un rire humiliant et en posant enfin le plateau du petit déjeuner :

- " T’es mignon, petit chien, avec ton plug, par contre gardes le bien, quand Walter viendra te chercher, tout à l'heure, tu iras faire le tour de la propriété, bon petit déjeuner"

(A suivre ...)

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