La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°865)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°865)
Histoire d'une soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°864) -
Olivier nu au pied du Maitre venait d’accomplir l’acte permettant au Marquis Evans de marquer son soumis. Ce soir Olivier passerai sa première nuit au Château, lors de son premier séjour, il avait séjourné dans une chambre, il se doutait pas que cette fois-ci il serait reçu différemment. Le Marquis Evans à l’approche du Château dit à Walte :
- Tu trouveras un endroit approprié à cette chienne en chaleur, mets là où tu sais, elle se fera saillir ainsi immédiatement.
La voiture arriva devant le perron du Château, Walter comme à son habitude vient ouvrir la portière, permettant ainsi au Marquis d’Evans de descendre du véhicule.
- Laisse la voiture ici mais amène ce chien en chaleur au Chenil. Mais je te laisse la possibilité de calmer ses ardeurs.
Walter avait donc carte blanche, il se saisit d’un collier et d’une laisse qu’il apposa au cou d’Olivier. Et c’est à quatre pattes en suivant Walter qu’Olivier quitta le perron du Château. Walter tirait sur la laisse, il avait hâte d’arriver au Chenil. Il avait pour projet de sodomiser ce nouvel esclave. Et il souhaitait vraiment en profiter. En entrant dans le Chenil, Olivier vit au mur un système de fixation. Il comprit à la position des attaches que c’était une croix de Saint André :
- Debout le chien, s’exclama Walter, et écarte les bras et les pieds et penche toi en avant… Si tu bouges trop je t’attache, compris !
Olivier obéit en se penchant, il faisait saillir ses fesses. Walter déboutonna son pantalon et d’un geste lent descendit son boxer, son sexe était déjà en érection et s’approcha habilement du sillon fessier d’Olivier. Celui-ci tremblait autant du froid que de l’attente de ce qui allait se passer. Le gland frotta contre ses fesses cherchant le passage, et c'est ainsi qu'il sentit ce pieu vivant investir son intimité sans autre préambule. Son anneau ne résista pas à la vigoureuse poussée de Walter. Et c'est d'un seul mouvement de hanche bien régulier que Walter pris possession d’olivier. Le mouvement régulier commença et c’est au bout de quelques instants que Walter entendit les gémissements ou plutôt les halètements du soumis. Olivier ne pouvait s'empêcher d'indiquer ainsi son état de soumission. Il subit ainsi les coups de hanche du Majordome durant de longues minutes et il sentait son anus se dilater, le gland en sortant et en entrant de son anus laissait un trou qui commençait à s'arrondir. Cette sodomie sauvage allait contribuer à permettre l'introduction d’un gode de bonne taille. Le Marquis d’Evans en possédait tout une collection, Olivier en étant résident du Château en serait sûrement un jour un instrument dédié au plaisir de Monsieur le Marquis et le travail de godage était une pratique à laquelle Monsieur le Marquis s'adonnait.
Walter d’un dernier coup de rein éjacula, il planta ainsi son pieu au plus profond, ses testicules ainsi venait au contact des fesses d’Olivier, un coït parfait. Olivier sentit la jouissance de Walter, sa main essaya à ce moment de venir au contact de son sexe, il voulait se masturber pour jouir à son tour. Mais le Majordome surpris son mouvement :
- Espèce de chien, je t’ai dit de ne pas bouger… Arrête cela de suite, seul le Maître peut te donner la permission de jouir, tu comprends bien cela ?... Tu es un objet maintenant, même plutôt un outil dédié au plaisir de Monsieur le Marquis. Donc tu dois obéir et être bien attentionné aux exigences du Maitre; crois-moi cela va faciliter les choses… Maintenant je vais te dire la conduite à tenir, tu vas dormir ce soir à même la paillasse. Demain, Marie, la cuisinière viendra t’apporter de quoi manger. D’ici-là, si tu as faim et que tu souhaites avaler quelque chose, mon sperme va bientôt sortir de ton anus. Tu sais ce qu’il te reste à faire, sur ce, bonne nuit, la chienne !
Walter quitta le chenil laissant Olivier seul…
Olivier venait de subir l’assaut de Walter, en restant seul il savait que maintenant il allait pouvoir se reposer malgré le peu de confort de l’endroit où il se trouvait… La nuit fut des plus fraîches et il ne dormit pas comme il aurait souhaité, entre la fraîcheur et le hululement d’une chouette, le sommeil tarda à venir …
Le lendemain matin, c’est une voie féminine qui le tira du sommeil. Marie, la cuisinière du Marquis se tenait devant lui. Et sur un ton sévère, sans aucune amabilité :
- Allez, espèce de chien réveille-toi, je dois te préparer pour que tu sois présentable à Monsieur le Marquis et son cabinet des Objets, c’est la pièce où il aime profiter de Ses soumis. Mais avant il faut que je te lave et surtout que je débarrasse tes parties génitales de tout poil, Monsieur le Marquis aime les zones intimes glabres. Donc espèce de chien, suis moi jusqu’à la cuisine mais d’abord lave toi avec l’eau contenu dans ce broc et ce savon… Ensuite, à l’aide de ce rasoir je vais enlever ces poils disgracieux ton sexe en sera plus vulnérable. En fin de matinée tu iras rejoindre Monsieur le Marquis…
C'est ainsi que le corps d’Olivier commença à se transformer, en premier lieu son sexe d’abord qui devint glabre de tout poil. Cette condition remplie, l’esclave allait pouvoir de nouveau rencontrer Monsieur le Marquis et dans la pièce nommée Cabinet des Objets. La porte de cette pièce s’ouvrit devant Olivier, cet endroit ressemblait à une bibliothèque avec des étagères sur tous les murs. Mais à la place des livres, il n’y avait qu’une multitude d’objets D/s ! Un immense lustre de cristal flanqué au plafond était fixé à celui-ci au centre de la pièce. Une espèce de chevalet trônait au milieu de la pièce. Assis sur un fauteuil Monsieur le Marquis attendait, à côté de lui sur un plateau Olivier pouvait distinguer un objet dont la forme ressemblait à un pénis. C’était un godemichet, et d’ailleurs cette pièce était remplie d’objets dont la destination était purement sexuelle...
Olivier entendit la voix de Monsieur le Marquis :
- Te voilà de nouveau en ma présence, bien tu vas pouvoir t’ouvrir à d’autres formes de plaisir. Enfin, de mon plaisir, pour l’instant je souhaite que tu me montre tes talents de petite salope bien soumise. Donc installe-toi sur ce chevalet, je veux que Walter utilise ses talents à ouvrir pleinement ton anus, pour que je puisse obtenir un véritable trou destiné à ma jouissance. Je veux t'entendre gémir, petite chienne lope….
Walter entra alors dans la pièce, il vit Olivier assis sur le chevalet, il allait s'occuper de lui. Le premier gode était déjà de bonne taille, Olivier fut contraint à s'allonger et Monsieur le Marquis commanda de sa voix, le début de l'introduction.
- Allez Walter, tu peux commencer le travail
Walter prit le gode le lubrifia de gel et le positionna et poussa. Olivier cru que son anus se déchirait, Walter savait comment procéder pour ouvrir les soumis. Un geste précis et régulier favorisait l'intromission, Walter aimait savoir que son travail était destiné au futur plaisir de Monsieur le Marquis. Il prenait sa mission au sérieux, Olivier gémit quand Walter commença le va et vient. Monsieur le Marquis avait bien deviné qu'Olivier était comme une femelle, qui aimait faire entendre à son entourage qu’elle était en chaleur. Olivier en effet murmurait de plus en plus fort :
- Oui, ouii, ouiiiii, ouiiiiiiiiiiiii !
Monsieur le Marquis était satisfait du résultat si rapidement obtenu.
Olivier gémissait de plus belle, ses jambes s’ouvraient de plus belle montrant ainsi son désir d’être bien pris. Walter voyant cela compris le message, le va et vient devient plus soutenu. Tout d’un coup Monsieur le Marquis s’exclama :
- Stoppe ! Je veux voir le résultat
Monsieur le Marquis se leva et vint constater si Olivier offrait à son regard un jolie orifice bien rond, ouvert et accueillant. Ce n’était pas le cas, l’anus s’était refermé, Monsieur le Marquis conclut :
- Walter continue mais prend donc un godemichet plus grand.
Walter sourit et alla chercher sur une des nombreuses étagères, un gode de plus gros calibre. Olivier de nouveau allait être besogné et ce coup-là, il savait quelle était l’objectif. Le deuxième gode était bien plus grand, il avait été moulé sur le sexe d’un chef d’une tribu africaine que Monsieur le Marquis avait récupéré lors d’un de ces nombreux voyages à l’étranger. Un membre de 24 cm et avec une belle épaisseur, Walter allait pouvoir s’amuser et il présenta au regard d’Olivier l’objet. Walter lui dit :
- Tu vas vois avec un tel engin si tu ne t’ouvres pas plus.
Il introduisit le gode avec vigueur, Olivier gémit encore une fois, pas de délicatesse pour les soumis de Monsieur le Marquis. Le pieu entra et Olivier essaya en soufflant de se décontracter le bût était de permettre l’introduction et éviter d’être déchirer par l’engin, il voulait rapidement arriver au résultat que Monsieur le Marquis exigeait. Walter d’un mouvement de va et vient de la main qui tenait le gode sodomisait Olivier, l’autre main tout d'un coup gifla la fesse gauche d’Olivier. Celui-ci se cabra sous le choc facilitant encore le travail de Walter, celui-ci compris alors qu’il devait reprendre la fessée, que le godage associé à la fessée allait contribuer à l'obtention du résultat voulu. Et ainsi pendant un quart d'heure Olivier subit une double correction, Monsieur le Marquis attendit encore cinq minutes avant de mettre un terme à l'expérience :
- Bien, bien, regardons maintenant.
Monsieur le Marquis se leva de nouveau, se positionnant derrière Olivier à coté de Walter et d’un signe il indiqua à son domestique d’arrêter le godage. Le gode quitta l’anus d’Olivier dont les fesses étaient rougies par les coups reçus. Ne voyant pas grand chose Monsieur le Marquis demanda à Olivier :
- Avec tes mains écarte-moi tes fesses, montres-moi ton anus que je veux voir béant
Olivier s’exécuta et des deux mains, il offrit à Monsieur le Marquis la vision sur son intimité, son anus formait un rond parfait le godage avait été particulièrement efficace. Le Marquis s’en félicita :
- Bien, bien voilà un trou de lopette bien ouvert comme je les aime, c'est dans cette position maintenant que je veux te voir ouvert, disponible, maintenant je te laisse au bon soin de Walter qui va t’apprendre les bons usages du Château...
Et c'est ainsi qu’il quitta la pièce, sans un mot de plus, laissant Olivier qui gardait toujours ces fesses bien ouvertes grâce à ces deux mains allongés sur le chevalet dans une position permettant toutes les fantaisies et prêt à se faire enculer par le Majordome…
(A suivre…)
Olivier nu au pied du Maitre venait d’accomplir l’acte permettant au Marquis Evans de marquer son soumis. Ce soir Olivier passerai sa première nuit au Château, lors de son premier séjour, il avait séjourné dans une chambre, il se doutait pas que cette fois-ci il serait reçu différemment. Le Marquis Evans à l’approche du Château dit à Walte :
- Tu trouveras un endroit approprié à cette chienne en chaleur, mets là où tu sais, elle se fera saillir ainsi immédiatement.
La voiture arriva devant le perron du Château, Walter comme à son habitude vient ouvrir la portière, permettant ainsi au Marquis d’Evans de descendre du véhicule.
- Laisse la voiture ici mais amène ce chien en chaleur au Chenil. Mais je te laisse la possibilité de calmer ses ardeurs.
Walter avait donc carte blanche, il se saisit d’un collier et d’une laisse qu’il apposa au cou d’Olivier. Et c’est à quatre pattes en suivant Walter qu’Olivier quitta le perron du Château. Walter tirait sur la laisse, il avait hâte d’arriver au Chenil. Il avait pour projet de sodomiser ce nouvel esclave. Et il souhaitait vraiment en profiter. En entrant dans le Chenil, Olivier vit au mur un système de fixation. Il comprit à la position des attaches que c’était une croix de Saint André :
- Debout le chien, s’exclama Walter, et écarte les bras et les pieds et penche toi en avant… Si tu bouges trop je t’attache, compris !
Olivier obéit en se penchant, il faisait saillir ses fesses. Walter déboutonna son pantalon et d’un geste lent descendit son boxer, son sexe était déjà en érection et s’approcha habilement du sillon fessier d’Olivier. Celui-ci tremblait autant du froid que de l’attente de ce qui allait se passer. Le gland frotta contre ses fesses cherchant le passage, et c'est ainsi qu'il sentit ce pieu vivant investir son intimité sans autre préambule. Son anneau ne résista pas à la vigoureuse poussée de Walter. Et c'est d'un seul mouvement de hanche bien régulier que Walter pris possession d’olivier. Le mouvement régulier commença et c’est au bout de quelques instants que Walter entendit les gémissements ou plutôt les halètements du soumis. Olivier ne pouvait s'empêcher d'indiquer ainsi son état de soumission. Il subit ainsi les coups de hanche du Majordome durant de longues minutes et il sentait son anus se dilater, le gland en sortant et en entrant de son anus laissait un trou qui commençait à s'arrondir. Cette sodomie sauvage allait contribuer à permettre l'introduction d’un gode de bonne taille. Le Marquis d’Evans en possédait tout une collection, Olivier en étant résident du Château en serait sûrement un jour un instrument dédié au plaisir de Monsieur le Marquis et le travail de godage était une pratique à laquelle Monsieur le Marquis s'adonnait.
Walter d’un dernier coup de rein éjacula, il planta ainsi son pieu au plus profond, ses testicules ainsi venait au contact des fesses d’Olivier, un coït parfait. Olivier sentit la jouissance de Walter, sa main essaya à ce moment de venir au contact de son sexe, il voulait se masturber pour jouir à son tour. Mais le Majordome surpris son mouvement :
- Espèce de chien, je t’ai dit de ne pas bouger… Arrête cela de suite, seul le Maître peut te donner la permission de jouir, tu comprends bien cela ?... Tu es un objet maintenant, même plutôt un outil dédié au plaisir de Monsieur le Marquis. Donc tu dois obéir et être bien attentionné aux exigences du Maitre; crois-moi cela va faciliter les choses… Maintenant je vais te dire la conduite à tenir, tu vas dormir ce soir à même la paillasse. Demain, Marie, la cuisinière viendra t’apporter de quoi manger. D’ici-là, si tu as faim et que tu souhaites avaler quelque chose, mon sperme va bientôt sortir de ton anus. Tu sais ce qu’il te reste à faire, sur ce, bonne nuit, la chienne !
Walter quitta le chenil laissant Olivier seul…
Olivier venait de subir l’assaut de Walter, en restant seul il savait que maintenant il allait pouvoir se reposer malgré le peu de confort de l’endroit où il se trouvait… La nuit fut des plus fraîches et il ne dormit pas comme il aurait souhaité, entre la fraîcheur et le hululement d’une chouette, le sommeil tarda à venir …
Le lendemain matin, c’est une voie féminine qui le tira du sommeil. Marie, la cuisinière du Marquis se tenait devant lui. Et sur un ton sévère, sans aucune amabilité :
- Allez, espèce de chien réveille-toi, je dois te préparer pour que tu sois présentable à Monsieur le Marquis et son cabinet des Objets, c’est la pièce où il aime profiter de Ses soumis. Mais avant il faut que je te lave et surtout que je débarrasse tes parties génitales de tout poil, Monsieur le Marquis aime les zones intimes glabres. Donc espèce de chien, suis moi jusqu’à la cuisine mais d’abord lave toi avec l’eau contenu dans ce broc et ce savon… Ensuite, à l’aide de ce rasoir je vais enlever ces poils disgracieux ton sexe en sera plus vulnérable. En fin de matinée tu iras rejoindre Monsieur le Marquis…
C'est ainsi que le corps d’Olivier commença à se transformer, en premier lieu son sexe d’abord qui devint glabre de tout poil. Cette condition remplie, l’esclave allait pouvoir de nouveau rencontrer Monsieur le Marquis et dans la pièce nommée Cabinet des Objets. La porte de cette pièce s’ouvrit devant Olivier, cet endroit ressemblait à une bibliothèque avec des étagères sur tous les murs. Mais à la place des livres, il n’y avait qu’une multitude d’objets D/s ! Un immense lustre de cristal flanqué au plafond était fixé à celui-ci au centre de la pièce. Une espèce de chevalet trônait au milieu de la pièce. Assis sur un fauteuil Monsieur le Marquis attendait, à côté de lui sur un plateau Olivier pouvait distinguer un objet dont la forme ressemblait à un pénis. C’était un godemichet, et d’ailleurs cette pièce était remplie d’objets dont la destination était purement sexuelle...
Olivier entendit la voix de Monsieur le Marquis :
- Te voilà de nouveau en ma présence, bien tu vas pouvoir t’ouvrir à d’autres formes de plaisir. Enfin, de mon plaisir, pour l’instant je souhaite que tu me montre tes talents de petite salope bien soumise. Donc installe-toi sur ce chevalet, je veux que Walter utilise ses talents à ouvrir pleinement ton anus, pour que je puisse obtenir un véritable trou destiné à ma jouissance. Je veux t'entendre gémir, petite chienne lope….
Walter entra alors dans la pièce, il vit Olivier assis sur le chevalet, il allait s'occuper de lui. Le premier gode était déjà de bonne taille, Olivier fut contraint à s'allonger et Monsieur le Marquis commanda de sa voix, le début de l'introduction.
- Allez Walter, tu peux commencer le travail
Walter prit le gode le lubrifia de gel et le positionna et poussa. Olivier cru que son anus se déchirait, Walter savait comment procéder pour ouvrir les soumis. Un geste précis et régulier favorisait l'intromission, Walter aimait savoir que son travail était destiné au futur plaisir de Monsieur le Marquis. Il prenait sa mission au sérieux, Olivier gémit quand Walter commença le va et vient. Monsieur le Marquis avait bien deviné qu'Olivier était comme une femelle, qui aimait faire entendre à son entourage qu’elle était en chaleur. Olivier en effet murmurait de plus en plus fort :
- Oui, ouii, ouiiiii, ouiiiiiiiiiiiii !
Monsieur le Marquis était satisfait du résultat si rapidement obtenu.
Olivier gémissait de plus belle, ses jambes s’ouvraient de plus belle montrant ainsi son désir d’être bien pris. Walter voyant cela compris le message, le va et vient devient plus soutenu. Tout d’un coup Monsieur le Marquis s’exclama :
- Stoppe ! Je veux voir le résultat
Monsieur le Marquis se leva et vint constater si Olivier offrait à son regard un jolie orifice bien rond, ouvert et accueillant. Ce n’était pas le cas, l’anus s’était refermé, Monsieur le Marquis conclut :
- Walter continue mais prend donc un godemichet plus grand.
Walter sourit et alla chercher sur une des nombreuses étagères, un gode de plus gros calibre. Olivier de nouveau allait être besogné et ce coup-là, il savait quelle était l’objectif. Le deuxième gode était bien plus grand, il avait été moulé sur le sexe d’un chef d’une tribu africaine que Monsieur le Marquis avait récupéré lors d’un de ces nombreux voyages à l’étranger. Un membre de 24 cm et avec une belle épaisseur, Walter allait pouvoir s’amuser et il présenta au regard d’Olivier l’objet. Walter lui dit :
- Tu vas vois avec un tel engin si tu ne t’ouvres pas plus.
Il introduisit le gode avec vigueur, Olivier gémit encore une fois, pas de délicatesse pour les soumis de Monsieur le Marquis. Le pieu entra et Olivier essaya en soufflant de se décontracter le bût était de permettre l’introduction et éviter d’être déchirer par l’engin, il voulait rapidement arriver au résultat que Monsieur le Marquis exigeait. Walter d’un mouvement de va et vient de la main qui tenait le gode sodomisait Olivier, l’autre main tout d'un coup gifla la fesse gauche d’Olivier. Celui-ci se cabra sous le choc facilitant encore le travail de Walter, celui-ci compris alors qu’il devait reprendre la fessée, que le godage associé à la fessée allait contribuer à l'obtention du résultat voulu. Et ainsi pendant un quart d'heure Olivier subit une double correction, Monsieur le Marquis attendit encore cinq minutes avant de mettre un terme à l'expérience :
- Bien, bien, regardons maintenant.
Monsieur le Marquis se leva de nouveau, se positionnant derrière Olivier à coté de Walter et d’un signe il indiqua à son domestique d’arrêter le godage. Le gode quitta l’anus d’Olivier dont les fesses étaient rougies par les coups reçus. Ne voyant pas grand chose Monsieur le Marquis demanda à Olivier :
- Avec tes mains écarte-moi tes fesses, montres-moi ton anus que je veux voir béant
Olivier s’exécuta et des deux mains, il offrit à Monsieur le Marquis la vision sur son intimité, son anus formait un rond parfait le godage avait été particulièrement efficace. Le Marquis s’en félicita :
- Bien, bien voilà un trou de lopette bien ouvert comme je les aime, c'est dans cette position maintenant que je veux te voir ouvert, disponible, maintenant je te laisse au bon soin de Walter qui va t’apprendre les bons usages du Château...
Et c'est ainsi qu’il quitta la pièce, sans un mot de plus, laissant Olivier qui gardait toujours ces fesses bien ouvertes grâce à ces deux mains allongés sur le chevalet dans une position permettant toutes les fantaisies et prêt à se faire enculer par le Majordome…
(A suivre…)
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