La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°869)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°869)
Deux soumis appelés au Château –
Monsieur le Marquis d’Evans avait décidé de faire venir en son luxueux château deux de ses soumis. Il convoqua donc soumiseDarlaMDE et esclave11299MDE pour une même arrivée de train à la petite gare du village du château. Bien entendu, il envoya son fidèle Walter les chercher en Rolls. Il savait très bien que les deux soumis ne se connaissait pas et il jubilait déjà à les faire se rencontrer dans la perversité et la luxure de Sa Noble Domination.
Aussi, ce jour là, e11299MDE se rendit-il au rendez-vous fixé par le Châtelain. Il lui avait donné quelques recommandations concernant ses vêtements. e11299MDE avait scrupuleusement suivi celles-ci et avait pris le train, direction Lyon puis la correspondance pour la petite gare du village flanqué des somptueux coteaux du Beaujolais… De son côté Darla devait se rendre également aussi à Lyon puis le village avec les mêmes consignes.
Le voyage s'était bien passé pour e11299MDE, et en sortant du train, il s'était rendu sur le parking de la gare à l'emplacement qui lui avait été indiqué. Comme prévu, la Rolls de Monsieur le Marquis d’Evans l'attendait. Il se dirigea donc vers le luxueux véhicule, tout en pensant qu'il était extrêmement chanceux d'être reçu dans de telles conditions. Walter, en tenue de chauffeur et casquette, le salua et lui fit les honneurs du véhicule. Il lui ouvrit la portière, le soumis s'installa confortablement dans des sièges capitonnés d’un cuir brillant.
- Nous attendons encore une jeune personne, lui dit-il alors que e11299MDE s'inquiétait et lui demandait timidement quand ils allaient partir. Elle viendra par le prochain train car son texto m’informe qu’elle a raté la correspondance une fois arrivée à la gare de Lyon Part Dieu. En attendant, vous pouvez prendre un verre, vous y êtes autorisé.
e11299MDE, ne se faisant pas prier, profita de l'aubaine, et se servit un verre de porto, seule boisson présente dans le minibar.
Darla finit par arriver presque une heure après e11299MDE. Elle sortit de la gare un peu nerveuse car elle était très gênée de se faire attendre. Très rapidement elle aperçut la limousine. Le majordome en sortit, et Darla sentit son cœur battre la chamade en se dirigeant vers la voiture. Walter lui dit un simple bonjour, puis :
- On n'attendait plus que vous, allons montez, il n’est pas bon de faire attendre Monsieur le Marquis d’Evans.
Et il la fit entrer dans la voiture. Darla entra dans la Rolls et découvrit la présence de e11299MDE. Le chauffeur reprit sa place devant et démarra sans plus tarder. Le voyage dura un bon ¼ d’heure, pendant lequel e11299MDE entama une conversation avec la jeune femme qui venait d'entrer. Il lui servit un verre de porto, et commença à la questionner:
- Je m'appelle e11299MDE, lui dit il. Et vous ? Darla était un peu surprise par la présence de e11299MDE qu’elle ne connaissait que virtuellement
- Enchantée e11299MDE, tu connais bien mon nom sur le site de notre Maître, je suis Darla.
- Darla ? … Oui ! bien entendu ! soumiseDarlaMDE. Tu te rends donc aussi au Château ?
- Oui je vais moi aussi au château. Nous avons beaucoup de chance j'ai l'impression …
- Taisez vous, leur lança Walter d'une voix ferme, ici, on ne parle que lorsqu'on y est autorisé.
- Mais … commença à reprendre timidement e11299MDE
- C'est comme ça, taisez vous.
e11299MDE, surpris, avala rapidement son verre de porto et s'enfonça dans la moelleuse banquette, se murant dans un silence dont il ne sortit pas de tout le trajet.
La Rolls franchit les grilles du Château peu avant 18h et après avoir traversé la forêt des Terres du Châtelain. Une fois le volumineux portail franchi flanqué sur chaque côté d’une statue d’un lion rugissant dressé sur ses pattes, la Rolls remonta une très longue allée aux graviers rouges et bordée de pelouses impeccablement entretenues où statues antiques, multiples jets d’eau et massifs fleuries abondaient et offraient un décor somptueux. Les 2 soumis se rendirent alors compte que le domaine était immense. Au loin, ils virent apparaître une bâtisse, l’immense château était là et semblait les toiser de ses hautes tourelles. La voiture se gara devant le volumineux perron. Un homme, ou plutôt un esclave dans une tenue bizarre, avec seulement un harnais de cuir cachant tout juste un sexe qui devait être énorme, vint leur ouvrir la porte, tout en baissant la tête. Sur ce perron, ils reconnurent le Châtelain, le fameux Monsieur le Marquis d’Evans qui était vêtu d'un pantalon blanc et d'une chemise noire. Une femme était à ses côtés et qu'ils n'avaient pas encore rencontré, vêtue d'un bustier de cuir laissant apparaître une poitrine parfaite, d'un string de cuir et de bottes hautes à très longs talons, le tout rouge. Elle tenait à la main un fouet de grande dimension, et semblait prête à passer à l'action à la moindre impulsion de cette Domina au regard sévère.
Walter au volant sortit alors de la voiture et vint ouvrir la porte du coté de e11299MDE pendant que l'homme en harnais de cuir vint ouvrir la porte à Darla. Les deux étaient assez impressionnés de se trouver enfin devant leur Maître. e11299MDE et Darla furent conduit au pied du perron, et le majordome repartit au volant de la voiture, emportant les affaires que les 2 soumis avaient pris avec eux.
- Vous n'aurez plus besoin de rien pour un long moment, annonça le Marquis d’Evans, en les jaugeant. Je vous présente Marie que vous pouvez considérer comme votre Domina ici. Cuisinière attitrée du château, elle sera aussi pour vous une Maîtresse sévère, autoritaire et perverse à souhait. Voyez son fouet qui ne demande qu’à servir si Elle le souhaite…. Bien, nous allons voir maintenant si vous avez obéi aux ordres que je vous ai donné pour votre arrivée e11299MDE ?
- Oui Maître, dit e11299MDE en s’agenouillant tête baissée, en bas, de la première marche d’escalier de pierre du perron, alors que le Marquis se tenait lui tout en haut sur le parvis et ainsi Sa grandeur en était décuplée par sa haute position et sa stature naturelle.
- Déshabille toi, lentement. On ne rentre pas dans ma demeure ainsi habillé, surtout quand on est sous mon joug.
e11299MDE, surpris de cet ordre si rapide, mais déjà excité par la situation, eut un moment d'hésitation.
- J'ai dit lentement, mais pas demain
- Oui Maître
Alors e11299MDE défit sa chemise, dévoilant son torse très peu poilu, puis il ôta ses chaussures et ses chaussettes.
- Ne t'avais je pas interdit les chaussettes ?
- Oui Maître… Mais …
- Hum, continue, coupa court le Noble
- Bien Maître
e11299MDE continua son stripe-tease, retirant son pantalon, dévoilant un string de dentelle rouge, que son sexe tendait fortement, et que lui avait imposé le Marquis et une paire de bas résille qui lui gainaient les jambes.
- Je vois que pour cela tu as obéi. Mais les chaussettes vont te coûter cher.
- Ma chère, dit il en s'adressant à Marie la cuisinière, vous avez son éducation en main. Aussi vous allez le corriger maintenant, et nous le mettrons dans la cage pour la nuit …
Marie regarda alors l'autre homme-esclave en harnais. Celui comprit très vite et se plaça derrière e11299MDE. Il appuya sur ses épaules et l'obligea à se mettre à 4 pattes, puis passa très rapidement autour de son cou un collier en cuir aux armoiries des Evans et l'attacha avec une laisse. Il commença alors à monter les marches en tirant sur la laisse. e11299MDE se redressa pour monter les marches. La sévère cuisinière déploya alors le fouet qui vint frapper e11299MDE très rudement. Et elle s’exclama d’une voix autoritaire :
- "A quatre pattes, petite vermine"
e11299MDE se plaça alors à quatre pattes et monta les marches ainsi. Il était très humilié par cette position et son érection s’amplifiait sous son string, ce qui laissait apparaître son sexe hors du tissu rouge. Une fois devant la Marie, elle lui montra ses bottes, mais il ne comprit pas. L'homme en harnais tira sur la laisse, et approcha son visage des chaussures hautes de la Cuisinière.
- Lèche dit-elle alors sèchement.
e11299MDE se retrouva à lécher les bottes de cette femme. Il se sentait alors tellement humilié, mais aussi très excité et il ne put contenir son érection, qu'il a beaucoup de mal à cacher vu sa tenue. Son sexe, tendu à l'extrême, sortait toujours du string. L'homme lui fouettait ses fesses avec l'extrémité de la laisse, en rythme. e11299MDE léchait toujours les chaussures de Marie quand il tourna la tête lorsque le Marquis ordonna à Darla de se déshabiller à son tour, ce qui lui valu un coup du manche du fouet de la Cuisinière, sur le bas du dos. Darla commença donc à son tour à se déshabiller, et ayant vu ce qui pouvait se passer si l'on obéissait pas rapidement, elle ne réfléchit pas longtemps et elle commença à retirer les différents vêtements. Elle retira d’abord sa veste de tailleur, puis sa jupe noire et son chemisier blanc. Elle était maintenant en ensemble dentelles : string, porte-jarretelles et soutien- gorge assortis de couleur mauve sombre. Elle continua en retirant un à un ses bas, puis le porte-jarretelles. Elle marqua un temps d'arrêt avant de retirer son soutien gorge et finalement ôta son string.
- Ne t'avais-je pas dit que tu ne devais pas porter ni string, ni culotte, à ton arrivée, questionna rudement le Marquis d’Evans. Ainsi donc, avant même d'arriver au Château, tu m'as désobéi ?
Darla ne savait que dire et baisant la tête et rouge de confusion, elle finit par s'excuser :
- Je … je suis désolée Maître …
Elle se doutait bien que comme e11299MDE, elle allait être punie. Les larmes lui montèrent alors aux yeux.
Monsieur le Marquis, prenant le fouet des mains de Marie, se dirigea vers la jeune femme.
- Suffit pour cette petite chienne, dit-il en désignant e11299MDE. Passons maintenant à cette petite garce. A quatre pattes.
Darla s'exécuta et le Châtelain commença à la fouetter méthodiquement et modérément mais suffisamment pour provoquer une douleur. Un coup sur les épaules, puis un autre un peu plus bas, il descendait, frappant précisément le dos de la jeune femme. Chaque coup dosé avec une précision de métronome faisait crier Darla mais pas hurler comme si les coups étaient mesurés, ce qui d’ailleurs étaient le cas, oui chaque coup était appliqué de manière précise et elle sentait la douleur se répandre dans tout son corps. Elle se demandait pourquoi elle était venue ici. Elle avait les larmes aux yeux. Elle avait envie de fuir mais aussi inconsciemment. Le Châtelain lui dosa judicieusement ainsi une dizaine de coups de fouets en travers du dos et des fesses, puis Il redonna le fouet à Marie, et s'adressant à elle :
- Darla nous servira nue pendant une semaine à tous les repas, mais en attendant cette nuit, elle la passera dans Ma chambre. Vérifie un peu, sur ces deux nouvelles chiennes, leurs orifices et tu placeras demain matin leur ceinture mais qu’après la nuit. Car leur sexe doivent, avant, servir durant toute cette nuit ....
Darla et e11299MDE ne comprenaient pas trop ce que l'on attendait d'eux et ce qu'ils devront subir. Ils attendaient docilement la suite des évènements. On les fit entrer dans le château à quatre pattes et tenus en laisse par Marie qui fièrement marchait devant eux laisses en main. Darla voulu se relever, mais un nouveau coup de fouet lui fit comprendre qu'elle devrait garder cette attitude pour gravir les marches du perron. e11299MDE, voyant ce qui arrivait à la jeune femme, décida de continuer son chemin ainsi, vu que lui aussi était en position. Bientôt, ils se retrouvèrent dans l’immense hall d’entrée au carrelage en damier noir et blanc, et dont le sol était plutôt froid. Marie s’arrêta au milieu du hall et s'approcha de e11299MDE, elle lui écarta sans ménagement les mâchoires, vérifia que les dents étaient en bon état et que la langue était faite pour sucer, puis elle passa derrière, écarta les fesses de ce nouvel esclave. Rapidement, il sentit un doigt fureteur envahir son anus.
- C'est assez souple, déclara la Cuisinière. Nous en ferons une bonne petite pute.
e11299MDE, excité par la situation, bandait toujours comme un fou.
- Mais il va falloir mettre en cage cette petite lopette, dit encore Marie en donnant un coup sur la bite du jeune homme. Couché ! J'ai un remède pour ça, tu vas voir, petit cochon.
Puis elle passa vers Darla, lui fit subir le même traitement pour la bouche, déclarant qu'elle serait une bonne pipeuse avec une langue pareille, une bonne bouche à sperme. Elle passa derrière, enfonça ses doigts dans le vagin puis dans l'anus de Darla.
- Cette petite est souple, chaude et humide, déclara-t-elle. Nous pourrons en faire aussi une bonne chienne docile si nous la dressons bien et si nous lui ouvrons un peu plus ces trous.
- Garde
- Oui Maîtresse, répondit l'homme-esclave au harnais qui les avait accueilli,
- Emmène cette salope chez les ‘’folles’’, fit-elle en désignant e11299MDE. Ensuite, tu emmèneras la femelle pour la nuit dans La chambre du Maître et tu la mettras en position d’attente, ainsi Le Maître en disposera comme bon lui semblera.
- Bien Maîtresse, répondit celui-ci en attrapant la laisse de e11299MDE d'une main, celle de Darla de l'autre main.
e11299MDE fut alors conduit à quatre pattes par le garde dans les sous-sols du château...
(A suivre ...)
Monsieur le Marquis d’Evans avait décidé de faire venir en son luxueux château deux de ses soumis. Il convoqua donc soumiseDarlaMDE et esclave11299MDE pour une même arrivée de train à la petite gare du village du château. Bien entendu, il envoya son fidèle Walter les chercher en Rolls. Il savait très bien que les deux soumis ne se connaissait pas et il jubilait déjà à les faire se rencontrer dans la perversité et la luxure de Sa Noble Domination.
Aussi, ce jour là, e11299MDE se rendit-il au rendez-vous fixé par le Châtelain. Il lui avait donné quelques recommandations concernant ses vêtements. e11299MDE avait scrupuleusement suivi celles-ci et avait pris le train, direction Lyon puis la correspondance pour la petite gare du village flanqué des somptueux coteaux du Beaujolais… De son côté Darla devait se rendre également aussi à Lyon puis le village avec les mêmes consignes.
Le voyage s'était bien passé pour e11299MDE, et en sortant du train, il s'était rendu sur le parking de la gare à l'emplacement qui lui avait été indiqué. Comme prévu, la Rolls de Monsieur le Marquis d’Evans l'attendait. Il se dirigea donc vers le luxueux véhicule, tout en pensant qu'il était extrêmement chanceux d'être reçu dans de telles conditions. Walter, en tenue de chauffeur et casquette, le salua et lui fit les honneurs du véhicule. Il lui ouvrit la portière, le soumis s'installa confortablement dans des sièges capitonnés d’un cuir brillant.
- Nous attendons encore une jeune personne, lui dit-il alors que e11299MDE s'inquiétait et lui demandait timidement quand ils allaient partir. Elle viendra par le prochain train car son texto m’informe qu’elle a raté la correspondance une fois arrivée à la gare de Lyon Part Dieu. En attendant, vous pouvez prendre un verre, vous y êtes autorisé.
e11299MDE, ne se faisant pas prier, profita de l'aubaine, et se servit un verre de porto, seule boisson présente dans le minibar.
Darla finit par arriver presque une heure après e11299MDE. Elle sortit de la gare un peu nerveuse car elle était très gênée de se faire attendre. Très rapidement elle aperçut la limousine. Le majordome en sortit, et Darla sentit son cœur battre la chamade en se dirigeant vers la voiture. Walter lui dit un simple bonjour, puis :
- On n'attendait plus que vous, allons montez, il n’est pas bon de faire attendre Monsieur le Marquis d’Evans.
Et il la fit entrer dans la voiture. Darla entra dans la Rolls et découvrit la présence de e11299MDE. Le chauffeur reprit sa place devant et démarra sans plus tarder. Le voyage dura un bon ¼ d’heure, pendant lequel e11299MDE entama une conversation avec la jeune femme qui venait d'entrer. Il lui servit un verre de porto, et commença à la questionner:
- Je m'appelle e11299MDE, lui dit il. Et vous ? Darla était un peu surprise par la présence de e11299MDE qu’elle ne connaissait que virtuellement
- Enchantée e11299MDE, tu connais bien mon nom sur le site de notre Maître, je suis Darla.
- Darla ? … Oui ! bien entendu ! soumiseDarlaMDE. Tu te rends donc aussi au Château ?
- Oui je vais moi aussi au château. Nous avons beaucoup de chance j'ai l'impression …
- Taisez vous, leur lança Walter d'une voix ferme, ici, on ne parle que lorsqu'on y est autorisé.
- Mais … commença à reprendre timidement e11299MDE
- C'est comme ça, taisez vous.
e11299MDE, surpris, avala rapidement son verre de porto et s'enfonça dans la moelleuse banquette, se murant dans un silence dont il ne sortit pas de tout le trajet.
La Rolls franchit les grilles du Château peu avant 18h et après avoir traversé la forêt des Terres du Châtelain. Une fois le volumineux portail franchi flanqué sur chaque côté d’une statue d’un lion rugissant dressé sur ses pattes, la Rolls remonta une très longue allée aux graviers rouges et bordée de pelouses impeccablement entretenues où statues antiques, multiples jets d’eau et massifs fleuries abondaient et offraient un décor somptueux. Les 2 soumis se rendirent alors compte que le domaine était immense. Au loin, ils virent apparaître une bâtisse, l’immense château était là et semblait les toiser de ses hautes tourelles. La voiture se gara devant le volumineux perron. Un homme, ou plutôt un esclave dans une tenue bizarre, avec seulement un harnais de cuir cachant tout juste un sexe qui devait être énorme, vint leur ouvrir la porte, tout en baissant la tête. Sur ce perron, ils reconnurent le Châtelain, le fameux Monsieur le Marquis d’Evans qui était vêtu d'un pantalon blanc et d'une chemise noire. Une femme était à ses côtés et qu'ils n'avaient pas encore rencontré, vêtue d'un bustier de cuir laissant apparaître une poitrine parfaite, d'un string de cuir et de bottes hautes à très longs talons, le tout rouge. Elle tenait à la main un fouet de grande dimension, et semblait prête à passer à l'action à la moindre impulsion de cette Domina au regard sévère.
Walter au volant sortit alors de la voiture et vint ouvrir la porte du coté de e11299MDE pendant que l'homme en harnais de cuir vint ouvrir la porte à Darla. Les deux étaient assez impressionnés de se trouver enfin devant leur Maître. e11299MDE et Darla furent conduit au pied du perron, et le majordome repartit au volant de la voiture, emportant les affaires que les 2 soumis avaient pris avec eux.
- Vous n'aurez plus besoin de rien pour un long moment, annonça le Marquis d’Evans, en les jaugeant. Je vous présente Marie que vous pouvez considérer comme votre Domina ici. Cuisinière attitrée du château, elle sera aussi pour vous une Maîtresse sévère, autoritaire et perverse à souhait. Voyez son fouet qui ne demande qu’à servir si Elle le souhaite…. Bien, nous allons voir maintenant si vous avez obéi aux ordres que je vous ai donné pour votre arrivée e11299MDE ?
- Oui Maître, dit e11299MDE en s’agenouillant tête baissée, en bas, de la première marche d’escalier de pierre du perron, alors que le Marquis se tenait lui tout en haut sur le parvis et ainsi Sa grandeur en était décuplée par sa haute position et sa stature naturelle.
- Déshabille toi, lentement. On ne rentre pas dans ma demeure ainsi habillé, surtout quand on est sous mon joug.
e11299MDE, surpris de cet ordre si rapide, mais déjà excité par la situation, eut un moment d'hésitation.
- J'ai dit lentement, mais pas demain
- Oui Maître
Alors e11299MDE défit sa chemise, dévoilant son torse très peu poilu, puis il ôta ses chaussures et ses chaussettes.
- Ne t'avais je pas interdit les chaussettes ?
- Oui Maître… Mais …
- Hum, continue, coupa court le Noble
- Bien Maître
e11299MDE continua son stripe-tease, retirant son pantalon, dévoilant un string de dentelle rouge, que son sexe tendait fortement, et que lui avait imposé le Marquis et une paire de bas résille qui lui gainaient les jambes.
- Je vois que pour cela tu as obéi. Mais les chaussettes vont te coûter cher.
- Ma chère, dit il en s'adressant à Marie la cuisinière, vous avez son éducation en main. Aussi vous allez le corriger maintenant, et nous le mettrons dans la cage pour la nuit …
Marie regarda alors l'autre homme-esclave en harnais. Celui comprit très vite et se plaça derrière e11299MDE. Il appuya sur ses épaules et l'obligea à se mettre à 4 pattes, puis passa très rapidement autour de son cou un collier en cuir aux armoiries des Evans et l'attacha avec une laisse. Il commença alors à monter les marches en tirant sur la laisse. e11299MDE se redressa pour monter les marches. La sévère cuisinière déploya alors le fouet qui vint frapper e11299MDE très rudement. Et elle s’exclama d’une voix autoritaire :
- "A quatre pattes, petite vermine"
e11299MDE se plaça alors à quatre pattes et monta les marches ainsi. Il était très humilié par cette position et son érection s’amplifiait sous son string, ce qui laissait apparaître son sexe hors du tissu rouge. Une fois devant la Marie, elle lui montra ses bottes, mais il ne comprit pas. L'homme en harnais tira sur la laisse, et approcha son visage des chaussures hautes de la Cuisinière.
- Lèche dit-elle alors sèchement.
e11299MDE se retrouva à lécher les bottes de cette femme. Il se sentait alors tellement humilié, mais aussi très excité et il ne put contenir son érection, qu'il a beaucoup de mal à cacher vu sa tenue. Son sexe, tendu à l'extrême, sortait toujours du string. L'homme lui fouettait ses fesses avec l'extrémité de la laisse, en rythme. e11299MDE léchait toujours les chaussures de Marie quand il tourna la tête lorsque le Marquis ordonna à Darla de se déshabiller à son tour, ce qui lui valu un coup du manche du fouet de la Cuisinière, sur le bas du dos. Darla commença donc à son tour à se déshabiller, et ayant vu ce qui pouvait se passer si l'on obéissait pas rapidement, elle ne réfléchit pas longtemps et elle commença à retirer les différents vêtements. Elle retira d’abord sa veste de tailleur, puis sa jupe noire et son chemisier blanc. Elle était maintenant en ensemble dentelles : string, porte-jarretelles et soutien- gorge assortis de couleur mauve sombre. Elle continua en retirant un à un ses bas, puis le porte-jarretelles. Elle marqua un temps d'arrêt avant de retirer son soutien gorge et finalement ôta son string.
- Ne t'avais-je pas dit que tu ne devais pas porter ni string, ni culotte, à ton arrivée, questionna rudement le Marquis d’Evans. Ainsi donc, avant même d'arriver au Château, tu m'as désobéi ?
Darla ne savait que dire et baisant la tête et rouge de confusion, elle finit par s'excuser :
- Je … je suis désolée Maître …
Elle se doutait bien que comme e11299MDE, elle allait être punie. Les larmes lui montèrent alors aux yeux.
Monsieur le Marquis, prenant le fouet des mains de Marie, se dirigea vers la jeune femme.
- Suffit pour cette petite chienne, dit-il en désignant e11299MDE. Passons maintenant à cette petite garce. A quatre pattes.
Darla s'exécuta et le Châtelain commença à la fouetter méthodiquement et modérément mais suffisamment pour provoquer une douleur. Un coup sur les épaules, puis un autre un peu plus bas, il descendait, frappant précisément le dos de la jeune femme. Chaque coup dosé avec une précision de métronome faisait crier Darla mais pas hurler comme si les coups étaient mesurés, ce qui d’ailleurs étaient le cas, oui chaque coup était appliqué de manière précise et elle sentait la douleur se répandre dans tout son corps. Elle se demandait pourquoi elle était venue ici. Elle avait les larmes aux yeux. Elle avait envie de fuir mais aussi inconsciemment. Le Châtelain lui dosa judicieusement ainsi une dizaine de coups de fouets en travers du dos et des fesses, puis Il redonna le fouet à Marie, et s'adressant à elle :
- Darla nous servira nue pendant une semaine à tous les repas, mais en attendant cette nuit, elle la passera dans Ma chambre. Vérifie un peu, sur ces deux nouvelles chiennes, leurs orifices et tu placeras demain matin leur ceinture mais qu’après la nuit. Car leur sexe doivent, avant, servir durant toute cette nuit ....
Darla et e11299MDE ne comprenaient pas trop ce que l'on attendait d'eux et ce qu'ils devront subir. Ils attendaient docilement la suite des évènements. On les fit entrer dans le château à quatre pattes et tenus en laisse par Marie qui fièrement marchait devant eux laisses en main. Darla voulu se relever, mais un nouveau coup de fouet lui fit comprendre qu'elle devrait garder cette attitude pour gravir les marches du perron. e11299MDE, voyant ce qui arrivait à la jeune femme, décida de continuer son chemin ainsi, vu que lui aussi était en position. Bientôt, ils se retrouvèrent dans l’immense hall d’entrée au carrelage en damier noir et blanc, et dont le sol était plutôt froid. Marie s’arrêta au milieu du hall et s'approcha de e11299MDE, elle lui écarta sans ménagement les mâchoires, vérifia que les dents étaient en bon état et que la langue était faite pour sucer, puis elle passa derrière, écarta les fesses de ce nouvel esclave. Rapidement, il sentit un doigt fureteur envahir son anus.
- C'est assez souple, déclara la Cuisinière. Nous en ferons une bonne petite pute.
e11299MDE, excité par la situation, bandait toujours comme un fou.
- Mais il va falloir mettre en cage cette petite lopette, dit encore Marie en donnant un coup sur la bite du jeune homme. Couché ! J'ai un remède pour ça, tu vas voir, petit cochon.
Puis elle passa vers Darla, lui fit subir le même traitement pour la bouche, déclarant qu'elle serait une bonne pipeuse avec une langue pareille, une bonne bouche à sperme. Elle passa derrière, enfonça ses doigts dans le vagin puis dans l'anus de Darla.
- Cette petite est souple, chaude et humide, déclara-t-elle. Nous pourrons en faire aussi une bonne chienne docile si nous la dressons bien et si nous lui ouvrons un peu plus ces trous.
- Garde
- Oui Maîtresse, répondit l'homme-esclave au harnais qui les avait accueilli,
- Emmène cette salope chez les ‘’folles’’, fit-elle en désignant e11299MDE. Ensuite, tu emmèneras la femelle pour la nuit dans La chambre du Maître et tu la mettras en position d’attente, ainsi Le Maître en disposera comme bon lui semblera.
- Bien Maîtresse, répondit celui-ci en attrapant la laisse de e11299MDE d'une main, celle de Darla de l'autre main.
e11299MDE fut alors conduit à quatre pattes par le garde dans les sous-sols du château...
(A suivre ...)
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