La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°874)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°874) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°874)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°871) –

- Bien, bonne petite chienne avaleuse de sperme ! Mais il y a encore du travail en ce qui concerne ton dressage ! Mais aussi tu dois te reposer ! Demain tu commences les vraies journées de chienne soumise, avec les corvées. Et il y a du travail ! Puis tu auras ta journée de travail auprès de Monsieur le Marquis. Ensuite nouvelles corvées. Quelque chose se prépare, et tu devrais être surprise ! Rajouta-t-il avec un sourire pervers....

Il me traina, plutôt qu'il ne m'entraina, jusqu'à ma niche au Chenil. J'y trouvais avec gratitude, une gamelle d'une purée consistante et revigorante, une gamelle d'eau, et une couverture qui me sembla plus épaisse que la veille. Je me positionnais en levrette et je mangeais tout ce qui m'avait été attribué, je lapais quelques gorgées d'eau et je me roulais en boule sous la volumineuse couverture. Ainsi bien au chaud, je ne tardais pas à m'endormir d'un sommeil profond et réparateur… J’ai fait un rêve étrange, cette nuit-là, mais ô combien révélateur de ma pleine dévotion et vénération envers le Châtelain. En effet, j’ai rêvé que le Maître était tout en haut d’une haute montagne, il était debout et perché sur le plus haut pic rocheux et semblait être un géant mesurant environ 50 mètres de haut. Immobile, telle une imposante statue, il avait les bras croisés, la tête haute dans son magnifique costume. Au pied de la montagne, il y avait des centaines d’esclaves dénudés, femelles et mâles, tous prosternés, le nez au sol, cul relevé. Ils étaient tous minuscules, et je me voyais parmi eux… petite, toute petite et si humble devant le Maître si haut placé… Le lendemain, je fus réveillée, après un temps trop court, par un nouveau seau d'eau glacée. Un homme, que je ne connaissais pas, mais qui était nu et portait un collier et une médaille frappée des Armoiries du Maître, me tira hors de la niche, un doigt sur la bouche me faisant comprendre que nous ne devions pas parler. Avec des gestes, il m'expliqua que je devais le suivre à quatre pattes. J'obéis donc, et après un passage sur la pelouse où je fus autorisée à me soulager en levant une patte arrière contre un arbre, une douche au jet d'eau glacée en plein air, je fus conduite dans le bureau de Walter. Le soumis, silencieux, baissa la tête et frappa à la porte. A l'injonction du Majordome, il l'ouvrit, me fit signe d'entrer et se retira en faisant des courbettes à Walter.

- Chienne soumise Marion MDE, ici tous les matins, lavement anal obligatoire ! Prends la porte à ta doite et va t'installer sur la table qui s’y trouve et attends-moi !

Je me dirigeais vers l’endroit indiqué à quatre pattes, me redressant sur mes genoux juste pour appuyer sur la poignée. La table était toute articulée. Je me plaçais dessus et mis mes jambes dans les étriers. Walter arriva. Il m’attacha poignets, chevilles, il fit basculer la table de manière à ce que mon cul soit bien relevé, il y enfonça une canule reliée à une poche d’un litre et ouvrit un robinet. Je sentais le liquide commençant à se répandre dans mes entrailles lentement. Pendant ce temps, il me massait le ventre dans le sens du colon, me provoquant petit à petit des spasmes. Je commençais à m’agiter dans mes liens. Le liquide passé, il enleva la canule, plaça une grande bassine par terre près de la table. Au bout de quelques minutes, pendant lesquels je contractais difficilement mes sphincters, il releva la table, me détacha, et m’ordonna de m’accroupir au-dessus de la bassine. Je m’exécutais mais autant j’avais eu du mal à me retenir sur la table, autant là sous le regard du Majordome qui me fixait et attendait, je n’arrivais pas à me relâcher.

- Dois-je déjà inscrire une punition, alors que la journée vient juste de commencer ? suggéra-t-il en m’appliquant un léger coup de fouet sur les épaules, fouet qui semblait ne jamais le quitter.

Je fermais alors les yeux, essayant d’imaginer que j’étais seule, et au prix de gros efforts, je réussis à me vider. Après m’avoir ordonnée d’aller me nettoyer et me laver dans la salle de bain attenante, il me fit placer à genoux au centre de la pièce, mains sur la tête.

- Chaque matin, tu subiras ainsi un lavement, appliqué par moi, Marie, ou un soumis ou une soumise, qui sera désigné par l'un de nous. Ensuite, tu viendras prendre mes ordres pour les corvées de la matinée. Pour ce matin, je vais te conduire aux cuisines, tu seras aux ordres de Marie pendant deux heures, avant de t'en aller rejoindre Monsieur le Marquis pour ta journée de travail. Aller, pas de temps à perdre, allons-y !

Il saisit ma laisse et donna une impulsion dessus pour me faire mettre à quatre pattes et m'indiquer qu'il fallait que je le suive. Arrivés devant les cuisines, on entendait une certaine effervescence. Les soumis et esclaves présents s'affairaient tous, au ménage, au rangement, à la préparation du petit déjeuner et du déjeuner.

- Ah te voilà chienne ! S'exclama la cuisinière en me voyant. Dépêche-toi, il te reste moins de deux heures pour nettoyer le cellier ! Tu y trouveras tout le matériel nécessaire.

Je me dirigeais vers la pièce qui m'avait été désignée. Quand je vis la taille de la pièce, je me dis que deux heures seraient largement assez. Mais en cherchant le matériel de nettoyage, je ne trouvais qu'une bassine d'eau savonneuse et une brosse à dent. J'avais beau regarder autour de moi, fureter, je ne trouvais rien d'autre.

- Eh bien qu'attends-tu la chienne ? (Je sursautais mais je me mis rapidement à genoux, mains dans le dos tête baissée) Crois-tu que tu as du temps à perdre, bonne à rien ? Dépêche-toi d'attraper la brosse à dent et frotte !

Je m'exécutais désespérée. La pièce me paraissait beaucoup plus grande d'un coup ! Pendant ce temps Walter et Marie discutaient sans faire aucunement attention aux différents soumis les entourant :

- Eh bien ma chère Marie, as-tu finis ton menu pour samedi soir ?
- Bien sûr, pour qui me prends-tu? Nous sommes bien d'accord sur les quatre pièces principales de la soirée ?
- Oui ! Les deux esclaves et les deux soumises MDE seront les cadeaux de cette soirée. Les soumis pressentis pour avoir l'honneur de porter les nobles Initiales de Monsieur le Marquis feront une pyramide. Ils auront des branches d'arbres attachés sur eux pour faire un sapin. Ce sera un bon exercice d'équilibre et de force car ils devront rester d'eux même bras écartés et les nombreuses branches seront lourdes à porter !
- Bien, bien, bien... J'espère que tu les as bien entraînés ! Il ne faudrait pas qu'ils gâchent la soirée du réveillon de Noël ! Monsieur le Marquis ne nous le pardonnerait pas.
- Évidemment ! Cela a même fait partie des tests pour trouver les plus méritants. Monsieur le Marquis choisira peut être de les honorer de Ses Initiales pour le matin de Noël, qui sait ? Bien je dois te laisser, j'ai encore pas mal de travail pour les préparatifs du réveillon. N'oublie pas de renvoyer la chienne à la brosse à dent à temps pour son travail. Si la pièce n'est pas récurée à l'heure, je te laisserai te charger de la punition ce soir à lui infliger sans modération, rajouta-t-il avec un clin d'œil.
- Hummm, alors j'espère qu'elle n'aura pas fini ! Dit Marie en riant et se frottant les mains, avec une pointe de sadisme et une flagrante perversité

Je me sentis terrifiée à cette idée. Je n'avais aucun moyen de savoir l'heure qu'il était ni combien de temps il me restait pour accomplir ma tâche. Alors je m'activais de toutes mes forces et accélérais au maximum. J'avais les muscles douloureux tant par la position à quatre pattes prolongée que par la tension due au mouvement de frottement et au stress de ne pas finir dans les temps. Lorsque j'atteignis la moitié de la pièce, j’entendis quelque part une horloge sonner huit heures. Il me restait donc une heure pour terminer. J'étais en sueur et la fatigue commençait à se faire sentir ! J’avais mis moins d'une heure pour en arriver là. Je décidais donc de faire une pause d'une ou deux minutes pour souffler un peu, après m'être assurée que la cuisinière n'était pas dans mon champ de vision. Je m'assis donc en tailleur et commença à prendre une profonde inspiration. Mais j'eus le souffle coupé quand je sentis un violent coup de martinet dans mon dos.

- Eh bien, crois-tu qu'une chienne de ton espèce soit ici pour se reposer ? Position prosternée ! Exécution !

Je me précipitais au sol, allongeant les bras au maximum, écartant les cuisses. Je reçus une dizaine de coup de martinet sur ma croupe et autant sur mon dos. Je serrais les dents au maximum, mais on aurait dit que Marie voulait à toute force me faire hurler, ce que je finis par faire, arrivée au quinzième coup, ne tenant plus.

- Une feignante et une geignarde en plus ! Cela va être un régal de te dresser la salope ! A force de crier, tu n'auras plus de voix et tu apprendras à fermer ta petite gueule de chienne ! Maintenant au travail et dépêche-toi ! Tu voulais arrêter pour faire une pause, tu l'as eu. Allez, active-toi !

Malgré la douleur, je mettais du cœur à l'ouvrage. Je voulais faire une pause d'une ou deux minutes, j'avais bien du perdre dix minutes, si ce n'était plus, à me faire corriger… Les minutes passèrent les unes après les autres quand je terminais juste au moment où Marie rentrait dans la pièce pour venir me chercher. J’étais épuisée …

- Bien, tu as de la chance ! Je suis déçue, je me serais bien occupée de toi ce soir... mais ce n'est que partie remise ! Maintenant dépêche-toi. Il te reste deux minutes exactement pour te présenter au bureau de Monsieur le Marquis. Et évidemment tu ne te déplaces pas sur tes deux jambes, ici au Château, tu restes une chienne en permanence. Allez, file la pute !

Et tandis que je quittais la pièce aussi vite que possible, j'entendais la cuisinière qui riait en commentant ma démarche "Qu'elle est ridicule cette putain !", "Un sacré travail de titan qui attend Walter avec cette salope!" ... Je frappais à la porte du Maître sur le premier coup du gong de l'horloge du bureau sonnant neuf heures. Après avoir reçu l'autorisation d'entrer, j'ouvris la porte et me plaçais au centre de l'espace devant le bureau en position prosternée.

- Eh bien, on dirait qu'une certaine petite chienne n'a pas été sage ce matin ? Si j'en crois les marques que je vois ! Je verrais plus tard avec Walter et Marie ce qu'ils pensent de toi et le pourquoi de ces traces. En attendant va te mettre au travail, empalée sur ton god fixé sur ta chaise. Comme hier, interrogation toutes les heures. Tu connais le principe, je ne te le répèterai pas.

J'arrivais à faire fi de la douleur, de la gêne et en même temps de l'excitation que me procuraient le god, et je réussis à tenir les trois heures de la matinée sans punition. À midi, le Maître me renvoya à la cuisine, vu que j'avais été assignée le matin au service de Marie. Je fus désignée pour servir le repas des domestiques du Château jusqu'à midi trente, où la cuisinière m'ordonna de porter un plateau repas au Châtelain qui avait à travailler et ne descendrait pas déjeuner, et d'attendre Ses ordres pour l’instant. Sur le trajet qui me menait au bureau, je regardais le plateau. Il n'y avait rien pour moi. Mon estomac commençait à crier famine. J'espérais que Monsieur le Marquis daignerait m'accorder un moment pour déjeuner.

- Ah Ma chienne, tu arrives bien. J'ai une faim de loup ! Passe donc sous la table, pour t'occuper de Ma noble Queue.

J'obéissais et m'appliquer à faire gonfler ce magnifique membre qui me faisait tant envie. Je Le léchais et Le suçais avec gourmandise. Quand soudain Sa main passa sur ma tête et la plaqua contre Lui m'enfonçant Sa verge au fond de la gorge pour cracher Son jus épais et délicieux. Lorsqu'Il relâcha la pression, je le nettoyais ne laissant rien perdre de Son précieux nectar. Puis je sortis de sous la table et me prosternais attendant Ses ordres. Il se leva sans la moindre attention envers moi et sortit de la pièce. Je ne bougeais pas, mais je me demandais combien de temps j'allais devoir rester ainsi. Au bout d'un temps que je ne saurais définir, le Maître revint et déposa une gamelle devant moi…

(A suivre …)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°874)
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