La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°881)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°881) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°881)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°875) –

Sans aucun doute, je me souviendrai de ce premier Noël pendant longtemps. À la fin, tous épuisés, nous eûmes le droit de nous coucher sur le tapis au pied du lit, tous les quatre enroulés les uns autour des autres, dans une étreinte pure d'amour fraternel. Nous nous endormîmes tous visiblement heureux, assouvis, plus que jamais propriétés du Maître Vénéré… Le dimanche matin, nous fûmes secoués sans bruit mais sèchement par le Majordome alors que le Maître était encore endormi. Il nous amena à la salle de bain commune des soumis et soumises, grande pièce entièrement carrelée sol, murs, plafond, en bleu ciel et blanc, le sol légèrement en cuvette afin que l'eau s'évacue en son centre. Il nous fit placer les uns à côtés des autres, face au mur, torse plaqué à celui-ci, bras levés au-dessus de la tête légèrement écartés, jambes écartées, cambrés, faisant ressortir nos croupes. Le jet que nous reçûmes fut glacial. Si nous étions fatigués de la nuit orgiaque que nous venions de passer, cette douche glacée eut le mérite de nous réveiller. Sans compter le lavage au gant de crin que nous appliquèrent vigoureusement trois esclaves-mâles silencieux et encagés.

Le jour de Noël n'était pas une exception à la règle, surtout pas pour ceux ayant l'honneur de porter les nobles Initiales du Maître. Nous fûmes donc chacun affectés à un service différent. Nous avions beau vivre dans le même Château, appartenir tous à Monsieur le Marquis, nous pouvions passés plusieurs semaines sans nous rencontrer. Je fus affectée au service de Walter ce qui pouvait vouloir dire tout et n'importe quoi. Je le suivis donc à quatre pattes dans la grande salle où il allait donner les consignes aux domestiques du Château. N'ayant pas besoin de moi pendant qu'il distribuait ses ordres, il m'envoya dans un coin de la pièce, m'ordonnant de rester à genoux, bien droite, les mains sur la tête, jusqu'à ce qu'il me rappelle. Ce qui dura longtemps car il discuta longuement avec les gardes de l'entretien du Domaine, des Chenils et des meutes de chiens du Maître. Je n'avais jamais eu à tenir aussi longtemps ainsi immobile. Et je sentais aussi la fatigue du réveillon peser sur mon corps. Je ressentais une tension douloureuse dans mes épaules et ma nuque. Une forte envie de me reposer un peu sur mes talons me tenaillait. Je commençais à trembler et à flancher. Mes fesses étaient irrémédiablement attirées par mes talons. Mais avant qu'elles ne se posent franchement, je reçus un coup de fouet dans le dos.

- Bien la chienne ! Tu vas commencer ta journée par une punition. Je ne te félicite pas.

Et il me tira jusqu'à la salle de dressage où je compris vite que j'allais y passer ma journée voire plus. Au centre de la pièce, il y avait deux anneaux scellés dans le sol. Walter me fit mettre à genoux entre ces anneaux, passa une corde autour de mes genoux qu'il fixa aux anneaux, m'attacha les mains jointes entre elles. Il fit descendre un crochet du plafond en appuyant sur une télécommande et y fixa mes poignets puis il fit remonter le crochet jusqu'à me tendre comme un arc. Puis il vaqua à ces occupations sans aucuns mots à mon encontre. Au gong d'une horloge, je savais que j'avais passé plus d'une heure dans cette position douloureuse qui ne me permettait aucun repos. Pendant ce temps Walter installa face à moi un pilori, ce qui ne me disait rien de bon, me posa des bouchons sur les oreilles pour passer plusieurs coups de téléphone. Il m'enleva mes bouchons et sortit de la pièce. Pendant tout ce temps, seule je restais au début focalisée sur la douleur, à penser que jamais je ne pourrais tenir longtemps. Mais je finis par arrêter de lutter. La douleur était toujours présente mais je l'acceptais et cela rendit ma position plus facile à supporter. J'en ai profité aussi pour essayer d'analyser ce que je ressentais. Je ne pouvais ignorer la chaleur qui commençait à envahir mon bas-ventre. Être contrainte, être dressée m'excitait ! … 8h30 sonna lorsque le Majordome revint près de moi.

- Bien je crois que tu auras compris que lorsqu'on exige que tu attendes à genoux, ce n'est pas pour que tu reposes tes fesses ! Je vais te détacher et on va passer à ton dressage. Tu cries trop, il faut que tu apprennes à te taire !

Il fit ce qu'il avait annoncé, il me détacha, mais je n'eus pas l'occasion de reposer ou d'étirer mes muscles douloureux. Car il me mena au pilori qu'il avait installé auparavant, me positionna les poignets et le cou dans les ouvertures prévues à cet effet et bascula sur eux la pièce en bois m'enfermant, toujours dans une position inconfortable. Les ouvertures étaient assez hautes. Je me retrouvais le torse parallèle au sol, les jambes écartées, les chevilles fixées au sol par des chaînes reliées à des anneaux, mon corps formant ainsi un parfait angle droit, mes trois orifices à la disposition de qui passerait par là. Je pensais que vu où se trouvait la salle de dressage peu de personne devait y venir...

- Tu l'auras compris, aujourd'hui, quoiqu'il arrive, je ne veux pas t'entendre ! Sauf si tu es autorisée à jouir en criant par un Dominant ou une Dominante. Hummm, dit-il en passant sa main entre mes cuisses, c'est déjà bien humide... Comment résister ? salope !

Et il défit la ceinture de son pantalon, le baissa ainsi que son boxer sortit son sexe déjà droit et me pénétra sans préambule. De suite, ce fut rapide et sauvage. Walter me baisait bestialement, j'entendais ses couilles qui claquaient contre ma peau. C'était la première fois (mais pas la dernière !) que je me faisais prendre dans une telle position et cela stimulait des points que je ne connaissais pas et qui m'excitaient terriblement. Je ne savais pas si j'avais le droit de jouir, mais je sentais que je ne pourrais résister très longtemps. Ayant l'obligation de rester silencieuse, je ne savais comment faire comprendre au Majordome que j'étais sur le point d'exploser. Il tenait fermement mes hanches et donnaient de puissants coups de reins sans ménagement. Il me possédait virilement, je sentais son épais et gros sexe m’envahir profondément, son gland cognait contre le fond de mon vagin. Une volée d’insultes tombait en même temps que des fessées tout en me besognant à grands coups de boutoirs quand soudain il se retira et se vida en longs jets sur mon dos. Et je restais là, frustrée et tremblante.

- Eh non ! dit-il en ricanant vicieusement. Tu ne jouiras pas cette fois-ci, salope de chienne ! Maintenant, passons aux choses sérieuses. Ecoute-moi bien ! Si j’entends le son de ta voix, à chaque fin d’heure, tu recevras dix coups de fouet par nombre de fois où tu auras crié. Alors si tu ne veux pas avoir la peau en lambeau ce soir, je te conseille de te retenir !

La première volée de coups commença doucement au fouet, mais cela ressemblait plus à un échauffement. C’était excitant, ça chauffait la peau, sans faire vraiment mal, et mon bas-ventre réagissait délicieusement. Cela dura un quart d’heure, et après une pause de quelques secondes le fouet s’abattit rapidement et sèchement trois fois m’arrachant autant un cri de surprise que de douleur !

- La liste de sanctions commence, dix coups à la fin de l’heure !

Et il sortit. Peu après une soumise que je n’avais pas encore rencontrée vint, un bol à la main, et me fit manger comme un bébé, sans un mot. Quand j’essayais de parler, elle me posa un doigt sur la bouche d’un air suppliant. Je me tus donc. Elle attrapa ensuite une bassine, me la montra puis la plaça entre mes cuisses. Mais je ne pus pas me soulager de cette façon, pas devant une soumise que je ne connaissais pas (enfin même si je l’avais connu je n’aurai pas pu, pas sans la présence autoritaire du Maître ou d’un autre Dominant agissant sur Son ordre !). Alors avec un regard désolé, elle s’éloigna puis s’approcha par derrière et commença à me mettre une couche. C’était le summum de l’humiliation ! Et je ne pus empêcher des larmes de couler. Elle se posta à nouveau devant moi, me caressa doucement la joue et me posa un bandeau… J’entendis des pas s’éloigner, sûrement ceux de la soumise quittant la pièce. Soudain je poussais un cri en sentant s’abattre sur moi dix coups de ce que je reconnus être une badine pour en avoir reçu dans le bureau du Maître.

- 20 coups à la fin de l’heure, raisonna une voix que je ne connaissais pas...

Même si j’appréhendais grandement la fin de l’heure, et je ne puis expliquer la raison mais paradoxalement, je me mis à mouiller abondamment en entendant ces mots …

(A suivre…)

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