La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°958)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°958)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°957) -
Ce qui était sûr, c’est que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !... Après le repas, qui fut pris tôt, que les deux amis prirent en tête à tête, le Châtelain me fit amener devant la maison pour aller au marché BDSM. À deux heures du village de Jiaju, dans une grande vallée isolée du monde extérieur, des préfabriqués avaient été disposés, communiquant les uns avec les autres, chaque bâtiment correspondant à un thème. Il y en avait un pour l’achat d’esclave-soumis, un pour l’échange, un pour chaque petplay parmi les principaux : petdog, petcat, et ponyplay, où il y avait des démonstrations et tout le matériel pour se livrer à ces activités. Il y avait même des préfabriqués aménagés en donjon pour que les visiteurs puissent tester sur place divers installations. Et puis, il y avait un immense bâtiment où des particuliers ou des professionnels vendaient des accessoires, des machines, neuves, anciennes, des inventions… Un véritable Salon du BDSM !
Wangdak et Sangmo nous accompagnaient. Les Maîtres décidèrent que leurs femelles les suivraient en tant que chiennes-soumises, et non en tant que compagne pour l’une et secrétaire pour l’autre. Nous fîmes donc le voyage toutes les deux enchainées dans le coffre. Je fus impressionnée, en arrivant, de voir le monde qu’il pouvait y avoir ! Nous étions dans un coin de la Chine qui me semblait tellement reculé, que je ne m’attendais pas à ce que cela attire autant de personnes. En même temps, n’ayant jamais entendu parlé auparavant d’un marché BDSM, je ne pouvais imaginer l’envergure que cela pouvait avoir. Malgré la confiance absolue que j’avais envers le Maître, Monsieur le Marquis, je n’avais pu m’empêcher d’avoir une appréhension à l’idée de sortir en tant que chienne. Cela ne m’était jamais arrivée d’être réellement à ma place en public en dehors du Château, surtout que le marché n’était pas ouvert qu’aux Dominants et aux dominés. Certains pouvaient en parler à des personnes vanilles et les y inviter. Mais quand je sortis de coffre, je vis un nombre impressionnant de soumis et de soumises, nus, tenus en laisse ou se déplaçant debout chaînes aux pieds et mains et tête enfermées dans un pilori. Il y en avait même qui étaient « déguisés » en soubrettes, en tenues de ponygirl ou de ponyboy, en chiens, chats, et parfois même des animaux plus exotiques. Certains totalement nus aussi mais harnachés, tiraient une charrette comme des bêtes de somme et subissaient le fouet d’un Dominant injurieux assis sur ladite charrette. Cela me rassura donc très vite, je me sentis de suite dans mon monde. A voir tout ce monde si paradoxalement libre d’être, cela me remplit soudainement d’une joie intense, et mes yeux s’humidifièrent, et ma chatte aussi, car si j’étais émue, cela commençait également à m’exciter…
Sur un sourire complice des deux Dominants, ils nous entraînèrent, à quatre pattes bien sûr, vers le préfabriqué des petdogs. Je n’en revenais pas de tout ce qu’il y avait dans cet hangar. D’abord des accessoires basiques comme des colliers et des laisses, mais il y en avait des centaines, un cuir, en chaîne, avec des pierres précieuses, en différents métaux… Il y avait des plugs anneaux imitant des queues de chien, en latex ou en fourrure de toutes les couleurs, des combinaisons imitant le vrai pelage des chiens, quelques soient leurs races. Des médailles de toutes formes, tous métaux, toutes valeurs. Des masques de chiens plus ou moins réalistes. Il y avait les mêmes sortes de jouets que l’on pouvait trouver en animalerie, et des friandises, types os à moelle mais adaptés à l’être humain. Il y avait des soumis exposés portant différents accessoires, que tous pouvaient caresser, peloter. Il y avait des femelles et des mâles. Tous avaient leurs attributs sexuels à portée de main. Il y avait plusieurs mini concours canins, ainsi que des stands pour acheter tous les accessoires nécessaires, comme l’agility, l’obédience, le pistage, le traineau et le canicross, tout étant adapté à la taille et aux capacités humaines. Le Maître confia ma laisse à Wangdak, qui continua avec Sangmo et moi, à faire le tour du hangar. Impossible de savoir ce qu’Il allait faire, et quand Il revint une bonne demi-heure plus tard, à part un sourire à Son ami, Il ne dit rien de ce qu’Il était allé faire.
Nous visitâmes chaque hangar. Le Maître prenait parfois des notes, regardait attentivement. Quand on arriva dans la zone d’achats de soumis, les Maîtres attachèrent nos laisses à des piquets à l’entrée du hangar prévu à cet effet, et rentrèrent sans se soucier de nous. Sur le sol devant nos piquets, il y avait, taillées dans du bois, des moulures creuses imitant l’emplacement des genoux, ce qui nous firent comprendre que nous devions restées à attendre agenouillées dans ces emplacements ainsi disposés. De nombreuses personnes s’arrêtaient devant nous, nous palpaient, nous pelotaient, ou au passage nous pinçait les tétons mais sans jamais nous pénétrer, n’étant pas des soumises à la vente, à l’échange ou en démonstration. Plusieurs remarques fusèrent sur le fait, d’ailleurs que c’était bien dommage, car cela nous laissait inactifs alors que nous aurions pu être utiles… A l’intérieur, les deux hommes étaient ravis par ce qu’ils voyaient. Wangdak voulait un nouvel employé. Déjà parce que former de nouveaux chiens lui plaisaient, même s’il prenait toujours autant de plaisirs avec ceux qui étaient à son service, et par ailleurs, il préférait avoir un jardinier à cent pour cent à son service, même si celui-ci était chocolat. Le fait d’avoir un jardinier du monde vanille l’obligeait à confiner son petit cheptel à l’intérieur quand il travaillait dans le jardin BDSM…
Quant à Monsieur le Marquis, il était toujours prêt à prendre un nouveau soumis sous Son joug. Parmi les esclaves exposées, il y en avait pour tous les goûts, des grands, des petits, des minces, des gros, toutes les origines mélangées, mâles comme femelles. Le règlement du marché BDSM était très clair et strict : Interdiction formelle que chaque esclave soit présent au marché sans son véritable consentement. C’est pour cette raison que chaque esclave proposé à la vente devait signer son plein accord, était sain de corps et d’éprit lors de sa signature qui faisait acte de foi de son entier consentement… Nos deux Dominants ressortirent au bout de deux heures, après avoir tâté des queues, des seins, des culs, avoir doigté plein d’orifices, mâles et femelles. Pour pouvoir profiter du reste du marché, ils réservèrent la marchandise qui les intéressait moyennant des arrhes, et ils devaient la récupérer en partant. Ce qui fit que les deux femelles, Sangmo et moi, attendant dehors ne purent pas savoir s’ils avaient acheté qui que ce soit, chose que les deux Dominants n’avaient aucune obligation, bien entendu, de divulguer à leurs chiennes.
Ils allèrent ensuite sur le marché d’objets et de machines. Là, nous suivîmes les Maîtres à l’intérieur. Le Maître Vénéré semblait s’intéresser plus particulièrement aux pièces antiques. Il s’arrêta devant une machine visiblement ancienne mais parfaitement restaurée qui d’un même bloc comprenait un pilori et une sorte de perceuse-visseuse, reposant sur un poteau réglable à la verticale et à l’horizontale, sauf qu’à la place de la mèche, il y avait un phallus de taille conséquente. Le tout était en bois magnifiquement ouvragé, avec des dorures, aux finitions parfaites. C’était une pièce antique vieille de plusieurs siècles. La personne qui l’exposait Lui proposa de tester une version reproduite beaucoup moins précieuse. Je fus donc placée sur une table avec l’appareil. La possibilité de régler en hauteur le tout permis au Maître de me faire mettre à genoux, la tête et les mains emprisonnées, puis Il régla la perceuse. Dans ce mode, le phallus rentra à la vitesse qu’Il avait décidé dans mes entrailles. Dû à l’éducation qu’Il me donnait depuis longtemps, il n’eut pas trop de difficultés à rentrer malgré la taille. Quand le Maître activa le mode visseuse, le sexe en bois se mit à tourner doucement sur son axe. C’était délicieux, mais habituée à rester stoïque, je ne bougeais ni ne semblait réagir, du moins extérieurement, car intérieurement, ma chatte s’humidifiait largement. Je restais ainsi en exposition une heure, pendant que le Maître, Wangdak et Sangmo continuaient la visite. Plusieurs personnes s’arrêtèrent devant moi, s’étonnaient de mon état qui semblait indifférent à ce que mon corps subissait.
On me posa plusieurs questions, dont celle de savoir qui j’étais et à qui j’appartenais. Mais je n’avais reçu aucune autorisation de parler donc je ne répondais pas. Ce fut Monsieur le Marquis qui répondit en revenant me chercher. En me libérant, Il me félicita à l’oreille de la parfaite obéissance que j’avais montré, et de l’honneur que j’avais apporté à Son éducation, ce qui me remplit de bonheur ! Nous ne tardâmes pas à rentrer chez Wangdak. Je n’avais pas vu grand-chose du marché d’objets et antiquité, et je n’en sus pas d’avantage en rentrant, les Dominants ayant choisi de se faire livrer. Cependant, l’après-midi avait tout de même était longue, et les deux petites chiennes que nous étions, qui avions passé tout ce temps en quadrupédie, s’endormirent le temps des deux heures de trajets qui nous fallut pour rentrer…
(A suivre...)
Ce qui était sûr, c’est que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !... Après le repas, qui fut pris tôt, que les deux amis prirent en tête à tête, le Châtelain me fit amener devant la maison pour aller au marché BDSM. À deux heures du village de Jiaju, dans une grande vallée isolée du monde extérieur, des préfabriqués avaient été disposés, communiquant les uns avec les autres, chaque bâtiment correspondant à un thème. Il y en avait un pour l’achat d’esclave-soumis, un pour l’échange, un pour chaque petplay parmi les principaux : petdog, petcat, et ponyplay, où il y avait des démonstrations et tout le matériel pour se livrer à ces activités. Il y avait même des préfabriqués aménagés en donjon pour que les visiteurs puissent tester sur place divers installations. Et puis, il y avait un immense bâtiment où des particuliers ou des professionnels vendaient des accessoires, des machines, neuves, anciennes, des inventions… Un véritable Salon du BDSM !
Wangdak et Sangmo nous accompagnaient. Les Maîtres décidèrent que leurs femelles les suivraient en tant que chiennes-soumises, et non en tant que compagne pour l’une et secrétaire pour l’autre. Nous fîmes donc le voyage toutes les deux enchainées dans le coffre. Je fus impressionnée, en arrivant, de voir le monde qu’il pouvait y avoir ! Nous étions dans un coin de la Chine qui me semblait tellement reculé, que je ne m’attendais pas à ce que cela attire autant de personnes. En même temps, n’ayant jamais entendu parlé auparavant d’un marché BDSM, je ne pouvais imaginer l’envergure que cela pouvait avoir. Malgré la confiance absolue que j’avais envers le Maître, Monsieur le Marquis, je n’avais pu m’empêcher d’avoir une appréhension à l’idée de sortir en tant que chienne. Cela ne m’était jamais arrivée d’être réellement à ma place en public en dehors du Château, surtout que le marché n’était pas ouvert qu’aux Dominants et aux dominés. Certains pouvaient en parler à des personnes vanilles et les y inviter. Mais quand je sortis de coffre, je vis un nombre impressionnant de soumis et de soumises, nus, tenus en laisse ou se déplaçant debout chaînes aux pieds et mains et tête enfermées dans un pilori. Il y en avait même qui étaient « déguisés » en soubrettes, en tenues de ponygirl ou de ponyboy, en chiens, chats, et parfois même des animaux plus exotiques. Certains totalement nus aussi mais harnachés, tiraient une charrette comme des bêtes de somme et subissaient le fouet d’un Dominant injurieux assis sur ladite charrette. Cela me rassura donc très vite, je me sentis de suite dans mon monde. A voir tout ce monde si paradoxalement libre d’être, cela me remplit soudainement d’une joie intense, et mes yeux s’humidifièrent, et ma chatte aussi, car si j’étais émue, cela commençait également à m’exciter…
Sur un sourire complice des deux Dominants, ils nous entraînèrent, à quatre pattes bien sûr, vers le préfabriqué des petdogs. Je n’en revenais pas de tout ce qu’il y avait dans cet hangar. D’abord des accessoires basiques comme des colliers et des laisses, mais il y en avait des centaines, un cuir, en chaîne, avec des pierres précieuses, en différents métaux… Il y avait des plugs anneaux imitant des queues de chien, en latex ou en fourrure de toutes les couleurs, des combinaisons imitant le vrai pelage des chiens, quelques soient leurs races. Des médailles de toutes formes, tous métaux, toutes valeurs. Des masques de chiens plus ou moins réalistes. Il y avait les mêmes sortes de jouets que l’on pouvait trouver en animalerie, et des friandises, types os à moelle mais adaptés à l’être humain. Il y avait des soumis exposés portant différents accessoires, que tous pouvaient caresser, peloter. Il y avait des femelles et des mâles. Tous avaient leurs attributs sexuels à portée de main. Il y avait plusieurs mini concours canins, ainsi que des stands pour acheter tous les accessoires nécessaires, comme l’agility, l’obédience, le pistage, le traineau et le canicross, tout étant adapté à la taille et aux capacités humaines. Le Maître confia ma laisse à Wangdak, qui continua avec Sangmo et moi, à faire le tour du hangar. Impossible de savoir ce qu’Il allait faire, et quand Il revint une bonne demi-heure plus tard, à part un sourire à Son ami, Il ne dit rien de ce qu’Il était allé faire.
Nous visitâmes chaque hangar. Le Maître prenait parfois des notes, regardait attentivement. Quand on arriva dans la zone d’achats de soumis, les Maîtres attachèrent nos laisses à des piquets à l’entrée du hangar prévu à cet effet, et rentrèrent sans se soucier de nous. Sur le sol devant nos piquets, il y avait, taillées dans du bois, des moulures creuses imitant l’emplacement des genoux, ce qui nous firent comprendre que nous devions restées à attendre agenouillées dans ces emplacements ainsi disposés. De nombreuses personnes s’arrêtaient devant nous, nous palpaient, nous pelotaient, ou au passage nous pinçait les tétons mais sans jamais nous pénétrer, n’étant pas des soumises à la vente, à l’échange ou en démonstration. Plusieurs remarques fusèrent sur le fait, d’ailleurs que c’était bien dommage, car cela nous laissait inactifs alors que nous aurions pu être utiles… A l’intérieur, les deux hommes étaient ravis par ce qu’ils voyaient. Wangdak voulait un nouvel employé. Déjà parce que former de nouveaux chiens lui plaisaient, même s’il prenait toujours autant de plaisirs avec ceux qui étaient à son service, et par ailleurs, il préférait avoir un jardinier à cent pour cent à son service, même si celui-ci était chocolat. Le fait d’avoir un jardinier du monde vanille l’obligeait à confiner son petit cheptel à l’intérieur quand il travaillait dans le jardin BDSM…
Quant à Monsieur le Marquis, il était toujours prêt à prendre un nouveau soumis sous Son joug. Parmi les esclaves exposées, il y en avait pour tous les goûts, des grands, des petits, des minces, des gros, toutes les origines mélangées, mâles comme femelles. Le règlement du marché BDSM était très clair et strict : Interdiction formelle que chaque esclave soit présent au marché sans son véritable consentement. C’est pour cette raison que chaque esclave proposé à la vente devait signer son plein accord, était sain de corps et d’éprit lors de sa signature qui faisait acte de foi de son entier consentement… Nos deux Dominants ressortirent au bout de deux heures, après avoir tâté des queues, des seins, des culs, avoir doigté plein d’orifices, mâles et femelles. Pour pouvoir profiter du reste du marché, ils réservèrent la marchandise qui les intéressait moyennant des arrhes, et ils devaient la récupérer en partant. Ce qui fit que les deux femelles, Sangmo et moi, attendant dehors ne purent pas savoir s’ils avaient acheté qui que ce soit, chose que les deux Dominants n’avaient aucune obligation, bien entendu, de divulguer à leurs chiennes.
Ils allèrent ensuite sur le marché d’objets et de machines. Là, nous suivîmes les Maîtres à l’intérieur. Le Maître Vénéré semblait s’intéresser plus particulièrement aux pièces antiques. Il s’arrêta devant une machine visiblement ancienne mais parfaitement restaurée qui d’un même bloc comprenait un pilori et une sorte de perceuse-visseuse, reposant sur un poteau réglable à la verticale et à l’horizontale, sauf qu’à la place de la mèche, il y avait un phallus de taille conséquente. Le tout était en bois magnifiquement ouvragé, avec des dorures, aux finitions parfaites. C’était une pièce antique vieille de plusieurs siècles. La personne qui l’exposait Lui proposa de tester une version reproduite beaucoup moins précieuse. Je fus donc placée sur une table avec l’appareil. La possibilité de régler en hauteur le tout permis au Maître de me faire mettre à genoux, la tête et les mains emprisonnées, puis Il régla la perceuse. Dans ce mode, le phallus rentra à la vitesse qu’Il avait décidé dans mes entrailles. Dû à l’éducation qu’Il me donnait depuis longtemps, il n’eut pas trop de difficultés à rentrer malgré la taille. Quand le Maître activa le mode visseuse, le sexe en bois se mit à tourner doucement sur son axe. C’était délicieux, mais habituée à rester stoïque, je ne bougeais ni ne semblait réagir, du moins extérieurement, car intérieurement, ma chatte s’humidifiait largement. Je restais ainsi en exposition une heure, pendant que le Maître, Wangdak et Sangmo continuaient la visite. Plusieurs personnes s’arrêtèrent devant moi, s’étonnaient de mon état qui semblait indifférent à ce que mon corps subissait.
On me posa plusieurs questions, dont celle de savoir qui j’étais et à qui j’appartenais. Mais je n’avais reçu aucune autorisation de parler donc je ne répondais pas. Ce fut Monsieur le Marquis qui répondit en revenant me chercher. En me libérant, Il me félicita à l’oreille de la parfaite obéissance que j’avais montré, et de l’honneur que j’avais apporté à Son éducation, ce qui me remplit de bonheur ! Nous ne tardâmes pas à rentrer chez Wangdak. Je n’avais pas vu grand-chose du marché d’objets et antiquité, et je n’en sus pas d’avantage en rentrant, les Dominants ayant choisi de se faire livrer. Cependant, l’après-midi avait tout de même était longue, et les deux petites chiennes que nous étions, qui avions passé tout ce temps en quadrupédie, s’endormirent le temps des deux heures de trajets qui nous fallut pour rentrer…
(A suivre...)
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