La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°968)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°968)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°967) -
Alors les émiratis s'approchèrent de moi … parlant à ce moment-là dans leur langue maternelle, que je ne connaissais pas, me palpant, avec perversité et appétit, le cul et les seins, les malaxant, les pinçant, les étirant. Au ton vociférateur employé, ils devaient m’insulter sans détour car ce qui devait être des insultes semblaient fuser à profusion comme s’ils insultaient une trainée. Après un regard affirmatif du Maître répondant au leur interrogatif, des doigts me pénétrèrent la chatte et le cul, ne tardant pas à me faire mouiller abondamment, après avoir ôté sans difficultés mes accessoires. Rapidement les fines cordelettes qui tenaient leur keffieh servirent à m'attacher les poignets et les chevilles. Ils arrivèrent même à me bondager les seins. Le Maître ne resta que peu de temps avec nous, et partit après leur avoir recommandé de se servir de moi comme ils leur plairaient. Ils ne leur en fallut pas plus pour se précipiter sur moi. Très vite on m'emplit la bouche, la chatte et le cul, les trois en même temps, ou les uns après les autres. En permanence, à tour de rôle, il y en avait un pour me donner des coups de fouet, rythmant les diverses pénétrations auxquelles j'eus droit. Je fus prise dans un nombre incalculables de positions, même suspendue, tenue par les hanches par celui qui me pilonnait la chatte à grands coups de reins puissants, et sous les aisselles par un autre, pendant qu'un troisième me baisait la bouche sans ménagement. Aucun n'éjacula à l'intérieur de moi, pas même dans ma cavité buccale, mais toujours sur mon ventre ou mon visage.
Je fus prise et abusée durant sept heures, les hommes se relayant sur et en moi, certains faisant une petite sieste dans des fauteuils pour récupérer leur force et pouvoir à nouveau me saillir et me salir…. Durant une petite demi-heure de pause qui eut lieu, au bout des quatre premières heures, ils m’entrainèrent dans la baignoire de la salle de bains afin que tous puissent pisser sur moi pour que je leur serve d’urinoir, pour ensuite me ramener et recommencer leurs assauts sexuels des plus pervers… En effet, quand ils n’arrivaient plus à bander, ils utilisèrent toutes sortes d’objets pour me remplir mes trois orifices, c’est ainsi par exemple, qu’on m’introduisit manche à balai dans l’anus, gros orteil dans la bouche, une banane dans la chatte, etc … Le soleil n’était pas encore tout à fait levé lorsque le Maître se réveilla, mais l’aube n’allait pas tarder à arriver, les première lueurs du jour commençaient à poindre. Monsieur le Marquis entra dans la pièce au moment où les émiratis me portèrent dans la salle de bain, me déposant de nouveau dans la baignoire. Et après avoir fermé hermétiquement la bonde, ils se mirent les uns à côtés des autres et pissèrent ensemble de nouveau sur mon ventre et mon visage car cette fois j'étais allongée sur le dos contrairement où au milieu de la nuit j’avais été positionnée assise dans ladite baignoire la bouche grande ouverte à leur urine. Puis ils exigèrent que je vide la baignoire en buvant leurs urines mélangées à du sperme qui s'était détaché de mon corps sous leur douche dorée. Ensuite ils sortirent tous de la pièce me laissant là, souillée comme une sale cochonne, puante et fatiguée puis ils partirent après de bruyants remerciements au Châtelain pour la folle nuit débridée qu'ils avaient passé à se livrer à leurs bas instincts des plus pervers...
Le Maître Vénéré revint dans la salle de bain et exigea que je me lave rapidement car c'était déjà l'heure de partir. Je m'exécutais aussi vite que possible et me rhabillais. Cette fois-ci, Il ne le mit aucun accessoire et dès que l’avion quitta le sol, je m'endormis plusieurs heures, vraiment épuisée par la nuit de débauche que je venais de passer. Après une escale, le second trajet fut court, moins de quatre heures, et le Châtelain me laissa également dormir tout du long dans un sommeil fort réparateur, prenant même soin de me couvrir d'une douce couverture. C’est reposée qu’avec le Maître, nous arrivâmes en milieu d'après-midi à Jaipur, la capitale de l’État indien du Rajasthan, dans une cuvette protégée par la chaîne des Ârâvalli. Nous étions invités au City Palace. Le lieu est pour moitié la résidence de la Famille Royale du Maharadjah Man Singh, l'autre partie constitue le musée...
Nous étions donc invités, enfin Monsieur le Marquis d'Evans était l'Invité du Maharadjah Man Singh. Ils avaient eu l'occasion de se rencontrer un certain nombre de fois via aussi dans le monde des affaires, et on peut dire qu'ils étaient devenus amis. Un domestique vint à notre rencontre et, après quelques brèves phrases échangées, le Maître le suivit. En tant que femme et employée d'un noble, je n'étais guère plus considérée que nos bagages et j'attendais d'ailleurs Son retour avec nos valises dans le hall. N'étant pas en tenue de chienne soumise, je restais debout près des bagages mais néanmoins je me tenais tête et regard baissés, mains jointes dans le dos. Je restais ainsi un long moment, et de nombreuses personnes passèrent près de moi et me détaillèrent. Le Maître revint pratiquement à la tombée du jour. Un des serviteurs du Maharadjah s'occupa des valises, et d'un claquement de doigts le Noble m'ordonna de Le suivre. Il me conduisit au travers des nombreux couloirs du Palais, tous décorés de riches tapisseries, et le couloir principal portait sur ses murs les portraits des différents Maharadjahs qui avaient vécu à Jaipur. Au bout de plusieurs minutes, Il poussa des portes qui donnaient sur notre chambre. Enfin, chambre, si on pouvait l'appeler ainsi ! C'était une vraie suite que, personnellement j'aurai qualifié de royale ! Il y avait une grande chambre, avec une immense salle de bain, dans laquelle on aurait pu faire entrer mon ancienne maison ! Un salon-salle à manger, et une seconde chambre plus petite juxtaposant une immense salle de bain aux robinetteries luxueuses où une piscine-spa carrée était flanquée en son centre, telle une immense baignoire de 5 mètres par 5. Environ. Le mobilier de la majeure partie de la suite, en dehors de la petite chambre et de la salle d'eau, était en bois précieux, décoré de feuilles d'or. Le lit de la grande chambre était à baldaquin, tendu de riche rideaux rouges brodés d'or. Et le sol était en marbre blanc. Pour la seconde partie, le décor changeait du tout au tout. Le bois et le carrelage étaient vulgaires, bien que tout de même de bonne qualité. On voyait bien que c'était la partie réservée aux domestiques.
- Pour le moment, nous allons rester ici, et nous dînerons ici. Une femme ici n'est pas grand-chose, c’est hélas leur culture Hindoue qui l’exige. Donc tu resteras une grande partie de notre séjour dans la suite. Mais ne t'inquiète pas, tu sortiras ! Mais ce sera pour apparaître à mon côté en tant que chienne, en tous cas entre les murs du Palais Royal. Il n'est pas dit que tu ne sortiras pas à l'extérieur à un moment ou un autre, pour visiter un ‘‘quartier très particulier’’. Bien sûr, tu ne dormiras pas dans le lit de la petite chambre. Ceci n'est pas ta place ! En revanche, tu pourras, si je t'y autorise, utiliser la salle de bain. Il n'y coule que de l'eau froide pour la partie qui t’y est réservée. Et maintenant, dévêts-moi ! Je vais aller prendre un bain dans la piscine-spa, et pendant ce temps, tu resteras en chienne que tu es, prosternée sur la table du salon. Donc dès que je ne serais plus dans la pièce, j'exige que tu quittes ces vêtements vanilles et que tu t'accessoirises correctement…
Je rampais sur le sol jusqu'à Lui, et commençant par les pieds, je Le déshabillais entièrement. Mes effleurements involontaires l'avaient excité, et alors que je finissais de Lui enlever Sa chemise, je ne pouvais ignorer l'impressionnante érection qui avait saisi Son noble membre. Ne recevant aucun ordre, je me mettais en position d'attente en levrette, habillée, devant attendre pour remédier à cela qu'Il ait rejoint la grande piscine-spa si tel était toujours son dessein de s’y rendre. Après quelques secondes de silence, pendant lesquelles je sentais Son regard Dominant peser sur moi, Il me contourna, retroussa ma jupe de tailleur aux fentes sur les côtés, et sans préavis, Il s'enfonça dans mon cul à la hussarde. Et immédiatement Il amorça des mouvements rapides et brutaux, me pénétrant toujours plus profondément au fond de mes entrailles. Il ne tarda pas à m'attraper par les cheveux d'une poigne qui ne laissait aucune échappatoire, me tirant la tête en arrière et rendant ma nuque douloureuse.
La pénétration fut fulgurante, brutale, bestiale. Sous un tel assaut, mon cul cèda aisément, mon corps tout entier se plia à cette sauvage saillie, je m’affalais de tout mon long sur le dallage du luxueux marbre et malgré l’éducation que j’eu reçu imposant en principe le silence le plus complet, je ne pouvais retenir quelques cris de douleurs autant que mon plaisir. Quel paradoxe ! Ce sublime mélange d’une douleur violente avec en même temps un plaisir inouï de sentir mon trou du cul bien rempli, entièrement encombré. La volumineuse et raide bite du Maître en moi, tout entière et bien profondément plantée dans mon orifice écartelé, me faisait échapper ces petits cris que j’essayais de réprimer. Je fis un effort surhumain pour maitriser mes geignements, mes gémissements, car chaque coup de butoir profond, puissant, me faisait râler sinon agoniser de douleur et mille plaisirs mêlés. Le Maître accentua cette profonde enculade en m’ordonnant de me taire, de ne pas gémir mon plaisir qu’il ne voulait pas entendre au risque d’être punie sévèrement s’il entendait encore le moindre son sortir de ma bouche... Alors tant bien que mal, je réussissais à me rendre muette quand il ne tarda pas à vider Ses couilles, non pas dans mon cul, mais dessus, et Il se redressa promptement.
- Fais attention à ne pas tâcher ta jupe, lorsque tu l'enlèveras. Tu serais sévèrement punie si c'était le cas ! Tu as déjà failli avoir une punition pour avoir laissé échapper quelques petits cris de ta bouche de chienne en chaleur … Que cela ne se reproduise pas, car je serai moins magnanime la prochaine fois, salope !…
Le message était clair et je savais à quoi m’en tenir… Il se dirigea alors vers la salle de bain et referma la porte. Aussitôt je me relevais, d'une main, je maintins ma jupe relevée, de l'autre j'ouvris la fermeture éclair, puis des deux j'écartais au maximum le tissu de ma peau, et réussis à ne pas toucher au sperme se trouvant sur mes fesses. Je cherchais alors la valise contenant les accessoires D/s du Maître et y pris tout ce dont j'avais besoin. D'abord je plaçais avec bonheur mon collier autour de mon cou, ainsi que ma laisse. Puis je plaçais une pince mordante sur chacun de mes tétons et sur chacune de mes lèvres intimes. Et enfin, je m'empalais doucement mais sûrement sur un gros plug, long et épais. Il ne me resta plus qu'à me mettre dans la position exigée et à attendre. La position m'excitait, ainsi que le simple fait d'être en train d'obéir, et de pouvoir être juste la chienne que Monsieur le Marquis avait mis à jour en moi. Et là, ainsi installée, je me sentais pleinement heureuse et sereine…
(A suivre…)
Alors les émiratis s'approchèrent de moi … parlant à ce moment-là dans leur langue maternelle, que je ne connaissais pas, me palpant, avec perversité et appétit, le cul et les seins, les malaxant, les pinçant, les étirant. Au ton vociférateur employé, ils devaient m’insulter sans détour car ce qui devait être des insultes semblaient fuser à profusion comme s’ils insultaient une trainée. Après un regard affirmatif du Maître répondant au leur interrogatif, des doigts me pénétrèrent la chatte et le cul, ne tardant pas à me faire mouiller abondamment, après avoir ôté sans difficultés mes accessoires. Rapidement les fines cordelettes qui tenaient leur keffieh servirent à m'attacher les poignets et les chevilles. Ils arrivèrent même à me bondager les seins. Le Maître ne resta que peu de temps avec nous, et partit après leur avoir recommandé de se servir de moi comme ils leur plairaient. Ils ne leur en fallut pas plus pour se précipiter sur moi. Très vite on m'emplit la bouche, la chatte et le cul, les trois en même temps, ou les uns après les autres. En permanence, à tour de rôle, il y en avait un pour me donner des coups de fouet, rythmant les diverses pénétrations auxquelles j'eus droit. Je fus prise dans un nombre incalculables de positions, même suspendue, tenue par les hanches par celui qui me pilonnait la chatte à grands coups de reins puissants, et sous les aisselles par un autre, pendant qu'un troisième me baisait la bouche sans ménagement. Aucun n'éjacula à l'intérieur de moi, pas même dans ma cavité buccale, mais toujours sur mon ventre ou mon visage.
Je fus prise et abusée durant sept heures, les hommes se relayant sur et en moi, certains faisant une petite sieste dans des fauteuils pour récupérer leur force et pouvoir à nouveau me saillir et me salir…. Durant une petite demi-heure de pause qui eut lieu, au bout des quatre premières heures, ils m’entrainèrent dans la baignoire de la salle de bains afin que tous puissent pisser sur moi pour que je leur serve d’urinoir, pour ensuite me ramener et recommencer leurs assauts sexuels des plus pervers… En effet, quand ils n’arrivaient plus à bander, ils utilisèrent toutes sortes d’objets pour me remplir mes trois orifices, c’est ainsi par exemple, qu’on m’introduisit manche à balai dans l’anus, gros orteil dans la bouche, une banane dans la chatte, etc … Le soleil n’était pas encore tout à fait levé lorsque le Maître se réveilla, mais l’aube n’allait pas tarder à arriver, les première lueurs du jour commençaient à poindre. Monsieur le Marquis entra dans la pièce au moment où les émiratis me portèrent dans la salle de bain, me déposant de nouveau dans la baignoire. Et après avoir fermé hermétiquement la bonde, ils se mirent les uns à côtés des autres et pissèrent ensemble de nouveau sur mon ventre et mon visage car cette fois j'étais allongée sur le dos contrairement où au milieu de la nuit j’avais été positionnée assise dans ladite baignoire la bouche grande ouverte à leur urine. Puis ils exigèrent que je vide la baignoire en buvant leurs urines mélangées à du sperme qui s'était détaché de mon corps sous leur douche dorée. Ensuite ils sortirent tous de la pièce me laissant là, souillée comme une sale cochonne, puante et fatiguée puis ils partirent après de bruyants remerciements au Châtelain pour la folle nuit débridée qu'ils avaient passé à se livrer à leurs bas instincts des plus pervers...
Le Maître Vénéré revint dans la salle de bain et exigea que je me lave rapidement car c'était déjà l'heure de partir. Je m'exécutais aussi vite que possible et me rhabillais. Cette fois-ci, Il ne le mit aucun accessoire et dès que l’avion quitta le sol, je m'endormis plusieurs heures, vraiment épuisée par la nuit de débauche que je venais de passer. Après une escale, le second trajet fut court, moins de quatre heures, et le Châtelain me laissa également dormir tout du long dans un sommeil fort réparateur, prenant même soin de me couvrir d'une douce couverture. C’est reposée qu’avec le Maître, nous arrivâmes en milieu d'après-midi à Jaipur, la capitale de l’État indien du Rajasthan, dans une cuvette protégée par la chaîne des Ârâvalli. Nous étions invités au City Palace. Le lieu est pour moitié la résidence de la Famille Royale du Maharadjah Man Singh, l'autre partie constitue le musée...
Nous étions donc invités, enfin Monsieur le Marquis d'Evans était l'Invité du Maharadjah Man Singh. Ils avaient eu l'occasion de se rencontrer un certain nombre de fois via aussi dans le monde des affaires, et on peut dire qu'ils étaient devenus amis. Un domestique vint à notre rencontre et, après quelques brèves phrases échangées, le Maître le suivit. En tant que femme et employée d'un noble, je n'étais guère plus considérée que nos bagages et j'attendais d'ailleurs Son retour avec nos valises dans le hall. N'étant pas en tenue de chienne soumise, je restais debout près des bagages mais néanmoins je me tenais tête et regard baissés, mains jointes dans le dos. Je restais ainsi un long moment, et de nombreuses personnes passèrent près de moi et me détaillèrent. Le Maître revint pratiquement à la tombée du jour. Un des serviteurs du Maharadjah s'occupa des valises, et d'un claquement de doigts le Noble m'ordonna de Le suivre. Il me conduisit au travers des nombreux couloirs du Palais, tous décorés de riches tapisseries, et le couloir principal portait sur ses murs les portraits des différents Maharadjahs qui avaient vécu à Jaipur. Au bout de plusieurs minutes, Il poussa des portes qui donnaient sur notre chambre. Enfin, chambre, si on pouvait l'appeler ainsi ! C'était une vraie suite que, personnellement j'aurai qualifié de royale ! Il y avait une grande chambre, avec une immense salle de bain, dans laquelle on aurait pu faire entrer mon ancienne maison ! Un salon-salle à manger, et une seconde chambre plus petite juxtaposant une immense salle de bain aux robinetteries luxueuses où une piscine-spa carrée était flanquée en son centre, telle une immense baignoire de 5 mètres par 5. Environ. Le mobilier de la majeure partie de la suite, en dehors de la petite chambre et de la salle d'eau, était en bois précieux, décoré de feuilles d'or. Le lit de la grande chambre était à baldaquin, tendu de riche rideaux rouges brodés d'or. Et le sol était en marbre blanc. Pour la seconde partie, le décor changeait du tout au tout. Le bois et le carrelage étaient vulgaires, bien que tout de même de bonne qualité. On voyait bien que c'était la partie réservée aux domestiques.
- Pour le moment, nous allons rester ici, et nous dînerons ici. Une femme ici n'est pas grand-chose, c’est hélas leur culture Hindoue qui l’exige. Donc tu resteras une grande partie de notre séjour dans la suite. Mais ne t'inquiète pas, tu sortiras ! Mais ce sera pour apparaître à mon côté en tant que chienne, en tous cas entre les murs du Palais Royal. Il n'est pas dit que tu ne sortiras pas à l'extérieur à un moment ou un autre, pour visiter un ‘‘quartier très particulier’’. Bien sûr, tu ne dormiras pas dans le lit de la petite chambre. Ceci n'est pas ta place ! En revanche, tu pourras, si je t'y autorise, utiliser la salle de bain. Il n'y coule que de l'eau froide pour la partie qui t’y est réservée. Et maintenant, dévêts-moi ! Je vais aller prendre un bain dans la piscine-spa, et pendant ce temps, tu resteras en chienne que tu es, prosternée sur la table du salon. Donc dès que je ne serais plus dans la pièce, j'exige que tu quittes ces vêtements vanilles et que tu t'accessoirises correctement…
Je rampais sur le sol jusqu'à Lui, et commençant par les pieds, je Le déshabillais entièrement. Mes effleurements involontaires l'avaient excité, et alors que je finissais de Lui enlever Sa chemise, je ne pouvais ignorer l'impressionnante érection qui avait saisi Son noble membre. Ne recevant aucun ordre, je me mettais en position d'attente en levrette, habillée, devant attendre pour remédier à cela qu'Il ait rejoint la grande piscine-spa si tel était toujours son dessein de s’y rendre. Après quelques secondes de silence, pendant lesquelles je sentais Son regard Dominant peser sur moi, Il me contourna, retroussa ma jupe de tailleur aux fentes sur les côtés, et sans préavis, Il s'enfonça dans mon cul à la hussarde. Et immédiatement Il amorça des mouvements rapides et brutaux, me pénétrant toujours plus profondément au fond de mes entrailles. Il ne tarda pas à m'attraper par les cheveux d'une poigne qui ne laissait aucune échappatoire, me tirant la tête en arrière et rendant ma nuque douloureuse.
La pénétration fut fulgurante, brutale, bestiale. Sous un tel assaut, mon cul cèda aisément, mon corps tout entier se plia à cette sauvage saillie, je m’affalais de tout mon long sur le dallage du luxueux marbre et malgré l’éducation que j’eu reçu imposant en principe le silence le plus complet, je ne pouvais retenir quelques cris de douleurs autant que mon plaisir. Quel paradoxe ! Ce sublime mélange d’une douleur violente avec en même temps un plaisir inouï de sentir mon trou du cul bien rempli, entièrement encombré. La volumineuse et raide bite du Maître en moi, tout entière et bien profondément plantée dans mon orifice écartelé, me faisait échapper ces petits cris que j’essayais de réprimer. Je fis un effort surhumain pour maitriser mes geignements, mes gémissements, car chaque coup de butoir profond, puissant, me faisait râler sinon agoniser de douleur et mille plaisirs mêlés. Le Maître accentua cette profonde enculade en m’ordonnant de me taire, de ne pas gémir mon plaisir qu’il ne voulait pas entendre au risque d’être punie sévèrement s’il entendait encore le moindre son sortir de ma bouche... Alors tant bien que mal, je réussissais à me rendre muette quand il ne tarda pas à vider Ses couilles, non pas dans mon cul, mais dessus, et Il se redressa promptement.
- Fais attention à ne pas tâcher ta jupe, lorsque tu l'enlèveras. Tu serais sévèrement punie si c'était le cas ! Tu as déjà failli avoir une punition pour avoir laissé échapper quelques petits cris de ta bouche de chienne en chaleur … Que cela ne se reproduise pas, car je serai moins magnanime la prochaine fois, salope !…
Le message était clair et je savais à quoi m’en tenir… Il se dirigea alors vers la salle de bain et referma la porte. Aussitôt je me relevais, d'une main, je maintins ma jupe relevée, de l'autre j'ouvris la fermeture éclair, puis des deux j'écartais au maximum le tissu de ma peau, et réussis à ne pas toucher au sperme se trouvant sur mes fesses. Je cherchais alors la valise contenant les accessoires D/s du Maître et y pris tout ce dont j'avais besoin. D'abord je plaçais avec bonheur mon collier autour de mon cou, ainsi que ma laisse. Puis je plaçais une pince mordante sur chacun de mes tétons et sur chacune de mes lèvres intimes. Et enfin, je m'empalais doucement mais sûrement sur un gros plug, long et épais. Il ne me resta plus qu'à me mettre dans la position exigée et à attendre. La position m'excitait, ainsi que le simple fait d'être en train d'obéir, et de pouvoir être juste la chienne que Monsieur le Marquis avait mis à jour en moi. Et là, ainsi installée, je me sentais pleinement heureuse et sereine…
(A suivre…)
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