La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°970)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°970)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°969) -
Jusqu’à ce que la Domina attrapa brutalement l’ancienne cuisinière Zao par ses cheveux l’obligeant à se relever et à se mettre sur la pointe des pieds… Elle fit rapidement un nœud dans ses cheveux avec un élastique qu’elle portait à son poignet. Walter lui avait glissait à l’oreille que des crochets étaient disposés à de nombreux endroits sur le plafond de la pièce. Elle en fit descendre un et y attacha l’élastique, créant une tension douloureuse dans le cuir chevelu de Zao. Elle se dirigea jusqu’à son sac d’où elle tira deux petits élastiques sur lesquels étaient accrochés des petites griffes de métal qu’elle enroula sur les tétons de la pénitente, qui ne put s’empêcher de crier en sentant les griffes se refermer sur la chair sensible. Puis elle posa des pinces avec des poids peu lourds mais assez pour les étirer et rendre la chose douloureuse. La soumise s’était débattue, mais malgré son apparence fragile, la Dominante avait une main de fer et l’avait maîtrisée sans aucun souci ! Puis elle fit de nouveau siffler dans l’air la cravache à quelques centimètres de la soumise et s’exprima en anglais, sachant qu’elle serait comprise :
- Bien, j’espère que maintenant, tu vas arrêter de te payer ma tête et que tu vas te décider à travailler ! J’aurai pu te bâillonner mais, si je veux que tu puisses me répondre quand je t’interrogerai, je ne peux pas le faire. Mais sache déjà que tu seras également puni par le Majordome ou quelqu’un qu’il nommera pour exécuter cette tâche. Es-tu prête à travailler maintenant ?
Et alors que Zao répondait un oui tremblant, elle reçut une gifle bien sonnante.
- Ne sais-tu pas qu’une soumise n’a pas le droit de parler, sauf autorisation express ? Tu réponds seulement par un mouvement de tête.
La soumise était en larmes mais provisoirement matée, et on n’eut plus rien à lui reprocher jusqu’à la fin du cours, où les deux mâles et les deux femelles étaient capables de comprendre des ordres comme à genoux, prosterne-toi, ouvre la bouche, suis-moi, ainsi que les consignes de la vie courante sur les corvées, les douches… Quand Miss Teachclaw sortit, elle laissa Zao attachée et pleurnicharde mais qui étrangement laissait échapper sa cyprine entre ses cuisses, montrant ainsi et malgré elle que les agissements de la Domina l’avait excité grandement. Juste avant de sortir Miss Teachclaw avait ordonné aux autres de se mettre à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête, jusqu’à ce qu’on vienne les chercher.
Walter arriva une heure après, silencieusement. En dehors de Zao, qui ne pouvait bouger et de la soumise asiatique, qui avait gardé tant bien que mal la position en grimaçant de douleur, en tremblant, les deux mâles, eux au bout d’une demi-heure, en avait eu assez d’attendre et lorsque ça avait commencé à tirer, avaient préféré s’allonger, se disant qu’ils auraient le temps de se remettre en position au moindre bruit qui se ferait entendre. C’était sans compter sur les très nombreuses caméras présentes dans tout le Château, ce qu’ils ne savaient pas, et qui étaient régulièrement surveillées par le Majordome. Il ne fit pas le moindre bruit et grâce à l’entretien méticuleux quotidien qu’il supervisait, la porte ne grinça pas quand il l’ouvrit. Il avait pris soin de prendre avec lui son fouet et après quelques secondes où personne ne s’aperçut de sa présence, il arma son bras et administra vingt coups de fouets aux deux chiens désobéissants, qui s’étaient jetés au sol, à plat ventre et n’osaient plus bouger en attendant que les coups cessent… Ce traitement avait paradoxalement excité les deux soumis qui arboraient une forte érection. Puis sans un mot, il se plaça derrière Zao, et lui infligea le même traitement, prenant soin de viser les parties les plus sensibles de son corps ... Enfin dans un parfait anglais, il s’exprima ainsi :
- Chienne, ta sanction est terminée. J’espère que tu auras à cœur de te montrer plus respectueuse avec toutes personnes qui te seront supérieures ! Et maintenant, je m’adresse à vous tous. Vous n’êtes pas ici pour vous tourner les pouces, vous n’êtes pas en camp de vacances ! Vous êtes soumis depuis plus ou moins longtemps, mais nous allons reprendre votre éducation à la base. Vous n’êtes rien, vous devez obéir à n’importe quel ordre qui vous sera donné, peu importe si celui-ci vous semble compliqué à suivre. Vous êtes ici de votre plein gré, vous n’avez donc plus le choix, à moins que vous ne décidiez de quitter définitivement le Château du Marquis d’Evans. Sinon vous paierez à chaque fois les conséquences de votre désobéissance et de vos manquements. Sachez également, que vous ne le voyiez ou pas, vous êtes surveillés en permanence. Alors n’essayez pas de nous tromper. Et maintenant, suivez-moi ! Comme tout soumis, vous vous déplacez à quatre pattes sauf si on vous exige autre chose. Et comme chaque chien du Cheptel de Monsieur le Marquis, vous commencerez tous par vivre au Chenil. Pour aujourd’hui c’est là-bas que vous y mangerez.
Walter libéra fermement mais lentement Zao de ses chaînes et la soutint le temps qu’elle retrouve toutes les sensations dans ses membres et qu’elle puisse suivre les autres en quadrupédie. Elle ne put retenir des gémissements douloureux quand il enleva les élastiques à griffes de ses tétons. Elle eut mal au point qu’elle crut un moment qu’ils avaient été arrachés et étaient restés attachés aux petits fils de caoutchouc… Il les emmena donc jusqu’au Chenil après leur avoir passé à chacun un collier et une laisse, rectifiant leurs attitudes à l’aide d’une badine lorsqu’ils relevaient trop la tête pour admirer les couloirs, les tableaux ou les tapisseries, ou encore s’ils ne marchaient pas assez vite. Zao était la dernière après qu’il eut enchainé les trois autres chacun à une niche. Et alors que la soumise allait, d’elle-même, se diriger vers la niche vide suivante, Walter tira d’un coup sec sur sa laisse.
- Non, pas toi ! Toi tu viens avec moi. Les autres, vous n’avez que le repos comme occupation possible, et réfléchir.
Et il entraîna la soumise à sa suite, jusqu’aux cuisines.
- Puisque tu étais cuisinière chez le précédent Maître qui t’a soumise, ici tu seras principalement aux ordres de notre bien aimée cuisinière que voici. Marie, je te présente la chienne Zao que Monsieur le Marquis vient d’acquérir.
Le Majordome, qui pensait avoir cerné la chienne, avait fait exprès de laisser sous-entendre qu’elle n’appartenait plus du tout à Wangdak pour la pousser dans ses retranchements. Ce qui réussit très bien, car Zao se redressa immédiatement sur ses genoux pour protester qu’elle n’était ici que temporairement et que le Châtelain n’avait pas intérêt à la considérer de trop comme étant Sa propriété car elle ne le serait jamais ! Ce qui lui valut un aller-retour de baffes depuis la main de Marie, qui ne supportait pas que l’on puisse médire du Maître des lieux.
- Il va falloir que tu te contiennes et que tu changes de comportement ! Je ne pense pas qu’un Dominant, ami de Monsieur le Marquis, puisse tolérer une chienne aussi mal éduquée ! Si tu veux pouvoir un jour regagner le Tibet, change très vite d’attitude, petite salope. (Et sous le regard flamboyant de colère de l’intéressée, elle rajouta :) Oui ici tu ne seras jamais privilégiée, et il va falloir que tu acceptes de devenir ce que tu es sensée être, une chienne en chaleur, une salope, une pute qui doit obéir et satisfaire n’importe quel Dominant, qui sera prise par tous ses trous à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, dans n’importe quelle position ! Et pour commencer, viens me satisfaire moi !
Alors sans autre préambule, Marie souleva sa jupe et son tablier, puis Walter avança de force la tête de Zao entre les cuisses de la cuisinière et la maintint jusqu’à ce qu’elle se décide à sortir sa langue et à l’activer sur le clito et entre les lèvres intimes odorantes qui se présentaient à elle. Elle n’avait jamais eu à faire cela. Wangdak ne l’avait que peu souvent mise à disposition de quelqu’un et jamais avec une femme. Elle était donc assez hésitante, un peu écœurée. Marie la saisit par les cheveux, bougeant sa tête pour la guider. Sur un signe qu’elle fit, Walter lui appliqua quelques coups de badines sur le cul pour qu’elle mette un peu plus de cœur à l’ouvrage. Au bout d’un long moment où la soumise léchait tant bien que mal ayant la tête fermement maintenue entre les cuisses de Marie la cuisinière, celle-ci finit par laisser éclater un orgasme, inondant le visage de Zao, tandis que le Majordome accompagnait une fessée de ces mots :
- On va te dresser, nous, ne t’inquiète pas. On va te dresser, la salope de chienne !
Puis sans avoir le droit de se laver le visage, la cuisinière l’enchaîna dans le cagibi de la cuisine pour le reste de la journée, ne voyant la lumière que lorsque la porte s’ouvrait au moment de manger et de boire… ’’
Ainsi s’achevait le long mail que Walter avait envoyé, précisant cependant qu’on avait demandé confirmation à la chienne qu’elle voulait tout de même rester au Château, sachant que si elle ne le faisait pas, Wangdak la renverrait dans sa famille sans plus aucune chance de le revoir un jour. C’était donc de son plein gré, malgré son caractère impulsif, possessif et rebelle, qu’elle allait vivre sous le joug de Monsieur le Marquis...
En Inde, après que le Maître ait lu le compte-rendu de Walter, le domestique du Maharadjah sonna et prévint le Châtelain que tout était prêt !
- Bien, dis à Sa Majesté que j’arrive et puisque tu es là, apporte-lui ce livre que je viens de lui dédicacer.
Après qu’il se fut retiré, Il se tourna vers moi qui était sur Son ordre, assise par terre en train de travailler.
- Ma chienne, je t’avais dit que tu pourrais sortir de cette suite. Vu l’heure, tu te doutes bien que ce n’est pas pour visiter la ville. Ce soir, tu vas vivre ce que tu es pleinement, c'est-à-dire une chienne en chaleur qui ne demande qu’à se faire prendre. Ici la sexualité ne s’affiche pas, il n’existe pas de sexshop, mais ce n’est pas pour autant que nous y vivons parmi des moines ou des impuissants. Dans la haute société, sur invitation seulement, il arrive qu’il y ait des soirées très spéciales à thèmes. Il y en a une ce soir, et c’est une soirée BDSM. Tu ne seras pas la seule chienne présente, et je ne sais pas exactement ce qui va s’y passer. Mais je veux et j’exige que tu ais un comportement exemplaire ! Je ne te demande aucune réponse, tu n’as pas d’avis à avoir sur la question. Je vais te bander les yeux comme le Maharadja l’a exigé, et je vais être bon avec toi, je ne vais pas avancer trop vite pour que tu puisses me suivre dans ces couloirs qui te sont inconnus. D’ailleurs, nous prendrons plusieurs couloirs et escaliers dérobés, car ce sont des soirées secrètes même pour le personnel vivant ici. Maintenant, à genoux devant moi, ferme les yeux, tête haute, mains dans le dos. Exécution !
Je me mis dans la position exigée et fermais les yeux avec confiance. Le Maître me posa un bandeau noir sur les yeux, et me caressa doucement les cheveux et la joue, puis Il m’embrassa, avant de saisir ma laisse et de m’entraîner au travers du palais dont je n’avais quasiment rien vu…
(A suivre …)
Jusqu’à ce que la Domina attrapa brutalement l’ancienne cuisinière Zao par ses cheveux l’obligeant à se relever et à se mettre sur la pointe des pieds… Elle fit rapidement un nœud dans ses cheveux avec un élastique qu’elle portait à son poignet. Walter lui avait glissait à l’oreille que des crochets étaient disposés à de nombreux endroits sur le plafond de la pièce. Elle en fit descendre un et y attacha l’élastique, créant une tension douloureuse dans le cuir chevelu de Zao. Elle se dirigea jusqu’à son sac d’où elle tira deux petits élastiques sur lesquels étaient accrochés des petites griffes de métal qu’elle enroula sur les tétons de la pénitente, qui ne put s’empêcher de crier en sentant les griffes se refermer sur la chair sensible. Puis elle posa des pinces avec des poids peu lourds mais assez pour les étirer et rendre la chose douloureuse. La soumise s’était débattue, mais malgré son apparence fragile, la Dominante avait une main de fer et l’avait maîtrisée sans aucun souci ! Puis elle fit de nouveau siffler dans l’air la cravache à quelques centimètres de la soumise et s’exprima en anglais, sachant qu’elle serait comprise :
- Bien, j’espère que maintenant, tu vas arrêter de te payer ma tête et que tu vas te décider à travailler ! J’aurai pu te bâillonner mais, si je veux que tu puisses me répondre quand je t’interrogerai, je ne peux pas le faire. Mais sache déjà que tu seras également puni par le Majordome ou quelqu’un qu’il nommera pour exécuter cette tâche. Es-tu prête à travailler maintenant ?
Et alors que Zao répondait un oui tremblant, elle reçut une gifle bien sonnante.
- Ne sais-tu pas qu’une soumise n’a pas le droit de parler, sauf autorisation express ? Tu réponds seulement par un mouvement de tête.
La soumise était en larmes mais provisoirement matée, et on n’eut plus rien à lui reprocher jusqu’à la fin du cours, où les deux mâles et les deux femelles étaient capables de comprendre des ordres comme à genoux, prosterne-toi, ouvre la bouche, suis-moi, ainsi que les consignes de la vie courante sur les corvées, les douches… Quand Miss Teachclaw sortit, elle laissa Zao attachée et pleurnicharde mais qui étrangement laissait échapper sa cyprine entre ses cuisses, montrant ainsi et malgré elle que les agissements de la Domina l’avait excité grandement. Juste avant de sortir Miss Teachclaw avait ordonné aux autres de se mettre à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête, jusqu’à ce qu’on vienne les chercher.
Walter arriva une heure après, silencieusement. En dehors de Zao, qui ne pouvait bouger et de la soumise asiatique, qui avait gardé tant bien que mal la position en grimaçant de douleur, en tremblant, les deux mâles, eux au bout d’une demi-heure, en avait eu assez d’attendre et lorsque ça avait commencé à tirer, avaient préféré s’allonger, se disant qu’ils auraient le temps de se remettre en position au moindre bruit qui se ferait entendre. C’était sans compter sur les très nombreuses caméras présentes dans tout le Château, ce qu’ils ne savaient pas, et qui étaient régulièrement surveillées par le Majordome. Il ne fit pas le moindre bruit et grâce à l’entretien méticuleux quotidien qu’il supervisait, la porte ne grinça pas quand il l’ouvrit. Il avait pris soin de prendre avec lui son fouet et après quelques secondes où personne ne s’aperçut de sa présence, il arma son bras et administra vingt coups de fouets aux deux chiens désobéissants, qui s’étaient jetés au sol, à plat ventre et n’osaient plus bouger en attendant que les coups cessent… Ce traitement avait paradoxalement excité les deux soumis qui arboraient une forte érection. Puis sans un mot, il se plaça derrière Zao, et lui infligea le même traitement, prenant soin de viser les parties les plus sensibles de son corps ... Enfin dans un parfait anglais, il s’exprima ainsi :
- Chienne, ta sanction est terminée. J’espère que tu auras à cœur de te montrer plus respectueuse avec toutes personnes qui te seront supérieures ! Et maintenant, je m’adresse à vous tous. Vous n’êtes pas ici pour vous tourner les pouces, vous n’êtes pas en camp de vacances ! Vous êtes soumis depuis plus ou moins longtemps, mais nous allons reprendre votre éducation à la base. Vous n’êtes rien, vous devez obéir à n’importe quel ordre qui vous sera donné, peu importe si celui-ci vous semble compliqué à suivre. Vous êtes ici de votre plein gré, vous n’avez donc plus le choix, à moins que vous ne décidiez de quitter définitivement le Château du Marquis d’Evans. Sinon vous paierez à chaque fois les conséquences de votre désobéissance et de vos manquements. Sachez également, que vous ne le voyiez ou pas, vous êtes surveillés en permanence. Alors n’essayez pas de nous tromper. Et maintenant, suivez-moi ! Comme tout soumis, vous vous déplacez à quatre pattes sauf si on vous exige autre chose. Et comme chaque chien du Cheptel de Monsieur le Marquis, vous commencerez tous par vivre au Chenil. Pour aujourd’hui c’est là-bas que vous y mangerez.
Walter libéra fermement mais lentement Zao de ses chaînes et la soutint le temps qu’elle retrouve toutes les sensations dans ses membres et qu’elle puisse suivre les autres en quadrupédie. Elle ne put retenir des gémissements douloureux quand il enleva les élastiques à griffes de ses tétons. Elle eut mal au point qu’elle crut un moment qu’ils avaient été arrachés et étaient restés attachés aux petits fils de caoutchouc… Il les emmena donc jusqu’au Chenil après leur avoir passé à chacun un collier et une laisse, rectifiant leurs attitudes à l’aide d’une badine lorsqu’ils relevaient trop la tête pour admirer les couloirs, les tableaux ou les tapisseries, ou encore s’ils ne marchaient pas assez vite. Zao était la dernière après qu’il eut enchainé les trois autres chacun à une niche. Et alors que la soumise allait, d’elle-même, se diriger vers la niche vide suivante, Walter tira d’un coup sec sur sa laisse.
- Non, pas toi ! Toi tu viens avec moi. Les autres, vous n’avez que le repos comme occupation possible, et réfléchir.
Et il entraîna la soumise à sa suite, jusqu’aux cuisines.
- Puisque tu étais cuisinière chez le précédent Maître qui t’a soumise, ici tu seras principalement aux ordres de notre bien aimée cuisinière que voici. Marie, je te présente la chienne Zao que Monsieur le Marquis vient d’acquérir.
Le Majordome, qui pensait avoir cerné la chienne, avait fait exprès de laisser sous-entendre qu’elle n’appartenait plus du tout à Wangdak pour la pousser dans ses retranchements. Ce qui réussit très bien, car Zao se redressa immédiatement sur ses genoux pour protester qu’elle n’était ici que temporairement et que le Châtelain n’avait pas intérêt à la considérer de trop comme étant Sa propriété car elle ne le serait jamais ! Ce qui lui valut un aller-retour de baffes depuis la main de Marie, qui ne supportait pas que l’on puisse médire du Maître des lieux.
- Il va falloir que tu te contiennes et que tu changes de comportement ! Je ne pense pas qu’un Dominant, ami de Monsieur le Marquis, puisse tolérer une chienne aussi mal éduquée ! Si tu veux pouvoir un jour regagner le Tibet, change très vite d’attitude, petite salope. (Et sous le regard flamboyant de colère de l’intéressée, elle rajouta :) Oui ici tu ne seras jamais privilégiée, et il va falloir que tu acceptes de devenir ce que tu es sensée être, une chienne en chaleur, une salope, une pute qui doit obéir et satisfaire n’importe quel Dominant, qui sera prise par tous ses trous à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, dans n’importe quelle position ! Et pour commencer, viens me satisfaire moi !
Alors sans autre préambule, Marie souleva sa jupe et son tablier, puis Walter avança de force la tête de Zao entre les cuisses de la cuisinière et la maintint jusqu’à ce qu’elle se décide à sortir sa langue et à l’activer sur le clito et entre les lèvres intimes odorantes qui se présentaient à elle. Elle n’avait jamais eu à faire cela. Wangdak ne l’avait que peu souvent mise à disposition de quelqu’un et jamais avec une femme. Elle était donc assez hésitante, un peu écœurée. Marie la saisit par les cheveux, bougeant sa tête pour la guider. Sur un signe qu’elle fit, Walter lui appliqua quelques coups de badines sur le cul pour qu’elle mette un peu plus de cœur à l’ouvrage. Au bout d’un long moment où la soumise léchait tant bien que mal ayant la tête fermement maintenue entre les cuisses de Marie la cuisinière, celle-ci finit par laisser éclater un orgasme, inondant le visage de Zao, tandis que le Majordome accompagnait une fessée de ces mots :
- On va te dresser, nous, ne t’inquiète pas. On va te dresser, la salope de chienne !
Puis sans avoir le droit de se laver le visage, la cuisinière l’enchaîna dans le cagibi de la cuisine pour le reste de la journée, ne voyant la lumière que lorsque la porte s’ouvrait au moment de manger et de boire… ’’
Ainsi s’achevait le long mail que Walter avait envoyé, précisant cependant qu’on avait demandé confirmation à la chienne qu’elle voulait tout de même rester au Château, sachant que si elle ne le faisait pas, Wangdak la renverrait dans sa famille sans plus aucune chance de le revoir un jour. C’était donc de son plein gré, malgré son caractère impulsif, possessif et rebelle, qu’elle allait vivre sous le joug de Monsieur le Marquis...
En Inde, après que le Maître ait lu le compte-rendu de Walter, le domestique du Maharadjah sonna et prévint le Châtelain que tout était prêt !
- Bien, dis à Sa Majesté que j’arrive et puisque tu es là, apporte-lui ce livre que je viens de lui dédicacer.
Après qu’il se fut retiré, Il se tourna vers moi qui était sur Son ordre, assise par terre en train de travailler.
- Ma chienne, je t’avais dit que tu pourrais sortir de cette suite. Vu l’heure, tu te doutes bien que ce n’est pas pour visiter la ville. Ce soir, tu vas vivre ce que tu es pleinement, c'est-à-dire une chienne en chaleur qui ne demande qu’à se faire prendre. Ici la sexualité ne s’affiche pas, il n’existe pas de sexshop, mais ce n’est pas pour autant que nous y vivons parmi des moines ou des impuissants. Dans la haute société, sur invitation seulement, il arrive qu’il y ait des soirées très spéciales à thèmes. Il y en a une ce soir, et c’est une soirée BDSM. Tu ne seras pas la seule chienne présente, et je ne sais pas exactement ce qui va s’y passer. Mais je veux et j’exige que tu ais un comportement exemplaire ! Je ne te demande aucune réponse, tu n’as pas d’avis à avoir sur la question. Je vais te bander les yeux comme le Maharadja l’a exigé, et je vais être bon avec toi, je ne vais pas avancer trop vite pour que tu puisses me suivre dans ces couloirs qui te sont inconnus. D’ailleurs, nous prendrons plusieurs couloirs et escaliers dérobés, car ce sont des soirées secrètes même pour le personnel vivant ici. Maintenant, à genoux devant moi, ferme les yeux, tête haute, mains dans le dos. Exécution !
Je me mis dans la position exigée et fermais les yeux avec confiance. Le Maître me posa un bandeau noir sur les yeux, et me caressa doucement les cheveux et la joue, puis Il m’embrassa, avant de saisir ma laisse et de m’entraîner au travers du palais dont je n’avais quasiment rien vu…
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