Les Nuits de Sophie au Château – (histoire écrite par Monsieur de Silence et textes améliorés par MD

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les Nuits de Sophie au Château – (histoire écrite par Monsieur de Silence et textes améliorés par MD Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Nuits de Sophie au Château – (histoire écrite par Monsieur de Silence et textes améliorés par MD
Les Nuits de Sophie au Château – (histoire écrite par Monsieur de Silence et textes améliorés par MDE) – (Suite de l'épisode N°1341) -
- Jouis petite chienne, je te l’accorde…
Je m’affaissais sous les vagues de plaisirs, mes paupières tressautant comme mon corps qui en avait subitement perdu la force. Toutes les digues qui m’avaient permis de tenir à l’entièreté de ces derniers jours avaient cédé face à Lui. Une fois mes esprits repris, il me fit nettoyer les saletés que j’avais laissées sur Sa main, laquelle il me permit ensuite d’embrasser.

- Merci Monsieur le Marquis, de m’avoir accordé tout ce plaisir, lui dis-je pleine de reconnaissance.
- Ce n’est que le début, petite chienne, et si tu atteins encore Mes attentes, ce ne sera pas la dernière fois cette nuit. Mais rappelle-toi, sur Mon ordre uniquement.
- Oui Monsieur.
- Bien, pivote avec précaution et vient te placer en levrette, ton cul au bord de ce lit.

Je m’exécutais selon Sa volonté et Lui présentais ma croupe, sans pudeur. Il passa une main baladeuse sur chacune de mes fesses, les flattant avant de les écarter.

- Ne bouge pas, je veux bien t’autoriser à gémir seulement, ce qui t’arrivera assurément.

Je savais que je n’allais pas lui donner tort, Sa réputation le précédait. Monsieur le Marquis s’enfonça lentement dans mon anus, distordant mes parois anales de Son mandrin épais et si rigide. Il ne s’arrêta que lorsque Ses nobles bourses arrivèrent contre mon cul en butée. Il marqua une pause, le temps que je m’habitue avant de commencer un va-et-vient saccadé. Le Châtelain alterna vitesse et profondeur, enfonçant Ses fortes mains dans mes fines hanches pour prendre pleinement possession de mon cul, comme l’offrande que j’étais. J’étais à Lui. Autant physiquement que psychologiquement. Le Noble m’avait aliéné. Il m’avait déjà donné tellement de plaisir alors j’essayais de Le lui rendre, même si mon étroitesse faisait déjà le plus gros du travail pour le pomper… Après plusieurs minutes de ce savoureux traitement, je sentis qu’Il était prêt à jouir en moi une première fois. De mon côté, j’étais déjà prête depuis un moment à me sentir exploser tellement j’étais sensible, mais je n’y pensais pas, ce n’était pas mon devoir actuel alors je tenais. Je continuais à contracter mon fondement qui en devenait douloureux. Monsieur le Marquis accentua Sa prise sur mes hanches et dans un dernier mouvement, il remplit mon cul de Sa noble semence. Je restais bloquée un instant à trembler, me contenant attendant ma libération.

- Tu es étroite comme je l’apprécie. Tu es comme Mes esclaves bien formés à la sodomie, ayant la même retenue que toi, dit-il en se retirant. Bien, jouis désormais, je le veux, déclara-t-il en m’assénant une claque sur mon séant.

Ce fut la deuxième fois que je succombais à mon plaisir, mes bras cédant sous mon poids, je me retrouvais à haleter, mon visage contre le lit, secouée par de multiples vagues. Le Noble me laissa le temps de reprendre mes esprits, un temps où il me caressa les jambes, remontant progressivement vers le prochain de mes trous, dont il comptait avoir l’usage. Une minute me suffit à reprendre mes esprits ainsi que mon souffle. Il me ramena à Sa volonté en introduisant un pouce délicieux entre mes lèvres intimes qui avait toujours en mémoire l’infâme torture qu’elles avaient subie. J’allais me remettre dans la position que j’avais perdue par faiblesse, mais il me maintint comme j’étais en appuyant contre mon dos d’une main alors que Son pouce me quittait pour être remplacé par Sa noble queue, pour encore plus de plaisir. Elle s’insinua en moi en un mouvement et avec un angle lui permettant une saillie plus dure et savoureuse. Je la sentais profonde en moi venir taper les parois de mon vagin, me donnant un plaisir difficilement descriptible. Il glissait en moi sans grande difficulté tellement j’étais humide, me limant de grands mouvements arrêtés pour repartir et qui me faisait aller d’avant en arrière, m’écrasant toujours un peu plus contre le lit.

J’étais Son objet, Sa chose, une petite poupée de plaisirs dont il avait pris le contrôle total. J’adorais ne plus rien être d’autre que plaisir, un objet destiné uniquement à cela. Je ne pensais alors plus à rien, un objet ne pense pas, on l’utilise. Ma cécité n’était alors plus un handicap, un sentiment encore accentué lorsque mes mouvements étaient contraints. Il me baisa longuement et durement, plus longtemps que quand il était dans mon cul. Il y mit toute Sa force et son endurance tandis que je gémissais de nouveau autant que je le pouvais pour ne pas hurler alors que lui-même poussait des ‘han’ de bucheron à chaque poussée virile. Cela dura et dura encore, je compris alors que la pénétration précédente n’avait été qu’une mise en bouche car si Maitresse était fière que je puisse me retenir de jouir longtemps, Monsieur le Marquis me paraissait Maitre dans l’Art de prendre du plaisir le temps qu’il voulait, retardant l’extase finale à Sa pure volonté. Il maitrisait Son corps et le mien, nous amenant dans la direction que Lui seul avait décidé. Lorsque les larmes vinrent à mes yeux, je me résolus à Le supplier de me délivrer par la jouissance car la douleur de me retenir devenait insupportable.

- Monsieur le Marquis, je vous en prie … grâce …, implorais-je à bout de souffle et de force.
- Bien… Soit ! … Alors jouis esclave !

Je jouis en même temps que Lui dans un feu d’artifice de sensations. Mon corps n’étant plus qu’un ciel orageux semé de décharges électriques. Après cela, je n’étais plus bonne pour ce qu’il pouvait attendre de moi pensais-je, toute l’adrénaline que j’avais accumulé durant la soirée était redescendue. Il se retira de moi et en claquant des doigts d’une main, il enleva les cheveux collés par la sueur à mon visage.

- soumise Keira MDE, nettoie Ma noble verge et vient ensuite nettoyer notre invité. Dans les deux cas, n’oublie pas que goûter Ma semence est un grand privilège. Tu pourras la rafraichir avant de la mettre dans mon lit. Toi, tu dormiras au pied du lit, tu devras faire attention à ses besoins éventuels.

La soumise MDE s’exécuta s’occupant d’abord du Maitre et ensuite de ma petite personne. Je sentais sa langue passer avec attention et délicatesse, recueillant chaque goutte qui avait coulé sur mes cuisses avec envie. Elle me traina ensuite sous les draps au côté de Monsieur le Marquis. Je sentais Sa chaleur à mes côtés ce qui me troublait car je ne dormais qu’aux cotés de femmes. Il m’enserra contre Lui d’un bras et je n’osais plus respirer. Je pensais que nous étions installés pour dormir, mais Monsieur le Marquis voulait discuter.

- Tu es très agréable et tu M’as bien servi, je n’ai entendu que des compliments à ton sujet, mais toi qu’as-tu pensé de ton séjour en Mon noble Château ? Réponds-moi sans détour.
- Bien sûr Monsieur, je n’oserais pas Vous mentir. J’ai vécu sous Votre toit des choses incroyables et l’une des choses qui m’a le plus marqué est la Dévotion totale et sans faille de Vos esclaves. Je comprends encore plus facilement désormais le Soleil que Vous êtes pour eux. Vous êtes juste et donc de fait, un grand Dominant.
- Je te remercie de ces paroles. J’ai pu moi-même voir l’adoration que tu portes à la Maitresse qui te soumet et qui se trouve également être ta noble Mère adoptive.
- Je l’aime plus que les mots n’en peuvent donner idée, plus chèrement que la vue, l’espace et la liberté … me décidais-je à dire dans un soupir que seul mon amour pour elle pouvait provoquer.

Il parut surpris.

- Tu cites Shakespeare à merveille et d’une manière que je sais fort à propos, même si je ne te souhaite pas une fin identique.

Le Châtelain m’accorda ensuite de m’endormir, ma tête contre Son torse, bercée par Sa respiration et les battements réguliers de Son cœur. La nuit se passa ainsi à être sollicitée par deux fois étant réveillée pour Lui servir de vide-couilles, prise par la chatte en levrette et la seconde fois, par la bouche à avaler Sa noble semence. J’avais donc peu dormi jusqu’au matin et je me réveillais, seule dans le grand lit du Maitre. Et il me fallut quelques instants pour percevoir que Monsieur le Marquis n’était plus dans la chambre, quand j’entendis :
- Bonjour Sophie, dit soumise Keira MDE.

Je sursautais vivement ne m’étant attendue nullement à ce que quelqu’un soit présent. J’avais à peine eu le temps d’ouvrir les yeux.

- Je te prie de me pardonner, Sophie, je ne voulais pas vous faire peur, s’excusa-t-elle immédiatement suite à ma réaction.

A mes yeux, elle n’avait pas besoin de s’excuser.

- Tu as passé la nuit ici ?
- Oui Sophie, Monsieur le Marquis d’Evans m’a autorisé à passer la nuit aux pieds de Son noble lit afin de veiller sur toi.

soumise Keira MDE semblait si heureuse de ce fait, je la comprenais parfaitement. Si ce n’était plus possible pour moi j’étais heureuse que quelqu’un puisse jouir de ce devoir et incroyable privilège au prêt de Maitresse.

- Le Maitre vénéré qui me possède corps et âme t’invite à utiliser Sa salle de bain personnelle pour ensuite Le rejoindre dans le petit salon prendre le petit déjeuner en compagnie de ta Noble Mère adoptive.

Cette invitation était-elle toujours d’actualité ? Je ne savais pas qu’elle heure il était. J’en questionnais soumise Keira MDE qui me répondit que Monsieur le Marquis venait à peine de descendre et qu’ainsi j’avais du temps devant moi... Je ne pouvais pas me rendre à la salle de bain seule, au manoir quoique cela ne me soit pas permis, j’aurais pu me débrouiller seule dans une certaine mesure. Ici, cela m’était impossible. Après avoir attendu encore quelque instant, je me hasardais une fois de plus
- Je ne sais pas comment m’y rendre, tu pourrais m’aider, s’il te plait ?
- Bien évidemment Sophie, répondit-elle immédiatement. J’avais une fois encore l’impression que certaines choses étaient planifiées.

Une fois que je fus descendue du lit, Keira MDE me prit par le bras pour m’emmener, comme je leur avais indiqué à mon arrivée au Château, il y a de cela deux nuits. Dans la salle de bain, je choisis de prendre une douche rapide ce à quoi m’aida Keira MDE, une fois encore après que je lui eus demandé. Il fallait que je lui demande pour tout ce que je devais faire et où son aide m’était indispensable. L’eau chaude, le savon, les serviettes, puis ensuite la coiffure, le maquillage et l’habillement. Mère avait tout prévu et savait comment elle me voulait aujourd’hui. J’apparu donc au bras de Keira MDE dans le petit salon une fois annoncé par Monsieur Walter qui me semblait veillé au grain. J’étais vêtue d’une petite robe estivale en soie dos nu, ne tenant que d’un nœud derrière ma nuque, un nœud que l’on retrouvait en écho pour tenir ma coiffure. J’avais le symbole de notre famille sur mon collier ainsi que sur mon dos, j’en étais fière et heureuse.

- Mais, tu es radieuse petite chienne, ce matin, s’exclama Monsieur le Marquis.
- Mille merci Monsieur, répondis-je sentant mes joues s’enflammer. J’avais encore le souvenir de la prise de possession qu’il avait fait sur moi la nuit même…
La situation était pour moi surréaliste mais se déroula pourtant avec le plus grand naturel. Comme durant la prise d’un petit déjeuner en famille, nous discutions de tous et de rien n’évoquant aucun des évènements précédents si ce n’est la qualité de mon sommeil une fois endormie.

- A ce sujet, j’espère que Ma soumise MDE aura su répondre à toute tes besoins, petite chienne Sophie, s’enquit Monsieur le Marquis.
- Je … Oui …Elle m’a aidé en tout point et je la remercie, Monsieur le Marquis, bafouillais-je en réponse.
- J’en suis heureux, elle avait pour cela été choisie parmi Mes favorites.

Le petit déjeuner fini, il fut temps de partir faire le voyage retour. Keira MDE m’accompagna jusqu’au perron du Château, puis me transmit à Caroline que je reconnus immédiatement. J’aurais voulu la serrer contre moi, mais j’avais un rôle à tenir comme je l’avais compris.

- Monsieur le Marquis, je vous remercie de m’avoir accueillie en Votre magnifique Demeure et je Vous remercie encore de Vous être occupé de moi, récitais-je devant Lui, après avoir réalisé une légère révérence.
- Monsieur le Marquis, il est l’heure des adieux effectivement.
- Madame votre présence parmi nous fut des plus rafraichissantes, dit-il à Son tour. Petite chienne Sophie, j’espère que nous aurons le loisir de nous revoir.

Nous montions en voiture, cette dernière se mettant immédiatement en mouvement, c’était la fin de cette escapade…
(FIN du passage de Sophie au Château …)

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