La serveuse partie 2

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : La serveuse partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La serveuse partie 2
Nathalie a donc continué à travailler dans cette pizzeria pendant presque un an.
Elle y allait en général trois à quatre fois par mois, parfois plus, suivant les réservations et les jours fériés.
Elle avait volontairement mis un frein aux relations sexuelles qu’elle avait avec ses patrons et ne le faisait plus qu’une à deux fois dans le mois.
Cela devenait trop routinier.
Elle prenait toujours du plaisir lorsqu’elle le faisait mais ne voulait pas que ce soit systématique et elle voulait surtout avoir son libre choix de le faire ou pas.
Eux auraient voulu à chaque fois bien sûr, mais ils respectaient ses désirs.

Elle s’est évidemment fait draguer par pas mal de clients, discrètement pour certains, avec beaucoup de tact pour d’autres et malheureusement avec lourdeur voire vulgarité pour quelques-uns.
Quand cela allait trop loin, elle en parlait aussitôt à Pietro qui venait rapidement calmer les choses.
Une fois Luiggi a dû intervenir en plus de son frère car le mec était arrogant, vulgaire et fortement alcoolisé, il l’était déjà en entrant dans la pizzeria.
« On n’embête pas la p’tite ou je te fracasse » disait-il.
En règles général ça les calmaient.

Si elle avait été célibataire, elle aurait pu chopper un ou plusieurs mecs différent tous les soirs.
Elle préférait une petite aventure de temps en temps pour mettre du piment dans nos relations.

Un mardi soir qu’elle travaillait, un homme d’une trentaine d’année qui était en déplacement dans le secteur, est venu manger.
C’était un grand brun athlétique avec en plus les yeux bleu.
Évidemment lorsqu’il a commencé à la draguer et qu’elle aimait beaucoup ce genre d’homme, Nathalie ne l’a pas refoulé.
Le problème c’est qu’il voulait absolument qu’elle vienne passer la nuit à son hôtel qui se trouvait à une dizaine de kilomètres d’ici.
Devenant trop insistant sur ce fait, elle n’a pas voulu accepter et a ignoré le reste de ces avances.

A la fin du service, alors qu’elle s’en retournait à la voiture pour rentrer à la maison, elle l’aperçue se diriger vers elle, il avait dû attendre qu’elle finisse son travail pour tenter sa chance une dernière fois.
Il n’avait pas l’air agressif donc elle n’a pas eu peur.
« Je suis désolé si j’ai été un peu lourd tout à l’heure, mais vous êtes tellement jolie que je suis tombé sous votre charme » lui dit-il.
« Merci, mais je suis mariée et là je dois rentrer chez moi retrouver mon mari » lui répondit-elle presque à regret.
Il renchérit alors :
« Pourtant tout à l’heure vous n’aviez pas l’air contre le fait de se connaître un peu plus… »
« Oui je sais mais je ne peux pas découcher, mon mari va s’inquiéter s’il ne me voit pas rentrer »
Il a continué à la complimenter tout en se rapprochant d’elle doucement.
Accoté contre la voiture, elle ne pouvait plus reculé alors que lui était de plus en plus près d’elle.
Et lorsqu’il a avancé ses mains pour les poser sur sa taille, elle n’a rien dit, elle a fermé les yeux et entr’ouvert sa bouche.
La langue du beau brun est venue jouer avec la sienne dans un baiser langoureux.
« Il ne faut pas rester ici on pourrait nous voir » dit-elle.
Avec un grand sourire il lui dit :
« Hôtel ? »
« Non, par contre je connais un endroit pas loin ou on sera tranquille dans la voiture »
« OK je te suis »

C’était un petit parking très peu éclairé desservi par une petite ruelle qui donnait sur un parc forestier fermé la nuit.
Elle le connaissait bien car elle a plusieurs fois vidée quelques mecs à cet endroit.

Ils se sont garés l’un à côté de l’autre puis sont sortis de leur voiture.
La sienne était plus grande donc ils ont choisi d’aller dans celle-là.
Après avoir avancé les siège avant, il lui a ouvert la porte pour qu’elle monte à l’arrière.
Il l’a suivi et a verrouillé le véhicule pour plus de sécurité.
Il s’est tourné vers elle pour l’embrasser tout en glissant ses mains sous son chemisier, qui s’est retrouvé très vite comme son soutien-gorge à côté d’elle sur la banquette.
Il lui caressait et lui embrassait les seins dont les pointes se sont érigées presque aussitôt.
Leurs baisers étaient enflammés et fougueux.
Ses mains parcouraient tout le corps de ma femme jusqu’à faire sauter la jupe aussi.
« Hummm, tu n’as rien sous ta jupe, j’adore » dit-il.

Elle ne mettait plus de string quand elle allait bosser à la pizzeria, au cas où elle aurait envie de se faire sauter par son patron.
Ses doigts glissaient maintenant vers son sexe, caressant le bord des lèvres et tentant de se frayer un passage.
Pendant ce temps, elle avait posé la main sur son pantalon pour en sortir sa bite bien bandé.
Leurs langues n’en finissaient pas de se mélanger.
Sentant ses doigts vouloir aller plus loin, elle a écarté les cuisses pour lui faciliter la chose.
Son sexe était trempé et il pouvait maintenant la fouiller à sa guise.
Deux à l’intérieur, un sur le clito, il la branlait frénétiquement.
Sentant son plaisir monter, elle s’est calée, les cuisses grandes ouvertes pour sentir ses doigts plus loin en elle.
Sa respiration s’accélérait, ses gémissements augmentaient elle s’avançait vers une jouissance certaine.
Cependant la voyant proche de l’extase, il a diminué l’intensité de ses mouvements pour la faire redescendre un peu et pour mieux la re-excité après.
Il en faisait un jeu auquel il s’est amusé un bon moment.
Dès qu’il la sentait au bord de l’orgasme il s’arrêtait pour l’embrasser, lui caressait les seins le temps qu’elle redescende, puis retournait s’occuper de sa chatte à nouveau.
Quand elle a pris son pied, elle s’est agrippée à sa main, la tenant fermement entre ses cuisses.
Tout son corps tremblait pendant qu’elle jouissait dessus, ne la lâchant que plusieurs dizaines de secondes après son orgasme.
Elle a attrapé ses doigts couvert de cyprine, pour les porter à sa bouche et les sucer un par un.
Elle s’est ensuite penchée vers son sexe et après avoir fait tomber pantalon et slip, elle l’a engloutie de ses lèvres pulpeuses et gourmandes.
Sa langue virevoltait sur le méat trempé de secrétions.
Sa main massait ses couilles pendant qu’elle l’enfonçait loin dans sa bouche.
Elle le branlait tout en lui titillant le gland de sa langue agile.
Elle lui a prodiguait la même torture qu’il lui avait fait subir juste avant.
S’arrêtant lorsqu’elle le sentait prêt à jouir, pour venir l’embrasser afin de mieux le reprendre en bouche après.
Lorsqu’à son tour il a joui, ses mains tenaient la tête de ma femme afin qu’il déverse dans sa bouche un flot de sperme par saccade.
Pressant son membre pour en extraire les dernières gouttes, elle l’a ensuite bien nettoyé, le léchant sur toute la longueur de sa bite.

Il se sont revêtus, puis ont discuté encore quelques minutes avant de reprendre chacun leur voiture.

Lorsqu’elle est revenue travailler le vendredi soir, le grand brun est arrivé pour manger vers 22h, peu avant la fin du service.
Quand Pietro l’a vu, il a dit discrètement à Nathalie :
« Je crois que tu as un ticket avec ce mec, il a mangé ici presque tous les soirs et à chaque fois m’a demandé si tu travaillais. Il m’a dit que tu étais jolie, sympa et que tu avais l’air de bien faire ton boulot. »
Elle a souri presque gênée.

Lorsqu’elle l’a servi il est resté discret mais lui a quand même demandé :
« On peut se retrouver au même endroit que l’autre jour après ton boulot ? J’ai décalé mon départ à demain car ton patron m’a dit que tu serais là ce soir. »
Après un faux semblant d’hésitation, elle a hoché la tête en signe d’acquiescement.

Elle a garé sa voiture juste à côté de la sienne puis est descendu pour aller le rejoindre à l’arrière.

Il l’attendait juste en slip, qui ne masquait que très peu l’érection qu’il avait déjà.
Un peu surprise, elle est venue s’asseoir près de lui.
Après tout elle savait pourquoi ils s’étaient donné rendez-vous ici et donc le fait qu’il l’attende juste en slip avec une trique du tonnerre n’avait rien de choquant.
Ils se sont embrassés langoureusement.
Pendant que leurs langues se mélangées, il l’a déshabillé jusqu’à ce qu’elle se retrouve complètement nue.
Il l’a ensuite allongé sur la banquette pour l’embrasser partout sur le corps.
Le visage, le cou, les seins sur lesquels il s’est beaucoup attardé, le ventre puis enfin son sexe.
D’abord lui léchant les lèvres sur toute leur longueur puis s’insinuant petit à petit à l’intérieur.
Le goût et l’odeur devait lui plaire car à peine avait-il entré sa langue, qu’il s’est mis à la dévorer goulûment, allant aussi profondément qu’il pouvait.
Il jouait avec son clito puis lui aspirait les lèvres avant de retourner la fouillait bien à fond.
Elle mouillait beaucoup sous ses caresses buccales et lui se régalait de ses secrétions.
Il a joué avec elle, comme il l’avait fait la dernière fois, en stoppant lorsqu’il la sentait au bord de l’explosion, pour mieux reprendre quelques secondes plus tard.
Quand elle a joui, elle lui a bloquée la tête contre son pubis presque à l’étouffer, pour qu’il enfonce sa langue le plus loin possible en elle.

Elle s’est ensuite relevée pour se pencher vers lui et aller le prendre en bouche.
Son gland était lui aussi trempé de secrétions, sa bite était bien dure et bien tendue.
Elle l’a avalée goulûment et l’a sucée avec passion.
Il a très vite attrapé un préservatif pour le dérouler le long de sa verge.
Il s’est calé dans le siège pour permettre à Nathalie de venir à califourchon sur lui et ainsi s’empaler sur sa queue.
Doucement, elle est descendue jusqu’à ce qu’elle le sente bien au fond et que leurs pubis se touche.
Accrochée à son cou, elle montait et descendait sur ce pieu bien bandé.
Cette fois c’était elle qui gérait, d’abord y allant doucement puis elle a très vite accéléré le mouvement.
Elle voulait jouir, ce mec l’excitait, il savait y faire pour la faire grimper aux rideaux.
Elle le chevauchait fougueusement, remuant bien son bas ventre lorsqu’il était complètement enfoncé en elle puis remontait pour sentir son gland frotter sur ses lèvres.
Ses vas et viens étaient de plus en plus rapide, jusqu’à ce qu’elle sente le plaisir à son paroxysme et qu’elle libère un orgasme, la bouche collé à son partenaire pour ne pas crier trop fort.
Essoufflés, ils ont vite repris leurs esprits pour remettre ça en position levrette.
Agrippé à ses hanches il la défonçait sauvagement.
Il était très excité et grognait presque à chaque coup de rein.
Il l’a démonté ainsi pendant une dizaine de minute avant qu’il n’explose ensemble bruyamment.

Ils se sont rhabillés tranquillement puis ont discutés pendant un bon moment.
Elle a ainsi appris qu’il s’appelait Jean Marc.
Il venait de temps en temps sur la région, parfois seul, parfois avec un collègue.
« J’aimerais bien un jour que tu puisses venir me rejoindre dans ma chambre d’hôtel » lui dit-il.
« On verra, si un jour mon mari est en déplacement, pourquoi pas. En plus si vous êtes deux ce serai encore mieux » répondit-elle.
« Arrête ! Rien que d’y penser je rebande. » « J’ai encore envie de ta bouche »
Elle a posé sa main pour vérifier.
Effectivement, il était en érection.
D’un air gourmand elle a ouvert sa braguette pour en extraire son braquemart tout gonflé.
Sa bouche l’a engloutie très vite, sa langue s’est enroulée autour de son gland pendant qu’elle le branlait d’une main et lui massait les couilles de l’autre.
Vingt minute plus tard, il éjaculait au fond de sa gorge.

Elle évitait quand même d’avoir des rapport avec des clients, surtout les réguliers, de peur qu’ils ne deviennent trop lourd ou qu’il se vante haut et fort de l’avoir baisé.
Seulement un petit nombre a eu ce privilège.

Un soir, deux clients sont rentrés, elle en a tout de suite reconnu un.
C’était un ex petit copain de lycée (Hé oui, elle en a eu beaucoup car elle a commencé relativement jeune. Il faut dire qu’elle a très vite eu des formes qui attiraient les regards des garçons. Avec certain c’était juste un flirt et avec d’autres c’était juste une fellation de temps en temps ou plus. Elle ne les gardait jamais très longtemps et multipliait les conquêtes.)

Celui qu’elle a reconnu s’appelait Christian, l’autre elle ne le connaissait pas.
Christian, à son large sourire lorsqu’il a vu Nathalie, s’est aussi souvenu d’elle.
C’était un homme d’une trentaine d’année aussi, blond assez fin et de taille moyenne.
Son copain qui s’appelait Eric, elle le saura un peu plus tard, était un black dans la même tranche d’âge, assez musclé et au crâne rasé.
« Je suis content de te revoir, ça fait longtemps, tu habites toujours dans le secteur ? » lui dit-il.
« Oui comme tu vois, je suis resté dans les environs »
Ils ont discuté de leur parcours après le lycée, de leur vie, de tout et de rien, par morceaux à chaque fois qu’elle venait les servir.
Il vivait maintenant en province et était revenu quelques jours sur la région avec son pote pour des problèmes de papiers administratif.
A la fin du repas il lui dit :
« Tu viens boire un verre avec nous après ton service, on va aller dans un pub pas loin d’où j’habitais avant. »
« Je ne sais pas, ça dépend à quel heure je termine. »
« Allez viens, on t’attend »
« Bon OK mais je ne resterais pas longtemps »
Ils sont allés payer à la caisse et Nathalie a continué son service.

Une bière sur un plateau, une chaise mal rangé et voilà.
Les vingt-cinq centilitres du breuvage se sont renversés sur elle lorsqu’elle a buté sur le pied de la chaise.
Plus de peur que de mal mais un corsage et une jupe imbibés de bière.
Le service touchait à sa fin, Pietro voyant sa serveuse trempée, lui a dit qu’elle pouvait rentrer car travailler avec des affaires mouillés et sentant la bière n’était pas des plus agréables.
« Ne t’inquiète pas je pourrai me débrouiller tout seul pour le reste » lui dit-il.

Quand Christian a vu Nathalie sortir à peine cinq minutes après eux, il est venu vers elle en lui disant :
« C’est cool tu as déjà fini »
« Oui mais là il faut que je rentre me changer et prendre une douche, je me suis renversé une bière sur moi, je ne peux pas sortir comme ça. Venez à la maison, on prendra un verre chez moi. »
« Ton mari va peut-être trouver bizarre que tu rentres avec deux hommes chez toi et puis je ne serai pas trop à l’aise pour parler du passé. »
« Ne t’inquiète pas il dort quand je rentre du boulot, il ne nous entendra même pas parler, il a le sommeil lourd. »
Elle a fini par les convaincre de la suivre.
Sur la route elle m’a envoyé un message :
« Je rentre boire un verre à la maison avec deux mec dont un ex, vu comment ils me regardaient pendant le service, il y a moyen que tu te rince l’œil »
Je lui ai répondu « OK » et me suis caché dans la chambre.
La porte d’entrée donne sur la cuisine, à droite il y a la salle de bain, il faut traverser la cuisine pour aller dans le salon salle à manger et traverser aussi cette pièce pour aller dans la chambre.
Il n’y a aucune porte entre la cuisine le salon et la chambre.
Juste un rideau en perle pour séparer les pièces.
La chambre était grande un petit muret d’un mètre cinquante de haut et deux de long séparait l’entrée et là ou se trouvait le lit.
La pièce étant très sombre je pouvais me cacher à l’abris de ce muret pour regarder ce qui se passait sur le canapé sans que l’on puisse me voir.
J’avais pu ainsi mater les ébats de ma femme avec plusieurs mecs lorsqu’elle en ramenait un à la maison.
Elle les a installés dans le salon avec une bière chacun le temps qu’elle prenne sa douche.
Quand elle est revenue ils n’avaient pas encore touché à leur boisson.
« J’arrive je vais m’habiller » dit-elle en passant.
« Non attends, viens donc trinquer avec nous » répondit Christian.
« Je suis presque à poil, il faut que je me mette un truc quand même »
« Mais non ce n’est pas grave, allez viens t’asseoir avec nous » dit-il après s’être levé pour qu’elle vienne sur le canapé entre eux deux.
Elle avait juste un petit peignoir en tissus rose tout fin qui s’arrêtait au ras des fesses et qui, vu son opulente poitrine, avait du mal à fermer devant.
Si elle avait écarté un peu les jambes en s’asseyant, ils auraient pu tout voir, mais elle a préférée reste soft pour l’instant.
De nouveau assis, Christian a tendu sa bière pour trinquer.
Dès qu’elle bougeait, le peignoir s’ouvrait un peu plus.
Tout en parlant il posait régulièrement sa main sur la cuisse de Nathalie, jusqu’au moment où, se remémorant des souvenirs plus intimes, il l’a laissé dessus.
Elle ne lui a pas retiré alors il a de nouveau demandé :
« Tu es sûr que ton mari ne va pas se réveiller ? »
« Mais oui ne t’inquiète pas, ce n’est pas la première fois que je ramène un mec à la maison pour me faire sauter. »
Cette fois il avait bien confirmation des intentions de ma femme.
Les choses étaient clairs, il pouvait maintenant aller plus loin.
Sa main est remontée sur sa cuisse presque jusqu’au pubis, puis a continué son ascension en écartant le peignoir pour lui caresser les seins.
Il s’est approché d’elle pour l’embrasser et elle a répondue à son baiser.
Leurs langues se sont mélangées, les mains de Christian se baladaient sur son ventre et ses seins en s’attardant sur les mamelons pour en faire ériger les pointes.
Elle, d’une main s’est dirigée vers sa braguette pour extraire sa queue qui avait pris du volume et de l’autre a attrapée le bras d’Éric pour le guider entre ses cuisses.
Ce dernier s’est alors enhardit en écartant les cuisses de Nathalie pour titiller ses lèvres du bout des doigts.
Christian a attrapé la tête de ma femme pour la diriger vers sa queue afin qu’elle le suce.
Eric lui a bien écarté les cuisses pour se mettre a genoux sur le canapé et aller la lécher.
La langue qui fouillait son intimité était agile et elle sentait le plaisir monter tout doucement.
Quant à Christian, la langue qui lui triturait le méat semblait l’exciter énormément.
« J’ai envie de te baiser » lui dit-il.
Ils ont poussé la table basse, Eric et Christian se sont déshabillés.
Eric s’est assis sur le canapé, Nathalie s’est agenouillée entre ses cuisses, non sans avoir déposée un coussin sous chacun de ses genoux et Christian après avoir enfilé une capote qu’il a sorti de ses poches, est venu derrière ma femme pour la pénétrer.
« Putain il est bien fourni ton pote » dit-elle à Christian.
D’où j’étais je pouvais bien voir la scène.
Ils étaient de côté par rapport à moi et je voyais bien les attributs presque hors norme du black que ma femme avait dans la bouche. Il la lui remplissait bien et je voyais à la façon dont elle le suçait qu’elle prenait plaisir à le faire.
Derrière elle, Christian s’enfonçait dans son ventre à grands coups de vas et viens.
Parfois il la tenait fermement par les hanches et parfois il lui caressait les fesses en allant titiller son anus avec le pouce.
Je voyais qu’elle n’allait pas tarder à jouir, sa respiration devenait haletante et elle gémissait de plus en plus.
Christian a du s’en apercevoir car il a accéléré le mouvement en la maintenant bien fort par les hanches.
Au moment de l’orgasme, elle a enfoui son visage contre le sexe et les couilles d’Éric pour étouffer ses cris.
Ensuite il a dit à son collègue :
« A mon tour, moi aussi j’ai envie de la baiser »

Ils ont donc inversé leur place et la bite de Christian s’est retrouvée engloutie entre les lèvres de ma femme tandis que son pote tentait de la pénétrer.
Elle s’est alors exclamée :
« Oh putain, elle est énorme, vas-y doucement et laisse-moi gérer, je n’ai pas envie que tu me déchires »
Il s’est exécuté et en douceur a réussi à tout rentrer.
Une fois au fond, il a encore fallu un temps d’adaptation et à force de petits mouvement le sexe de Nathalie s’est prêté à ce gros pieu.
Il pouvait maintenant la baiser à condition de ne pas s’y prendre comme un bourrin.
Elle se sentait complètement remplie et commençait à apprécier ses vas et viens.
Pendant ce temps, Christian qui se faisait dévorer la queue semblait aux anges.
Je voyais bien la queue du black aller et venir dans la chatte de ma femme, j’étais prêt à exploser tellement l’image que j’avais d’elle à ce moment était excitante.
La bite de son ex dans la bouche et le membre énorme d’un black derrière elle qui la défonçait.
Elle a d’ailleurs très vite eu un nouvelle orgasme.
Eric continuait ses vas et viens mais restait très doux dans ses mouvements.
Lorsqu’elle lui disait d’aller plus fort, il accélérait et ralentissait quand elle lui demandait.
Ainsi elle a eu plusieurs jouissances rapprochées.
Christian n’en pouvant plus s’est laissé aller, tenant la tête de Nathalie bien fermement sur sa queue il a dit en n’explosant en elle :
« Tiens putain prends ça dans ta bouche de salope ahhhhhhhhhh ouiiiiii c’est bonnnnn »
Elle, n’étant pas choquée car elle savait que certains hommes s’expriment ainsi quand ils éjaculent, à tout avalée goulûment.
Eric excité par tout ça, à lui aussi envoyé sa sauce dans le ventre de ma femme en grognant et en lui serrant très fort les hanches.

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