La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°413 -
Le Châtelain esquisse un léger sourire en apercevant les glaçons en train de fondre et l’eau qui coule du dos de l’esclave prosterné mais surtout de son anus réfrigéré par la même occasion. Il se retourne à nouveau vers le vétéran.
- Très Cher Seignior Dées, je ne connaissais pas encore vos talents de marionnettiste, mais il est vrai que vous avez accumulé au fil des ans tant de savoir-faire dans des pratiques multiples que vous me surprendrez encore. Votre poupée est-elle animée comme celle qui est venue, pendant le banquet juste avant le gâteau, nous divertir sur l’air de la poupée « Olympia » d’Offenbach interprété si magnifiquement par notre artiste castra. Je ne vois pas de remontoir sur son dos, mais plutôt des fils qui la feraient se mouvoir. Je trouve cela très original, tout comme j’ai bien apprécié tantôt la prestation de ma soumise Emeline MDE déguisée comme l’Olympia de l’opéra célèbre.
Le Dominant sans même prendre la peine de se lever tire sur deux fils qui aussi sec font se lever le bras de la soumise Dollydoll qui prend vie, puis il les relâche, la soumise qui semble être passée experte dans l’art du mime et de la désarticulation de ses membres laisse son bras retomber nonchalamment, sans avoir bougé le reste de son corps. Seignior Dées s’amuse à poursuivre sa démonstration levant alternativement un bras puis l’autre, ou encore redressant le visage ou une jambe, prenant bien soin cependant à n’imposer que des mouvements accessibles à celle qui reste humaine et entière, même si elle donne l’apparence d’être une poupée-marionnette, faite de morceaux juxtaposés et indépendants.
- Très Cher Marquis, je vous présente ma dernière acquisition. Ma Dollydoll qui rêvait de pouvoir se sentir incarnée dans la peau d’une marionnette et à qui je permets de temps en temps de vivre ce fantasme un peu particulier dans une vraie complicité avec celle qui m’est si dévouée et si reconnaissante de ce que nous partageons. Et puis ne dit-on pas qu’avec l’âge on retombe en enfance, alors je dois avouer que je m’amuse autant que ma poupée et que ces jeux nous servent de préliminaires amoureux plus charnels, car lorsqu’elle grimpe au 7ème ciel, elle en oublie bien vite ses fils pour apprendre à devenir une femme coquine et sensuelle , plus libérée et moins pudique. Et puis j’ai le sentiment de lui avoir appris tant de choses en si peu de temps pour faire éclore en elle sa sensualité et sa féminité, car ses premières expériences sexuelles n’avaient pas été concluantes avec des hommes qui ne cherchaient avant tout que leur plaisir éjaculatoire se souciant bien peu de celle qu’il baisait comme de simples sauvages aux instincts bestiaux. Lorsqu’elle est devenue ma soumise, elle ne savait pas encore ce que c’était que de pouvoir ressentir un véritable orgasme, ce qui m’a redonné une seconde jeunesse de lui faire découvrir les joies du plaisir sexuel et les charmes de l’érotisme, tout autant que la soumission D/s qui la fascinait mais l’affolait terriblement car elle se croyait malade et déviante d’avoir des idées et des désirs pervers qu’elle refreinait autant qu’elle pouvait. Je m’imagine parfois dans la peau de ce vieux Mario qui éduqua en partie l’Emmanuelle célèbre des années 70. Cela ne me rajeuni pas de remonter presque 40 ans en arrière, à l’époque où Vous n’étiez peut-être plus en culotte courte mais pas encore Maître confirmé, très Cher Marquis.
- Très Cher Seignior Dées, je vous trouve encore très alerte et je suis heureux de savoir que Vous-même et votre Dollydoll pouvait vivre et partager de bons moments ensemble, quelle qu’en soit la forme, elle en marionnette et vous en marionnettiste pour la soirée. En ce qui me concerne, les poupées n’ont jamais été Mon fort, mais je reconnais que la vôtre a un certain charme et qu’elle joue son rôle à la perfection tant elle semble inanimée et désarticulée dès que vous la lâchez. Cependant, je ne suis pas certain que je m’imaginerai bien en train de jouer à « manipuler » l’une de mes soumises, ne parlant bien entendu que de la manipulation physique des fils de suspente, car un vrai Dominant doit pouvoir affirmer son autorité et son pouvoir par d’autres moyens sans avoir recours à ce que je qualifierais de manipulation psychologique qui est contraire à notre éthique et qui peut s’avérer dommageable pour celui ou celle qui en est victime, si elle était malheureusement tombée entre les griffes d’un pseudo-maître bien malveillant.
Le Marquis d’Evans aperçoit l’esclave-chien N°20MDE, rouge de honte, prostré et presque tremblant, assis en chien de fusil tenant sa nouille entre ses doigts, mais ayant arrêté de chercher à se masturber lorsqu’il a entendu la voix du Maître qui s’approchait. Le Noble enchaîne aussi sec.
- Mon esclave N°20MDE vous a-t-il donné toute satisfaction pour la soirée, Cher Ami ? Je ne le trouve pas au mieux de sa forme et j’ai un peu de mal à m’expliquer son attitude, sa posture et le rouge qui empourpre ses joues de honte.
- Je dois Vous avouer, Cher Marquis, que Votre esclave N°20MDE a fait ce qu’il a pu pour me satisfaire et répondre à mes exigences, mais disons que je n’ai pas eu de chance de tomber sur celui-là. La nature ne semble pas l’avoir pourvu d’un organe qui soit capable de réponde d’un simple claquement de doigts.
Le Marquis d’Evans fronce les sourcils, commençant à bougonner dans Son for intérieur.
- Qu’à cela ne tienne, Cher Seignior Dées, je vous le change immédiatement. Dites-moi celui ou celle qui pourrait satisfaire tous vos désirs pour la soirée ou vous apporter quelques plaisirs supplémentaires. Quant à ce minable cabot qui n’a pas eu le plaisir de vous plaire, il va savoir ce qu’il en coûte de ne pas être à la hauteur des exigences de Mes Invités de marque.
- Si ce ne serait trop Vous demander, cher Marquis, je souhaiterais un mâle bien membré sans cage de chasteté, car je désire voir ma soumise livrée à un autre homme sous mes yeux, ce qu’elle a accepté également après bien des tergiversations et des doutes, ayant eu peur dans un premier temps que je ne la vois plus que comme une vulgaire putain, alors qu’il m’a bien fallu lui expliquer que je n’avais jamais eu l’âme d’un maquereau et qu’affirmer mon autorité sur son corps et ses plaisirs dont je pouvais disposer avec son accord consensuel, tout en lui permettant aussi d’évoluer n’avait rien de dégradant bien au contraire.
- Alors j’aperçois ce qu’il vous faut, là contre le mur. Cet esclave dévoué ne pourra que vous satisfaire, car je comprends mieux maintenant. La lopette qui est là par terre, et dont la queue n’a guère plus d’utilité qu’un minable ver de terre recroquevillé, n’aurait sûrement pas fait s’enflammer très fort les sens de votre Dollydoll avec son petit bout de rien du tout que visiblement il n’a même pas réussi à faire se tendre en le secouant.
Le Châtelain fait signe à un autre esclave mâle qui immédiatement s’avance, se prosterne aux pieds du Maître.
- Debout, Mon chien-mâle N°23MDE, tu n’avais pas eu la chance d’être tiré au sort en début de soirée. Et bien, je pense que tu ne vas pas regretter de pouvoir remplacer au pied levé ce misérable cabot qui ne mérite que d’être puni pour son inaptitude. Je te laisse entre les mains de Seignior Dées, et tâche de le satisfaire au mieux. Ah, oui, petite formalité préalable ….
Le Noble actionne le mécanisme qui permet d’ouvrir la cage de chasteté car pour la soirée, tous les esclaves encagés ne portent que des cages qui peuvent librement être ouvertes sur simple exigence de l’un quelconque des invités, alors que le reste du temps leurs cages sont cadenassées. Même s’il semble évident que la plupart des soumis-mâles obéissants ne chercheraient pas à profiter de l’aubaine pour de temps en temps l’ouvrir en cachette et se vider les couilles sans autorisation, il est plus sage de « ne pas tenter le diable » et de maintenir également une pression suffisante sur les mâles du cheptel dont l’accès au plaisir est sous le seul contrôle du Maître Vénéré ou de ses ayants-droits par substitution.
- Et maintenant que ta queue de mâle fasse son office. Profites-en bien, car dès demain elle retournera dans son petit panier de métal.
L’esclave N°23MDE qui attendait sagement à genoux depuis le début de la soirée se demandant s’il ne passerait pas cette nuitée ainsi sans pouvoir profiter de quelques plaisirs D/s plus ou moins pervers, est aux anges de voir sa cage ôtée par le Maître en personne. Il s’incline pour déposer un baiser sur la main qui vient de libérer son joyau viril et ses bourses pleines. L’excitation de sentir le Maître Vénéré si proche est telle que le chien-mâle ne peut s’empêcher de bander presque immédiatement en entendant le Marquis d’Evans qui lui donne presque sa bénédiction et l’ordre de faire gonfler son sexe que le Châtelain caresse de la main, pour le plaisir de voir l’effet immédiat qu’Il produit sur Son esclave docile et réjoui. Le Marquis d’Evans attrape par la queue celui qui arbore un phallus déjà bien dressé et le tire pour l’amener aux pieds du Seignior Dées.
- Cher ami, voilà une verge qui répondra mieux à votre attente, espérant qu’elle sera aussi au goût de votre Dollydoll qui va découvrir les joies de se faire mettre sous le regard Dominant mais bienveillant du Maître à qui elle a décidé de se soumettre.
Pendant ce laps de temps, le Sage Dominant a pris soin de détacher tous les fils de sa Dollydoll dont il caresse tendrement le visage tout en l’embrassant voluptueusement, voulant lui faire comprendre qu’il ne va pas être seulement là pour la regarder jouir en simple voyeur extérieur, mais qu’il sera également participant même si c’est par le biais d’une queue d’emprunt, tout en continuant à la « baiser » mais de vrais baisers tendres sur la bouche. Le Châtelain ayant remis Son nouvel esclave entre les mains du Seignior Dées qui vient de se lever pour se retirer à l’écart avec sa Dollydoll et N°23MDE, salue à Son tour les deux dominas en leur disant qu’il est temps pour lui de les laisser reprendre leur conversation entre femmes maintenant et qu’il doit s’occuper de Son esclave à la queue récalcitrant.
- Mesdames, permettez-moi de vous quitter bien que je vous sais l’une et l’autre en bonne compagnie et bien servies. Mes obligations de Maître m’obligent à châtier sans tarder celui qui n’a pas su remplir son rôle et me satisfaire pleinement en se pliant à toutes les exigences de Seigneur Dées. Quand à ce petit rikiki qui a perdu sa cage mais qui n’a pas su en profiter, je pense que j’ai une bonne idée pour le faire se lever.
Le Marquis d’Evans attrape plusieurs des fils qui se trouvent à terre et qui servait à animer la poupée-humaine Dollydoll. IL en attache deux autour de chaque testicule et trois sur la longueur du sexe de l’esclave qu’IL a forcé à se relever, et qui est de plus en plus honteux et inquiet de la punition qui l’attend. Il attrape ensuite le morceau de bois d’où pendent les fils et s’amusant à le gesticuler dans tous les sens pour étirer et relever la queue de l’esclave-mâle, il salue les deux dominas et se retire accompagné de Son « sexe-marionnette » qui ne se redresse que par les étirements des fils, tout en ajoutant :
- Très chères amies, me voilà devenu marionnettiste à Mon tour finalement. Mais je pense que ce ver de terre animé a besoin d’un petit traitement plus adapté. Mesdames, au plaisir, et vous souhaitant une bonne fin de nuitée avec tous les plaisirs possibles.
Le Châtelain tire un grand coup sur les fils pour donner le signal de départ en précisant :
- Quant à toi, minable cabot, les mains sur la nuque et baisse la tête …….. plus que cela …… courbe toi encore plus, pour regarder avec la honte que tu devrais ressentir ton appendice si inutile qu’il faut des fils pour le faire se lever.
Le Noble entraîne à sa suite le chien-mâle N°20MDE qui est partagé entre des sentiments de honte de voir sa virilité défaillante mise en exergue et de tristesse de ressentir le courroux du Maître Vénéré à son égard, mais aussi une part de plaisir à se voir ainsi humilié et maltraité au vu de tous, ce qui ne fait qu’ajouter à sa honte et à son malaise. Le Marquis d’Evans, fait entrer Son esclave dans un genre de grand baquet rectangle en cuivre qui a été installé dans un des quatre coins du Grand Hall qui pourrait ressembler à une de ces première baignoires sur pieds du temps où l’eau courante n’existait pas encore. Il lui intime l’ordre de se mettre à genoux tout en gardant les mains sur la nuque. Il installe le morceau de bois qui permet de commander les fils en le calant derrière la tête du chien-mâle en tendant les cordelettes au maximum de manière à ce que la verge soit maintenue en l’air à l’horizontale. Le Marquis d’Evans ouvre la braguette de Son pantalon, et se met à uriner sur le sexe et le visage de l’esclave-soumis N°20MDE.
- Qui sait ! Ta queue manquait peut-être d’être arrosée comme les plantes qui ont en besoin pour pouvoir pousser. Et bien, voila c’est chose faite, une bonne « douche dorée », non je devrais plutôt dire un arrosage « en or » en bonne et due forme ! Cela tombe bien, j’avais besoin de pisser.
Le Châtelain force la bouche de l’esclave pour y glisser sa queue qui laisse encore couler de petits jets d’urine, afin de pouvoir vider les dernières gouttes et de la ressortir nettoyée au passage après ce petit temps uro.
- Tu vas passer le reste de la nuitée ici dans cette latrine. Tu ne mérites pas mieux, et j’espère que tu viendras me remercier dès que j’y consentirai pour cette punition amplement méritée. Nous verrons si ta nouille a su bénéficier de puissants arrosages et si ton asperge est prête à sortir de terre.
Le Marquis d’Evans ayant donné l’exemple, plusieurs Maîtres qui avaient également besoin de se soulager s’empressent de s’approcher et de venir à leur tour se vider sur le corps, le sexe ou dans la bouche de l’esclave qui est obligé de redresser la tête ce qui fait se lever sa queue en tirant sur les fils de Son « sexe-marionnette », ce qui ne manque pas de lui valoir les plus désagréables quolibets à chaque fois, d’autant plus que le fond du baquet se rempli d’un liquide à l’odeur forte si caractéristique qui rend la situation encore plus pénible pour le chien-mâle N°20MDE qui sait cependant qu’il doit accepter son sort sans rien dire pour pouvoir venir implorer le pardon du Maître Vénéré.
(A suivre …)
Le Châtelain esquisse un léger sourire en apercevant les glaçons en train de fondre et l’eau qui coule du dos de l’esclave prosterné mais surtout de son anus réfrigéré par la même occasion. Il se retourne à nouveau vers le vétéran.
- Très Cher Seignior Dées, je ne connaissais pas encore vos talents de marionnettiste, mais il est vrai que vous avez accumulé au fil des ans tant de savoir-faire dans des pratiques multiples que vous me surprendrez encore. Votre poupée est-elle animée comme celle qui est venue, pendant le banquet juste avant le gâteau, nous divertir sur l’air de la poupée « Olympia » d’Offenbach interprété si magnifiquement par notre artiste castra. Je ne vois pas de remontoir sur son dos, mais plutôt des fils qui la feraient se mouvoir. Je trouve cela très original, tout comme j’ai bien apprécié tantôt la prestation de ma soumise Emeline MDE déguisée comme l’Olympia de l’opéra célèbre.
Le Dominant sans même prendre la peine de se lever tire sur deux fils qui aussi sec font se lever le bras de la soumise Dollydoll qui prend vie, puis il les relâche, la soumise qui semble être passée experte dans l’art du mime et de la désarticulation de ses membres laisse son bras retomber nonchalamment, sans avoir bougé le reste de son corps. Seignior Dées s’amuse à poursuivre sa démonstration levant alternativement un bras puis l’autre, ou encore redressant le visage ou une jambe, prenant bien soin cependant à n’imposer que des mouvements accessibles à celle qui reste humaine et entière, même si elle donne l’apparence d’être une poupée-marionnette, faite de morceaux juxtaposés et indépendants.
- Très Cher Marquis, je vous présente ma dernière acquisition. Ma Dollydoll qui rêvait de pouvoir se sentir incarnée dans la peau d’une marionnette et à qui je permets de temps en temps de vivre ce fantasme un peu particulier dans une vraie complicité avec celle qui m’est si dévouée et si reconnaissante de ce que nous partageons. Et puis ne dit-on pas qu’avec l’âge on retombe en enfance, alors je dois avouer que je m’amuse autant que ma poupée et que ces jeux nous servent de préliminaires amoureux plus charnels, car lorsqu’elle grimpe au 7ème ciel, elle en oublie bien vite ses fils pour apprendre à devenir une femme coquine et sensuelle , plus libérée et moins pudique. Et puis j’ai le sentiment de lui avoir appris tant de choses en si peu de temps pour faire éclore en elle sa sensualité et sa féminité, car ses premières expériences sexuelles n’avaient pas été concluantes avec des hommes qui ne cherchaient avant tout que leur plaisir éjaculatoire se souciant bien peu de celle qu’il baisait comme de simples sauvages aux instincts bestiaux. Lorsqu’elle est devenue ma soumise, elle ne savait pas encore ce que c’était que de pouvoir ressentir un véritable orgasme, ce qui m’a redonné une seconde jeunesse de lui faire découvrir les joies du plaisir sexuel et les charmes de l’érotisme, tout autant que la soumission D/s qui la fascinait mais l’affolait terriblement car elle se croyait malade et déviante d’avoir des idées et des désirs pervers qu’elle refreinait autant qu’elle pouvait. Je m’imagine parfois dans la peau de ce vieux Mario qui éduqua en partie l’Emmanuelle célèbre des années 70. Cela ne me rajeuni pas de remonter presque 40 ans en arrière, à l’époque où Vous n’étiez peut-être plus en culotte courte mais pas encore Maître confirmé, très Cher Marquis.
- Très Cher Seignior Dées, je vous trouve encore très alerte et je suis heureux de savoir que Vous-même et votre Dollydoll pouvait vivre et partager de bons moments ensemble, quelle qu’en soit la forme, elle en marionnette et vous en marionnettiste pour la soirée. En ce qui me concerne, les poupées n’ont jamais été Mon fort, mais je reconnais que la vôtre a un certain charme et qu’elle joue son rôle à la perfection tant elle semble inanimée et désarticulée dès que vous la lâchez. Cependant, je ne suis pas certain que je m’imaginerai bien en train de jouer à « manipuler » l’une de mes soumises, ne parlant bien entendu que de la manipulation physique des fils de suspente, car un vrai Dominant doit pouvoir affirmer son autorité et son pouvoir par d’autres moyens sans avoir recours à ce que je qualifierais de manipulation psychologique qui est contraire à notre éthique et qui peut s’avérer dommageable pour celui ou celle qui en est victime, si elle était malheureusement tombée entre les griffes d’un pseudo-maître bien malveillant.
Le Marquis d’Evans aperçoit l’esclave-chien N°20MDE, rouge de honte, prostré et presque tremblant, assis en chien de fusil tenant sa nouille entre ses doigts, mais ayant arrêté de chercher à se masturber lorsqu’il a entendu la voix du Maître qui s’approchait. Le Noble enchaîne aussi sec.
- Mon esclave N°20MDE vous a-t-il donné toute satisfaction pour la soirée, Cher Ami ? Je ne le trouve pas au mieux de sa forme et j’ai un peu de mal à m’expliquer son attitude, sa posture et le rouge qui empourpre ses joues de honte.
- Je dois Vous avouer, Cher Marquis, que Votre esclave N°20MDE a fait ce qu’il a pu pour me satisfaire et répondre à mes exigences, mais disons que je n’ai pas eu de chance de tomber sur celui-là. La nature ne semble pas l’avoir pourvu d’un organe qui soit capable de réponde d’un simple claquement de doigts.
Le Marquis d’Evans fronce les sourcils, commençant à bougonner dans Son for intérieur.
- Qu’à cela ne tienne, Cher Seignior Dées, je vous le change immédiatement. Dites-moi celui ou celle qui pourrait satisfaire tous vos désirs pour la soirée ou vous apporter quelques plaisirs supplémentaires. Quant à ce minable cabot qui n’a pas eu le plaisir de vous plaire, il va savoir ce qu’il en coûte de ne pas être à la hauteur des exigences de Mes Invités de marque.
- Si ce ne serait trop Vous demander, cher Marquis, je souhaiterais un mâle bien membré sans cage de chasteté, car je désire voir ma soumise livrée à un autre homme sous mes yeux, ce qu’elle a accepté également après bien des tergiversations et des doutes, ayant eu peur dans un premier temps que je ne la vois plus que comme une vulgaire putain, alors qu’il m’a bien fallu lui expliquer que je n’avais jamais eu l’âme d’un maquereau et qu’affirmer mon autorité sur son corps et ses plaisirs dont je pouvais disposer avec son accord consensuel, tout en lui permettant aussi d’évoluer n’avait rien de dégradant bien au contraire.
- Alors j’aperçois ce qu’il vous faut, là contre le mur. Cet esclave dévoué ne pourra que vous satisfaire, car je comprends mieux maintenant. La lopette qui est là par terre, et dont la queue n’a guère plus d’utilité qu’un minable ver de terre recroquevillé, n’aurait sûrement pas fait s’enflammer très fort les sens de votre Dollydoll avec son petit bout de rien du tout que visiblement il n’a même pas réussi à faire se tendre en le secouant.
Le Châtelain fait signe à un autre esclave mâle qui immédiatement s’avance, se prosterne aux pieds du Maître.
- Debout, Mon chien-mâle N°23MDE, tu n’avais pas eu la chance d’être tiré au sort en début de soirée. Et bien, je pense que tu ne vas pas regretter de pouvoir remplacer au pied levé ce misérable cabot qui ne mérite que d’être puni pour son inaptitude. Je te laisse entre les mains de Seignior Dées, et tâche de le satisfaire au mieux. Ah, oui, petite formalité préalable ….
Le Noble actionne le mécanisme qui permet d’ouvrir la cage de chasteté car pour la soirée, tous les esclaves encagés ne portent que des cages qui peuvent librement être ouvertes sur simple exigence de l’un quelconque des invités, alors que le reste du temps leurs cages sont cadenassées. Même s’il semble évident que la plupart des soumis-mâles obéissants ne chercheraient pas à profiter de l’aubaine pour de temps en temps l’ouvrir en cachette et se vider les couilles sans autorisation, il est plus sage de « ne pas tenter le diable » et de maintenir également une pression suffisante sur les mâles du cheptel dont l’accès au plaisir est sous le seul contrôle du Maître Vénéré ou de ses ayants-droits par substitution.
- Et maintenant que ta queue de mâle fasse son office. Profites-en bien, car dès demain elle retournera dans son petit panier de métal.
L’esclave N°23MDE qui attendait sagement à genoux depuis le début de la soirée se demandant s’il ne passerait pas cette nuitée ainsi sans pouvoir profiter de quelques plaisirs D/s plus ou moins pervers, est aux anges de voir sa cage ôtée par le Maître en personne. Il s’incline pour déposer un baiser sur la main qui vient de libérer son joyau viril et ses bourses pleines. L’excitation de sentir le Maître Vénéré si proche est telle que le chien-mâle ne peut s’empêcher de bander presque immédiatement en entendant le Marquis d’Evans qui lui donne presque sa bénédiction et l’ordre de faire gonfler son sexe que le Châtelain caresse de la main, pour le plaisir de voir l’effet immédiat qu’Il produit sur Son esclave docile et réjoui. Le Marquis d’Evans attrape par la queue celui qui arbore un phallus déjà bien dressé et le tire pour l’amener aux pieds du Seignior Dées.
- Cher ami, voilà une verge qui répondra mieux à votre attente, espérant qu’elle sera aussi au goût de votre Dollydoll qui va découvrir les joies de se faire mettre sous le regard Dominant mais bienveillant du Maître à qui elle a décidé de se soumettre.
Pendant ce laps de temps, le Sage Dominant a pris soin de détacher tous les fils de sa Dollydoll dont il caresse tendrement le visage tout en l’embrassant voluptueusement, voulant lui faire comprendre qu’il ne va pas être seulement là pour la regarder jouir en simple voyeur extérieur, mais qu’il sera également participant même si c’est par le biais d’une queue d’emprunt, tout en continuant à la « baiser » mais de vrais baisers tendres sur la bouche. Le Châtelain ayant remis Son nouvel esclave entre les mains du Seignior Dées qui vient de se lever pour se retirer à l’écart avec sa Dollydoll et N°23MDE, salue à Son tour les deux dominas en leur disant qu’il est temps pour lui de les laisser reprendre leur conversation entre femmes maintenant et qu’il doit s’occuper de Son esclave à la queue récalcitrant.
- Mesdames, permettez-moi de vous quitter bien que je vous sais l’une et l’autre en bonne compagnie et bien servies. Mes obligations de Maître m’obligent à châtier sans tarder celui qui n’a pas su remplir son rôle et me satisfaire pleinement en se pliant à toutes les exigences de Seigneur Dées. Quand à ce petit rikiki qui a perdu sa cage mais qui n’a pas su en profiter, je pense que j’ai une bonne idée pour le faire se lever.
Le Marquis d’Evans attrape plusieurs des fils qui se trouvent à terre et qui servait à animer la poupée-humaine Dollydoll. IL en attache deux autour de chaque testicule et trois sur la longueur du sexe de l’esclave qu’IL a forcé à se relever, et qui est de plus en plus honteux et inquiet de la punition qui l’attend. Il attrape ensuite le morceau de bois d’où pendent les fils et s’amusant à le gesticuler dans tous les sens pour étirer et relever la queue de l’esclave-mâle, il salue les deux dominas et se retire accompagné de Son « sexe-marionnette » qui ne se redresse que par les étirements des fils, tout en ajoutant :
- Très chères amies, me voilà devenu marionnettiste à Mon tour finalement. Mais je pense que ce ver de terre animé a besoin d’un petit traitement plus adapté. Mesdames, au plaisir, et vous souhaitant une bonne fin de nuitée avec tous les plaisirs possibles.
Le Châtelain tire un grand coup sur les fils pour donner le signal de départ en précisant :
- Quant à toi, minable cabot, les mains sur la nuque et baisse la tête …….. plus que cela …… courbe toi encore plus, pour regarder avec la honte que tu devrais ressentir ton appendice si inutile qu’il faut des fils pour le faire se lever.
Le Noble entraîne à sa suite le chien-mâle N°20MDE qui est partagé entre des sentiments de honte de voir sa virilité défaillante mise en exergue et de tristesse de ressentir le courroux du Maître Vénéré à son égard, mais aussi une part de plaisir à se voir ainsi humilié et maltraité au vu de tous, ce qui ne fait qu’ajouter à sa honte et à son malaise. Le Marquis d’Evans, fait entrer Son esclave dans un genre de grand baquet rectangle en cuivre qui a été installé dans un des quatre coins du Grand Hall qui pourrait ressembler à une de ces première baignoires sur pieds du temps où l’eau courante n’existait pas encore. Il lui intime l’ordre de se mettre à genoux tout en gardant les mains sur la nuque. Il installe le morceau de bois qui permet de commander les fils en le calant derrière la tête du chien-mâle en tendant les cordelettes au maximum de manière à ce que la verge soit maintenue en l’air à l’horizontale. Le Marquis d’Evans ouvre la braguette de Son pantalon, et se met à uriner sur le sexe et le visage de l’esclave-soumis N°20MDE.
- Qui sait ! Ta queue manquait peut-être d’être arrosée comme les plantes qui ont en besoin pour pouvoir pousser. Et bien, voila c’est chose faite, une bonne « douche dorée », non je devrais plutôt dire un arrosage « en or » en bonne et due forme ! Cela tombe bien, j’avais besoin de pisser.
Le Châtelain force la bouche de l’esclave pour y glisser sa queue qui laisse encore couler de petits jets d’urine, afin de pouvoir vider les dernières gouttes et de la ressortir nettoyée au passage après ce petit temps uro.
- Tu vas passer le reste de la nuitée ici dans cette latrine. Tu ne mérites pas mieux, et j’espère que tu viendras me remercier dès que j’y consentirai pour cette punition amplement méritée. Nous verrons si ta nouille a su bénéficier de puissants arrosages et si ton asperge est prête à sortir de terre.
Le Marquis d’Evans ayant donné l’exemple, plusieurs Maîtres qui avaient également besoin de se soulager s’empressent de s’approcher et de venir à leur tour se vider sur le corps, le sexe ou dans la bouche de l’esclave qui est obligé de redresser la tête ce qui fait se lever sa queue en tirant sur les fils de Son « sexe-marionnette », ce qui ne manque pas de lui valoir les plus désagréables quolibets à chaque fois, d’autant plus que le fond du baquet se rempli d’un liquide à l’odeur forte si caractéristique qui rend la situation encore plus pénible pour le chien-mâle N°20MDE qui sait cependant qu’il doit accepter son sort sans rien dire pour pouvoir venir implorer le pardon du Maître Vénéré.
(A suivre …)
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