La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°441 -
Il s’attaque ensuite au ventre de Dosile, jouant de plus en plus des couleurs aux tonalités variées et franches cette fois, en laissant tomber de petites gouttes telles les touches de peinture d’un tableau de peintre impressionniste. Il se complait de voir le corps de sa soumise qui frétille à chaque goutte et sursaute dans un vrai plaisir stimulant qui lui chauffe la peau mais aussi l’âme, car elle halète de plus belle avec un vrai sourire aux coins des lèvres framboises du haut et avec de plus en plus d’onctuosité visible sur ses lèvres rosacées du bas gonflées.
Dosile n’est pas masochiste au sens propre du terme, ne cherchant pas la douleur et encore moins l’humiliation comme catalyseur de sa jouissance physique, mais elle apprécie les plaisirs D/s même intenses qui mettent son âme en émoi, qu’ils s’agissent de plaisirs cinglants ou de plaisirs chauffants, qui stimulent le corps, mais aussi l’esprit maintenu en éveil dans la soumission et le don de soi à un Autre. Elle prend aussi beaucoup de plaisir personnel à satisfaire les plaisirs du Maître auquel elle appartient et elle apprécie tous les jeux et pratiques qu’il choisit de lui infliger pour partager ensemble dans une grande complicité leur passion commune D/s, chacun ayant besoin de l’A/autre pour pouvoir vivre leurs pulsions personnelles de Domination pour l’Un et de soumission pour l’autre. Elle aime offrir son corps, s’abandonner totalement entre les mains du Maître, être capable de lui montrer la force de sa dévotion, de sa soumission, de son abnégation, de sa vénération, et ce de toutes les manières possibles, dans le cadre d’une appartenance espérée et désirée fortement qui lui permet de supporter tout ce qu’il lui impose et d’obéir à tout ce qu’il exige d’elle. Elle lui a abandonné son corps tout entier, mais également sa pudeur, sa réserve, ses craintes, ses doutes, ses peurs, ses émotions, son passé, son avenir, les méandres de son moi intime, son jardin secret, pour n’être plus que Sienne, celle qu’il connait si bien et dont il peut tout exiger, tout en sachant très bien qu’il n’exigera jamais que ce qui correspond à un plaisir qu’il sait être partagé et désiré, même s’il cherche sans cesse à faire en sorte qu’elle puisse à ses pieds encore plus s’améliorer, s’épanouir, découvrir de nouvelles sensations de plus en plus intenses, et repousser ses limites physiques ou psychiques. Les jeux D/s sont aussi un merveilleux moyen d’enrichir leur vie sexuelle de couple et de rompre avec la monotonie vanille qui aurait pu s’emparer du quotidien parfois difficile et éprouvant après de longues et laborieuses journées de travail, tout en maintenant une harmonie dans la relation sans conflits, ni rébellion ou perturbation quelconque avec à la place beaucoup d’écoute réciproque, de communication, d’attention, de respect, d’affection et de sentiments partagés, de la part des deux partenaires ; une harmonie presque idyllique d’autant plus facile à maintenir qu’il n’y a jamais entre eux d’enjeux de pouvoirs que ce soit dans un contexte quotidien plus vanille, ou dans un temps D/s privilégié.
Sir Senav, sentant l’excitation monter dans le corps de son esclave, insère dans son anus un godemichet et dans sa chatte un œuf qu’il glisse profondément à l’intérieur du vagin, les deux objets étant vibrants, il les règle à la puissance maximale mais veillant à ne pas mettre la même fréquence de vibration sur les deux appareils pour varier plus intensément la cacophonie des sensations qui vont lui dévorer le bas-ventre. La respiration de Dosile est devenue encore plus intense, elle se retient pour ne pas se laisser aller à crier, ou tout du moins à exprimer à haute voix les émotions de plaisirs charnels et sensuels qui s’emparent de son corps, en ébullition, tant de l’intérieur que de l’extérieur. Le Dominant attrape quatre pinces clips qu’il fixe sur les grandes lèvres intimes de Dosile de part et d’autre et qu’il attache aux autres liens fixés autour de la table, de manière à écarteler la chatte humide de son esclave excitée, qui se trouve encore plus mise à nue et exhibée aux yeux de tous, même si sous son bandeau, elle est incapable de savoir si quelqu’un la regarde ou non, à cet instant même et d’ailleurs tout à l’écoute de ses propres ressentis, elle n’a guère le temps de se préoccuper de savoir si elle joue dans l’exhibitionnisme contraint.
Maniant le geste à la créativité artistique, le Maître se déchaine tel un chef d’orchestre qui battrait la mesure en cadence mais qui en guise de baguette aurait un filet de cire liquide qui changerait régulièrement de couleur, et qui viendrait déposer sur le corps qui lui tient lieu de toile de plus longues coulées qui serpentent en suivant les courbes et les rondeurs du corps étoffé, qui a au moins l’avantage d’offrir plus de centimètres carrées pour le chef d’œuvre du Dominant devenu peintre à la bougie. Dosile tremble de tout son corps, ressentant comme des étincelles qui viennent gicler sur sa peau sensible et sensuelle à des endroits différents, ne pouvant jamais anticiper le moindre geste du Maître pas plus que la sensation qui en résultera derrière son bandeau noir. Elle sursaute, frissonne sous les impacts de cire de plus en plus rapides qui ne lui laissent même plus le temps de reprendre son souffle saccadé, tandis qu’elle s’approche de plus en plus de l’ascension du plaisir qui mène à la jouissance. Le Maître s’attaque maintenant à son bas-ventre, commençant à « peindre » de multiples touches de couleur de cire liquide son pubis glabre bombé, mais aussi son entrecuisse qu’elle est toujours tenue de maintenir largement béant, puisque ses pieds sont toujours de part et d’autre de la table basse retenus éloignés au maximum l’un de l’autre au moyen d’une barre d’écartement, et que quatre pinces clips en maintiennent largement écarté les grandes lèvres, mettant à nu le petit bouton d’or qui a viré au rouge écarlate en se gonflant de désir.
Sir Senav sent que la montée en puissance s’approche et après avoir dessiné sur son ventre arrondi une toile de « Maître » (d'artiste en peinture), ses gestes se rapprochent de plus en plus des lèvres intimes qui sont maintenues grandes ouvertes. Dosile ne peut s’empêcher de réprimer de petits cris, lorsque la cire liquide vient poindre sur son pubis et son entrecuisse à la peau plus tendre, mais il est bien difficile à ce moment là de savoir si cela correspond à des cris de plaisirs ou de déplaisirs, tant la consonance en est proche. Pour éviter de prendre des risques avec une trop grande douleur sur ces zones plus sensibles à la chaleur, le Dominant laisse couler la cire de plus haut afin d’adapter ses gestes aux réactions de celle qui n’est plus qu’un pantin sensitif entre ses mains, avec la possibilité de réduire encore l’impact en s’éloignant ou l’inverse si l'effet ressenti diminue. Depuis quelques minutes, Monsieur le Marquis d’Evans regarde son ami à l’œuvre. Volontairement, il n’a pas voulu s’approcher au risque de le déranger pendant tout le temps où il semblait pris par une douce fureur créative sur le corps exposée de sa soumise qui est maintenant bariolée de multiples impacts de gouttes de cire colorée, mais également dont le corps est saccadé de soubresauts intenses qui contractent tous ses muscles des pieds jusqu’à la tête qu’elle remue dans tous les sens, mais qui ne heurte pas la table grâce au petit coussin qui finalement était bien plus utile qu’il n’y paraissait.
Epuisée de retenir sa jouissance et la montée du plaisir, Dosile se lâche dans des cris stridents de jouissance féminine lorsque Sir Senav lui dit juste d’un seul mot « maintenant » au moment même où il renverse sur son clitoris décapuchonné et gonflé une bonne coulée de cire rouge. Dosile se tord dans tous les sens dans ses liens, prise par un orgasme d’une puissance fulgurante, qui est entretenu longuement car le Dominant continue de projeter des petites goutes de cire sur les lèvres intimes ouvertes de son esclave ce qui augmentent d’autant les cris de jouissance dans cet acmé de douceur mêlée de douleurs-plaisirs.
Le Marquis d’Evans s’approche au moment où Dosile commence un peu à reprendre son souffle, en applaudissant à pleines mains, repris aussi sec par d’autres personnes autour, qui trouvent de bon goût de suivre le Maître des Lieux dans ses gestes d’acclamation, même s’il n’est pas évident qu’ils aient la même approche artistique et une capacité de jugement de la qualité picturale du dessin corporel fait à la bougie. Mais déjà sur un simple plan D/s, la prestation réalisée sur la soumise immobile qui est couverte de bougie colorée sur une grande partie du corps et en particulier au niveau de ses zones érogènes est en soi déjà un petit exploit tant pour le Maître qui a officié, que pour l’esclave qui a enduré mais également apprécié ces ré-jouissances.
- Très beau chef-d’œuvre, Sir Senav. Je ne vous connaissais pas ces talents de peintre impressionniste. Vous me semblez presque prêt avec votre savoir-faire pour pouvoir vous lancer à organiser une exposition, votre œuvre serait-elle précaire, c’est le lot de plusieurs artistes qui de nos jours ne cherchent pas nécessairement à finir exposées sur un mur blanc dans les musées, mais qui préfère donner à l’Art toute sa dimension intemporelle dans la mesure où l’œuvre en elle-même est très éphémère, voire instantanée dans la pure créativité.
- Très Cher Marquis, ne plaisantez pas avec moi même si je connais vos habitudes facétieuses tout en restant respectueuses, je finirai bien par croire ce que Vous me dites et par me prendre pour un Cézanne de la bougie, ou pire un nouveau Van Gogh, mais qui n’auraient pas vraiment l’intention de se couper l’oreille car j’aime tout particulièrement lorsque mon épouse vient me lécher l’intérieur de l’oreille et les lobes, le soir devant la télé. A moins que Vous n’ayez songé à avoir vu en moi un nouveau Rembrant, ou un autre Soutine, qui aurait pris ma soumise Docile en guise de modèle à la place d’un bœuf dépecé et écorché sur des crochets de boucherie.
- Cher Sir Senav, non point de cela dans mon esprit, surtout pas. Vous connaissez mes gouts en matière de peinture, sans parler des peintres que j’affectionne au même titre que vous. Et sur le plan de la BDSM, vous savez fort bien combien je tiens à des rapports D/s de qualité, respectueux en tout premier lieu des dominés qui viennent à nos pieds de Dominant, et qui sont sous notre responsabilité et notre protection. D’ailleurs, je n’apprécie pas spécialement ces images dégradantes que l’on aperçoit parfois sur le net, où la soumise ou le soumis sont présentés comme de la simple chair fraîche à utiliser sans ménagement. J’avais en tête, en vous parlant, des peintres plus colorés en relation poétique avec le corps sublime de votre soumise que vous avez rendu bigarré et étincelant de plaisirs charnels dont nous avons tous pu savourer la tonalité de ses cris de femelle en jouissance.
En entendant la voix de Monsieur le Marquis d’Evans que Dosile a reconnu, mais également les bruits de plusieurs salves d’applaudissement, l’esclave-soumise qui reprend à peine ses esprits s’est mise à rougir intensément, se rendant compte que Sir Senav et même elle, en tant que corps dénudé et offert, mis à la disposition du Dominant, sont le centre d’intérêt de l’assistance qu’elle ne peut apercevoir mais qui doivent tous la dévisager ou reluquer dans son entrecuisse inondé de cyprine autant que de cire fondue. Une part d’elle voudrait ressentir la honte de se voir ainsi exhibée nue au vu de tous, contrainte par les liens à rester un pantin écartelé ayant perdu la vue et la mobilité, astreinte à n’être plus qu’un morceau de chair recouvert de cire fondue qui sert de terrain de jeux D/s. Mais la partie la plus profondément soumise qui habite son moi intérieur et toutes ses pensées ressent un immense bonheur et presque de la fierté à être devenue l’esclave de Sir Senav, qui ne cherche qu’à lui obéir et le satisfaire en tous points. Elle n’ignore pas l’immense plaisir jouissif qui vient de la transcender alors que les sensations chauffantes de la cire fondue avaient mis son corps et son cœur en ébullition. Sir Senav se retourne vers le Châtelain. Mais l’excitation ayant commencé à retomber, la tension musculaire commence à se faire sentir dans le corps écartelé de la soumise qui jusque là n’avait rien ressenti, mais qui commence à trouver longue chaque seconde supplémentaire dans ses muscles tétanisés et épuisés.
Sir Senav qui connait bien les réactions tout autant que les silences et autres petits gestes de son esclave-soumise qui est en train de se mordre les lèvres pour supporter la position qui est devenue insoutenable s’adresse au Marquis d’Evans.
- Très Cher Marquis, permettez-moi s’il vous plait de m’affairer quelques instants pour détacher ma soumise Dosile qui doit sérieusement commencer à peiner ainsi écartelée depuis de fort longues minutes, surtout qu’elle n’a pas la souplesse des frêles danseuses acrobates et que je me doute que la position que je lui ai imposé contraint son corps et ses muscles de manière importante.
- Cher Sir Senav, je vous en prie, faites ce que vous avez à faire. Je vais d’ailleurs devoir vous laisser pour poursuivre le tour de mes invités. J’espère que vous n’avez pas pris mal, ce que je vous ai dit juste précédemment en vous comparant à un peintre impressionniste car cela partait d’un bon sentiment, sans la moindre arrière-pensée. Je trouve très artistique ce que vous êtes arrivé à dessiner sur le corps plantureux de votre belle Dosile au teint si clair. Mais les gouttes de cire multicolores ressemblent plus à des touches de style impressionnistes qu’à ces magnifiques œuvres de nus aux formes généreuses que nous ont laissé les merveilleux peintres d’une autre époque que sont Rubens et Renoir et que je sais que vous affectionnez particulièrement. Ce sera au plaisir de nos prochaines discussions. Je crois bien que mes obligations professionnelles vont me conduire pas très loin de chez vous prochainement, si vous êtes disponible nous pourrions envisager un déjeuner en toute amitié, avec ou sans dominé(e)s à votre convenance.
- Très cher Marquis d’Evans, ce serait avec la plus grande joie de pouvoir passer un moment en Votre compagnie dans les jours ou semaines à venir.
Le Châtelain s’éloigne après avoir d’un geste amical sur la main et le coude salué Sir Senav. Le Dominant s’approche alors de la table.
- Tout doux ma très belle esclave, je vais te détacher sans tarder. Ne bouge pas encore. Tu as été merveilleuse, je suis très fier de toi. Je dois te dire que je te trouve très belle ainsi décorée, je pense que nous recommencerons souvent, car j’adore te voir frissonner ainsi.
Après avoir détaché ses jambes et ses bras, il la fait se plier un peu plus les jambes vers l’avant pour la courber. Il dégrafe son pantalon, ouvre la braguette et ….
(A suivre ….)
Il s’attaque ensuite au ventre de Dosile, jouant de plus en plus des couleurs aux tonalités variées et franches cette fois, en laissant tomber de petites gouttes telles les touches de peinture d’un tableau de peintre impressionniste. Il se complait de voir le corps de sa soumise qui frétille à chaque goutte et sursaute dans un vrai plaisir stimulant qui lui chauffe la peau mais aussi l’âme, car elle halète de plus belle avec un vrai sourire aux coins des lèvres framboises du haut et avec de plus en plus d’onctuosité visible sur ses lèvres rosacées du bas gonflées.
Dosile n’est pas masochiste au sens propre du terme, ne cherchant pas la douleur et encore moins l’humiliation comme catalyseur de sa jouissance physique, mais elle apprécie les plaisirs D/s même intenses qui mettent son âme en émoi, qu’ils s’agissent de plaisirs cinglants ou de plaisirs chauffants, qui stimulent le corps, mais aussi l’esprit maintenu en éveil dans la soumission et le don de soi à un Autre. Elle prend aussi beaucoup de plaisir personnel à satisfaire les plaisirs du Maître auquel elle appartient et elle apprécie tous les jeux et pratiques qu’il choisit de lui infliger pour partager ensemble dans une grande complicité leur passion commune D/s, chacun ayant besoin de l’A/autre pour pouvoir vivre leurs pulsions personnelles de Domination pour l’Un et de soumission pour l’autre. Elle aime offrir son corps, s’abandonner totalement entre les mains du Maître, être capable de lui montrer la force de sa dévotion, de sa soumission, de son abnégation, de sa vénération, et ce de toutes les manières possibles, dans le cadre d’une appartenance espérée et désirée fortement qui lui permet de supporter tout ce qu’il lui impose et d’obéir à tout ce qu’il exige d’elle. Elle lui a abandonné son corps tout entier, mais également sa pudeur, sa réserve, ses craintes, ses doutes, ses peurs, ses émotions, son passé, son avenir, les méandres de son moi intime, son jardin secret, pour n’être plus que Sienne, celle qu’il connait si bien et dont il peut tout exiger, tout en sachant très bien qu’il n’exigera jamais que ce qui correspond à un plaisir qu’il sait être partagé et désiré, même s’il cherche sans cesse à faire en sorte qu’elle puisse à ses pieds encore plus s’améliorer, s’épanouir, découvrir de nouvelles sensations de plus en plus intenses, et repousser ses limites physiques ou psychiques. Les jeux D/s sont aussi un merveilleux moyen d’enrichir leur vie sexuelle de couple et de rompre avec la monotonie vanille qui aurait pu s’emparer du quotidien parfois difficile et éprouvant après de longues et laborieuses journées de travail, tout en maintenant une harmonie dans la relation sans conflits, ni rébellion ou perturbation quelconque avec à la place beaucoup d’écoute réciproque, de communication, d’attention, de respect, d’affection et de sentiments partagés, de la part des deux partenaires ; une harmonie presque idyllique d’autant plus facile à maintenir qu’il n’y a jamais entre eux d’enjeux de pouvoirs que ce soit dans un contexte quotidien plus vanille, ou dans un temps D/s privilégié.
Sir Senav, sentant l’excitation monter dans le corps de son esclave, insère dans son anus un godemichet et dans sa chatte un œuf qu’il glisse profondément à l’intérieur du vagin, les deux objets étant vibrants, il les règle à la puissance maximale mais veillant à ne pas mettre la même fréquence de vibration sur les deux appareils pour varier plus intensément la cacophonie des sensations qui vont lui dévorer le bas-ventre. La respiration de Dosile est devenue encore plus intense, elle se retient pour ne pas se laisser aller à crier, ou tout du moins à exprimer à haute voix les émotions de plaisirs charnels et sensuels qui s’emparent de son corps, en ébullition, tant de l’intérieur que de l’extérieur. Le Dominant attrape quatre pinces clips qu’il fixe sur les grandes lèvres intimes de Dosile de part et d’autre et qu’il attache aux autres liens fixés autour de la table, de manière à écarteler la chatte humide de son esclave excitée, qui se trouve encore plus mise à nue et exhibée aux yeux de tous, même si sous son bandeau, elle est incapable de savoir si quelqu’un la regarde ou non, à cet instant même et d’ailleurs tout à l’écoute de ses propres ressentis, elle n’a guère le temps de se préoccuper de savoir si elle joue dans l’exhibitionnisme contraint.
Maniant le geste à la créativité artistique, le Maître se déchaine tel un chef d’orchestre qui battrait la mesure en cadence mais qui en guise de baguette aurait un filet de cire liquide qui changerait régulièrement de couleur, et qui viendrait déposer sur le corps qui lui tient lieu de toile de plus longues coulées qui serpentent en suivant les courbes et les rondeurs du corps étoffé, qui a au moins l’avantage d’offrir plus de centimètres carrées pour le chef d’œuvre du Dominant devenu peintre à la bougie. Dosile tremble de tout son corps, ressentant comme des étincelles qui viennent gicler sur sa peau sensible et sensuelle à des endroits différents, ne pouvant jamais anticiper le moindre geste du Maître pas plus que la sensation qui en résultera derrière son bandeau noir. Elle sursaute, frissonne sous les impacts de cire de plus en plus rapides qui ne lui laissent même plus le temps de reprendre son souffle saccadé, tandis qu’elle s’approche de plus en plus de l’ascension du plaisir qui mène à la jouissance. Le Maître s’attaque maintenant à son bas-ventre, commençant à « peindre » de multiples touches de couleur de cire liquide son pubis glabre bombé, mais aussi son entrecuisse qu’elle est toujours tenue de maintenir largement béant, puisque ses pieds sont toujours de part et d’autre de la table basse retenus éloignés au maximum l’un de l’autre au moyen d’une barre d’écartement, et que quatre pinces clips en maintiennent largement écarté les grandes lèvres, mettant à nu le petit bouton d’or qui a viré au rouge écarlate en se gonflant de désir.
Sir Senav sent que la montée en puissance s’approche et après avoir dessiné sur son ventre arrondi une toile de « Maître » (d'artiste en peinture), ses gestes se rapprochent de plus en plus des lèvres intimes qui sont maintenues grandes ouvertes. Dosile ne peut s’empêcher de réprimer de petits cris, lorsque la cire liquide vient poindre sur son pubis et son entrecuisse à la peau plus tendre, mais il est bien difficile à ce moment là de savoir si cela correspond à des cris de plaisirs ou de déplaisirs, tant la consonance en est proche. Pour éviter de prendre des risques avec une trop grande douleur sur ces zones plus sensibles à la chaleur, le Dominant laisse couler la cire de plus haut afin d’adapter ses gestes aux réactions de celle qui n’est plus qu’un pantin sensitif entre ses mains, avec la possibilité de réduire encore l’impact en s’éloignant ou l’inverse si l'effet ressenti diminue. Depuis quelques minutes, Monsieur le Marquis d’Evans regarde son ami à l’œuvre. Volontairement, il n’a pas voulu s’approcher au risque de le déranger pendant tout le temps où il semblait pris par une douce fureur créative sur le corps exposée de sa soumise qui est maintenant bariolée de multiples impacts de gouttes de cire colorée, mais également dont le corps est saccadé de soubresauts intenses qui contractent tous ses muscles des pieds jusqu’à la tête qu’elle remue dans tous les sens, mais qui ne heurte pas la table grâce au petit coussin qui finalement était bien plus utile qu’il n’y paraissait.
Epuisée de retenir sa jouissance et la montée du plaisir, Dosile se lâche dans des cris stridents de jouissance féminine lorsque Sir Senav lui dit juste d’un seul mot « maintenant » au moment même où il renverse sur son clitoris décapuchonné et gonflé une bonne coulée de cire rouge. Dosile se tord dans tous les sens dans ses liens, prise par un orgasme d’une puissance fulgurante, qui est entretenu longuement car le Dominant continue de projeter des petites goutes de cire sur les lèvres intimes ouvertes de son esclave ce qui augmentent d’autant les cris de jouissance dans cet acmé de douceur mêlée de douleurs-plaisirs.
Le Marquis d’Evans s’approche au moment où Dosile commence un peu à reprendre son souffle, en applaudissant à pleines mains, repris aussi sec par d’autres personnes autour, qui trouvent de bon goût de suivre le Maître des Lieux dans ses gestes d’acclamation, même s’il n’est pas évident qu’ils aient la même approche artistique et une capacité de jugement de la qualité picturale du dessin corporel fait à la bougie. Mais déjà sur un simple plan D/s, la prestation réalisée sur la soumise immobile qui est couverte de bougie colorée sur une grande partie du corps et en particulier au niveau de ses zones érogènes est en soi déjà un petit exploit tant pour le Maître qui a officié, que pour l’esclave qui a enduré mais également apprécié ces ré-jouissances.
- Très beau chef-d’œuvre, Sir Senav. Je ne vous connaissais pas ces talents de peintre impressionniste. Vous me semblez presque prêt avec votre savoir-faire pour pouvoir vous lancer à organiser une exposition, votre œuvre serait-elle précaire, c’est le lot de plusieurs artistes qui de nos jours ne cherchent pas nécessairement à finir exposées sur un mur blanc dans les musées, mais qui préfère donner à l’Art toute sa dimension intemporelle dans la mesure où l’œuvre en elle-même est très éphémère, voire instantanée dans la pure créativité.
- Très Cher Marquis, ne plaisantez pas avec moi même si je connais vos habitudes facétieuses tout en restant respectueuses, je finirai bien par croire ce que Vous me dites et par me prendre pour un Cézanne de la bougie, ou pire un nouveau Van Gogh, mais qui n’auraient pas vraiment l’intention de se couper l’oreille car j’aime tout particulièrement lorsque mon épouse vient me lécher l’intérieur de l’oreille et les lobes, le soir devant la télé. A moins que Vous n’ayez songé à avoir vu en moi un nouveau Rembrant, ou un autre Soutine, qui aurait pris ma soumise Docile en guise de modèle à la place d’un bœuf dépecé et écorché sur des crochets de boucherie.
- Cher Sir Senav, non point de cela dans mon esprit, surtout pas. Vous connaissez mes gouts en matière de peinture, sans parler des peintres que j’affectionne au même titre que vous. Et sur le plan de la BDSM, vous savez fort bien combien je tiens à des rapports D/s de qualité, respectueux en tout premier lieu des dominés qui viennent à nos pieds de Dominant, et qui sont sous notre responsabilité et notre protection. D’ailleurs, je n’apprécie pas spécialement ces images dégradantes que l’on aperçoit parfois sur le net, où la soumise ou le soumis sont présentés comme de la simple chair fraîche à utiliser sans ménagement. J’avais en tête, en vous parlant, des peintres plus colorés en relation poétique avec le corps sublime de votre soumise que vous avez rendu bigarré et étincelant de plaisirs charnels dont nous avons tous pu savourer la tonalité de ses cris de femelle en jouissance.
En entendant la voix de Monsieur le Marquis d’Evans que Dosile a reconnu, mais également les bruits de plusieurs salves d’applaudissement, l’esclave-soumise qui reprend à peine ses esprits s’est mise à rougir intensément, se rendant compte que Sir Senav et même elle, en tant que corps dénudé et offert, mis à la disposition du Dominant, sont le centre d’intérêt de l’assistance qu’elle ne peut apercevoir mais qui doivent tous la dévisager ou reluquer dans son entrecuisse inondé de cyprine autant que de cire fondue. Une part d’elle voudrait ressentir la honte de se voir ainsi exhibée nue au vu de tous, contrainte par les liens à rester un pantin écartelé ayant perdu la vue et la mobilité, astreinte à n’être plus qu’un morceau de chair recouvert de cire fondue qui sert de terrain de jeux D/s. Mais la partie la plus profondément soumise qui habite son moi intérieur et toutes ses pensées ressent un immense bonheur et presque de la fierté à être devenue l’esclave de Sir Senav, qui ne cherche qu’à lui obéir et le satisfaire en tous points. Elle n’ignore pas l’immense plaisir jouissif qui vient de la transcender alors que les sensations chauffantes de la cire fondue avaient mis son corps et son cœur en ébullition. Sir Senav se retourne vers le Châtelain. Mais l’excitation ayant commencé à retomber, la tension musculaire commence à se faire sentir dans le corps écartelé de la soumise qui jusque là n’avait rien ressenti, mais qui commence à trouver longue chaque seconde supplémentaire dans ses muscles tétanisés et épuisés.
Sir Senav qui connait bien les réactions tout autant que les silences et autres petits gestes de son esclave-soumise qui est en train de se mordre les lèvres pour supporter la position qui est devenue insoutenable s’adresse au Marquis d’Evans.
- Très Cher Marquis, permettez-moi s’il vous plait de m’affairer quelques instants pour détacher ma soumise Dosile qui doit sérieusement commencer à peiner ainsi écartelée depuis de fort longues minutes, surtout qu’elle n’a pas la souplesse des frêles danseuses acrobates et que je me doute que la position que je lui ai imposé contraint son corps et ses muscles de manière importante.
- Cher Sir Senav, je vous en prie, faites ce que vous avez à faire. Je vais d’ailleurs devoir vous laisser pour poursuivre le tour de mes invités. J’espère que vous n’avez pas pris mal, ce que je vous ai dit juste précédemment en vous comparant à un peintre impressionniste car cela partait d’un bon sentiment, sans la moindre arrière-pensée. Je trouve très artistique ce que vous êtes arrivé à dessiner sur le corps plantureux de votre belle Dosile au teint si clair. Mais les gouttes de cire multicolores ressemblent plus à des touches de style impressionnistes qu’à ces magnifiques œuvres de nus aux formes généreuses que nous ont laissé les merveilleux peintres d’une autre époque que sont Rubens et Renoir et que je sais que vous affectionnez particulièrement. Ce sera au plaisir de nos prochaines discussions. Je crois bien que mes obligations professionnelles vont me conduire pas très loin de chez vous prochainement, si vous êtes disponible nous pourrions envisager un déjeuner en toute amitié, avec ou sans dominé(e)s à votre convenance.
- Très cher Marquis d’Evans, ce serait avec la plus grande joie de pouvoir passer un moment en Votre compagnie dans les jours ou semaines à venir.
Le Châtelain s’éloigne après avoir d’un geste amical sur la main et le coude salué Sir Senav. Le Dominant s’approche alors de la table.
- Tout doux ma très belle esclave, je vais te détacher sans tarder. Ne bouge pas encore. Tu as été merveilleuse, je suis très fier de toi. Je dois te dire que je te trouve très belle ainsi décorée, je pense que nous recommencerons souvent, car j’adore te voir frissonner ainsi.
Après avoir détaché ses jambes et ses bras, il la fait se plier un peu plus les jambes vers l’avant pour la courber. Il dégrafe son pantalon, ouvre la braguette et ….
(A suivre ….)
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