La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°482 -
Maître d’Oz attrape sa soumise par son collier et la force à s’agenouiller…
- Tu vas sans tarder implorer le Pardon de Monsieur le Marquis d’Evans et tu accepteras sans dire un seul mot, à part « Merci » la punition que ce dernier va t’imposer eu égard à l’affront fait à Sa Noble Personne.
annazo s’agenouille, commençant à trembler car elle est impressionnée par la stature digne du Châtelain qui la fixe de son regard directif. Elle baisse la tête avant de s’exprimer d’une petite voix craintive, craignant également le courroux de Maître D’Oz, qui n’aime pas être contredit surtout en public.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je viens implorer Votre pardon à Vos pieds. J’accepte d’être punie par Vous pour mon manquement aux règles de bienséance.
- annazo, tu imploreras Mon pardon seulement après avoir reçu ta punition. Je ne suis absolument pas un sadique sauvage qui prend plaisir à martyriser ou à blesser les soumises-femelles, qu’elle soit Ma propriété ou non. Tu vas t’en rendre compte par toi-même car volontairement, je n’ai pas choisi une punition douloureuse en soi, mais qui n’en sera que plus marquante et humiliante car tes craintes étaient injustifiées, je n’ai jamais eu l’intention de te « déchirer les entrailles » pour reprendre tes propres mots. Cependant, j’ai des principes et j’entends qu’ils soient respectés à fortiori en ma Noble demeure. Tu recevras autant de fessées sur chaque fesse que les lettres de Mon nom complet que tu devras épeler une à une, tout en ajoutant après chaque coup « Merci, Monsieur le Marquis d’Evans ». Et encore soit heureuse que je ne double pas la sentence, car j’ai eu droit à deux « il » venant de ta part. Comme j’ai assez donné de Ma Personne depuis le début de la soirée, c’est Ma soumise Holly MDE qui va administrer la fessée, cela va lui dégourdir un peu les bras et les jambes, même si Je sais qu’elle n’aime pas plus que cela ce genre d’obligation punitive, mais une soumise se doit d’obéir en tous points et non de se contenter de faire ce qui lui plait et lui fait du bien.
La chienne-esclave Holly MDE baisse la tête en signe d’acquiescement. Il est vrai qu’elle préférerait mille fois recevoir elle-même les fessées que les donner, mais son plaisir à satisfaire le Maître l’emporte sur son déplaisir et sa gêne de devoir donner la fessée à une autre soumise qu’elle ne connaît pas.
- annazo, tu vas te pencher en avant, jusqu’à ce que tes mains touchent tes pieds, tout en veillant à écarter les jambes au maximum. Tu m’as l’air assez jeune et souple pour garder la position pendant tout le temps que durera la sanction. Et Je ne veux rien entendre d’autre que l’une des lettres de Mon Noble nom avant la frappe, suivie juste après de « Merci, Monsieur le Marquis d’Evans ». Je ne cache pas que si tu te trompes en épelant, j’exige que tu recommences au début.
Holly suivant les ordres du Maître Vénéré commence à donner la première fessée après le premier « M » épelé, suivi par la suite du « O », du « N », etc. …... La soumise punie ne bronche pas tandis que son postérieur commence à prendre une teinte rosacée. Mais arrivée au « S » de « Marquis », annazo se trompe en annonçant un « E » pour « Evans » oubliant la particule. Holly MDE s’interrompt avant de frapper regardant le Maître Vénéré pour savoir ce qu’elle doit faire. C’est le Marquis d’Evans qui rompt le silence, la soumise n’ayant pas encore pris conscience de son erreur et se demandant ce qui se passait, mais sans oser se relever.
- « M » pour « Monsieur », Holly MDE est obligée de recommencer. Pour ta peine, Ma chienne, tâche de mettre un peu plus d’énergie dans tes mains, car visiblement cette soumise a du mal à se concentrer, et Je ne tiens pas à y passer le reste de la nuit.
- Oui, Maître Vénéré (ajoute Holly MDE en tapant si fort que la marque de ses doigts s’imprime sur la croupe déjà échauffée)- Mer … Merci, Monsieur le Marquis d’Evans.
La soumise châtiée a un peu plus de mal à supporter les fessées très appuyées d’Holly MDE. Mais la suite de la punition se passe sans autre interruption, Holly MDE commençant à manquer d’énergie sur la fin a réduit sensiblement la portée de ses coups de plus en plus espacés.
- Alors Ma petite chienne Holly MDE, tu faiblis, ce me semble ! Tu vois que ce n’est pas un travail de tout repos que d’être un Dominant qui a en charge l’éducation et le dressage d’une soumise. Cela en est même parfois éreintant physiquement lorsqu’il faut donner du plaisir ou du déplaisir, dans la douceur ou la douleur. Il faut savoir comme le dit l’expression « mettre la main à la patte » encore que pour la circonstance, ce serait plutôt « mettre la main aux fesses ».
annazo, les yeux emplis de honte, mais également pétillants de l’excitation de ce petit échauffement, s’agenouille à nouveau aux pieds du Châtelain une fois la fessée terminée.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je viens tout d’abord vous adresser mes plus sincères excuses pour ce que j’ai pu dire précédemment et pour la particule qui m’a échappée la première fois tandis que j’épelais votre Noble nom. Je Vous remercie personnellement, ainsi que Votre chienne Holly MDE qui a officiée sur mon postérieur et sous Vos ordres, pour la fessée que j’avais méritée, ayant pleinement conscience de la légèreté de la sanction imposée et donc de Votre immense magnanimité à mon égard après mes propos déplacés et inconsidérés, ce dont je ne peux que Vous remercier très sincèrement. Je Vous prie, si Vous daignez y consentir, de bien vouloir m’accorder Votre pardon que j’implore humblement.
- Je t’accorde Mon Pardon, annazo, pour cette fois, mais veille à ne plus jamais recommencer et d’une manière générale, vis-à-vis de tous les Maîtres et Maîtresses devant lesquels tu serais amenée à prendre la parole, si tu ne connais pas leur nom, ce qui est fort possible, n’oublie pas au moins de préciser Monsieur ou Madame suivant le cas et de les saluer par un bonjour avant même d’ouvrir la bouche en leurs présence et avec l’autorisation du Dominant auquel tu appartiens.
Maître Kas n’avait pas bougé pendant tout ce temps-là, tenant la laisse de sa soumise flore à quatre pattes dont il caressait les cheveux tout en lui glissant à l’oreille, fais tout ce que tu pourras pour gagner ma belle, je voudrais pouvoir être fier de toi, même si tu ne gagnes pas la course donne ton maximum. Maitre D’Oz un peu plus énervé par ce qui vient de se passer et par l’affront qui lui a été fait par sa soumise s’est mis légèrement en retrait, laissant le Maître des Lieux continuer de prendre les choses en mains.
Le Marquis d’Evans fait installer les quatre soumises à quatre pattes, dos à dos. IL commence à glisser dans l’anus de sa première chienne l’embout en forme de gland du long plug anal à double entrée et lui demande de reculer jusqu’à ce que sa sœur de soumission puisse également s’empaler sur le même objet phallique, mais de l’autre côté sur l’embout identique. Pour pouvoir se reculer suffisamment, les deux chiennes ont dû se décaler légèrement de manière à glisser leurs jambes l’une à côté de celle de l’autre. Le Châtelain impose à ses deux esclaves de pouvoir correctement se laisser embrocher en reculant au maximum fesses contre fesses. IL sangle alors les cuisses groupées des deux soumises de chaque côté pour solidariser l’ensemble. IL glisse également une large attache autour des deux bassins des chiennes qui ne peuvent donc plus bouger indépendamment l’une de l’autre, ni latéralement, ni d’avant en arrière. Le Noble ayant fait la démonstration de ce qu’IL attendait propose aux deux autres Dominants d’équiper de la même manière leur duo de soumises.
- Messieurs, Je vous laisse seul juge de savoir jusqu’à quelle profondeur vous voudrez voir votre soumise sodomisée par ce gode souple, relativement étroit mais assez long. Je me permets juste de vous faire remarquer que plus elles seront proches, solidaires et correctement sanglées, plus elles auront la possibilité de se mouvoir par la suite en coordonnant leur mouvements, sans se faire trop mal ou se gêner.
Les deux Dominants imitant le Maître des Lieux équipent de la même manière le tandem « annazo / flore », également dos à dos et totalement empalées toutes les deux, car finalement le double gode s’avérait bien plus agréable à supporter que la peur qu’en avait eu la soumise en découvrant un objet sextoy qu’elle n’avait jamais eu l’occasion d’expérimenter jusque-là. Les quatre femelles emplies dans leur fondement sont visiblement excitées par la situation, d’autant plus que le moindre mouvement vient réveiller leur zone anale garnie profondément. Le Châtelain prend en main les opérations plaçant au même niveau les deux groupes de chiennes chacune installée à quatre pattes (à huit pattes en réalité et à deux têtes opposées à la différence du chien Cerbère mythologique qui avait trois têtes de face pour un seul corps)
- Pour que la course reste équitable, j’ai décidé d’imposer à Mes chiennes-femelles un handicap supplémentaire dont vos deux soumises seront exemptées à tout bien réfléchir.
Le Marquis d’Evans attrape 4 des huit chaines à pinces en métal qu’IL avait demandé à Holly MDE de rapporter. IL se penche et les clipse sur les grandes lèvres intimes de chacune de Ses esclaves. IL croise les extrémités de ces chaînes de manière à venir les attacher à l’autre extrémité sur le mamelon de l’autre, la chaîne se trouvant obligée de passer dans la chatte de la femelle. A tel point que chaque mouvement de l’une ou de l’autre des esclaves se répercute immédiatement sur l’autre femelle tirant soit sur le bas-ventre soit sur les tétons, suivant la partie du corps en mouvement, ce qui a également pour effet de venir cisailler l’intérieur de l’entrecuisse soyeux en effleurant au passage le clitoris. Le Châtelain pose également un masque opaque sur chacune des participantes. L’animation qui se met en place a attiré autour quelques curieux parmi les invités un peu las à cette heure tardive mais qui ne veulent rien manquer du spectacle qui va se jouer sur la piste de danse.
- Et bien, maintenant que notre quadrille semble fin prêt pour son pas de quatre, Je vais pouvoir donner le départ de la course. Il me semblerait trop facile et injuste pour celle de dos, de demander à chaque tandem d’avancer ou de reculer, Je vous propose donc de les faire se déplacer sur le côté. Rien de plus facile, une jambe après l’autre vers la gauche et ainsi de suite … Une règle de base, il est interdit de parler et de communiquer entre vous. Et bien sûr, chaque cri vaudra un coup de cravache sur la croupe de celle qui aura eu le malheur de venir agacer les oreilles des spectateurs. Que les meilleures gagnent !
Le Marquis d’Evans lance le départ de la course en même temps qu’IL fait signe à l’orchestre pour que ce dernier joue le célèbre pas de quatre du ballet du Lac des Cygnes. Tandis que la musique relativement rapide et enjouée démarre et sera reprise en continue jusqu’à l’arrivée, les 4 femelles se rendent vite compte que leurs mouvements sont presque impossibles et que le jeu inventé par le Marquis d’Evans est relativement machiavélique, mais qu’il va faire le plaisir des invités en quête de divertissements érotisés et D/s. Les participantes sont si étroitement liées entre elles deux que les moindres tentatives de déplacement sont au départ vaines pour le groupe des 2 soumises comme pour le groupe des 2 esclaves MDE. Et en fait de course lancée, il s’agit bien plus « d’un sur place » qui parait presque imposé. Il leur faut plusieurs secondes avant d’arriver à comprendre qu’elles doivent agir de concert, une jambe après l’autre, ou plus exactement les deux jambes groupées d’un côté pour s’éloigner un peu puis les deux jambes groupées de l’autre côté pour les rapprocher à nouveau et ainsi de suite. Mais du fait que leur deux anus sont enculés et étroitement godées ensemble, les déplacements latéraux ne peuvent être que très minimes à chaque fois. Les deux esclaves ont le sentiment qu’elles n’ont guère bougé que de quelques centimètres, tiraillées en outre par les pinces mordantes, mais leur désir de satisfaire le Maître Vénéré est plus fort que la douleur imposée par chaque reptation faisant glisser leurs jambes ensemble de guère plus de 2 cm correspondant à l’écartement maximum qu’elles peuvent obtenir en relâchant puis en contractant les muscles fessiers.
Se déplaçant par glissades successives un peu comme le ferait un escargot, les deux esclaves prennent bien vite de l’avance malgré leur handicap qui s’avère douloureux à supporter mais qui accentue leur excitation et leur désir d’arriver le plus vite possible au terme de la longueur imposée par le Maître Vénéré, lorsqu’IL jugera que leurs efforts ont été suffisants, car en tout état de cause, privées de la vue, elles n’ont aucun moyen de savoir jusqu’où elles doivent aller. Les deux soumises annazo et flore ont du mal à se concerter et à rester sans crier, ce qui leur vaut parfois quelques coups supplémentaires sur les fesses, ce qui n’arrange pas leur affaire et ne fait que les déstabiliser, malgré les encouragements de la foule de spectateurs. Comme elles ont également les yeux bandés, elles ne peuvent même pas en profiter pour regarder la technique mise au point par leurs concurrentes directes, qui semblent bien plus débrouillardes.
Le Marquis d’Evans affiche un sourire radieux, assez fier de l’avancée spectaculaire des deux femelles dont IL est l’heureux propriétaire… IL décide de mettre un terme à l’épreuve imposée sous les applaudissements de la salle et de tous ceux qui se sont rassemblés autour du quadrille. Les deux esclaves sont inquiètes car elles ne savent pas qui va être déclaré vainqueur et si elles devront rendre compte au Maître Vénéré de leur défaillance en cas d’échec. Elles ont bien entendu des encouragements pour annazo et flore, mais cela voulait-il dire que les soumises étaient en avance ou en retard. Elles n’en savent encore rien. Terriblement excitée et exténuée par cette étrange épreuve et toutes les sollicitations charnelles que cela a entraîné, les deux chiennes-esclaves constatent que quelqu’un leur ôte leur chaînes aux seins et aux lèvres intimes, ce qui ne se fait pas sans douleur au moment où le sang se remet à circuler dans la partie largement pincée et titillée par les nombreux mouvements. Leur sangles sont également défaites et elles se retrouvent juste avec le double gode qui les relie par le cul.
- Mes belles chiennes N°9 et N°15, Je suis très fier de vous. Je vous donne la possibilité de vous branler sans les mains sur le gode, toujours à quatre pattes et avec interdiction de le laisser tomber. Empalez-vous, avancez, reculez, remplissez-vous tout à votre aise comme si c’était la Divine Queue du Maître qui prenait possession de Votre petit trou dilaté. Jouissance autorisée pour la première qui y arrivera. J’ai dit !
Les deux femelles ne se le font pas dire deux fois, tant il leur est agréable d’obéir à un tel ordre après des efforts notables, Malgré leur épuisement, les deux chiennes en chaleur s’en donnent à cœur joie, jouant du bassin et des fesses sur le long gode, venant se heurter l’une contre l’autre, ou parfois les deux ensembles pour augmenter leur sensations anales et faire monter le plaisir sensuel. Leurs deux chattes humides suintent de cyprine. L’esclave N°15 atteint la première un orgasme en jouissant du cul, sans le moindre attouchement dans son bas-ventre dégoulinant qui est en feu. Le verdict du Maître Vénéré tombe tel un couperet.
- Stop ! Le jeu est terminé, Chacune retourne auprès du Maître auquel elle a été affectée pour la nuitée. Et si ces derniers veulent vous faire payer la défaite de leur petite protégée de la manière qui leur plaira, libre à eux de profiter de vous comme il leur semble.
Les deux esclaves N° 9 et N° 15 qui ont enlevé le gode qui les reliait dès que le mot « stop » a été prononcé par le Marquis d’Evans, malgré la frustration de l’une des deux qui n’est pas arrivée à libérer la jouissance qui lui dévore le bas-ventre, se prosternent devant le Maître Vénéré et se mettent à quatre pattes en direction respectivement de Maître D’Oz et de Maître Kas devant lesquels elles viennent s’incliner pour leur baiser les pieds.
(A suivre ….)
Maître d’Oz attrape sa soumise par son collier et la force à s’agenouiller…
- Tu vas sans tarder implorer le Pardon de Monsieur le Marquis d’Evans et tu accepteras sans dire un seul mot, à part « Merci » la punition que ce dernier va t’imposer eu égard à l’affront fait à Sa Noble Personne.
annazo s’agenouille, commençant à trembler car elle est impressionnée par la stature digne du Châtelain qui la fixe de son regard directif. Elle baisse la tête avant de s’exprimer d’une petite voix craintive, craignant également le courroux de Maître D’Oz, qui n’aime pas être contredit surtout en public.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je viens implorer Votre pardon à Vos pieds. J’accepte d’être punie par Vous pour mon manquement aux règles de bienséance.
- annazo, tu imploreras Mon pardon seulement après avoir reçu ta punition. Je ne suis absolument pas un sadique sauvage qui prend plaisir à martyriser ou à blesser les soumises-femelles, qu’elle soit Ma propriété ou non. Tu vas t’en rendre compte par toi-même car volontairement, je n’ai pas choisi une punition douloureuse en soi, mais qui n’en sera que plus marquante et humiliante car tes craintes étaient injustifiées, je n’ai jamais eu l’intention de te « déchirer les entrailles » pour reprendre tes propres mots. Cependant, j’ai des principes et j’entends qu’ils soient respectés à fortiori en ma Noble demeure. Tu recevras autant de fessées sur chaque fesse que les lettres de Mon nom complet que tu devras épeler une à une, tout en ajoutant après chaque coup « Merci, Monsieur le Marquis d’Evans ». Et encore soit heureuse que je ne double pas la sentence, car j’ai eu droit à deux « il » venant de ta part. Comme j’ai assez donné de Ma Personne depuis le début de la soirée, c’est Ma soumise Holly MDE qui va administrer la fessée, cela va lui dégourdir un peu les bras et les jambes, même si Je sais qu’elle n’aime pas plus que cela ce genre d’obligation punitive, mais une soumise se doit d’obéir en tous points et non de se contenter de faire ce qui lui plait et lui fait du bien.
La chienne-esclave Holly MDE baisse la tête en signe d’acquiescement. Il est vrai qu’elle préférerait mille fois recevoir elle-même les fessées que les donner, mais son plaisir à satisfaire le Maître l’emporte sur son déplaisir et sa gêne de devoir donner la fessée à une autre soumise qu’elle ne connaît pas.
- annazo, tu vas te pencher en avant, jusqu’à ce que tes mains touchent tes pieds, tout en veillant à écarter les jambes au maximum. Tu m’as l’air assez jeune et souple pour garder la position pendant tout le temps que durera la sanction. Et Je ne veux rien entendre d’autre que l’une des lettres de Mon Noble nom avant la frappe, suivie juste après de « Merci, Monsieur le Marquis d’Evans ». Je ne cache pas que si tu te trompes en épelant, j’exige que tu recommences au début.
Holly suivant les ordres du Maître Vénéré commence à donner la première fessée après le premier « M » épelé, suivi par la suite du « O », du « N », etc. …... La soumise punie ne bronche pas tandis que son postérieur commence à prendre une teinte rosacée. Mais arrivée au « S » de « Marquis », annazo se trompe en annonçant un « E » pour « Evans » oubliant la particule. Holly MDE s’interrompt avant de frapper regardant le Maître Vénéré pour savoir ce qu’elle doit faire. C’est le Marquis d’Evans qui rompt le silence, la soumise n’ayant pas encore pris conscience de son erreur et se demandant ce qui se passait, mais sans oser se relever.
- « M » pour « Monsieur », Holly MDE est obligée de recommencer. Pour ta peine, Ma chienne, tâche de mettre un peu plus d’énergie dans tes mains, car visiblement cette soumise a du mal à se concentrer, et Je ne tiens pas à y passer le reste de la nuit.
- Oui, Maître Vénéré (ajoute Holly MDE en tapant si fort que la marque de ses doigts s’imprime sur la croupe déjà échauffée)- Mer … Merci, Monsieur le Marquis d’Evans.
La soumise châtiée a un peu plus de mal à supporter les fessées très appuyées d’Holly MDE. Mais la suite de la punition se passe sans autre interruption, Holly MDE commençant à manquer d’énergie sur la fin a réduit sensiblement la portée de ses coups de plus en plus espacés.
- Alors Ma petite chienne Holly MDE, tu faiblis, ce me semble ! Tu vois que ce n’est pas un travail de tout repos que d’être un Dominant qui a en charge l’éducation et le dressage d’une soumise. Cela en est même parfois éreintant physiquement lorsqu’il faut donner du plaisir ou du déplaisir, dans la douceur ou la douleur. Il faut savoir comme le dit l’expression « mettre la main à la patte » encore que pour la circonstance, ce serait plutôt « mettre la main aux fesses ».
annazo, les yeux emplis de honte, mais également pétillants de l’excitation de ce petit échauffement, s’agenouille à nouveau aux pieds du Châtelain une fois la fessée terminée.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je viens tout d’abord vous adresser mes plus sincères excuses pour ce que j’ai pu dire précédemment et pour la particule qui m’a échappée la première fois tandis que j’épelais votre Noble nom. Je Vous remercie personnellement, ainsi que Votre chienne Holly MDE qui a officiée sur mon postérieur et sous Vos ordres, pour la fessée que j’avais méritée, ayant pleinement conscience de la légèreté de la sanction imposée et donc de Votre immense magnanimité à mon égard après mes propos déplacés et inconsidérés, ce dont je ne peux que Vous remercier très sincèrement. Je Vous prie, si Vous daignez y consentir, de bien vouloir m’accorder Votre pardon que j’implore humblement.
- Je t’accorde Mon Pardon, annazo, pour cette fois, mais veille à ne plus jamais recommencer et d’une manière générale, vis-à-vis de tous les Maîtres et Maîtresses devant lesquels tu serais amenée à prendre la parole, si tu ne connais pas leur nom, ce qui est fort possible, n’oublie pas au moins de préciser Monsieur ou Madame suivant le cas et de les saluer par un bonjour avant même d’ouvrir la bouche en leurs présence et avec l’autorisation du Dominant auquel tu appartiens.
Maître Kas n’avait pas bougé pendant tout ce temps-là, tenant la laisse de sa soumise flore à quatre pattes dont il caressait les cheveux tout en lui glissant à l’oreille, fais tout ce que tu pourras pour gagner ma belle, je voudrais pouvoir être fier de toi, même si tu ne gagnes pas la course donne ton maximum. Maitre D’Oz un peu plus énervé par ce qui vient de se passer et par l’affront qui lui a été fait par sa soumise s’est mis légèrement en retrait, laissant le Maître des Lieux continuer de prendre les choses en mains.
Le Marquis d’Evans fait installer les quatre soumises à quatre pattes, dos à dos. IL commence à glisser dans l’anus de sa première chienne l’embout en forme de gland du long plug anal à double entrée et lui demande de reculer jusqu’à ce que sa sœur de soumission puisse également s’empaler sur le même objet phallique, mais de l’autre côté sur l’embout identique. Pour pouvoir se reculer suffisamment, les deux chiennes ont dû se décaler légèrement de manière à glisser leurs jambes l’une à côté de celle de l’autre. Le Châtelain impose à ses deux esclaves de pouvoir correctement se laisser embrocher en reculant au maximum fesses contre fesses. IL sangle alors les cuisses groupées des deux soumises de chaque côté pour solidariser l’ensemble. IL glisse également une large attache autour des deux bassins des chiennes qui ne peuvent donc plus bouger indépendamment l’une de l’autre, ni latéralement, ni d’avant en arrière. Le Noble ayant fait la démonstration de ce qu’IL attendait propose aux deux autres Dominants d’équiper de la même manière leur duo de soumises.
- Messieurs, Je vous laisse seul juge de savoir jusqu’à quelle profondeur vous voudrez voir votre soumise sodomisée par ce gode souple, relativement étroit mais assez long. Je me permets juste de vous faire remarquer que plus elles seront proches, solidaires et correctement sanglées, plus elles auront la possibilité de se mouvoir par la suite en coordonnant leur mouvements, sans se faire trop mal ou se gêner.
Les deux Dominants imitant le Maître des Lieux équipent de la même manière le tandem « annazo / flore », également dos à dos et totalement empalées toutes les deux, car finalement le double gode s’avérait bien plus agréable à supporter que la peur qu’en avait eu la soumise en découvrant un objet sextoy qu’elle n’avait jamais eu l’occasion d’expérimenter jusque-là. Les quatre femelles emplies dans leur fondement sont visiblement excitées par la situation, d’autant plus que le moindre mouvement vient réveiller leur zone anale garnie profondément. Le Châtelain prend en main les opérations plaçant au même niveau les deux groupes de chiennes chacune installée à quatre pattes (à huit pattes en réalité et à deux têtes opposées à la différence du chien Cerbère mythologique qui avait trois têtes de face pour un seul corps)
- Pour que la course reste équitable, j’ai décidé d’imposer à Mes chiennes-femelles un handicap supplémentaire dont vos deux soumises seront exemptées à tout bien réfléchir.
Le Marquis d’Evans attrape 4 des huit chaines à pinces en métal qu’IL avait demandé à Holly MDE de rapporter. IL se penche et les clipse sur les grandes lèvres intimes de chacune de Ses esclaves. IL croise les extrémités de ces chaînes de manière à venir les attacher à l’autre extrémité sur le mamelon de l’autre, la chaîne se trouvant obligée de passer dans la chatte de la femelle. A tel point que chaque mouvement de l’une ou de l’autre des esclaves se répercute immédiatement sur l’autre femelle tirant soit sur le bas-ventre soit sur les tétons, suivant la partie du corps en mouvement, ce qui a également pour effet de venir cisailler l’intérieur de l’entrecuisse soyeux en effleurant au passage le clitoris. Le Châtelain pose également un masque opaque sur chacune des participantes. L’animation qui se met en place a attiré autour quelques curieux parmi les invités un peu las à cette heure tardive mais qui ne veulent rien manquer du spectacle qui va se jouer sur la piste de danse.
- Et bien, maintenant que notre quadrille semble fin prêt pour son pas de quatre, Je vais pouvoir donner le départ de la course. Il me semblerait trop facile et injuste pour celle de dos, de demander à chaque tandem d’avancer ou de reculer, Je vous propose donc de les faire se déplacer sur le côté. Rien de plus facile, une jambe après l’autre vers la gauche et ainsi de suite … Une règle de base, il est interdit de parler et de communiquer entre vous. Et bien sûr, chaque cri vaudra un coup de cravache sur la croupe de celle qui aura eu le malheur de venir agacer les oreilles des spectateurs. Que les meilleures gagnent !
Le Marquis d’Evans lance le départ de la course en même temps qu’IL fait signe à l’orchestre pour que ce dernier joue le célèbre pas de quatre du ballet du Lac des Cygnes. Tandis que la musique relativement rapide et enjouée démarre et sera reprise en continue jusqu’à l’arrivée, les 4 femelles se rendent vite compte que leurs mouvements sont presque impossibles et que le jeu inventé par le Marquis d’Evans est relativement machiavélique, mais qu’il va faire le plaisir des invités en quête de divertissements érotisés et D/s. Les participantes sont si étroitement liées entre elles deux que les moindres tentatives de déplacement sont au départ vaines pour le groupe des 2 soumises comme pour le groupe des 2 esclaves MDE. Et en fait de course lancée, il s’agit bien plus « d’un sur place » qui parait presque imposé. Il leur faut plusieurs secondes avant d’arriver à comprendre qu’elles doivent agir de concert, une jambe après l’autre, ou plus exactement les deux jambes groupées d’un côté pour s’éloigner un peu puis les deux jambes groupées de l’autre côté pour les rapprocher à nouveau et ainsi de suite. Mais du fait que leur deux anus sont enculés et étroitement godées ensemble, les déplacements latéraux ne peuvent être que très minimes à chaque fois. Les deux esclaves ont le sentiment qu’elles n’ont guère bougé que de quelques centimètres, tiraillées en outre par les pinces mordantes, mais leur désir de satisfaire le Maître Vénéré est plus fort que la douleur imposée par chaque reptation faisant glisser leurs jambes ensemble de guère plus de 2 cm correspondant à l’écartement maximum qu’elles peuvent obtenir en relâchant puis en contractant les muscles fessiers.
Se déplaçant par glissades successives un peu comme le ferait un escargot, les deux esclaves prennent bien vite de l’avance malgré leur handicap qui s’avère douloureux à supporter mais qui accentue leur excitation et leur désir d’arriver le plus vite possible au terme de la longueur imposée par le Maître Vénéré, lorsqu’IL jugera que leurs efforts ont été suffisants, car en tout état de cause, privées de la vue, elles n’ont aucun moyen de savoir jusqu’où elles doivent aller. Les deux soumises annazo et flore ont du mal à se concerter et à rester sans crier, ce qui leur vaut parfois quelques coups supplémentaires sur les fesses, ce qui n’arrange pas leur affaire et ne fait que les déstabiliser, malgré les encouragements de la foule de spectateurs. Comme elles ont également les yeux bandés, elles ne peuvent même pas en profiter pour regarder la technique mise au point par leurs concurrentes directes, qui semblent bien plus débrouillardes.
Le Marquis d’Evans affiche un sourire radieux, assez fier de l’avancée spectaculaire des deux femelles dont IL est l’heureux propriétaire… IL décide de mettre un terme à l’épreuve imposée sous les applaudissements de la salle et de tous ceux qui se sont rassemblés autour du quadrille. Les deux esclaves sont inquiètes car elles ne savent pas qui va être déclaré vainqueur et si elles devront rendre compte au Maître Vénéré de leur défaillance en cas d’échec. Elles ont bien entendu des encouragements pour annazo et flore, mais cela voulait-il dire que les soumises étaient en avance ou en retard. Elles n’en savent encore rien. Terriblement excitée et exténuée par cette étrange épreuve et toutes les sollicitations charnelles que cela a entraîné, les deux chiennes-esclaves constatent que quelqu’un leur ôte leur chaînes aux seins et aux lèvres intimes, ce qui ne se fait pas sans douleur au moment où le sang se remet à circuler dans la partie largement pincée et titillée par les nombreux mouvements. Leur sangles sont également défaites et elles se retrouvent juste avec le double gode qui les relie par le cul.
- Mes belles chiennes N°9 et N°15, Je suis très fier de vous. Je vous donne la possibilité de vous branler sans les mains sur le gode, toujours à quatre pattes et avec interdiction de le laisser tomber. Empalez-vous, avancez, reculez, remplissez-vous tout à votre aise comme si c’était la Divine Queue du Maître qui prenait possession de Votre petit trou dilaté. Jouissance autorisée pour la première qui y arrivera. J’ai dit !
Les deux femelles ne se le font pas dire deux fois, tant il leur est agréable d’obéir à un tel ordre après des efforts notables, Malgré leur épuisement, les deux chiennes en chaleur s’en donnent à cœur joie, jouant du bassin et des fesses sur le long gode, venant se heurter l’une contre l’autre, ou parfois les deux ensembles pour augmenter leur sensations anales et faire monter le plaisir sensuel. Leurs deux chattes humides suintent de cyprine. L’esclave N°15 atteint la première un orgasme en jouissant du cul, sans le moindre attouchement dans son bas-ventre dégoulinant qui est en feu. Le verdict du Maître Vénéré tombe tel un couperet.
- Stop ! Le jeu est terminé, Chacune retourne auprès du Maître auquel elle a été affectée pour la nuitée. Et si ces derniers veulent vous faire payer la défaite de leur petite protégée de la manière qui leur plaira, libre à eux de profiter de vous comme il leur semble.
Les deux esclaves N° 9 et N° 15 qui ont enlevé le gode qui les reliait dès que le mot « stop » a été prononcé par le Marquis d’Evans, malgré la frustration de l’une des deux qui n’est pas arrivée à libérer la jouissance qui lui dévore le bas-ventre, se prosternent devant le Maître Vénéré et se mettent à quatre pattes en direction respectivement de Maître D’Oz et de Maître Kas devant lesquels elles viennent s’incliner pour leur baiser les pieds.
(A suivre ….)
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