La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°483 -
Le Marquis d’Evans est assez fier de savoir que c’est le duo de Ses deux chiennes-femelles MDE qui a gagné la course, un jeu qu’IL venait à l’instant même d’inventer pour divertir l’assemblée d’une part, mais également pour relever le défi lancé par Maître D’Oz et Maître Kas dont les deux soumises, elles aussi reliées par le cul par un long gode anal à double entrée, ont eu bien plus de mal que le tandem de Ses propres esclaves pour crapahuter sur le côté une fois attachées solidairement. Le Châtelain, sourire aux lèvres, ordonne à Sa soumise Holly MDE de reprendre sa place. La chienne se met aussi sec à quatre pattes derrière le Maître Vénéré, en tendant la dragonne de sa laisse dans sa main droite pour que le Dominant puisse la saisir quand IL lui semblera bon de le faire. Le Noble s’éloigne sans avoir daigné prendre la laisse en main cette fois, et la chienne bien dressée lui emboite le pas ayant pris dans sa bouche entre ses lèvres le bout de la laisse pour qu’elle ne traîne pas.

Pendant ce temps, les deux esclaves N° 9MDE et N° 15MDE sont venues s’incliner pour baiser les pieds des Maîtres respectifs auxquels elles ont été affectées pour toute la soirée anniversaire à la suite du tirage au sort. C’est Maître d’Oz qui prend la parole en premier, tandis qu’il demande à sa soumise annazo de venir juste à ses côtés. Maître Kas, lui adresse un sourire complice, tout en caressant la croupe de sa soumise flore échauffée pendant l’exercice.

- Alors, voilà nos deux gagnantes prosternées aux culs bien dilatés. Il me semble qu’elles méritent toutes les deux un trophée, ne crois-tu pas mon cher ami ?
- Oui, tout à fait un trophée qu’elles pourront arborer dignement pendant le reste de la nuit. A mon avis, il faudrait également leur offrir un petit cadeau coloré. La couleur de la victoire n’est-elle pas le rouge ?

Les deux Dominants s’esclaffent de rire, ce qui inquiète très largement les deux esclaves toujours dans une position des plus indécentes, prosternées têtes au sol avec le cul bien relevé et les deux petits trous encore béants. Les chiennes-femelles se doutent bien qu’elles vont devoir payer maintenant l’humiliation imposée aux deux soumises vaincues et par contrecoup l’affront fait à leurs Maîtres. Mais tant l’une que l’autre sont prêtes à tout subir, trop heureuse d’avoir pu faire la fierté de Monsieur le Marquis d’Evans auquel elles appartiennent, car elles auraient bien plus redouté d’essuyer un échec sous le regard du Maître Vénéré, ce qui leur aurait valu à coup sûr une réprimande autrement plus sévère dès le lendemain. Maître D’Oz demande à sa soumise annazo d’aller ramasser les deux godes noirs à double embouts phalliques qui ont été utilisés pendant la course du quatuor de femelles.

- Cher Maître Kas, tu as raison pour le rouge couleur de la victoire dont je vais m’empresser de les parer juste après, mais avant remettons leur ce beau trophée dans le cul. Elles sont bien dignes de le porter tant l’une que l’autre. « La nature a horreur du vide » disait en son temps Aristote, alors tout naturellement comblons ces trous qui forment de jolis vases pour y fourrer nos deux trophées.

Maître D’Oz attrape le premier long gode et le rendre sans difficulté dans l’anus encore dilaté de l’esclave N°15MDE. Il fait pareil avec le deuxième long morceau de plastique noir qu’il enfile profondément dans le fondement de l’esclave N°9MDE. Maître Kas qui tient à prendre part à la « remise des médailles » s’approche des deux croupes qu’il commence à caresser et à fesser l’une après l’autre pour y imprimer la marque de ses doigts, avant d’ajouter.

- Cela ne suffit pas pour une telle victoire, il faudrait beaucoup plus de rouge pour nos deux gagnantes aux culs ornés. Comme cela elles seront en « rouge et noir » et je pense même qu’elles vont pouvoir nous chanter allégrement le refrain de la célèbre chanson « …. En rouge et noir, j’exilerai ma peur. J’irai plus haut que ces montagnes de douleur ….. »
Maître D’Oz reprend de plus belle tout en continuant d’une voix sarcastique qui laisse transparaître le plaisir qu’il prend à se jouer des deux chiennes qui lui ont fait perdre son défi avec Monsieur le Marquis d’Evans.

- Bien, les deux chiennes, relevez encore un peu plus votre croupe que l’on puisse apercevoir que vous savez porter dignement les superbes trophées phalliques que nous vous avons remis. Pour l’instant, ils ont l’air un peu de piquer du nez et moi j’aimerai les voir fièrement bandés et dressés vers le ciel.

Un exploit difficilement réalisable car le gode souple qui n’est enfoncé que sur la moitié retombe forcément au niveau de toute la deuxième partie extérieure. Pour parfaire à l’humiliation des deux soumises enculées, les deux Maîtres jouent avec les deux doubles godes, les relevant et les laissant retomber dans tous les sens, comme si elles avaient dans le cul un plug avec une queue rigide. Maître Kas qui avait suggérer d’ajouter du rouge à la scène intervient.

- Nous allons maintenant vous couronner les fesses. Vous voyez combien nous sommes gentils avec vous. Je reste persuadée que pour des esclaves MDE cela va être une vraie partie de plaisir excitante, et pour nous remercier de la peine que nous allons prendre Maître D’Oz et moi-même à vous décorer le postérieur, vous pourrez utiliser votre langue de chienne sur les chattes de nos deux protégées que nous sommes bien obligées de punir en les privant du bonheur de recevoir de nos propres mains quelques bons coups de martinet réchauffants.

Maître D’Oz attrape pendant ce temps-là deux martinets à lanières de cuir fines et dures, identiques à celui-là même qui a été utilisé pendant la course sur les croupes des deux soumises lorsqu’elles avaient le malheur de parler ou de crier, n’arrivant pas à se déplacer pour avancer sur le côté. Il fait installer couchée sur le dos annazo, qui se glisse entre les bras et les jambes de l’esclave à sa disposition, de manière à ce que le bas-ventre de sa soumise soit juste au-dessous du visage de la chienne. Maître Kas imite son ami et place sa soumise flore de telle manière que son bouton de rose soit à portée de langue de l’autre chienne N°9MDE en levrette. Les deux Dominants appuient sur les cranes des deux esclaves pour les positionner au mieux et faire pénétrer leurs bouches au plus profond des intimités des deux soumises, qui vont recevoir en guise de lot de consolation un beau cunnilingus tandis que les esclaves gagnantes vont être gratifiées d’une flagellation en guise de récompense. C’est un peu le monde à l’envers du type « qui perd gagne » ou encore « les premiers seront les derniers », mais aucune des 4 dominées ne chercheraient à s’en plaindre car elles sont toutes là pour obéir et accepter tout ce qui leur sera imposé, qu’il s’agisse de douleur ou de douceur, de plaisirs autorisés ou de déplaisirs imposés, l’excitation cérébrale et charnelle étant dans tous les cas en relation avec la satisfaction apportée aux deux maîtres du nouveau jeu qui se met en place, en tant que Maîtres Dominants pour les deux soumises et en tant que substitut du Maître Vénéré entre les mains de qui elles ont été remises pour les deux esclaves MDE.

Les coups de martinet vont bon train, donné en 8 sur chaque fesse qui se teinte peu à peu, car ni Maître D’Oz, ni Maître Kas ne ménagent leur peine, prenant un plaisir D/s d’autant plus pervers que cela leur permet en partie de se venger sur les croupes dociles des deux responsables de la défaite de leurs soumises respectives. Les lanières des martinets qui s’abattent sur les fesses et les cuisses de deux chiennes en levrette viennent souvent heurter le double gode anal qui empale sur la moitié de sa longueur l’une et l’autre des deux esclaves. L’autre moitié en débordement se baladant de plus belle au gré des mouvements des lanières du martinet, ce qui ne manque pas à chaque coup de venir encore plus se ressentir à l’intérieur du rectum déjà largement sollicité depuis un long moment, imprimant des mouvements désordonnés d’autant plus incommodes, tout en étant très excitants charnellement, que les deux esclaves ont été obligé de serrer fortement tous les muscles fessiers depuis qu’elles ont été parées pour ne pas tomber le « trophée » dont elles ont été gratifiées, et ce bien évidemment sous peine de sanction supplémentaire.

Les deux esclaves MDE, dociles et entrainées à être de vrais objets destinés à savoir donner du plaisir, s’appliquent de leur mieux pour faire glisser leur langue de chiennes-femelles bien dressées dans les cavernes humides de flore et annazo qui gémissent à nouveau mais d’un tout autre genre plus jouissif que lors du précédent jeu inventé par le Marquis d’Evans. Les soupirs des deux soumises s’accélèrent sous les coups de langue savants des deux chiennes qui ne ménagent pas leur peine, manquant presque de respiration à force d’avoir le nez et la bouche glissés entre les lèvres humides pour titiller toutes les zones érogènes à leur portée, suçant, aspirant, titillant et mordillant les clitoris gonflés de désirs et les lèvres intimes couvertes autant de cyprine coulante que de salive débordante. Au moment où annazo se met à couiner un peu plus fort, Maître D’Oz d’un simple coup de pied fait se dégager l’esclave N°15MDE pour prendre la place entre les cuisses de sa dominée qu’il fourre d’un coup sec ayant juste pris le temps de défaire sa braguette et de baisser son boxer. Il a fait passer les jambes de sa belle au-dessus de ses épaules pour profiter d’une pénétration plus profonde, et sachant sa belle très excitée après ces longues préliminaires linguales qui ont suivis les jeux D/s, aussi excitée que l’est à cet instant sa Queue gonflée et dure, il donne de grands coups de butoir en poussant des cris rauques de mâle en rut. Il a attrapé sa femelle par les hanches pour pouvoir lui-même imposer le rythme des pénétrations. annazo crie sa jouissance une première fois, ce qui ne fait que faire croitre le désir phallique du mâle bien décidé à pouvoir faire chanter sa soumise plusieurs fois avant de se répandre en elle.

Dans le même temps, Maître Kas qui a également entre les cuisses un phallus bien ferme, ne pouvant rester de marbre devant le spectacle de son ami en train de copuler comme une bête sauvage et très excité à la vue de la chatte soyeuse de sa belle flore, bien lubrifiée après les savants coups de langue de l’esclave MDE, décide lui aussi d’aller profiter d’un fourreau bien chaud qui ne demande pas mieux que de l’accueillir. Il fait dégager l’esclave N°9MDE s’installe à genoux entre les cuisses de sa belle femelle qu’il relève pour pouvoir introduire sa verge d’un seul trait et sans préambule dans le vagin trempé de sa douce. Il se penche vers l’avant en prenant appui sur les mains ce qui a pour effet de lui permettre de relever un peu les fesses et intime l’ordre à l’esclave inoccupée de venir pendant ce temps lui lécher les couilles et l’anus pour pouvoir augmenter ses sensations sensuelles et son plaisir jouissif. C’est dans une chanson orgasmique des plus bruyantes que les deux invités libèrent presque de concert leur foutre dans les corps enflammés de leurs deux partenaires. Maîtres et soumises s’affalent par terre d’épuisement, profitant de ce temps paisible de bien-être qui suit l’orgasme dans des enlacements très câlins, tandis que les deux esclaves se sont remises en levrette à côté, le cul bien relevé, ayant toujours inséré en leur fondement la moitié du double gode anal noir, qui tranche magnifiquement avec la couleur rouge vif de leur postérieur qui a été bien échauffé par les nombreux coups de martinets.

De son côté, Monsieur le Marquis d’Evans continue le tour de ses invités étant revenu dans la Grand Hall transformé en Donjon D/s pour toute la nuitée orgiaque. Près de la porte d’entrée, IL a croisé Maître kuaizi, un Dominant qui n’a rien d’asiatique dans ses gênes mais qui a un goût assez raffiné pour toutes ces cultures orientales, qui pratiquent la D/s avec art et suavité. Spécialiste des traditionnels shibari ou kinkaku et autres techniques de bondage, il a pris grand plaisir à encorder avec technique autant que beauté l’esclave-femelle N°3MDE depuis le début de la soirée, se servant de son corps comme modèle pour tous les autres Dominants intéressés par la démonstration de son savoir-faire et l’apprentissage de quelques figures d’encordage de base. Le Maître en bondage vient de délaisser pour l’instant l’esclave qui porte sur de nombreux endroits du corps les marques des cordes qu’il vient de défaire, lui laissant le temps de reprendre ses esprits avant de recommencer un nouveau tableau en suspension dans une autre posture, car il ne pouvait pas la garder très longtemps avec la tête en bas, histoire d’irrigation du sang qui ne doit pas monter trop longtemps en grande quantité au cerveau. L’esclave a le droit aussi pendant son temps de pause de pouvoir se masser les bras, les jambes, les seins et le ventre pour réactiver la circulation du sang au niveau superficiel de la peau qui a été légèrement compressée par les cordes et s’en trouve de fait marquée temporairement.

Maître kuaizi décide qu’il est temps pour lui de s’occuper de sa propre soumise utilisant pour l’occasion, une autre nature d’instruments détournés de leur utilisation première, mais qu’il affectionne tout particulièrement, les baguettes chinoises. C’est d’ailleurs son grand attrait de ces petits morceaux de bois ou de plastiques utilisés en théorie pour manger par ceux qui ne se servent pas comme les occidentaux que nous sommes de fourchettes et couteaux. Un ustensile du quotidien à forte connotation asiatique, même s’il est de plus en plus répandu dans le monde entier avec le développement des restaurants japonais, chinois, Thaï, etc ; un objet qui est à l’origine même de son nom de Maître D/s, puisque kuaizi n’est autre que le mot baguette en chinois transcrit phonétiquement. Grand amateur également d’ésotérisme, de spiritualisme et d’alchimie, il a sur la relation D/s une approche très personnelle qui est selon lui une interconnexion permanente d’esprit autant que de corps entre le/la Dominant(e) et le/la dominé(e), qui cherchent tant l’Un que l’autre à atteindre la félicité charnelle et intellectuelle, à travers l’extase du plaisir sans limite permettant la fusion des êtres sexués et des âmes, la sublimation des sens qui doivent être développés jusqu’à leur paroxysme, la recherche du graal sacré au plus profond du moi intime de chacun. En la transposant dans un contexte D/s, il a fait sienne une devise ésotérique extraite de « La Table d’Emeraude » mais que ne démentirait pas le grand Einstein avec sa théorie physique du Tout « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est bas ». C’est ce qui lui permet d’affirmer que pour sa part, il considère que Maître et soumise sont sur un plan d’égalité en terme d’humanité mais qu’ils ont juste deux manières opposées d’exprimer leurs pulsions et leur sensualités personnelles si complémentaires. Il pense que la D/s est un des moyens qui permet de se libérer en profondeur et de constituer une véritable fusion d’âme dans un état de grande confiance réciproque, trouvant même que la D/s, à l’instar de la théorie des âmes jumelles cosmiques, se suffit à elle-même lorsque les deux partenaires prédestinés ont eu la chance de pouvoir se croiser en ce monde et se reconnaître tels deux aimants pour laisser leur attirance réciproque se développer et leur permettre de fusionner.

C’est en partant de ce principe de dualité et d’union-fusion qu’il a baptisé sa fidèle soumise du nom de « iziauk » qui n’est autre que le mot en verlan du nom même du Dominant (pour l’un lu de gauche à droite, pour l’autre lu de droite à gauche - le sens de lecture vertical ou horizontal n’étant d’ailleurs pas universel sur la planète). Maître kuaizi et soumise iziauk ne forment plus qu’un depuis des années, la soumise vivant les passions du Maître comme les siennes propres, n’ayant d’autres désirs que ceux-là même de Maître kuaizi à qui elle voue un amour passionné et une soumission des plus dévouées. Le Dominant ne cherchant de son côté qu’à combler de bonheur, d’amour et de plaisirs celle qui partage sa vie et son quotidien, sans distinction pour eux entre les deux mondes vanille et chocolat, qui se veulent plus ou moins séparés pour d’autres membres de la communauté BDSM, ayant des approches et attentes différentes.

Le Dominant a fait installer sa soumise sur un banc D/s …
(A suivre …)

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