La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°543 -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°543 -
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°543 -
Le Marquis d’Evans promène encore le gode entre les cuisses de la soumise qui a bien du mal à garder la position, tant elle se sent chancelante, lorsque le gland vient effleurer ses lèvres intimes, son mont pubien et commence à vouloir s’engouffrer à la recherche d’un petit bouton de chair rose en pleine effervescence. L’esclave enivrée de tentation hédoniste a fermé les yeux depuis quelques minutes, et même sans bandeau, elle a plongé dans cet autre monde d’abandon entre les mains du Maître, profitant de chaque seconde de bonheur charnel qui lui sera accordé, et ce quel qu’en soit le prix à payer par la suite en frustrations ou punitions diverses, car elle est bien consciente que Monsieur le Marquis d’Evans n’est absolument pas là pour perdre son temps à la faire jouir devant tous, mais bien pour la conduire dans un état sensoriel et voluptueux où elle pourra encore mieux prendre conscience de ce que le Maître exige d’elle.
- Tu la voudrais bien Ma Queue, n’est-ce pas Ma petite chienne !
L’esclave N°17MDE voudrait pouvoir dire « Oui », et encore « Oui », même mille et une fois « Oui ». Mais, elle se rappelle in-extremis que le Maître Vénéré lui a ordonné quelques instants plus tôt de ne plus rien dire. Elle arque un peu les jambes pour dégager son intimité encore plus et offrir sa chatte luisante de cyprine aux caresses du sexe qu’elle désire attirer au plus profond de son intimité, fut-il un leurre inanimé bien imité et non le vrai membre puissant du Marquis d’Evans. Elle bombe le torse faisant pointer encore plus ses deux seins vers l’avant et garde la bouche ouverte avec la langue pendante telle la bonne chienne qu’elle désire être pour Le Maître. Monsieur le Marquis d’Evans passe à plusieurs reprises l’objet phallique dans la caverne onctueuse de Sa soumise pour l’enduire de ce lubrifiant que les femmes produisent naturellement sous l’effet du désir sexuel et ayant décidé que le gode est suffisamment « huilé », il s’approche de la rondelle plus étroite de la femelle qu’il force sans ménagement, lui arrachant un fort soupir, autant de surprise que de douleur, lors de la dilatation rendue d’autant plus facile que le plug qui avait été retiré peu de temps auparavant avait déjà largement assoupli les muscles circulaires de l’anus.
- Et de un ! Mais tu seras plus remplie lorsque je t’aurai garni les deux trous. Un fantasme imaginaire qui ne pourra jamais se réaliser vraiment que de pouvoir te prendre en sandwich à Moi tout seul, car je ne suis pas atteint de diphallia (déformation chez l’animal ou l’homme pourvu d’un double pénis) et je n’ai donc qu’un seul et unique Divin Phallus, mais la nature humaine est ainsi faite que cela me suffit amplement. Par contre, toi, tu vas avoir la joie de me sentir pleinement dans tes deux orifices intimes en même temps.
Le Noble attrape le deuxième sex-toy qu’il glisse dans la chatte de sa chienne aussi facilement que s’il pénétrait dans une motte de beurre tendre. Pour être certain que les deux attributs ne puissent ressortir alors qu’il vient de les enfoncer au maximum, jusqu’à mettre en butée sur le devant et sur l’arrière les deux fois deux boules qui avaient été moulées sur les couilles bien pleines du Marquis d’Evans, Celui-ci encercle la taille de son esclave d’une ceinture de métal cousue sur un corset qu’IL lace fermement à l’arrière. Le Dominant passe une large bande de cuir épais entre les cuisses de Sa soumise N°17MDE qu’il vient cadenasser sur le devant et sur l’arrière à deux des crochets qui se trouvent sur l’entourage de métal. L’esclave est obligée de garder les jambes encore plus largement ouvertes pour ne pas être gênée au niveau de l’aine par la bande épaisse de cuir qui sert à maintenir bien enfoncée les deux phallus qui ont pris possession de son vagin et de son rectum.
- Et de deux !!! Passons maintenant aux choses sérieuses, qui se veulent bien plus pédagogiques et marquantes qu’érotiques et désaltérantes car tu vas avoir bien du mal à faire gicler ce morceau de plastique dans ta bouche.
Le Maître Vénéré attrape un appareillage D/s qui se compose d’un poteau de métal monté sur un socle sur lequel coulisse un manche en bois réglable en hauteur comme en longueur, au bout duquel il installe par un système de vis la troisième reproduction du phallus en érection avec à l’arrière deux couilles bien pleines à l’identique de celles qu’avait Monsieur le Marquis d’Evans lorsqu’il avait fait faire le moulage de ses attributs de mâle phallique. Le Châtelain attrape le collier de Sa chienne et la traîne pour qu’elle monte sur le socle et s’approche du poteau où IL l’installe à genoux, le dos droit et les cuisses écartées. La chienne comprend aussi sec qu’elle doit prendre en bouche le sexe qui lui fait face que le Châtelain règle à la bonne hauteur. Deux pinces à seins sont posés sur ses tétons et sont reliés par une chaîne qui passe dans un anneau derrière le poteau vertical, maintenant le corps de la soumise à une distance maximale du support en l’empêchant de pouvoir avoir la tentation de vouloir plier les cuisses et prendre appui sur les talons. Il en est de même de ses lèvres intimes qui sont également pincées et presque astreintes à l’immobilité sous l’effet de la tension d’une autre chaîne qui les relie au bas du support.
- Plus profond, Ma chienne, je veux te voir prendre entièrement en bouche toute la longueur de la hampe du sexe dont tu avais cru pouvoir oublier la forme et la grosseur.
Pour contraindre encore plus Sa chienne qui commence à baver avec la bouche ouverte totalement remplie de ce large pénis, le Marquis d’Evans attache au collier de Son esclave un énorme ressort à spirale qu’IL relie au poteau. La soumise peut continuer à faire glisser ses lèvres sur le sex-toy d’avant en arrière, mais chaque tentative pour reculer en arrière, reprendre sa respiration ou soulager un peu sa bouche et son palais écartelés la conduit à devoir faire un effort supplémentaire pour tirer sur le ressort. Ne pouvant tenir très longtemps à l’arrière, elle est obligée à nouveau de relâcher la tension qui s’exerce sur le haut de son corps laissant le gode s’engouffrer profondément dans sa gorge, jusqu’à venir en butée de sa glotte par l’effet du ressort qui se rétracte s’il n’est plus maintenu en résistance.
- Et bien, te voilà parée pour faire une bonne séance d’exercice. Aide-toi de tes lèvres et de ta mâchoire pour ne pas t’empaler trop fort ou trop vite, cela te musclera à bon escient et ne pourra que t’être profitable par la suite lorsque je consentirai à nouveau à user de ta bouche pour mon bon plaisir.
Le Marquis d’Evans caresse les cheveux de Sa chienne avec affection, mais aussi un petit plaisir pervers de savoir qu’il a su trouver le moyen de forcer Sa soumise à réfléchir sur ce qu’elle a entre les dents et à en retenir les moindres détails, sauf que le plaisir risque d’en être moindre de savoir que ce n’est qu’un morceau inerte, fut-il bien imité. C’est malgré tout une véritable excitation qui s’empare de l’esclave N°17MDE, même si elle reste quand même un peu inquiète ne sachant pas combien de temps elle va devoir endurer ce système machiavélique, se doutant fort bien que très vite sa mâchoire et ses muscles endoloris par les efforts réguliers pour lui permettre de se reculer vont devenir douloureux, mais elle se sent pénétrée comme jamais par ses trois orifices, ayant le sentiment que c’est Le Maître Vénéré lui-même qui a pris possession de celle qui lui appartient, et ce de toutes les manières possibles à la fois.
- Profite bien de mes trois sexes, ma chienne en chaleur. Tu n’as là qu’un petit aperçu de ce qui t’attend pour la fin de la nuit en attendant de pouvoir retrouver le chemin qui te conduira jusqu’à Mes pieds et à Ma Divine Queue. J’ai l’intention de demander à Mon Majordome de te faire poursuivre cet exercice tous les jours, et ce aussi longtemps qu’il faudra pour que tu sois capable les yeux bandés de reconnaître sans la moindre hésitation ce gode très spécial parmi une cinquantaine d’autres différents.
L’esclave continue ses va-et-vient non sans une certaine pénibilité dans les efforts à accomplir, mais avec des gémissements étouffés qui ne laissent personne douter de la volupté qu’elle peut prendre dans cet exercice d’apprentissage à la fellation imposée à gorge profonde. Le Maître attrape un bandeau noir pour obstruer la vue de Sa chienne, même si celle-ci avait déjà les yeux fermés, de crainte de croiser le regard du Maître sans autorisation.
- Voilà qui t’empêchera de vouloir fureter du regard dans tous les coins, une fois que je serais parti. Concentre-toi sur ce que tu fais et surtout sur ce que tu as dans la bouche. Tu ne dois penser qu’à cela et à Mon sublime phallus dont tu vas être privée jusqu’à ce que tu sois digne à nouveau de Le mériter.
Maître Bill, qui était resté silencieux pendant que Monsieur le Marquis d’Evans s’affairait avec Sa chienne, intervient.
- Mon cher Marquis d’Evans, je suis toujours tellement curieux et surtout ravi de Vous voir prendre en charge l’éducation de Vos esclaves avec une telle efficacité et une grande capacité à les Dominer.
- Très cher Master Bill, Je vous remercie de vos compliments qui me touchent. Comme je le dis très souvent, les novices qui cherchent à pénétrer dans notre monde BDSM croit parfois que cela est plus facile pour le/la Dominant(e) que le/la dominé(e), mais c’est oublier que lorsque ils/elles ont affaire avec un(e) Maître(sse) avec un grand M, qui sait faire preuve de savoir-faire et qui a le sens de la responsabilité qui est la sienne lorsqu’il/elle prend quelqu’un sous son Joug, ce n’est pas de tout repos, en tout cas ce n’est pas comme s’il fallait juste se contenter de donner des ordres à tort et à travers et de se résoudre à sanctionner lorsqu’ils ne sont pas correctement exécutés. J’ai à cœur de parfaire l’éducation de Mes soumis et soumises MDE et de pouvoir leur apporter ce dont ils/elles ont besoin pour vivre pleinement leur désir de soumission et de perfection dans la Dévotion qu’ils et elles ont envie de m’offrir pour le plaisir qu’ils/elles en retirent.
- Très Cher Marquis, Je Vous emprunterai bien lorsque Vous n’en aurez plus l’utilité Votre petite installation qui pourrait être utile pour ma soumise s28B qui, au demeurant est très docile et qui m’apporte toute satisfaction dans le cadre de notre relation D/s, mais qui a beaucoup de mal avec la technique de la gorge profonde qui lui provoque des hauts le cœur qu’elle n’arrive pas à gérer aisément. Je ne l’utiliserai pas de manière aussi contraignante que Vous avez la possibilité de l’imposer à Votre chienne expérimentée, mais je pense que je pourrais m’en servir pour l’entrainer tout en réglant de manière progressive la pénétration buccale, ce qui est beaucoup moins évident à obtenir avec un simple gode ventouse.
- Très cher ami, j’ai plusieurs équipements identiques vu la taille conséquente de mon cheptel. C’est donc avec joie que je vous en offre un que vous pourrez emporter chez vous en repartant d’ici.
Master Bill se retourne vers sa soumise s28B qui est agenouillée juste à ses côtés.
- Et bien s28B, qu’est-ce que tu en dis ? Tu en as de la chance d’être gâtée par Monsieur le Marquis d’Evans en personne, il te faut lui répondre poliment sans tarder.
La soumise n’est pas vraiment certaine d’être « gâtée » en regardant les efforts constants de l’esclave N°17MDE qui salive et s’active sur le gode qui lui écartèle la bouche, mais en bonne soumise qui tient à satisfaire Master Bill, elle ajoute.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je Vous remercie très sincèrement de Votre généreuse proposition qui, si le Maître auquel j’appartiens l’autorise et l’exige, va me permettre d’améliorer mes capacités pour mieux pouvoir lui donner les petites gâteries dont il est friand...
(A suivre ….)
Le Marquis d’Evans promène encore le gode entre les cuisses de la soumise qui a bien du mal à garder la position, tant elle se sent chancelante, lorsque le gland vient effleurer ses lèvres intimes, son mont pubien et commence à vouloir s’engouffrer à la recherche d’un petit bouton de chair rose en pleine effervescence. L’esclave enivrée de tentation hédoniste a fermé les yeux depuis quelques minutes, et même sans bandeau, elle a plongé dans cet autre monde d’abandon entre les mains du Maître, profitant de chaque seconde de bonheur charnel qui lui sera accordé, et ce quel qu’en soit le prix à payer par la suite en frustrations ou punitions diverses, car elle est bien consciente que Monsieur le Marquis d’Evans n’est absolument pas là pour perdre son temps à la faire jouir devant tous, mais bien pour la conduire dans un état sensoriel et voluptueux où elle pourra encore mieux prendre conscience de ce que le Maître exige d’elle.
- Tu la voudrais bien Ma Queue, n’est-ce pas Ma petite chienne !
L’esclave N°17MDE voudrait pouvoir dire « Oui », et encore « Oui », même mille et une fois « Oui ». Mais, elle se rappelle in-extremis que le Maître Vénéré lui a ordonné quelques instants plus tôt de ne plus rien dire. Elle arque un peu les jambes pour dégager son intimité encore plus et offrir sa chatte luisante de cyprine aux caresses du sexe qu’elle désire attirer au plus profond de son intimité, fut-il un leurre inanimé bien imité et non le vrai membre puissant du Marquis d’Evans. Elle bombe le torse faisant pointer encore plus ses deux seins vers l’avant et garde la bouche ouverte avec la langue pendante telle la bonne chienne qu’elle désire être pour Le Maître. Monsieur le Marquis d’Evans passe à plusieurs reprises l’objet phallique dans la caverne onctueuse de Sa soumise pour l’enduire de ce lubrifiant que les femmes produisent naturellement sous l’effet du désir sexuel et ayant décidé que le gode est suffisamment « huilé », il s’approche de la rondelle plus étroite de la femelle qu’il force sans ménagement, lui arrachant un fort soupir, autant de surprise que de douleur, lors de la dilatation rendue d’autant plus facile que le plug qui avait été retiré peu de temps auparavant avait déjà largement assoupli les muscles circulaires de l’anus.
- Et de un ! Mais tu seras plus remplie lorsque je t’aurai garni les deux trous. Un fantasme imaginaire qui ne pourra jamais se réaliser vraiment que de pouvoir te prendre en sandwich à Moi tout seul, car je ne suis pas atteint de diphallia (déformation chez l’animal ou l’homme pourvu d’un double pénis) et je n’ai donc qu’un seul et unique Divin Phallus, mais la nature humaine est ainsi faite que cela me suffit amplement. Par contre, toi, tu vas avoir la joie de me sentir pleinement dans tes deux orifices intimes en même temps.
Le Noble attrape le deuxième sex-toy qu’il glisse dans la chatte de sa chienne aussi facilement que s’il pénétrait dans une motte de beurre tendre. Pour être certain que les deux attributs ne puissent ressortir alors qu’il vient de les enfoncer au maximum, jusqu’à mettre en butée sur le devant et sur l’arrière les deux fois deux boules qui avaient été moulées sur les couilles bien pleines du Marquis d’Evans, Celui-ci encercle la taille de son esclave d’une ceinture de métal cousue sur un corset qu’IL lace fermement à l’arrière. Le Dominant passe une large bande de cuir épais entre les cuisses de Sa soumise N°17MDE qu’il vient cadenasser sur le devant et sur l’arrière à deux des crochets qui se trouvent sur l’entourage de métal. L’esclave est obligée de garder les jambes encore plus largement ouvertes pour ne pas être gênée au niveau de l’aine par la bande épaisse de cuir qui sert à maintenir bien enfoncée les deux phallus qui ont pris possession de son vagin et de son rectum.
- Et de deux !!! Passons maintenant aux choses sérieuses, qui se veulent bien plus pédagogiques et marquantes qu’érotiques et désaltérantes car tu vas avoir bien du mal à faire gicler ce morceau de plastique dans ta bouche.
Le Maître Vénéré attrape un appareillage D/s qui se compose d’un poteau de métal monté sur un socle sur lequel coulisse un manche en bois réglable en hauteur comme en longueur, au bout duquel il installe par un système de vis la troisième reproduction du phallus en érection avec à l’arrière deux couilles bien pleines à l’identique de celles qu’avait Monsieur le Marquis d’Evans lorsqu’il avait fait faire le moulage de ses attributs de mâle phallique. Le Châtelain attrape le collier de Sa chienne et la traîne pour qu’elle monte sur le socle et s’approche du poteau où IL l’installe à genoux, le dos droit et les cuisses écartées. La chienne comprend aussi sec qu’elle doit prendre en bouche le sexe qui lui fait face que le Châtelain règle à la bonne hauteur. Deux pinces à seins sont posés sur ses tétons et sont reliés par une chaîne qui passe dans un anneau derrière le poteau vertical, maintenant le corps de la soumise à une distance maximale du support en l’empêchant de pouvoir avoir la tentation de vouloir plier les cuisses et prendre appui sur les talons. Il en est de même de ses lèvres intimes qui sont également pincées et presque astreintes à l’immobilité sous l’effet de la tension d’une autre chaîne qui les relie au bas du support.
- Plus profond, Ma chienne, je veux te voir prendre entièrement en bouche toute la longueur de la hampe du sexe dont tu avais cru pouvoir oublier la forme et la grosseur.
Pour contraindre encore plus Sa chienne qui commence à baver avec la bouche ouverte totalement remplie de ce large pénis, le Marquis d’Evans attache au collier de Son esclave un énorme ressort à spirale qu’IL relie au poteau. La soumise peut continuer à faire glisser ses lèvres sur le sex-toy d’avant en arrière, mais chaque tentative pour reculer en arrière, reprendre sa respiration ou soulager un peu sa bouche et son palais écartelés la conduit à devoir faire un effort supplémentaire pour tirer sur le ressort. Ne pouvant tenir très longtemps à l’arrière, elle est obligée à nouveau de relâcher la tension qui s’exerce sur le haut de son corps laissant le gode s’engouffrer profondément dans sa gorge, jusqu’à venir en butée de sa glotte par l’effet du ressort qui se rétracte s’il n’est plus maintenu en résistance.
- Et bien, te voilà parée pour faire une bonne séance d’exercice. Aide-toi de tes lèvres et de ta mâchoire pour ne pas t’empaler trop fort ou trop vite, cela te musclera à bon escient et ne pourra que t’être profitable par la suite lorsque je consentirai à nouveau à user de ta bouche pour mon bon plaisir.
Le Marquis d’Evans caresse les cheveux de Sa chienne avec affection, mais aussi un petit plaisir pervers de savoir qu’il a su trouver le moyen de forcer Sa soumise à réfléchir sur ce qu’elle a entre les dents et à en retenir les moindres détails, sauf que le plaisir risque d’en être moindre de savoir que ce n’est qu’un morceau inerte, fut-il bien imité. C’est malgré tout une véritable excitation qui s’empare de l’esclave N°17MDE, même si elle reste quand même un peu inquiète ne sachant pas combien de temps elle va devoir endurer ce système machiavélique, se doutant fort bien que très vite sa mâchoire et ses muscles endoloris par les efforts réguliers pour lui permettre de se reculer vont devenir douloureux, mais elle se sent pénétrée comme jamais par ses trois orifices, ayant le sentiment que c’est Le Maître Vénéré lui-même qui a pris possession de celle qui lui appartient, et ce de toutes les manières possibles à la fois.
- Profite bien de mes trois sexes, ma chienne en chaleur. Tu n’as là qu’un petit aperçu de ce qui t’attend pour la fin de la nuit en attendant de pouvoir retrouver le chemin qui te conduira jusqu’à Mes pieds et à Ma Divine Queue. J’ai l’intention de demander à Mon Majordome de te faire poursuivre cet exercice tous les jours, et ce aussi longtemps qu’il faudra pour que tu sois capable les yeux bandés de reconnaître sans la moindre hésitation ce gode très spécial parmi une cinquantaine d’autres différents.
L’esclave continue ses va-et-vient non sans une certaine pénibilité dans les efforts à accomplir, mais avec des gémissements étouffés qui ne laissent personne douter de la volupté qu’elle peut prendre dans cet exercice d’apprentissage à la fellation imposée à gorge profonde. Le Maître attrape un bandeau noir pour obstruer la vue de Sa chienne, même si celle-ci avait déjà les yeux fermés, de crainte de croiser le regard du Maître sans autorisation.
- Voilà qui t’empêchera de vouloir fureter du regard dans tous les coins, une fois que je serais parti. Concentre-toi sur ce que tu fais et surtout sur ce que tu as dans la bouche. Tu ne dois penser qu’à cela et à Mon sublime phallus dont tu vas être privée jusqu’à ce que tu sois digne à nouveau de Le mériter.
Maître Bill, qui était resté silencieux pendant que Monsieur le Marquis d’Evans s’affairait avec Sa chienne, intervient.
- Mon cher Marquis d’Evans, je suis toujours tellement curieux et surtout ravi de Vous voir prendre en charge l’éducation de Vos esclaves avec une telle efficacité et une grande capacité à les Dominer.
- Très cher Master Bill, Je vous remercie de vos compliments qui me touchent. Comme je le dis très souvent, les novices qui cherchent à pénétrer dans notre monde BDSM croit parfois que cela est plus facile pour le/la Dominant(e) que le/la dominé(e), mais c’est oublier que lorsque ils/elles ont affaire avec un(e) Maître(sse) avec un grand M, qui sait faire preuve de savoir-faire et qui a le sens de la responsabilité qui est la sienne lorsqu’il/elle prend quelqu’un sous son Joug, ce n’est pas de tout repos, en tout cas ce n’est pas comme s’il fallait juste se contenter de donner des ordres à tort et à travers et de se résoudre à sanctionner lorsqu’ils ne sont pas correctement exécutés. J’ai à cœur de parfaire l’éducation de Mes soumis et soumises MDE et de pouvoir leur apporter ce dont ils/elles ont besoin pour vivre pleinement leur désir de soumission et de perfection dans la Dévotion qu’ils et elles ont envie de m’offrir pour le plaisir qu’ils/elles en retirent.
- Très Cher Marquis, Je Vous emprunterai bien lorsque Vous n’en aurez plus l’utilité Votre petite installation qui pourrait être utile pour ma soumise s28B qui, au demeurant est très docile et qui m’apporte toute satisfaction dans le cadre de notre relation D/s, mais qui a beaucoup de mal avec la technique de la gorge profonde qui lui provoque des hauts le cœur qu’elle n’arrive pas à gérer aisément. Je ne l’utiliserai pas de manière aussi contraignante que Vous avez la possibilité de l’imposer à Votre chienne expérimentée, mais je pense que je pourrais m’en servir pour l’entrainer tout en réglant de manière progressive la pénétration buccale, ce qui est beaucoup moins évident à obtenir avec un simple gode ventouse.
- Très cher ami, j’ai plusieurs équipements identiques vu la taille conséquente de mon cheptel. C’est donc avec joie que je vous en offre un que vous pourrez emporter chez vous en repartant d’ici.
Master Bill se retourne vers sa soumise s28B qui est agenouillée juste à ses côtés.
- Et bien s28B, qu’est-ce que tu en dis ? Tu en as de la chance d’être gâtée par Monsieur le Marquis d’Evans en personne, il te faut lui répondre poliment sans tarder.
La soumise n’est pas vraiment certaine d’être « gâtée » en regardant les efforts constants de l’esclave N°17MDE qui salive et s’active sur le gode qui lui écartèle la bouche, mais en bonne soumise qui tient à satisfaire Master Bill, elle ajoute.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je Vous remercie très sincèrement de Votre généreuse proposition qui, si le Maître auquel j’appartiens l’autorise et l’exige, va me permettre d’améliorer mes capacités pour mieux pouvoir lui donner les petites gâteries dont il est friand...
(A suivre ….)
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