La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°587
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°587
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°587 -
Le Châtelain déboîte la barre de liaison entre les deux selles de vélo qui précédemment avait servi de substitut de berceau de judas pour les deux soumises dont l’entrecuisse, l’os pubien et les grandes lèvres béantes reposaient sur ladite barre qui s’immisçait au plus profond de leur intimité humide. Le Dominant redresse la barre et en règle la longueur et la hauteur de telle manière que le deuxième gode phallique se retrouve cette fois positionné juste en face des lèvres de Holly MDE, qui est contrainte d’ouvrir la bouche pour le laisser pénétrer à l’intérieur du palais. Le réglage est ajusté pour que le sexe de plastique en faisant ses va-et-vient puisse entrer en gorge profonde mais sans aller au-delà de ce qui serait supportable pour la soumise qui doit pouvoir respirer et ne pas avoir trop de haut-le-cœur. Le mécanisme est adapté pour que le gode ne puisse pas dans sa course sortir totalement de la cavité buccale au moment du retrait en arrière, pour éviter que par inadvertance la soumise ne puisse refermer la bouche pendant toute la période où les mouvements du gode seront activés, et risquer de se blesser. L’esclave-femelle est prise par deux des orifices dont la nature la pourvu, même si ce ne sont à proprement parlé celui qui est censé être le plus naturel pour la copulation et la pénétration phallique. Elle sent que Le Marquis d’Evans vient de mettre en marche le bouton qui permet les mouvements des deux godes l’un anal à la verticale et l’autre buccal à l’horizontale.
Des frissons parcourent l’échine de Holly MDE qui se sent transportée par cette sexe-machine infernale qui la défonce littéralement, la baisant de la bouche et de l’anus en même temps. Son bas-ventre s’enflamme d’autant plus que dans la nuit de son bandeau tous ses sens sont exacerbés et que les bruits audibles des va-et-vient du gode sont d’une régularité qui en devient excitante pour la chienne en chaleur qui s’offre à tous les coups de butoir qui viennent se perdre dans son fondement et dans sa gorge. Monsieur Le Marquis d’Evans se rapproche de Son esclave-soumise, et il lui souffle dans le cou avant de lui mordiller les deux oreilles, la faisant encore plus frémir et geindre.
- Tu ne jouis surtout pas tant que tu n’en auras pas reçu l’ordre, c’est bien compris ! Ce n’est pas une simple autorisation de jouissance que j’entends t’accorder tout à l’heure. Je veux te voir jouir à la seconde même où Je l’exigerai et où tu entendras ma voix comme un élément déclencheur te permettant de franchir la barrière de l’orgasme.
Les deux mains du Châtelain ont empoigné les deux tétons de Holly MDE qu’IL malaxe, tord, fait rouler entre les deux pouces et les deux index, finissant par les pincer fortement jusqu’à arriver à arracher un cri plus aigu qui a bien du mal à se faire entendre tant les sons qui sortent de la bouche remplie de manière régulière par les va-et-vient du gode en action ne sont plus très audibles, bien que s’apparentant à des râles étouffés d’un plaisir charnel qui devient de plus en plus forts. Après avoir excité les mamelons devenus turgescents, le Marquis d’Evans laisse ses deux mains glisser sur le ventre de Sa chienne offerte à toutes ses caresses. Frissons et tremblements accompagnent des soupirs de plus en plus langoureux et intenses tandis que le Maître D/s s’achemine vers la caverne humide de l’esclave MDE. Ecartant les grandes lèvres pour se frayer un passage, le Dominant laisse ses doigts courir dans toute la vulve trempée car les savoureuses sensations liés aux mouvements du gode anal se répercutent dans tous le bas-ventre en feu de la soumise qui voudrait bien pouvoir maintenant être autorisée à laisser sa jouissance éclater. Elle se retient, par la force de sa soumission, mais son corps ne répond déjà presque plus, même si son esprit servile se veut encore soumis et obéissant pour respecter la consigne du Maître Vénéré. Le Marquis d’Evans attrape le bouton de roses de sa chienne en chaleur, un clitoris gorgé de sang qu’il malaxe d’une main, avant de chercher à le pincer entre deux doigts plus fortement.
- Jouis ! Maintenant ! Je l’ordonne !!!
Le Marquis d’Evans dans le même instant a retiré la barre métallique et le gode qui emplissait la bouche de Sa chienne. Holly MDE hurle sa jouissance à gorge déployée, ne retenant pas ses halètements de chienne et même ses cris presque bestiaux, tout en libérant son plaisir orgasmique avec une puissance sans précédent. Le Noble a arrêté tous les mécanismes et fait se rétracter aussi le gode anal, mais l’excitation reste encore prégnante et Holly MDE se met à trembler, tandis que des spasmes parcourent son corps pendant encore de longues minutes.
- Tu m’as fait bien bander, Ma belle petite chienne, tandis que Je t’admirais en train de jouir. Un vrai plaisir cérébral très excitant puisque mon bâton de joie a trouvé encore de la vigueur pour se redresser et se gonfler. Mais à cette heure, mon Noble joyau va devoir attendre patiemment que je rejoigne mon lit nuptial pour se répandre une ultime fois avant de dormir.
Le Châtelain esquisse un léger sourire à l’idée de ce dernier plaisir sexuel d’Homme bandant que dans quelques instants et dans l’intimité de la Chambre Royale, IL va s’accorder encore pour profiter jusqu’à la lie de cette merveilleuse nuitée orgiaque dont les souvenirs resteront longtemps gravés dans Sa mémoire, car il y avait longtemps qu’il n’avait pas vu au Château une si belle soirée festive, donnée en Son honneur qui plus est. Et il reprend son explication.
- Un Dominant, digne de ce nom et du titre qu’il porte parce qu’il lui a été reconnu par son et ses dominé(e)s, n’est pas seulement là pour son propre plaisir de mâle éjaculant qui a besoin de se vider les couilles, contrairement à tous ces petits « m » qui ternissent le symbolique acronyme du BDSM, en croyant que sous prétexte de Domination, ils vont pouvoir culbuter gratuitement, sauvagement et sans le moindre égard toutes les soumises et soumis qui passeront à portée.
Holly MDE émerge à peine de son acmé, Le Marquis d’Evans lui a retiré son bandeau pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits et de retomber sur terre après une montée fulgurante au 7ème ciel. Elle a le sentiment que ses jambes ne la portent plus et que si son corps n’était pas toujours solidement attaché, il y a longtemps qu’elle aurait atterri par terre, mais elle savoure ce répit de bien-être qui suit l’orgasme sexuel, où le temps est comme suspendu. Son visage exprime la plénitude et l’épanouissement D/s. L’esclave-soumise ressent un bonheur profond d’être ce qu’elle est et pour qui elle l’est. Et le Dominant qui perçoit aussi, en ce moment plus que sublime, cet épanouissement flagrant de Sa chienne MDE dans la soumission assumée à Ses pieds est particulièrement heureux de pouvoir repenser une fois de plus à ce qu’IL est devenu au fil des années de pratiques et de perfectionnement dans la Maîtrise des relations de Domination/soumission. A savoir, un Maître D/s reconnu par toute la communauté BDSM pour ses qualités d’Homme et de philanthrope, ses capacités de Dominant ferme et exigeant mais droit et juste, apprécié de tous ses pairs qui le considère comme le meilleur d’entre eux en sagesse tout comme en Dominance, Vénéré par tous ses nombreux dominé(e)s. Le Marquis d’Evans en cet instant se sent très fier d’être lui aussi ce qu’IL est, tout autant que pour qui IL l’est également : Ses nombreux esclaves MDE qui composent le cheptel et qui sont tous à Ses pieds dans un libre asservissement désiré et une Dévotion sans bornes. Le Châtelain, en regardant dans les yeux sa soumise qui lui sourit tendrement, reprend :
- Ma belle chienne, encore plus belle lorsque tu es en train de jouir. La relation D/s est avant tout une relation humaine, faite de sentiments, d’émotions, de respect, et de partage. N’oublie jamais tout au long de ton cheminement de soumise MDE à mes pieds que Le Maître lui aussi est heureux lorsqu’il sait que Ses dominé(e)s le sont également et qu’ils ou elles lui sont totalement dévoué(e)s. Sache que J’aime particulièrement te voir prendre du plaisir quand c’est moi qui l’autorise et mieux encore qui l’ordonne, ce n’est pas à mon niveau un plaisir sexuel jouissif au sens premier du terme, mais c’est un vrai plaisir mental de Dominant.
Le Châtelain interpelle Son majordome qui était juste à côté.
- Walter !
- Oui, Monsieur le Marquis. Que puis-je faire pour Vous ?
- Tout d’abord, tu vas t’occuper de ma petite chienne Holly MDE qui a bien mérité un peu de repos. Trouve deux personnes pour la détacher du vélo D/s et la reconduire dans son cachot avec beaucoup d’attention, car je ne suis pas certain que ses jambes la porteront très loin.
- Oui, Monsieur le Marquis, je vais y veiller. Est-ce tout ?
- Non, encore plusieurs choses à te dire. Je pense que je ne vais pas traîner très longtemps avant de monter me coucher. Si tu aperçois Madame La Marquise d’Evans, peux-tu lui demander de me rejoindre sans perdre une minute dans le Hall d’entrée au pied du grand escalier où elle devra m’attendre, pour que nous montions ensemble dans la chambre nuptiale. Je ne vais pas tarder à m’y rendre de mon côté, mais je voudrais encore au passage dire bonsoir à mon très cher ami le Comte de Peinaic que je n’ai pas recroisé depuis son arrivée au Château.
- J’ai bien peur que cela ne soit pas possible à cette heure, Monsieur le Marquis, car Monsieur le Comte et son épouse sont déjà montés se coucher. Ils ne sont plus d’un tout jeune âge et m’ont d’ailleurs prié de Vous faire part de tous leurs remerciements pour cette magnifique soirée anniversaire. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs, tant d’invités m’ont chargé personnellement de Vous retransmettre tous leurs remerciements qui vont bien au-delà des multiples cadeaux des uns et des autres que j’ai fait entreposer dans le petit salon bleu et que Vous pourrez ouvrir à Votre temps.
Le Châtelain regarde sa montre, commençant à sentir la fatigue de cette merveilleuse soirée assumée au pied levé après une intense journée de travail. Mais la surprise organisée par le fidèle Majordome, Walter, était de taille et si tous les invités semblent des plus ravis, Monsieur le Marquis d’Evans ne l’en est pas moins. Le clocher de l’église du village tinte, ce sont les laudes, car il n’est plus l’heure depuis longtemps de sonner matines. Le Maître des Lieux se rend compte que l’orchestre s’est arrêté de jouer, après avoir assuré un fond musical varié de qualité pendant de si longues heures sans discontinuer, tout en restant intégralement nus pendant leur prestation, étant tous des soumis(es) ou anciens soumis(es) sélectionnés pour la circonstance. Dans toutes les pièces, les bruits ne sont plus que ceux de quelques extases qui s’éternisent encore et encore dans la fornication orgiaque, ayant laissé tombé au fil des heures les instruments D/s qui avaient bien échauffés les cœurs et les corps des Uns et des autres. Mais si les plus âgés et les moins robustes ont déjà rejoint leur chambre respective, la grande majorité des invités attend par politesse le retrait du Maître des Lieux avant de le suivre dans l’escalier puis les couloirs du Château pour rejoindre les appartements mis à la disposition des convives. D’une voix forte qui se fait entendre, Le Marquis d’Evans annonce :
- Mes très chers amis, Maîtres Dominants et Maîtresses Dominas de renom, je vous remercie tous d’être venus en cette magnifique occasion. Il est temps pour moi de rejoindre Ma couche nuptiale en compagnie de Madame la Marquise d’Evans. A tous ceux que je n’ai pas pu saluer individuellement, qu’ils et elles ne m’en tiennent pas rigueur car je n’ai pas encore acquis le don d’ubiquité qui me permettrait d’être en multiples endroits à la fois, mais que tous et toutes sachent bien que vous êtes profondément dans mon cœur. La communauté BDSM que nous formons est une grande famille qui partage cet Art de vivre qu’est le notre, apprécié pour tout ce qu’il nous apporte que Nous soyons Dominant(e)s ou que nous soyons dominé(e)s. Vous savez tous combien je tiens à ce que chacun(e), dans ce monde que nous partageons pour N/nos bien-être communs, soit respecté(e) pour ce qu’il/elle est et désire être, qu’il/elle soit « TOP ou SUB » comme diraient nos amis outre-Atlantique, ou encore Switch.
Le Marquis d’Evans quitte le grand Hall de Réception qui avait été transformé pour la nuitée en donjon D/s et qui retrouvera dans quelques heures à peine son allure luxueuse et sa fonction initiale. IL se dirige vers le grand escalier central de marbre du Château qui conduit aux appartements royaux. IL est suivi par les Invités qui décident eux aussi tour à tour à lever le camp et est rejoint très vite par Madame La Marquise d’Evans qui s’approche à Ses côtés, tout en restant derrière le Maître des Lieux. Au moment précis où le Noble monte sur la première marche, il est heureux de se retourner entendant les applaudissements de tous ses amis qui se sont rassemblés à sa suite, tant d’Invités encore debout qui l’ovationnent de toutes leurs forces en criant à l’unisson et dans un élan fort chaleureux :- Joyeux anniversaire, Monsieur le Marquis Edouard d'Evans !
FIN de cette histoire.
Le Châtelain déboîte la barre de liaison entre les deux selles de vélo qui précédemment avait servi de substitut de berceau de judas pour les deux soumises dont l’entrecuisse, l’os pubien et les grandes lèvres béantes reposaient sur ladite barre qui s’immisçait au plus profond de leur intimité humide. Le Dominant redresse la barre et en règle la longueur et la hauteur de telle manière que le deuxième gode phallique se retrouve cette fois positionné juste en face des lèvres de Holly MDE, qui est contrainte d’ouvrir la bouche pour le laisser pénétrer à l’intérieur du palais. Le réglage est ajusté pour que le sexe de plastique en faisant ses va-et-vient puisse entrer en gorge profonde mais sans aller au-delà de ce qui serait supportable pour la soumise qui doit pouvoir respirer et ne pas avoir trop de haut-le-cœur. Le mécanisme est adapté pour que le gode ne puisse pas dans sa course sortir totalement de la cavité buccale au moment du retrait en arrière, pour éviter que par inadvertance la soumise ne puisse refermer la bouche pendant toute la période où les mouvements du gode seront activés, et risquer de se blesser. L’esclave-femelle est prise par deux des orifices dont la nature la pourvu, même si ce ne sont à proprement parlé celui qui est censé être le plus naturel pour la copulation et la pénétration phallique. Elle sent que Le Marquis d’Evans vient de mettre en marche le bouton qui permet les mouvements des deux godes l’un anal à la verticale et l’autre buccal à l’horizontale.
Des frissons parcourent l’échine de Holly MDE qui se sent transportée par cette sexe-machine infernale qui la défonce littéralement, la baisant de la bouche et de l’anus en même temps. Son bas-ventre s’enflamme d’autant plus que dans la nuit de son bandeau tous ses sens sont exacerbés et que les bruits audibles des va-et-vient du gode sont d’une régularité qui en devient excitante pour la chienne en chaleur qui s’offre à tous les coups de butoir qui viennent se perdre dans son fondement et dans sa gorge. Monsieur Le Marquis d’Evans se rapproche de Son esclave-soumise, et il lui souffle dans le cou avant de lui mordiller les deux oreilles, la faisant encore plus frémir et geindre.
- Tu ne jouis surtout pas tant que tu n’en auras pas reçu l’ordre, c’est bien compris ! Ce n’est pas une simple autorisation de jouissance que j’entends t’accorder tout à l’heure. Je veux te voir jouir à la seconde même où Je l’exigerai et où tu entendras ma voix comme un élément déclencheur te permettant de franchir la barrière de l’orgasme.
Les deux mains du Châtelain ont empoigné les deux tétons de Holly MDE qu’IL malaxe, tord, fait rouler entre les deux pouces et les deux index, finissant par les pincer fortement jusqu’à arriver à arracher un cri plus aigu qui a bien du mal à se faire entendre tant les sons qui sortent de la bouche remplie de manière régulière par les va-et-vient du gode en action ne sont plus très audibles, bien que s’apparentant à des râles étouffés d’un plaisir charnel qui devient de plus en plus forts. Après avoir excité les mamelons devenus turgescents, le Marquis d’Evans laisse ses deux mains glisser sur le ventre de Sa chienne offerte à toutes ses caresses. Frissons et tremblements accompagnent des soupirs de plus en plus langoureux et intenses tandis que le Maître D/s s’achemine vers la caverne humide de l’esclave MDE. Ecartant les grandes lèvres pour se frayer un passage, le Dominant laisse ses doigts courir dans toute la vulve trempée car les savoureuses sensations liés aux mouvements du gode anal se répercutent dans tous le bas-ventre en feu de la soumise qui voudrait bien pouvoir maintenant être autorisée à laisser sa jouissance éclater. Elle se retient, par la force de sa soumission, mais son corps ne répond déjà presque plus, même si son esprit servile se veut encore soumis et obéissant pour respecter la consigne du Maître Vénéré. Le Marquis d’Evans attrape le bouton de roses de sa chienne en chaleur, un clitoris gorgé de sang qu’il malaxe d’une main, avant de chercher à le pincer entre deux doigts plus fortement.
- Jouis ! Maintenant ! Je l’ordonne !!!
Le Marquis d’Evans dans le même instant a retiré la barre métallique et le gode qui emplissait la bouche de Sa chienne. Holly MDE hurle sa jouissance à gorge déployée, ne retenant pas ses halètements de chienne et même ses cris presque bestiaux, tout en libérant son plaisir orgasmique avec une puissance sans précédent. Le Noble a arrêté tous les mécanismes et fait se rétracter aussi le gode anal, mais l’excitation reste encore prégnante et Holly MDE se met à trembler, tandis que des spasmes parcourent son corps pendant encore de longues minutes.
- Tu m’as fait bien bander, Ma belle petite chienne, tandis que Je t’admirais en train de jouir. Un vrai plaisir cérébral très excitant puisque mon bâton de joie a trouvé encore de la vigueur pour se redresser et se gonfler. Mais à cette heure, mon Noble joyau va devoir attendre patiemment que je rejoigne mon lit nuptial pour se répandre une ultime fois avant de dormir.
Le Châtelain esquisse un léger sourire à l’idée de ce dernier plaisir sexuel d’Homme bandant que dans quelques instants et dans l’intimité de la Chambre Royale, IL va s’accorder encore pour profiter jusqu’à la lie de cette merveilleuse nuitée orgiaque dont les souvenirs resteront longtemps gravés dans Sa mémoire, car il y avait longtemps qu’il n’avait pas vu au Château une si belle soirée festive, donnée en Son honneur qui plus est. Et il reprend son explication.
- Un Dominant, digne de ce nom et du titre qu’il porte parce qu’il lui a été reconnu par son et ses dominé(e)s, n’est pas seulement là pour son propre plaisir de mâle éjaculant qui a besoin de se vider les couilles, contrairement à tous ces petits « m » qui ternissent le symbolique acronyme du BDSM, en croyant que sous prétexte de Domination, ils vont pouvoir culbuter gratuitement, sauvagement et sans le moindre égard toutes les soumises et soumis qui passeront à portée.
Holly MDE émerge à peine de son acmé, Le Marquis d’Evans lui a retiré son bandeau pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits et de retomber sur terre après une montée fulgurante au 7ème ciel. Elle a le sentiment que ses jambes ne la portent plus et que si son corps n’était pas toujours solidement attaché, il y a longtemps qu’elle aurait atterri par terre, mais elle savoure ce répit de bien-être qui suit l’orgasme sexuel, où le temps est comme suspendu. Son visage exprime la plénitude et l’épanouissement D/s. L’esclave-soumise ressent un bonheur profond d’être ce qu’elle est et pour qui elle l’est. Et le Dominant qui perçoit aussi, en ce moment plus que sublime, cet épanouissement flagrant de Sa chienne MDE dans la soumission assumée à Ses pieds est particulièrement heureux de pouvoir repenser une fois de plus à ce qu’IL est devenu au fil des années de pratiques et de perfectionnement dans la Maîtrise des relations de Domination/soumission. A savoir, un Maître D/s reconnu par toute la communauté BDSM pour ses qualités d’Homme et de philanthrope, ses capacités de Dominant ferme et exigeant mais droit et juste, apprécié de tous ses pairs qui le considère comme le meilleur d’entre eux en sagesse tout comme en Dominance, Vénéré par tous ses nombreux dominé(e)s. Le Marquis d’Evans en cet instant se sent très fier d’être lui aussi ce qu’IL est, tout autant que pour qui IL l’est également : Ses nombreux esclaves MDE qui composent le cheptel et qui sont tous à Ses pieds dans un libre asservissement désiré et une Dévotion sans bornes. Le Châtelain, en regardant dans les yeux sa soumise qui lui sourit tendrement, reprend :
- Ma belle chienne, encore plus belle lorsque tu es en train de jouir. La relation D/s est avant tout une relation humaine, faite de sentiments, d’émotions, de respect, et de partage. N’oublie jamais tout au long de ton cheminement de soumise MDE à mes pieds que Le Maître lui aussi est heureux lorsqu’il sait que Ses dominé(e)s le sont également et qu’ils ou elles lui sont totalement dévoué(e)s. Sache que J’aime particulièrement te voir prendre du plaisir quand c’est moi qui l’autorise et mieux encore qui l’ordonne, ce n’est pas à mon niveau un plaisir sexuel jouissif au sens premier du terme, mais c’est un vrai plaisir mental de Dominant.
Le Châtelain interpelle Son majordome qui était juste à côté.
- Walter !
- Oui, Monsieur le Marquis. Que puis-je faire pour Vous ?
- Tout d’abord, tu vas t’occuper de ma petite chienne Holly MDE qui a bien mérité un peu de repos. Trouve deux personnes pour la détacher du vélo D/s et la reconduire dans son cachot avec beaucoup d’attention, car je ne suis pas certain que ses jambes la porteront très loin.
- Oui, Monsieur le Marquis, je vais y veiller. Est-ce tout ?
- Non, encore plusieurs choses à te dire. Je pense que je ne vais pas traîner très longtemps avant de monter me coucher. Si tu aperçois Madame La Marquise d’Evans, peux-tu lui demander de me rejoindre sans perdre une minute dans le Hall d’entrée au pied du grand escalier où elle devra m’attendre, pour que nous montions ensemble dans la chambre nuptiale. Je ne vais pas tarder à m’y rendre de mon côté, mais je voudrais encore au passage dire bonsoir à mon très cher ami le Comte de Peinaic que je n’ai pas recroisé depuis son arrivée au Château.
- J’ai bien peur que cela ne soit pas possible à cette heure, Monsieur le Marquis, car Monsieur le Comte et son épouse sont déjà montés se coucher. Ils ne sont plus d’un tout jeune âge et m’ont d’ailleurs prié de Vous faire part de tous leurs remerciements pour cette magnifique soirée anniversaire. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs, tant d’invités m’ont chargé personnellement de Vous retransmettre tous leurs remerciements qui vont bien au-delà des multiples cadeaux des uns et des autres que j’ai fait entreposer dans le petit salon bleu et que Vous pourrez ouvrir à Votre temps.
Le Châtelain regarde sa montre, commençant à sentir la fatigue de cette merveilleuse soirée assumée au pied levé après une intense journée de travail. Mais la surprise organisée par le fidèle Majordome, Walter, était de taille et si tous les invités semblent des plus ravis, Monsieur le Marquis d’Evans ne l’en est pas moins. Le clocher de l’église du village tinte, ce sont les laudes, car il n’est plus l’heure depuis longtemps de sonner matines. Le Maître des Lieux se rend compte que l’orchestre s’est arrêté de jouer, après avoir assuré un fond musical varié de qualité pendant de si longues heures sans discontinuer, tout en restant intégralement nus pendant leur prestation, étant tous des soumis(es) ou anciens soumis(es) sélectionnés pour la circonstance. Dans toutes les pièces, les bruits ne sont plus que ceux de quelques extases qui s’éternisent encore et encore dans la fornication orgiaque, ayant laissé tombé au fil des heures les instruments D/s qui avaient bien échauffés les cœurs et les corps des Uns et des autres. Mais si les plus âgés et les moins robustes ont déjà rejoint leur chambre respective, la grande majorité des invités attend par politesse le retrait du Maître des Lieux avant de le suivre dans l’escalier puis les couloirs du Château pour rejoindre les appartements mis à la disposition des convives. D’une voix forte qui se fait entendre, Le Marquis d’Evans annonce :
- Mes très chers amis, Maîtres Dominants et Maîtresses Dominas de renom, je vous remercie tous d’être venus en cette magnifique occasion. Il est temps pour moi de rejoindre Ma couche nuptiale en compagnie de Madame la Marquise d’Evans. A tous ceux que je n’ai pas pu saluer individuellement, qu’ils et elles ne m’en tiennent pas rigueur car je n’ai pas encore acquis le don d’ubiquité qui me permettrait d’être en multiples endroits à la fois, mais que tous et toutes sachent bien que vous êtes profondément dans mon cœur. La communauté BDSM que nous formons est une grande famille qui partage cet Art de vivre qu’est le notre, apprécié pour tout ce qu’il nous apporte que Nous soyons Dominant(e)s ou que nous soyons dominé(e)s. Vous savez tous combien je tiens à ce que chacun(e), dans ce monde que nous partageons pour N/nos bien-être communs, soit respecté(e) pour ce qu’il/elle est et désire être, qu’il/elle soit « TOP ou SUB » comme diraient nos amis outre-Atlantique, ou encore Switch.
Le Marquis d’Evans quitte le grand Hall de Réception qui avait été transformé pour la nuitée en donjon D/s et qui retrouvera dans quelques heures à peine son allure luxueuse et sa fonction initiale. IL se dirige vers le grand escalier central de marbre du Château qui conduit aux appartements royaux. IL est suivi par les Invités qui décident eux aussi tour à tour à lever le camp et est rejoint très vite par Madame La Marquise d’Evans qui s’approche à Ses côtés, tout en restant derrière le Maître des Lieux. Au moment précis où le Noble monte sur la première marche, il est heureux de se retourner entendant les applaudissements de tous ses amis qui se sont rassemblés à sa suite, tant d’Invités encore debout qui l’ovationnent de toutes leurs forces en criant à l’unisson et dans un élan fort chaleureux :- Joyeux anniversaire, Monsieur le Marquis Edouard d'Evans !
FIN de cette histoire.
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