Laetitia - chapitre 5 : Echanges de bons procédés - histoire érotique

Avertissement : Il s’agit d’une histoire quasi intégralement imaginée, seuls les protagonistes sont inspirés de personnes réels.
Suite du chapitre 4 : Sucette.


Vingt minutes plus tard, je suis réveillé par une sensation étrange, mon pénis gonfle dans une cavité humide qui le titille, j'ouvre un œil et je "surprend" Laetitia qui me refait une fellation ! Elle me lèche les bourses et gobe mes premiers centimètres. Je sens sa langue légèrement rugueuse sur la fine peau sensible de mon gland et le sperme se re-re-re-remet à monter...
J'ouvre un œil, discrètement. Elle est quasiment dans la même position dans laquelle nous nous sommes endormis, sauf la tête qui est au niveau de mon pubis. Je ne vois que l'arrière de sa tête et ses beaux cheveux blond mais elle agit avec une conviction non dissimulée. Elle tient mon membre dans sa main droite, me masturbe, elle regarde ma zone intime en sachant parfaitement quoi faire.
Je trésaille sous un mouvement qui décalotte complètement mon pénis et arrive en butée.
" - Désolée ... dit-elle à voix basse.
Elle ajoute, en tournant la tête vers moi :
- Mais maintenant que tu es réveillé ... tu dois ... on doit ..."
Elle ne finit pas sa phrase ... son regard en dit beaucoup plus. Il redevient intense et me dit implicitement "je veux être enceinte de toi, maintenant ". Je prends les devants et dépose l'oreiller au milieu du lit :
"- Met ton bas ventre au niveau du bas du coussin et écarte BIEN les jambes ... lui dis-je d'un ton moqueur.
- On va faire comme j'ai dit ... tout à l'heure ... d'abord un cunnilingus par ... derrière ... pour te préparer ...
- Si mon "ventre est en bas", j'aurais les fesses en l'air ... Comment veux-tu faire ??? me dit-elle d'un ton inquisiteur.
- T'inquiète pas, ça, c'est ma partie ... du ... travail ..."
Elle s'installe, lentement, avec une grâce absolue. Une fois en place, je la regarde.
Un corps longiligne, tout en courbe, tout en finesse. De sa nuque à ses talons, tout est magnifique, tout est parfaitement proportionnés. Sa tête est tournée dans ma direction, son regard bleu vert me fixe, son beau fessier est le point le plus haut de sa position. Je contourne le lit pour arriver par ses pieds et remonte vers son sexe et ses fesses. Ses jambes sont suffisamment écartées, contrairement à ma première tentative. Je vois sa toison pubienne posée sur l'oreiller, au-dessus, son clitoris, plus haut sa vulve est ouverte. Ses lèvres, petites et grandes sont écartées, elles laissent voir le début de l'intérieur de son vagin, rouge foncé et très ... lubrifié, toute sa zone sexuelle est très humide.
Cette belle vision, pleine de sensualité, renforce encore plus mon excitation. Plus haut, son sillon anal est légèrement ouvert, il est dépourvu de poils, ce qui rend la peau visible. La zone est belle, lisse, érotique. Au milieu trône sa Majesté l'anus, que l'on devine sans mal, un peu à l'étroit.
Avec une idée en tête, je remonte vers son bassin, en caressant et embrassant ses mollets puis ses cuisses. Au-dessus de ses cuisses, je lui embrasse fougueusement les fesses, enfin ses muscles fessiers. Elle a vraiment un beau derrière, rond, lisse, avec une jolie raie. Le nez à deux centimètres de son bassin, je m'arrête entre le bas de ses fesses et de son vagin au niveau de son thigh gap, je respire profondément. Son vagin sent bon, une odeur de sexe plus qu'agréable, j'hume l'air encore quelques secondes et je bifurque vers le haut, je mets ma langue en bas de sa vulve contre son clitoris et je remonte petit à petit en suivant la courbe de son sexe. Mon nez entre dans ses fesses et je ne m'arrête que quand ma bouche est au-dessus son anus.
J'avais un peu d'appréhension sur l'odeur de cette zone, mais pas du tout. Une odeur, légère, de sueur, de sexe, mêlée à sa cyprine enchante mes narines, une odeur douce, comme Laetitia. Je commence par faire un baiser appuyé sur cette petite rondelle rugueuse. Je la lèche et l'embrasse fougueusement, sans jamais forcer l'ouverture. Laetitia est très surprise :
" - Mais ... qu'est-ce que... tu f...
Je la coupe en lui répondant :
- Laisse toi faire, ça va te détendre ... lui répondis-je, la bouche entre ses fesses.
- D'accord ... " me répond- elle, septique.
Après quelques secondes, je sens son bassin se décontracter sous ma langue et ses fesses s'écartent un peu plus. Je lèche son sillon de bas en haut en passant sur sa rondelle musculeuse. Je sens son corps et son anus se détendre et des petits mouvements d'avant en arrière du bassin apparaître. De petites respirations de plaisir se font entendre. Je remonte ma main le long de sa jambe droite, vers son intimité et je commence délicatement à caresser sa vulve et son clitoris. Ses respirations deviennent des petits cris. J'insère mon index et mon majeur dans son vagin, ils entrent sans problème tant il est lubrifié, je commence à la masturber, pour un moment.
Je change de zone et de position. J'enlève mes doigts et baisse ma tête pour que ma bouche soit au niveau de son vagin, mon nez posé sur son anus. Dans cette position, ma langue peut lécher sa vulve, ses lèvres, son vagin et son clitoris. Je commence par donner un coup de langue très léger sur le clitoris, Laetitia trésaille et un râle de plaisir émerge de sa bouche. Je vais immédiatement vers les petites lèvres que je stimule. J'enfonce de quelques centimètre ma langue dans son vagin et fait des mouvements de va-et-vient avec. Je sens, avec ma langue, la texture lisse et rugueuse à la fois de l'intérieur son vagin. Bien évidemment, je bois sa cyprine avec délectation.
Je me fais un "parcours" : je stimule ses lèvres puis son vagin puis son clitoris. Je fais ce chemin plusieurs fois en diminuant le temps consacré aux lèvres et augmentant celui alloué au clitoris. Les cris deviennent plus fort et moins retenus, ils viennent de très loin, ils sont cependant plus articulés et, pour la première fois, j'ai des retours sur ce que Laetitia ressent, elle me dit des "C'est bon", "Oh ... oui", "Continu", "Plus vite", "J'aime ce que tu fais". Les spasmes de plaisir deviennent de plus en plus intenses et je sens son corps tout entier se contracter de plaisir sous moi. Ses mouvements de bassin deviennent si amples que ses fesses, de déesse, se referment sur mon nez et m'empêchent de respirer pendant de courts moments.
Le temps passe et je n'ai plus de retour compréhensible de la part de ma belle-sœur mais ses cris de plaisir, eux, m'informent sans problème. Ils sont vraiment intenses, ils me galvanisent dans mes mouvements pour lui donner le plus de plaisir possible. Pour finir, un puissant spasme bouche mon nez et un cri de plaisir indescriptible et continu émane de Laetitia. Je continue de la lécher jusqu'à ce que ses spasmes se calment. Après quelques minutes, elle tourne la tête dans ma direction :
"- Tu es ... vraiment doué ... avec ta langue.
- C'était bizarre les coups de langue dans mon... euh ... cul (?), ... mais après c'était relativement ... plaisant !
- Désolé, je voulais juste t'exciter avant notre rapport vaginal ... répond-je.
- Pas grave, tu es pardonné ! Allez viens ! "

Suite au chapitre 6.