Partie 1 : Ouverture d'un nouvel horizon : Débuts :

- Par l'auteur HDS Dark_Sev -
Récit érotique écrit par Dark_Sev [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Partie 1 : Ouverture d'un nouvel horizon : Débuts : Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Partie 1 : Ouverture d'un nouvel horizon : Débuts :
Nous allons donc dans ladite chambre. J'enlève la couette du lit et pour la première fois depuis mes demandes insensées, je vois Laetitia ne plus contrôler la situation, son regard est moins assuré et je perçois de l'appréhension.
"- Comment veut-tu que je m'installe ? demande-t-elle avec une voie légèrement craintive.
Je perçois tout de suite cette inquiétude :
- Laetitia, est-ce que tout va bien ? Qu'est- ce qui se passe ?
- Je sais pas, je n'ai jamais eu d'orgasme et ... je ne sais pas comment je vais réagir ...
- T'inquiète pour ça, je gère ! Tu te mets sur le dos, ou sur le ventre ... plus tard, sur le ventre ... je t'expliquerai.
- Tu mets tes jambes pour que tu te sentes bien ... Mais il faut qu'elles soient ... écartées ...
- Il faut que j'accède à ... ton ... intimité ... Soit jambes étendues à plat sur le lit, soit en les repliant, les pieds vers les fesses, genoux en l'air."
Elle se couche au milieu du lit et étends les jambes sans les repliées et en laissant un espace très insuffisant, si bien que son coquillage ne s'ouvre pas suffisamment.

"- Lætitia, il faut que mes épaules passent ... et ...
Son regard est fuyant, elle est apeurée.
- Détend toi, Laetitia, tout va bien.
Je sens bien que cela ne l'a pas rassurée pas. Je décide de lui ouvrir mon cœur, en lui disant quelque chose de fort en sens.
- Laetitia ...
Son regard s'accroche au mien. J'approche mon visage du sien, je sens sa respiration sur mes joues. Mon cœur bat très fort.
- Je ... t'aime ... Laetitia. Je sais que, pour toi, la situation n'est pas évidente mais je suis sérieux. Lui dis-je d'une voie feutrée.
- Je t'aime pour ce que tu es ... et si je veux te voir nue, te toucher, t'embrasser et te ... lécher le sexe, c'est parce que je tiens vraiment à toi.
Je poursuis.
- Je veux te donner le plaisir que tu mérites, je veux te donner un orgasme, un vrai.
Je laisse une pause pour qu'elle réfléchisse.
- Je te le répète, je tiens à toi, je te trouve très belle et ... tu mérites mieux... beaucoup mieux.
- Tu es une belle personne. "
Je fini de m'approcher et lui fait un bisou tendre sur le front, le bout du nez puis sur ses lèvres. À peine ai-je commencé à me relever qu'elle m'attrape fermement et m'embrasse, avec la langue, avec une fougue non dissimulée. Je tombe sur elle.

Pour la première fois, nous sommes nues l'un sur l'autre, l'un contre l'autre. Son corps est chaud, dans le sens littéral. La sensation est exquise. Mon sexe est sur le sien, dans sa toison pubienne. Je sens des décharges d'excitations. Trente secondes plus tard, nos bouches, trempées, se séparent et le regard de Laetitia est redevenu bienveillant, chaleureux.

Elle se réinstalle, toujours jambes à plat, mais elles sont suffisamment écartées cette fois ! Son vagin est ouvert !
Ma belle belle-sœur est nue sur un lit devant moi, son corps est beauté et je vais lui brouter le minou, j'ai hâte ! J'admire ce spectacle encore un peu et je commence.
Je vais vers le bas du lit, au niveau de ses pieds que je me mets à embrasser, chaque orteil, je les prends chacun en bouche puis remonte doucement vers son bassin. J'embrasse ses chevilles, ses tibias, ses genoux. Je sens son corps rayonner la chaleur sur mon torse. Arrivé à mi-cuisse, mon sexe, touche son pied gauche, j'entends un petit rire moqueur sortir de sa belle bouche pendant qu'elle se met à me "caresser" le pénis avec son pied en le mettant dans l'espace entre le "pouce" et "l'index", ce qui me fait instantanément monter mon jus de sexe.
" - On se concentre sur toi pour le moment." lui lance-je d'un ton détaché, la bouche toujours sur sa cuisse et avec pour seule réponse un pouffement ...
Je continue de monter vers son vagin, mes baisers sont plus appuyés, langoureux et mouillés. La peau de ses cuisses est douce, son duvet blond participe à cette impression. Je suis à dix centimètres du graal, son bassin. Ses hanches sont magnifiques, elles sont d'une fluidité et d'une sensualité. Dernier acte avant les "choses sérieuses", je fini de remonter et je lui fais des baisers sur l'aine, de chaque côté de sa toison pubienne fournie mais entretenue, ce que j'adore !
J'ai toujours aimé les poils pubiens depuis mon adolescence. Avec le temps, je me rends compte que les poils sous les aisselles ne me dérangent pas du tout, tout comme une toison pubienne non entretenue, je ne reste cependant pas très ouvert avec les poils sur les demi jambe, que je trouve très ..., trop masculin.
Son épilation datant de quelques jours, ses poils blonds ont commencés à repousser, ils me piquent très légèrement les lèvres et ajoute de l'excitation. Mon nez et ma bouche sont à un centimètre de sa zone sexuelle, l'odeur de son vagin est délicieuse, envoûtante et de petits spasmes d'excitation me parcourent le corps et galvanise ma vigueur sexuelle. Je ne suis, cependant, pas le seul à avoir ces petites marques de plaisir. Laetitia, elle aussi, bouge son bassin d'avant en arrière lentement et faiblement.

Je commence. Je fini d'approcher mes lèvres de ses lèvres vaginales et lui fait un baiser, comme si je l'embrassais, plus haut, sur la bouche. La sensation est parfaite, que de douceur ! Dès que nos lèvres se touchent, son bassin s'anime plus perceptiblement et sa respiration s'accélère. Sa vulve est bien humide, sa cyprine à un goût délicieux, légèrement sucré. Je sors ma langue et la passe lentement entre ses deux petites lèvres de bas en haut, en avalant l'excédent de liquide vaginal :) et finissant sur son clitoris. Je suis tellement aux anges que j'ai à peine remarqué que Laetitia émet des râles de plaisir, qui sont, paradoxalement, assez grave compte tenu de sa maigre morphologie. Ils sont relativement long et profonds, son corps se contacte à un rythme régulier. En partant du bassin, les spasmes qui descendent contactent d'abord ses cuisses musculeuses, puis ses mollets et ses pieds, ils viennent mourir dans chacun de ses petits orteils, qui se déploient en éventail. Ceux qui vont vers le haut de son corps sont plus puissants. Ils contactent, en alternance, ses muscles fessiers et son ventre, ce qui induit un mouvement de balancier de son bassin. Son vagin se lubrifie d'avantage et sa vulve devient bien mouillée, délicieuse. Je me délecte de ce surplus de jus de chatte. Son dos se cambre, ce qui a pour effet de dresser ses petits seins verticalement vers le ciel, dans un mouvement très érotique. J'ai, à ce moment-là, une envie irrépressible de les prendre en bouche, eux aussi et de les téter. Ses spasmes viennent mourir dans sa nuque et son cou, qui lui aussi se courbe en rythme avec le dos, cela lui fait ouvrir la bouche en grand, dans une inspiration et une expiration, remplie de jouissance. Comme j'aimerai être devant cette belle bouche, grande ouverte à respirer l'air qu'elle expire, à plonger ma langue dedans et à goûter sa salive ...
Après lui avoir copieusement lécher la vulve, j'introduis, avec une infinie précaution, mon majeur et mon annulaire droit, paume vers le haut, dans l'œuvre d'art qu'est son vagin, petit à petit, phalange après phalange. Bien évidemment, je continue de lui lécher les petites et grandes lèvres et surtout son clitoris, pour ne pas perdre une goutte de son précieux liquide vaginal.

À ce moment-là, elle replie ses jambes, en ramenant ses pieds vers son bassin et les écartent comme pour faciliter ma stimulation. Dès que mes doigts sont rentrés, ses râles se sont transformés en de doux cris de plaisir. Ses spasmes sont plus rapides et elle se couvre d'une fine couche de transpiration de la tête au pied. Après quelques minutes, j'abat ma dernière carte, je sors un peu mes doigts et lui caresse son point G tout en continuant de lécher, plus rapidement, son clitoris. La réaction ne se fait pas attendre. Le rythme lent et profond de ses mouvements de jouissance passent à une cadence accélérée, ses mouvements de bassin s'amplifient, si bien que son pubis cogne mon visage et enfonce sa vulve humide et chaude dans ma bouche. Son corps est luisant et les petits cris deviennent beaucoup plus longs, fréquents et ... sonores. Ses spasmes de plaisir tiennent maintenant plus de la convulsion.
Elle change de position, elle relève sa tête et son torse, soutenue par ses bras posés sur le lit sur ses coudes, pour me regarder faire, si bien que son dos ne touche plus le lit, qu'au niveau de ses fesses et que son bassin bouge dans un mouvement de plaisir.

Pour la seconde fois je vois l'anus de ma belle-sœur, par ses mouvements de balancement de son bassin. Je ne suis pas du tout scatophile et la sodomie ne m'attire absolument pas, mais il n'empêche que pour moi, aimant la personne, il a son érotisme et donc mérite un peu d'attention. Je ralentis la cadence, de toute façon, Laetitia est prête à exploser de plaisir, un orgasme massif approche. Je sors mes doigts et lui embrasse passionnément mais sensuellement le mont de Vénus. Je descends sur sa vulve et passe mes mains sous ses fesses, pour lui remonter le bassin. Je continu ma descente, vers son sillon anal. Même cette zone, sous cet angle est sexy. Je sors ma langue et commence à lécher le bas du vagin de Laetitia, tout en stimulant son clitoris délicatement avec le nez, étant devenu très sensible. Entre ma salive et sa cyprine qui coule de plus haut, son anus est bien humide. Je balade ma langue dans son sillon dépourvu de poils et trouve cette zone d'une douceur que je n'aurais pas imaginer, bien que j’aie du mal à y accéder, la position de Laetitia sur le matelas n'aidant pas vraiment. Il y a juste sur l'anus en lui-même qui vient briser cette "lissitude" avec une rugosité très relative. Mon nez arrive au niveau de l'entrée de son vagin, si bien qu'en poussant un peu la tête, il "entre" dans son intimité, le couvrant de sa cyprine délicieuse et envoûtante. Je masturbe Laetitia avec le nez, en lui léchant l'anus, quelle situation érotique !
Vingt secondes après, passé l'effet de surprise :
" - Qu'est-ce... que... tu fais ? me demande t'elle entre deux inspirations, d'un ton interrogateur.
- Un test, détends-toi. " lui réponds-je impératif.

Je reprends là où je m'étais arrêté une minute plus tôt, deux doigts sur son point G et passage de langue rapide sur son clitoris, cris et convulsions reviennent quasi-instantanément. Elle en profite, au passage, pour mettre un de ses main dans mes cheveux.
Deux minutes après ma reprise, je sens son clitoris se rétracter puis tout son corps se contracter, ses cuisses, ses jambes, son ventre. Son bras appuie fortement ma tête contre son vagin et je suis les mouvements de son bassin. Ses cris deviennent un unique cri sonore et continu de plaisir. Pour finir, Laetitia, haletante de plaisir, "m'éjacule" à la figure, en retombant sur le lit ! Bien entendu, pas de sperme odorant et visqueux, non, mon visage est "recouvert" d'un liquide incolore et inodore, tel de l'eau. Pour moi, la meilleure des récompenses, que j'ingurgite également.

Avec les minutes qui passent, le corps de Laetitia, tout mouillé, se détend lentement et sa respiration se calme. Plus tard, une fois son souffle repris et son cœur reprend un rythme normal, sa tête magnifique se relève doucement dans ma direction, comme si elle cherchait l'équilibre, elle ouvre doucement ses beaux yeux bleus verts. À ce moment-là, ses petits et grandes lèvres sont toujours contre mes lèvres, je déguste les derniers millilitres de son nectar divin, sans toucher le clitoris très, trop, sensible. Je me décolle et monte mes yeux vers ses yeux. Je ne peux m'empêcher de regarder sa jolie vulve à la pilosité fournie. Elle est trempée, rouge, ses grandes lèvres sont complètement rétractées, presque invisibles, les petites, elles au contraire, sont déployées, rouges et humides. Elles battent encore en rythme de son cœur. Je lui fais un dernier bisou, pas sur son intimité, beaucoup trop sensible en ce moment, mais sur ses poils pubiens. D'accord, mon baiser est gras, j'ouvre la bouche, la referme sur une partie de ses poils pubiens, je les garde en bouche, quelques instants pour en profiter. Je continue mon ascension visuelle, son ventre est humide de transpiration, l'odeur de cette transpiration est douce et sensuelle. Ses seins ont comme grossis sous l'effet de la jouissance, ses aréoles ont l'air d'avoir une surface plus importante, ses tétons sont proéminents et dressés, terriblement érotiques ... Son cou est, lui aussi, couvert d'humidité, son front, perlé de sueur. Travailler par 30° en plein soleil pendant des heures ? Ok, presque rien. Un vrai orgasme ? On ouvre les vannes !
Je la regarde droit dans ses yeux.
"- Mer... ci ... me dit-elle, toujours sonnée.
- Je comprends ... maintenant ... ce que tu disais ... tout à l'heure.
Elle reprend son souffle.
- Je récupère ... lentement ... pardonne-moi ...
- J'ai la tête qui tourne ... les oreilles qui sifflent ... le souffle toujours court ... les jambes lourdes ... me dit-elle en prenant une grande inspiration entre chaque phrase.
- Je te pardonne ! " lui dis-je d'un ton moqueur.

Je commence mon ascension pour me blottir contre elle et profiter de ses seins. Je décide de ne pas décoller la langue de son corps. Je baisse la tête, sort le bout de ma langue et la dépose sur sa toison pubienne juste au-dessus de son clitoris, un léger spasme parcourt le beau corps de Laetitia. Je quitte sa pilosité intime et sa douce odeur, direction le nombril ... que j'atteins rapidement malgré ma lenteur. Une fois dessus, je lèche assidûment ce petit puit érotique. Sa sueur a bon goût, très légèrement salée. J'arrive sur sa cage thoracique, qui est d'une sensualité folle, avec ses côtes saillantes et sa sculpturale poitrine ... Avec le bout de ma langue, je sens son cœur battre puissamment ainsi que l'air entrer et sortir de ses poumons. Je suis maintenant au niveau de ses seins. Je pose mon oreille droite à côté de son sein gauche (à elle) et je regarde attentivement le droit, se lever et s'abaisser et j'écoute, comme ça, les battements de son cœur et les sons de sa respiration. Elle ferme ses bras sur moi, me serre et passe une main dans mes cheveux et me caresse la tête. Cette musique me relaxe et je l'écoute un long moment. Cela m'apaise et m'endort ... Je relève la tête et commence à téter, lentement, son sein gauche. Elle a l'air surprise mais me regarde faire en rigolant. Je passe mes mains sous ses omoplates, je la sers (fort) contre moi. J'embrasse et lèche son sein par le dessous, je remonte vers le téton que j’ingurgite très doucement, tant les contractions de Laetitia m'informe sur sa sensibilité. Je le stimule sur toute la surface. Je sors la langue et la balade sur son aréoles en faisant des mouvements circulaires autour du téton, tel un totem que je fini par prendre en bouche. Je sens les vibrations de son cœur par mes lèvres, c'est une sensation très érotique. Je la tète, délicatement mais intensément, comme si je voulais extraire un lait qui, hélas, n'existe pas. Je procède de même avec le sein droit pour ne pas créer de jalousie entre eux ... Ensuite, je blottie ma face dans son cou fin et humide. Pendant toute ma remontée, mon pénis, qui était au niveau de ses pieds a coulissé le long de sa jambe et lors de mon arrêt dans le cou, le gland de mon sexe décalotté s'est posé sur sa toison pubienne à quelques centimètres de l'entrée de son vagin. Ses poils pubiens touchant mon pénis extrêmement sensible, il se contacte involontairement, le faisant un peu balader sur la belle vulve pilleuse de Laetitia. Ces stimulations sur mon extrémité sensible me fait monter le sperme et je sens qu'il ne faudrait pas grand-chose pour que je me repende, une troisième fois, sur elle cette fois.

Nous restons l'un contre l'autre plusieurs minutes, sa main sur mon pénis sans le stimuler, à caresser mes bourses, la mienne sur son vagin, à caresser son pubis en passant mes doigts dans ses poils pubiens. Sa tête pivote vers la mienne, nos regards l'un dans l'autre, nos bouches à un centimètre l'une de l'autre, sa douce respiration caressant mon visage.
Son regard est empli de crainte et d'envie. Est-ce qu'elle veut que je la pénètre ? Je ne sais pas et je ne vais pas cacher que, sur le moment et encore plus que d'habitude, j'en ai très envie. Nos regards, de braise, ne se quitte pas pendant quelques secondes. Elle rompt la trêve, en m'embrassant sur la bouche avec la langue. Cinq secondes après, elle se relève.
"- Il faut que j'aille faire pipi et après on s'occupe de toi." me dit-elle d’un ton beaucoup plus sûr d'elle.
S'occuper de moi ? Qu'est-ce que cela veut dire ?

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