Laetitia - chapitre 9 : fécondation indirecte

Récit érotique écrit par Dark_Sev [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Laetitia - chapitre 9 : fécondation indirecte
Avertissement : Il s’agit d’une histoire quasi intégralement imaginée, seuls les protagonistes sont inspirés de personnes réels.
Suite du chapitre 8 : Oral de passage.
Je me réveille en sursaut, sans raisons, après avoir somnolé pour une durée indéterminée mais il a dû se passer une heure. Laetitia dort toujours. Je sens sa respiration lente et régulière sur mon sexe, qui se réveille un peu. Son vagin et sa vulve sont redevenus à leur états habituels. Les grandes lèvres recouvrent de nouveau les petites, qui se sont rétractées. La zone est maintenant rosée, l'intérieur de son vagin demeure toujours en partie visible, ayant toujours les jambes de part et d'autre de ma tête. Je tente de la réveiller par un coup de langue léger sur sa fente vaginale "sèche", je n'ai aucune réaction. Mon pénis, lui, réagit, il se gonfle, grandit et lui touche le menton puis la bouche et le nez, mais je n'ai pas plus de réaction de la part de Laetitia.
Je continu, je la lèche davantage, de plus en plus appuyé. Après quelques minutes de caresses buccales soutenues, où ma langue entre dans son vagin, elle finit par se réveiller, sans bouger pour autant, son cœur se met à battre différemment. Après un moment, une main attrape mon pénis mi-dur mi-mou et le mets dans sa bouche, sans signe avant-coureur, ni mot. Instantanément mon sexe durcit complètement dans sa cavité buccale. Excité par cette nouvelle fellation, je continue de lécher le sexe de ma belle-sœur avec plus de vigueur, mais contrairement à moi, je n'aurais rien de son côté, l'orgasme de tout à l'heure a été intense et a dû consommer toute son énergie. Par contre, elle arrive très bien à me faire monter mon jus en déclarant doucement mais d'une voie déterminée :
" - Tu vas de nouveau m'éjaculer dans la bouche, mais je vais plutôt t'embrasser et tu vas mettre ton sperme dans ma chatte. D'accord ?
- Mais qu'attendons-nous ??? " lui lance-je, toujours un peu étonné par son vocabulaire plus ... moins retenu...
Laetitia refait du Laetitia de haut vol avec mon sexe. Moins de deux minutes après, je me repends en elle, ma semence inonde sa bouche délicate. À peine mes dernières contractions finies, elle se décolle de moi, après plus d'une heure et demi dans cette position érotique, la bouche pleine de ma substance visqueuse. Elle se relève à quatre pattes, se tourne lentement et m'embrasse tendrement en se laissant tomber sur moi et lâchant ma cargaison acre et très salée dans ma bouche. Nos langues se rencontrent dans ce liquide visqueux. Je la serre dans mes bras pendant le baiser et nos sexes se touchent tandis qu'elle émet un gémissement. J'ai à peine le temps de récupérer de ma fellation qu'elle me fait comprendre que j'ai du "travail".
À mon tour, je me lève tandis qu'elle s'allonge à ma place sur le lit, en repliant les jambes vers son bassin et en les écartant bien, me dégageant un accès parfait à son vagin. Je baisse la tête vers sa zone intime en la regardant dans les yeux. Elle a relevé la tête et me regarde avec de l'amour, de l'envie et de l'espoir. Je m'assoie en tailleur à ses pieds, je m'incline en avant pour lui faire le cunnilingus désiré mais je me ravise, il sera différent.
Je passe plutôt mes épaules sous ses genoux, plaque ses cuisses contre mon torse et verrouille la position avec mes bras sur le dessus de ses jambes, juste en dessous de son bassin. Je bascule en arrière pour me remettre droit en emmenant avec moi Laetitia et son corps magnifique. Elle glisse sur le lit, son bassin, comme sa vulve pileuse, s'approche de ma bouche, pleine. Ses fesses sont contre mon cou au-dessus de mes tétons et son vagin en face de ma bouche. Elle est dans une position ultra érotique, sa tête, sa nuque et le haut de ses omoplates sont sur le matelas, son dos, quant à lui, est incliné jusqu'à mon visage cinquante centimètres au-dessus du niveau du lit. Je mets mes mains sous son dos pour soutenir la position que je lui impose. Elle se laisse faire. Cette position à un avantage certain, son vagin est vertical et donc ma semence ne pourra pas aller autre part. Ma belle-sœur ne sachant pas quoi faire de ses jambes dans cette position, elle les met dans une position ajoutant de l'érotisme à l'érotisme, elle les replie sur son ventre, un peu sur l'extérieur. De mon point de vue, je vois le corps de ma belle-sœur replié sur lui-même, son anus bien visible. Le galbe de ses fesses est parfait, son vagin rougit petit à petit, sa toison et son ventre sont d'une beauté absolue. La pente que fait de son bassin à son cou est sensuelle, son nombril et ses muscles abdominaux agrémente cette inclinaison. Elle me regarde avec un air légèrement différent, la position l'a, sans doute, beaucoup excitée.
Je pose mes lèvres sensuellement sur ses lèvres vaginales et tout en gardant bien le contact entre ma bouche et sa vulve pour que ma semence ne coule pas à côté de son objectif. J'enfonce lentement ma langue dans son vagin comme si c'était mon pénis. Le sperme tombe lentement par gravité et je sens ma bouche se vider petit à petit de ma production pour aller dans le vagin de ma belle-sœur. Elle ferme ses beaux yeux.
Cette action dure cinq à dix minutes et contre toute attente Laetitia est prise de petites contractions, son bassin s'agite, ses seins se dressent et elle émet de petits cris aigus, plus en phase avec son gabarit, un petit orgasme. Je la laisse récupérer cinq minutes en lui embrassant les fesses, les cuisses et un peu (beaucoup ?) son sillon anal bien ouvert. Je lui lèche et embrasse son anus avec insistance. Je finis par la reposer sur sa face dorsale. Elle se réinstalle plus normalement sur le lit. Je remonte et m'installe à côté d'elle, je me mets sur le côté, mon sexe plein de sa salive et de sperme séchés sur sa cuisse, près de son vagin. Je la caresse. D'abord sa belle tête, son cuir chevelu, son front, ses joues, puis son cou, son torse et ses seins, puis son ventre et enfin ses cuisses, en débordant un peu (beaucoup...) sur sa toison pubienne ... Homme oblige ... Voyant le sperme qui commence à sortir, je mets ma main pour boucher son vagin. Elle me remercie avec un petit sourire.
Après quelques minutes elle engage la conversation :
" - Tu as aimé que je te pisse dessus ?
- Oui ... beaucoup, en plus comme je ne m'y attendais pas, j'ai vraiment adoré, ton urine qui coule sur moi ... En plus, elle ne sent pas fort, contrairement à la mienne ...
- On pourrai faire ça plus souvent ? lui suggère-je, tout en continuant :
- Et toi ?
- Au début j'étais mitigée, mais curieuse. Autant la sensation est agréable, on dirait une douche, autant l'odeur était ... un peu ... forte. J'avais des aprioris, je trouve ça toujours un peu ... dégueu ... mais l'acte est terriblement excitant de voir ton urine sortir de ton pénis et me mouiller le corps ... Ça m'a vraiment ...
Elle ne finit pas sa phrase et continue :
- Quand ton jet a atteint mes seins, ça m'a fait un terrible effet, j'ai eu une chaleur dévorante, j'ai eu terriblement envie de toi, sur le coup. Les éclaboussures sur le visage, ça m'a un peu refroidie, mais en vrai ça va !
Du coup, peut-être que l'on le refera une ... ou deux fois ... dans la douche, bien entendu !
- Tu n'étais pas obligée de te retenir ..." lui dis-je d'un ton amusé.
Cinq minutes passent, on reste l'un contre l'autre sans bouger. Je lui pose cette question :
" - Tu ... es ... enceinte ?
- Mais ça ne fait qu'une semaine ! Je ne sais pas ! On verra ! dit-elle d'un ton, condescendant.
C'est bien pour ça que tu m’as encore ... fécondée..."
Suite au chapitre 10.
Suite du chapitre 8 : Oral de passage.
Je me réveille en sursaut, sans raisons, après avoir somnolé pour une durée indéterminée mais il a dû se passer une heure. Laetitia dort toujours. Je sens sa respiration lente et régulière sur mon sexe, qui se réveille un peu. Son vagin et sa vulve sont redevenus à leur états habituels. Les grandes lèvres recouvrent de nouveau les petites, qui se sont rétractées. La zone est maintenant rosée, l'intérieur de son vagin demeure toujours en partie visible, ayant toujours les jambes de part et d'autre de ma tête. Je tente de la réveiller par un coup de langue léger sur sa fente vaginale "sèche", je n'ai aucune réaction. Mon pénis, lui, réagit, il se gonfle, grandit et lui touche le menton puis la bouche et le nez, mais je n'ai pas plus de réaction de la part de Laetitia.
Je continu, je la lèche davantage, de plus en plus appuyé. Après quelques minutes de caresses buccales soutenues, où ma langue entre dans son vagin, elle finit par se réveiller, sans bouger pour autant, son cœur se met à battre différemment. Après un moment, une main attrape mon pénis mi-dur mi-mou et le mets dans sa bouche, sans signe avant-coureur, ni mot. Instantanément mon sexe durcit complètement dans sa cavité buccale. Excité par cette nouvelle fellation, je continue de lécher le sexe de ma belle-sœur avec plus de vigueur, mais contrairement à moi, je n'aurais rien de son côté, l'orgasme de tout à l'heure a été intense et a dû consommer toute son énergie. Par contre, elle arrive très bien à me faire monter mon jus en déclarant doucement mais d'une voie déterminée :
" - Tu vas de nouveau m'éjaculer dans la bouche, mais je vais plutôt t'embrasser et tu vas mettre ton sperme dans ma chatte. D'accord ?
- Mais qu'attendons-nous ??? " lui lance-je, toujours un peu étonné par son vocabulaire plus ... moins retenu...
Laetitia refait du Laetitia de haut vol avec mon sexe. Moins de deux minutes après, je me repends en elle, ma semence inonde sa bouche délicate. À peine mes dernières contractions finies, elle se décolle de moi, après plus d'une heure et demi dans cette position érotique, la bouche pleine de ma substance visqueuse. Elle se relève à quatre pattes, se tourne lentement et m'embrasse tendrement en se laissant tomber sur moi et lâchant ma cargaison acre et très salée dans ma bouche. Nos langues se rencontrent dans ce liquide visqueux. Je la serre dans mes bras pendant le baiser et nos sexes se touchent tandis qu'elle émet un gémissement. J'ai à peine le temps de récupérer de ma fellation qu'elle me fait comprendre que j'ai du "travail".
À mon tour, je me lève tandis qu'elle s'allonge à ma place sur le lit, en repliant les jambes vers son bassin et en les écartant bien, me dégageant un accès parfait à son vagin. Je baisse la tête vers sa zone intime en la regardant dans les yeux. Elle a relevé la tête et me regarde avec de l'amour, de l'envie et de l'espoir. Je m'assoie en tailleur à ses pieds, je m'incline en avant pour lui faire le cunnilingus désiré mais je me ravise, il sera différent.
Je passe plutôt mes épaules sous ses genoux, plaque ses cuisses contre mon torse et verrouille la position avec mes bras sur le dessus de ses jambes, juste en dessous de son bassin. Je bascule en arrière pour me remettre droit en emmenant avec moi Laetitia et son corps magnifique. Elle glisse sur le lit, son bassin, comme sa vulve pileuse, s'approche de ma bouche, pleine. Ses fesses sont contre mon cou au-dessus de mes tétons et son vagin en face de ma bouche. Elle est dans une position ultra érotique, sa tête, sa nuque et le haut de ses omoplates sont sur le matelas, son dos, quant à lui, est incliné jusqu'à mon visage cinquante centimètres au-dessus du niveau du lit. Je mets mes mains sous son dos pour soutenir la position que je lui impose. Elle se laisse faire. Cette position à un avantage certain, son vagin est vertical et donc ma semence ne pourra pas aller autre part. Ma belle-sœur ne sachant pas quoi faire de ses jambes dans cette position, elle les met dans une position ajoutant de l'érotisme à l'érotisme, elle les replie sur son ventre, un peu sur l'extérieur. De mon point de vue, je vois le corps de ma belle-sœur replié sur lui-même, son anus bien visible. Le galbe de ses fesses est parfait, son vagin rougit petit à petit, sa toison et son ventre sont d'une beauté absolue. La pente que fait de son bassin à son cou est sensuelle, son nombril et ses muscles abdominaux agrémente cette inclinaison. Elle me regarde avec un air légèrement différent, la position l'a, sans doute, beaucoup excitée.
Je pose mes lèvres sensuellement sur ses lèvres vaginales et tout en gardant bien le contact entre ma bouche et sa vulve pour que ma semence ne coule pas à côté de son objectif. J'enfonce lentement ma langue dans son vagin comme si c'était mon pénis. Le sperme tombe lentement par gravité et je sens ma bouche se vider petit à petit de ma production pour aller dans le vagin de ma belle-sœur. Elle ferme ses beaux yeux.
Cette action dure cinq à dix minutes et contre toute attente Laetitia est prise de petites contractions, son bassin s'agite, ses seins se dressent et elle émet de petits cris aigus, plus en phase avec son gabarit, un petit orgasme. Je la laisse récupérer cinq minutes en lui embrassant les fesses, les cuisses et un peu (beaucoup ?) son sillon anal bien ouvert. Je lui lèche et embrasse son anus avec insistance. Je finis par la reposer sur sa face dorsale. Elle se réinstalle plus normalement sur le lit. Je remonte et m'installe à côté d'elle, je me mets sur le côté, mon sexe plein de sa salive et de sperme séchés sur sa cuisse, près de son vagin. Je la caresse. D'abord sa belle tête, son cuir chevelu, son front, ses joues, puis son cou, son torse et ses seins, puis son ventre et enfin ses cuisses, en débordant un peu (beaucoup...) sur sa toison pubienne ... Homme oblige ... Voyant le sperme qui commence à sortir, je mets ma main pour boucher son vagin. Elle me remercie avec un petit sourire.
Après quelques minutes elle engage la conversation :
" - Tu as aimé que je te pisse dessus ?
- Oui ... beaucoup, en plus comme je ne m'y attendais pas, j'ai vraiment adoré, ton urine qui coule sur moi ... En plus, elle ne sent pas fort, contrairement à la mienne ...
- On pourrai faire ça plus souvent ? lui suggère-je, tout en continuant :
- Et toi ?
- Au début j'étais mitigée, mais curieuse. Autant la sensation est agréable, on dirait une douche, autant l'odeur était ... un peu ... forte. J'avais des aprioris, je trouve ça toujours un peu ... dégueu ... mais l'acte est terriblement excitant de voir ton urine sortir de ton pénis et me mouiller le corps ... Ça m'a vraiment ...
Elle ne finit pas sa phrase et continue :
- Quand ton jet a atteint mes seins, ça m'a fait un terrible effet, j'ai eu une chaleur dévorante, j'ai eu terriblement envie de toi, sur le coup. Les éclaboussures sur le visage, ça m'a un peu refroidie, mais en vrai ça va !
Du coup, peut-être que l'on le refera une ... ou deux fois ... dans la douche, bien entendu !
- Tu n'étais pas obligée de te retenir ..." lui dis-je d'un ton amusé.
Cinq minutes passent, on reste l'un contre l'autre sans bouger. Je lui pose cette question :
" - Tu ... es ... enceinte ?
- Mais ça ne fait qu'une semaine ! Je ne sais pas ! On verra ! dit-elle d'un ton, condescendant.
C'est bien pour ça que tu m’as encore ... fécondée..."
Suite au chapitre 10.
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