Partie 1 : Ouverture d'un nouvel horizon : Chapitre 1 :

Récit érotique écrit par Dark_Sev [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Partie 1 : Ouverture d'un nouvel horizon : Chapitre 1 :
Ma belle-sœur est à la maison pour m'aider, ma femme et moi, à finir d'aménager le jardin. Après une après-midi bien remplie, nous nous arrêtons de travailler vers 16h. Nous jardinons en plein soleil, nous sommes trempé-e-s de sueur, enfin surtout moi, Laetitia, elle, étant vaguement humide sur le front. J'avoue que je ne sais pas comment elle fait, travail physique en soleil par 30°, bref, elle a toujours la classe.
Je suis très attiré par Laetitia depuis plusieurs années. Au début, mon attirance (petite) était purement physique mais avec le temps elle s'est transformée en un attachement, qui est devenu un amour secret, qui, un peu, me consume.
Je précise qu'avec ma femme, Amanda, il n'y a aucun problème de quelque ordre que ce soit dans notre union. Notre couple n'est pas usé, je n'ai aucun besoin de complément, ni de remplacement. Nous sommes parfaitement en phase l'un et l'autre, émotionnellement comme sexuellement, après pratiquement quinze ans de vie commune.
Ma belle-sœur, Laetitia, est une personne attachante et charmante, même si, de prime abord elle ne le paraît pas et que son armure est TRÈS difficile à percer. Elle nous a toujours aidée ma femme et moi dans les moments difficiles, sans rien attendre en retour. Elle est célibataire et n'a eu que des mauvaises expériences avec la gent masculine. Sa vie professionnelle n'est pas simple, tout comme sa vie personnelle. Je ne suis pas insensible à sa force de caractère et à sa détermination. Après, ce qui m'a fait passer d'une attirance à une forme d'amour, ça, je ne l'explique pas.
Nous rentrons à la maison, nous nous désaltérerons et échangeons sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire, cette conversation dure quelques minutes. Elle termine notre échange en me disant qu'elle se sent sale et qu'elle va se doucher.
Je profite de ce moment pour lui demander quelque chose de totalement dingue, je balbutie difficilement, entrecoupés de silences et d'hésitation :
" - Laetitia ...
- Oui ?
- Je peux te regarder ... prendre ... ta ... douche ? dis-je difficilement. Ma tête se met à tourner alors que mon cœur s'emballe. J'ajoute après quelques secondes :
- Je voudrais ... te voir ... nue.
Elle se fige, son regard est perçant, elle est à l'affût, comme une biche face à un bruit suspect dans la forêt, elle doit se demander si je suis sérieux.
J'ajoute ce que j'ai dit plus haut, que je la trouve très belle, ce qu'elle est, même si elle manque terriblement de confiance en elle, que mon attirance n'est pas uniquement d'ordre sexuel, que ce que j'éprouve pour elle remonte à plusieurs années et qu'elle n'est ni un complément ni un remplacement de sa sœur, et que, tout simplement, je tiens énormément à elle.
Je précise, au contraire, que je ne pourrais pas lui apporter ce qu'elle est en droit d'attendre d'une fréquentation ou d'un amant. Je termine en lui précisant que je ne m'exhiberai pas devant elle, ni ne me "satisferais", ni la toucherai, sans son consentement...
Elle prend plusieurs secondes de réflexion qui me paraissent des heures... Elle me répond un simple "oui" en se tournant, sans plus me questionner, pour aller à la salle de bain, à l'étage.
Je la suis, sonné, par sa réponse (que je pensais négative) et sa réaction mais aussi surtout par moi, par ce que j'ai osé lui demander... Mon sexe est déjà bien réveillé lorsque je la suis dans l'escalier.
Elle m’attend devant la porte, regardant dans ma direction :
"- Tu peux m'attendre ? Il faut que j'aille faire pipi."
Je lui réponds par l'affirmative. Mon pénis, dans mon caleçon grossit encore et devient ... à l'étroit. Mon érection fait une grosse bosse sur mon short que Laetitia remarque sans peine lorsqu'elle me balaie du regard, en fermant la porte. Je rougis ...
Étant un peu urophile, je m'approche de la porte et je l'écoute faire. J'entends le liquide faire le bruit caractéristique dans l'eau des toilettes et je visualise, dans ma tête, l'urine chaude sortir de sa belle vulve délicate, dont j'imagine la pilosité entretenue mais pas totalement rasée. Autant dire que ma verge grossit encore, devient très serrée et elle commence à me faire mal tant elle est comprimée...
Ma belle-sœur me tire de mes pensées en ouvrant la porte et me dit que je peux venir. J'entre dans la pièce et je vais au fond vers les toilettes, je sens dans l'air, la légère odeur de son urine. Elle ferme (à clé !) derrière moi et se tourne dans ma direction. Son regard bleu-vert intense me transperce, si bien que je me sens de trop.
"- Si tu es mal à l'aise, je pars et on oublie s'il te plaît ..." lui dis-je, honteux. Elle me répond fermement par la négative en soutenant mon regard.
Laissez moi vous d'écrire, physiquement, Laetitia :
1,70 mètres, maigre (50kg), beau visage, cheveux châtain clair tirant vers le blond, yeux bleus-verts foncés, petite bouche avec des lèvres fines, petites oreilles (trop mignonnes), petite poitrine (bonnet A) et de belles fesses (plutôt plate), très en phase avec son corps svelte.
Je ferme le capot des toilettes, je m'assoie dessus et j'attends. Sans temps mort et sans rien dire, le strip-tease commence. Elle baisse son short bleu foncé qui glisse le long de ses fines jambes longilignes, découvrant une culotte rose très pâle moulant les formes de son sexe et qui s'assombrit sur le pubis. Ensuite, elle enlève son débardeur bleu clair, laissant un classique soutien-gorge noir sans protection visuelle. Elle ôte ensuite ses chaussettes blanches. De ses petits pieds, mon regard remonte vers le haut. Ses longues jambes longilignes sont vraiment belles. Ma belle-sœur est en sous-vêtements, les formes de son bassin, de ses hanches, de son corps tout simplement, me laissent rêveur. Elle ne m'offre pas beaucoup de temps pour admirer et profiter d'une telle œuvre d'art, que déjà, elle passe doucement ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, qui descend lentement mais irrémédiablement vers le sol. Ses petits seins sont à l'air libre, ils sont vraiment beaux, leur galbe est parfait et mon sexe durcit d'un coup à leur vue tandis que mon cœur s'emballe. Elle se déshabille avec une grâce infinie, avec des gestes lents et précis, elle est très sensuelle. Ma belle-sœur laisse ses bras prendre le long du corps, le sous-vêtement à ses pieds, comme pour que je profite (un peu) du spectacle, de ses seins ... Je mémorise son corps. La vision de sa belle poitrine est un régal pour mes yeux ... et mon pénis. Des années que je l'imaginais ...
Laetitia n'a plus qu'une culotte sur elle avant la nudité totale. Mon regard s'arrête sur ses seins terriblement érotiques ... ses aréoles, ses mamelons, l'arrondi ... pour tout dire, mon sexe bat au rythme de mon cœur qui resonne jusqu'au bout de chaqu'un de mes cinq membres ... Je suis tellement à l'étroit dans mon caleçon, qu'avec les battements de mon cœur et les frottements, j'ai l'impression (trop réel) que je vais l'inonder.
Vient le moment fatidique où ses mains, qui sont le long de ses cuisses, remonte lentement sur ses hanches, attrapent l'élastique de sa culotte, et la descend lentement... Laetitia me regarde avec une intensité d'une rare "violence", si bien que j'ai l'impression de n'être pas à ma place... Mais en soutenant, difficilement, son regard, tant je me sens petit face à elle, je n'y vois pas de méchanceté ou de supériorité, je n'y vois que de la bienveillance et une once de peur ou de crainte.
La culotte descendant lentement, le haut de sa toison pubienne commence à émerger.
Comment décrire un si beau spectacle ? Je suis aux anges car elle n'épile pas entièrement sa toison pubienne, elle l'entretient. Ses poils blond foncé couvrent avantageusement son mont de Vénus et sa fente vaginale, bien délimitée. Ils sont parfaits, très érotiques, on distingue sans mal son bouton magique.
Une seconde plus tard, la culotte est par terre et ... ma belle-sœur que j'aime et que je fantasme depuis des années est nue devant mes yeux ébahis. Je regarde son visage élégant et j'y vois un léger sourire se dessiner.
C'en est trop pour mes spermatozoïdes qui décident d'eux-mêmes de partir à l'abordage... J'éjacule sans sommation, une petite quantité, dans mon caleçon. Mon corps est pris de spasmes que je tente, maladroitement, de dissimuler à Laetitia... qui a compris ce qui vient de se passer. Je suis rouge écarlate, de honte...
Je jette un regard gêné sur Laetitia, son corps est d'une beauté rare.
Son regard d'un bleu vert profond me toise de toute sa hauteur et de sa nudité. Ses longs cheveux blonds sont détachés et regroupés derrière ses épaules, ils lui arrivent au niveau des omoplates. Son cou est fin, ses petits seins sont parfaitement en accord avec son corps svelte. Les tétons sont peu saillants au milieu d'aréoles marron très clair se confondant peu à peu avec la pigmentation naturelle de sa peau. Son ventre est plat et resserré en taille de guêpe, son nombril est très sexy. Que dire de son bassin ? De son sexe ? Sous sa délicate toison pubienne, se cache une tout aussi délicate vulve. Les grandes lèvres sont légèrement rétractées laissant voire un peu les petites, nettement plus rose. Le tout mis en valeur par un "thigh gap" (pour celles et ceux qui ne savent ce que c'est, c'est l'écart entre les cuisses au niveau du bassin quand il est assez large pour qu'elles ne se touchent pas et cela met le vagin/la vulve en valeur) parfait. Les courbes de son bas ventre et de son sexe sont très érotiques.
Tout le temps où elle s'est déshabillée devant moi, Laetitia m'a regardée droit dans les yeux, sans jamais baisser le regard.
"- Je vais prendre ma douche", dit-elle d'une voie douce.
Elle enjambe le bord de la baignoire, en pivotant et se penchant pour ouvrir l'eau, je la voie de dos... sa chute de rein... ses creux en bas du dos (salières de Vénus) ... ses fesses ... son thigh gap permettant de voir sa vulve sous un autre angle ... Et son anus qui se laisse deviner au fond de la belle vallée de ses fesses ... Bref, tout dans son dos, de sa nuque jusqu'à ses talons est sexy et je sens le désir monter en moi, une nouvelle salve de spermatozoïdes ne demandant qu'à sortir...
Je mets quelques minutes à revenir à moi et à engager la conversation avec Laetitia.
Pendant qu'elle se douche, nous parlons de choses et d'autres, si bien que même en la regardant, elle et ce corps parfait, je commence un peu à me détendre ... Enfin très relativement, car dès qu'elle mousse ses seins, passe la fleur de douche sur ses fesses ou une main sur son vagin, là, toute l'artillerie repart de plus belle...
"- Tu peux me passer la serviette, s'il te plaît ?" me demande-t-elle.
Je l'attrape et lui tends. Elle sort de la baignoire. Au passage et involontairement mon regard s'arrête sur son sexe et ses petites lèvres qui sont devenues proéminentes et d'un rouge profond alors qu’elles étaient roses et plus petites il y a vingt minutes, lorsqu'elle était nue devant moi à la fin de son effeuillage ... Mon sang ne fit qu'un tour, j'ai compris qu'elle était, sans doute, un peu excitée ...
La mienne d'excitation, décuplant mon courage, je retente quelque chose de complètement fou ...
" - Laetitia, je peux ... te ... toucher ?
- Oui ... " me répondit-elle après quelques secondes de réflexion, avec son regard bleu vert intense.
Je m'approche d'elle, le cœur battant la chamade, et à trente centimètres d'elle, elle m'arrête avec la paume de sa main :
" - Prends d'abord une douche, tu es sale et tu sens ... la transpiration !"
Sans un mot, comme sur ordre de ma mère, je me déshabille mais de façon (beaucoup) moins érotique qu'elle ...
A la fin, elle se retrouve devant un homme nu, poilu, puant, toujours en érection et sentant le sperme ... Ma douche se passe sans histoire et nous reprenons nos sujets de conversation de tout à l'heure.
Pendant ma douche et notre conversation, elle m'a regardée ainsi que mon pénis turgescent, je pense. Dix minutes plus tard, je suis propre et mon sexe est toujours dressé vers le ciel. Je descends de la baignoire et me sèche. Je m'approche de Laetitia, de son corps déesse, toujours dévêtu. Elle me regarde avec bienveillance, la bouche légèrement ouverte. Machinalement, je regarde sa belle vulve, toujours rouge, toujours excitée !
Je m'approche et me décale sur ma gauche, pour que mon pénis ne la touche pas. Mon intention, à ce moment-là, n'est pas de lui toucher une zone "sensible", bien que j'en ai très envie, mais de la serrer dans mes bras contre moi, de sentir son odeur et son corps contre moi. Je mets mes mains juste au-dessus de ses fesses sur sa chute de rein et plonge ma figure dans son cou, sous son oreille droite et je l'embrasse, nos toisons pubiennes contre la hanche de l'autre. Je prends une grande inspiration. Son odeur est douce, comme elle et sa peau est une invitation à la sensualité. Malgré ma prudence, l'extrémité de mon sexe lui touche l'avant-bras au-dessus du poignet et avant même que je réalise, Laetitia me touche ! Sa douce main caresse mes testicules et je la regarde, surpris.
Considérant cet acte comme une invitation, je baisse mes mains sur son beau fessier et je commence à le caresser. De son côté, elle prend les choses en main, enfin ma chose... Elle me fait un mouvement de va et vient, plus qu'agréable qui expose mon extrémité en me regardant droit dans les yeux ... Sa main gracile tient mon pénis en dessous du gland, qui lui aussi à viré rouge foncé... Son mouvement de va et viens dure cinq secondes, il est ample et décalotte complètement mon pénis, le retour remet mon prépuce en position initiale. Le désir monte en moi, mais pas trop vite. Je prends aussi "sa" chose en main. Je pose ma main sur sa toison pubienne, juste au-dessus de son clitoris, sans le toucher. La sensation de ma main sur et dans ses poils pubiens est divinement agréable.
À peine ai-je posé ma main dessus, qu'un puissant spasme de plaisir naît au niveau de son bassin, le faisant avancer et, de fait, plaque ma main encore plus fort sur sa zone intime. Il est suivi par un profond râle sortant de sa gorge, projetant sa douce halène sur mon visage. Son spasme lui faisant faire un mouvement rapide sur mon sexe, ce qui me fait monter, une nouvelle fois, le sperme. Je lui réponds, instinctivement, en lui faisant un baiser sur la bouche sans réfléchir, mais sans regret. Elle ouvre les yeux en grand, très surprise, mais me rends mon baiser avec un bout de langue.
Après notre marque réciproque d'affection et ses allers-retours, c'en est trop pour moi et mon sexe, qui une seconde fois, éjacule, une petite quantité. J'ai à peine le temps de prévenir ma maîtresse :
"- Lætitia ... çà ... va ... "
Je sens mon pénis se contracter plusieurs fois dans sa petite main et je ne peux me retenir de faire des mouvements d'avant en arrière avec mon bassin. Que c'est bon ! Le sperme tombe majoritairement sur le sol et mais salit aussi sa main.
"- ... sortir ..."
Elle essuie ma semence visqueuse dans sa culotte laissée par terre. La vue de ma semence à l'endroit où sa vulve a laissé une trace de perte blanche m'excite ... terriblement. Passée les surprises de mon baiser et de mon éjaculation, elle m'embrasse de nouveau mais cette fois sa langue pulpeuse pénètre ma bouche.
Après mon éjaculation, je baisse ma main sur sa vulve, plus particulièrement sur son clitoris, que je masse délicatement en passant entre ses grandes lèvres vaginales. L'effet sur Laetitia est radical, ses beaux yeux bleus verts se ferment, sa bouche s'ouvre, sa respiration s'intensifie, ses mamelons durcissent, de très léger cri de jouissances émanent de sa cage thoracique, sa vulve et son vagin s'humidifient encore un peu plus (sans être une "fontaine"). Elle écarte un peu plus les jambes pour faciliter mes caresses, j'introduis la première phalange de mon majeur droit dans son vagin tout doucement, tout délicatement en passant sur son clitoris, un cri plus fort se fait entendre. Mon doigt pénètre un monde chaud, doux, humide et étroit. La sensation est parfaite. Je continue pendant plusieurs secondes avec le bout de mon doigt dans son vagin.
Elle ouvre un peu les yeux et son regard revolver me fixe. Je sors mon majeur de son sexe et en soutenant son regard je gobe mon doigt jusqu'au fond de ma bouche pour l'humidifier... Et récupérer sa cyprine délicieuse. Son regard s'arrête sur ma bouche, elle a l'air méditative, un peu excitée en se mordant la lèvre inférieure.
Après quelques secondes, je présente mon majeur mouillé devant les lèvres pileuses de Laetitia. Une deuxième phalange entre dans le sexe humide de ma belle-sœur puis ressort, pendant une vingtaine d'aller-retour, le niveau sonore et la fréquence des cris augmente. Finalement, mon doigt entier entre dans la douce intimité mouillée de Laetitia. Au bout de cinq minutes de masturbation avec mon doigt, pris par ses mouvements du bassin, ses (petits) cris dans mes oreilles et mon excitation qui atteint de nouveau un sommet, je lui chuchote à l'oreille :
"- Laetitia, j’ai très envie de te faire un cunnilingus ...
Elle me répond, à mon grand étonnement :
- Euh ... c'est quoi ... un cuni...truc ???
Difficile à expliquer !
- J'ai ... euh ... envie d'embrasser ton sexe, de le lécher ... de lécher ta vulve et ton vagin ... avec ma langue et ma bouche jusqu'à ce que tu aies ... un orgasme ! Lui répondis-je, un peu décontenancé.
- Tu veux lécher mon sexe ? Mais je fais pipi par-là ! Et puis, il y a des trucs qui sortent ... ce n’est pas ... ce n'est pas propre !
Je lui répondis, en pesant chaque mot :
- Je sais que tu pisse par là, ça ne me dérange pas. De plus, ton vagin n'est absolument pas sale, il est parfait ! Je sais pour les pertes blanches et les règles mais je sais ce que je fais et je te redis que si tu acceptes, je te stimule avec ma langue et je te promets un orgasme ... d'enfer ... enfin, tu vois ce que je veux dire ...
Je pense qu'à ce moment-là que mon visage est rouge écarlate tandis que mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine.
Elle me répond, d'une douce voix :
- Pour ne pas casser l'ambiance, je ... n'ai jamais vraiment ... eu ... d'orgasme...
- Avec mes ex, j'ai juste eu une "chaleur en bas" mais aucun ne s'est occupée de moi comme tu l'as fait. De ma vie, c'est la première fois que je ressens cette sensation de plaisir intense. Et tu dis que cela peut-être mieux ? J'ai de la peine à te croire ... me dit-elle d'un ton franc.
- Viens dans la chambre d'ami et je vais te dévorer la chatte, si bien que tu n'auras plus de cyprine en réserve ...
Laetitia me jette avec un regard noir ...
- La cyprine, c'est le liquide qui lubrifie et entretient le vagin "... lui dis-je, d'un ton léger ...
Son regard se relâche et un sourire éclaire son beau visage.
Je suis très attiré par Laetitia depuis plusieurs années. Au début, mon attirance (petite) était purement physique mais avec le temps elle s'est transformée en un attachement, qui est devenu un amour secret, qui, un peu, me consume.
Je précise qu'avec ma femme, Amanda, il n'y a aucun problème de quelque ordre que ce soit dans notre union. Notre couple n'est pas usé, je n'ai aucun besoin de complément, ni de remplacement. Nous sommes parfaitement en phase l'un et l'autre, émotionnellement comme sexuellement, après pratiquement quinze ans de vie commune.
Ma belle-sœur, Laetitia, est une personne attachante et charmante, même si, de prime abord elle ne le paraît pas et que son armure est TRÈS difficile à percer. Elle nous a toujours aidée ma femme et moi dans les moments difficiles, sans rien attendre en retour. Elle est célibataire et n'a eu que des mauvaises expériences avec la gent masculine. Sa vie professionnelle n'est pas simple, tout comme sa vie personnelle. Je ne suis pas insensible à sa force de caractère et à sa détermination. Après, ce qui m'a fait passer d'une attirance à une forme d'amour, ça, je ne l'explique pas.
Nous rentrons à la maison, nous nous désaltérerons et échangeons sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire, cette conversation dure quelques minutes. Elle termine notre échange en me disant qu'elle se sent sale et qu'elle va se doucher.
Je profite de ce moment pour lui demander quelque chose de totalement dingue, je balbutie difficilement, entrecoupés de silences et d'hésitation :
" - Laetitia ...
- Oui ?
- Je peux te regarder ... prendre ... ta ... douche ? dis-je difficilement. Ma tête se met à tourner alors que mon cœur s'emballe. J'ajoute après quelques secondes :
- Je voudrais ... te voir ... nue.
Elle se fige, son regard est perçant, elle est à l'affût, comme une biche face à un bruit suspect dans la forêt, elle doit se demander si je suis sérieux.
J'ajoute ce que j'ai dit plus haut, que je la trouve très belle, ce qu'elle est, même si elle manque terriblement de confiance en elle, que mon attirance n'est pas uniquement d'ordre sexuel, que ce que j'éprouve pour elle remonte à plusieurs années et qu'elle n'est ni un complément ni un remplacement de sa sœur, et que, tout simplement, je tiens énormément à elle.
Je précise, au contraire, que je ne pourrais pas lui apporter ce qu'elle est en droit d'attendre d'une fréquentation ou d'un amant. Je termine en lui précisant que je ne m'exhiberai pas devant elle, ni ne me "satisferais", ni la toucherai, sans son consentement...
Elle prend plusieurs secondes de réflexion qui me paraissent des heures... Elle me répond un simple "oui" en se tournant, sans plus me questionner, pour aller à la salle de bain, à l'étage.
Je la suis, sonné, par sa réponse (que je pensais négative) et sa réaction mais aussi surtout par moi, par ce que j'ai osé lui demander... Mon sexe est déjà bien réveillé lorsque je la suis dans l'escalier.
Elle m’attend devant la porte, regardant dans ma direction :
"- Tu peux m'attendre ? Il faut que j'aille faire pipi."
Je lui réponds par l'affirmative. Mon pénis, dans mon caleçon grossit encore et devient ... à l'étroit. Mon érection fait une grosse bosse sur mon short que Laetitia remarque sans peine lorsqu'elle me balaie du regard, en fermant la porte. Je rougis ...
Étant un peu urophile, je m'approche de la porte et je l'écoute faire. J'entends le liquide faire le bruit caractéristique dans l'eau des toilettes et je visualise, dans ma tête, l'urine chaude sortir de sa belle vulve délicate, dont j'imagine la pilosité entretenue mais pas totalement rasée. Autant dire que ma verge grossit encore, devient très serrée et elle commence à me faire mal tant elle est comprimée...
Ma belle-sœur me tire de mes pensées en ouvrant la porte et me dit que je peux venir. J'entre dans la pièce et je vais au fond vers les toilettes, je sens dans l'air, la légère odeur de son urine. Elle ferme (à clé !) derrière moi et se tourne dans ma direction. Son regard bleu-vert intense me transperce, si bien que je me sens de trop.
"- Si tu es mal à l'aise, je pars et on oublie s'il te plaît ..." lui dis-je, honteux. Elle me répond fermement par la négative en soutenant mon regard.
Laissez moi vous d'écrire, physiquement, Laetitia :
1,70 mètres, maigre (50kg), beau visage, cheveux châtain clair tirant vers le blond, yeux bleus-verts foncés, petite bouche avec des lèvres fines, petites oreilles (trop mignonnes), petite poitrine (bonnet A) et de belles fesses (plutôt plate), très en phase avec son corps svelte.
Je ferme le capot des toilettes, je m'assoie dessus et j'attends. Sans temps mort et sans rien dire, le strip-tease commence. Elle baisse son short bleu foncé qui glisse le long de ses fines jambes longilignes, découvrant une culotte rose très pâle moulant les formes de son sexe et qui s'assombrit sur le pubis. Ensuite, elle enlève son débardeur bleu clair, laissant un classique soutien-gorge noir sans protection visuelle. Elle ôte ensuite ses chaussettes blanches. De ses petits pieds, mon regard remonte vers le haut. Ses longues jambes longilignes sont vraiment belles. Ma belle-sœur est en sous-vêtements, les formes de son bassin, de ses hanches, de son corps tout simplement, me laissent rêveur. Elle ne m'offre pas beaucoup de temps pour admirer et profiter d'une telle œuvre d'art, que déjà, elle passe doucement ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, qui descend lentement mais irrémédiablement vers le sol. Ses petits seins sont à l'air libre, ils sont vraiment beaux, leur galbe est parfait et mon sexe durcit d'un coup à leur vue tandis que mon cœur s'emballe. Elle se déshabille avec une grâce infinie, avec des gestes lents et précis, elle est très sensuelle. Ma belle-sœur laisse ses bras prendre le long du corps, le sous-vêtement à ses pieds, comme pour que je profite (un peu) du spectacle, de ses seins ... Je mémorise son corps. La vision de sa belle poitrine est un régal pour mes yeux ... et mon pénis. Des années que je l'imaginais ...
Laetitia n'a plus qu'une culotte sur elle avant la nudité totale. Mon regard s'arrête sur ses seins terriblement érotiques ... ses aréoles, ses mamelons, l'arrondi ... pour tout dire, mon sexe bat au rythme de mon cœur qui resonne jusqu'au bout de chaqu'un de mes cinq membres ... Je suis tellement à l'étroit dans mon caleçon, qu'avec les battements de mon cœur et les frottements, j'ai l'impression (trop réel) que je vais l'inonder.
Vient le moment fatidique où ses mains, qui sont le long de ses cuisses, remonte lentement sur ses hanches, attrapent l'élastique de sa culotte, et la descend lentement... Laetitia me regarde avec une intensité d'une rare "violence", si bien que j'ai l'impression de n'être pas à ma place... Mais en soutenant, difficilement, son regard, tant je me sens petit face à elle, je n'y vois pas de méchanceté ou de supériorité, je n'y vois que de la bienveillance et une once de peur ou de crainte.
La culotte descendant lentement, le haut de sa toison pubienne commence à émerger.
Comment décrire un si beau spectacle ? Je suis aux anges car elle n'épile pas entièrement sa toison pubienne, elle l'entretient. Ses poils blond foncé couvrent avantageusement son mont de Vénus et sa fente vaginale, bien délimitée. Ils sont parfaits, très érotiques, on distingue sans mal son bouton magique.
Une seconde plus tard, la culotte est par terre et ... ma belle-sœur que j'aime et que je fantasme depuis des années est nue devant mes yeux ébahis. Je regarde son visage élégant et j'y vois un léger sourire se dessiner.
C'en est trop pour mes spermatozoïdes qui décident d'eux-mêmes de partir à l'abordage... J'éjacule sans sommation, une petite quantité, dans mon caleçon. Mon corps est pris de spasmes que je tente, maladroitement, de dissimuler à Laetitia... qui a compris ce qui vient de se passer. Je suis rouge écarlate, de honte...
Je jette un regard gêné sur Laetitia, son corps est d'une beauté rare.
Son regard d'un bleu vert profond me toise de toute sa hauteur et de sa nudité. Ses longs cheveux blonds sont détachés et regroupés derrière ses épaules, ils lui arrivent au niveau des omoplates. Son cou est fin, ses petits seins sont parfaitement en accord avec son corps svelte. Les tétons sont peu saillants au milieu d'aréoles marron très clair se confondant peu à peu avec la pigmentation naturelle de sa peau. Son ventre est plat et resserré en taille de guêpe, son nombril est très sexy. Que dire de son bassin ? De son sexe ? Sous sa délicate toison pubienne, se cache une tout aussi délicate vulve. Les grandes lèvres sont légèrement rétractées laissant voire un peu les petites, nettement plus rose. Le tout mis en valeur par un "thigh gap" (pour celles et ceux qui ne savent ce que c'est, c'est l'écart entre les cuisses au niveau du bassin quand il est assez large pour qu'elles ne se touchent pas et cela met le vagin/la vulve en valeur) parfait. Les courbes de son bas ventre et de son sexe sont très érotiques.
Tout le temps où elle s'est déshabillée devant moi, Laetitia m'a regardée droit dans les yeux, sans jamais baisser le regard.
"- Je vais prendre ma douche", dit-elle d'une voie douce.
Elle enjambe le bord de la baignoire, en pivotant et se penchant pour ouvrir l'eau, je la voie de dos... sa chute de rein... ses creux en bas du dos (salières de Vénus) ... ses fesses ... son thigh gap permettant de voir sa vulve sous un autre angle ... Et son anus qui se laisse deviner au fond de la belle vallée de ses fesses ... Bref, tout dans son dos, de sa nuque jusqu'à ses talons est sexy et je sens le désir monter en moi, une nouvelle salve de spermatozoïdes ne demandant qu'à sortir...
Je mets quelques minutes à revenir à moi et à engager la conversation avec Laetitia.
Pendant qu'elle se douche, nous parlons de choses et d'autres, si bien que même en la regardant, elle et ce corps parfait, je commence un peu à me détendre ... Enfin très relativement, car dès qu'elle mousse ses seins, passe la fleur de douche sur ses fesses ou une main sur son vagin, là, toute l'artillerie repart de plus belle...
"- Tu peux me passer la serviette, s'il te plaît ?" me demande-t-elle.
Je l'attrape et lui tends. Elle sort de la baignoire. Au passage et involontairement mon regard s'arrête sur son sexe et ses petites lèvres qui sont devenues proéminentes et d'un rouge profond alors qu’elles étaient roses et plus petites il y a vingt minutes, lorsqu'elle était nue devant moi à la fin de son effeuillage ... Mon sang ne fit qu'un tour, j'ai compris qu'elle était, sans doute, un peu excitée ...
La mienne d'excitation, décuplant mon courage, je retente quelque chose de complètement fou ...
" - Laetitia, je peux ... te ... toucher ?
- Oui ... " me répondit-elle après quelques secondes de réflexion, avec son regard bleu vert intense.
Je m'approche d'elle, le cœur battant la chamade, et à trente centimètres d'elle, elle m'arrête avec la paume de sa main :
" - Prends d'abord une douche, tu es sale et tu sens ... la transpiration !"
Sans un mot, comme sur ordre de ma mère, je me déshabille mais de façon (beaucoup) moins érotique qu'elle ...
A la fin, elle se retrouve devant un homme nu, poilu, puant, toujours en érection et sentant le sperme ... Ma douche se passe sans histoire et nous reprenons nos sujets de conversation de tout à l'heure.
Pendant ma douche et notre conversation, elle m'a regardée ainsi que mon pénis turgescent, je pense. Dix minutes plus tard, je suis propre et mon sexe est toujours dressé vers le ciel. Je descends de la baignoire et me sèche. Je m'approche de Laetitia, de son corps déesse, toujours dévêtu. Elle me regarde avec bienveillance, la bouche légèrement ouverte. Machinalement, je regarde sa belle vulve, toujours rouge, toujours excitée !
Je m'approche et me décale sur ma gauche, pour que mon pénis ne la touche pas. Mon intention, à ce moment-là, n'est pas de lui toucher une zone "sensible", bien que j'en ai très envie, mais de la serrer dans mes bras contre moi, de sentir son odeur et son corps contre moi. Je mets mes mains juste au-dessus de ses fesses sur sa chute de rein et plonge ma figure dans son cou, sous son oreille droite et je l'embrasse, nos toisons pubiennes contre la hanche de l'autre. Je prends une grande inspiration. Son odeur est douce, comme elle et sa peau est une invitation à la sensualité. Malgré ma prudence, l'extrémité de mon sexe lui touche l'avant-bras au-dessus du poignet et avant même que je réalise, Laetitia me touche ! Sa douce main caresse mes testicules et je la regarde, surpris.
Considérant cet acte comme une invitation, je baisse mes mains sur son beau fessier et je commence à le caresser. De son côté, elle prend les choses en main, enfin ma chose... Elle me fait un mouvement de va et vient, plus qu'agréable qui expose mon extrémité en me regardant droit dans les yeux ... Sa main gracile tient mon pénis en dessous du gland, qui lui aussi à viré rouge foncé... Son mouvement de va et viens dure cinq secondes, il est ample et décalotte complètement mon pénis, le retour remet mon prépuce en position initiale. Le désir monte en moi, mais pas trop vite. Je prends aussi "sa" chose en main. Je pose ma main sur sa toison pubienne, juste au-dessus de son clitoris, sans le toucher. La sensation de ma main sur et dans ses poils pubiens est divinement agréable.
À peine ai-je posé ma main dessus, qu'un puissant spasme de plaisir naît au niveau de son bassin, le faisant avancer et, de fait, plaque ma main encore plus fort sur sa zone intime. Il est suivi par un profond râle sortant de sa gorge, projetant sa douce halène sur mon visage. Son spasme lui faisant faire un mouvement rapide sur mon sexe, ce qui me fait monter, une nouvelle fois, le sperme. Je lui réponds, instinctivement, en lui faisant un baiser sur la bouche sans réfléchir, mais sans regret. Elle ouvre les yeux en grand, très surprise, mais me rends mon baiser avec un bout de langue.
Après notre marque réciproque d'affection et ses allers-retours, c'en est trop pour moi et mon sexe, qui une seconde fois, éjacule, une petite quantité. J'ai à peine le temps de prévenir ma maîtresse :
"- Lætitia ... çà ... va ... "
Je sens mon pénis se contracter plusieurs fois dans sa petite main et je ne peux me retenir de faire des mouvements d'avant en arrière avec mon bassin. Que c'est bon ! Le sperme tombe majoritairement sur le sol et mais salit aussi sa main.
"- ... sortir ..."
Elle essuie ma semence visqueuse dans sa culotte laissée par terre. La vue de ma semence à l'endroit où sa vulve a laissé une trace de perte blanche m'excite ... terriblement. Passée les surprises de mon baiser et de mon éjaculation, elle m'embrasse de nouveau mais cette fois sa langue pulpeuse pénètre ma bouche.
Après mon éjaculation, je baisse ma main sur sa vulve, plus particulièrement sur son clitoris, que je masse délicatement en passant entre ses grandes lèvres vaginales. L'effet sur Laetitia est radical, ses beaux yeux bleus verts se ferment, sa bouche s'ouvre, sa respiration s'intensifie, ses mamelons durcissent, de très léger cri de jouissances émanent de sa cage thoracique, sa vulve et son vagin s'humidifient encore un peu plus (sans être une "fontaine"). Elle écarte un peu plus les jambes pour faciliter mes caresses, j'introduis la première phalange de mon majeur droit dans son vagin tout doucement, tout délicatement en passant sur son clitoris, un cri plus fort se fait entendre. Mon doigt pénètre un monde chaud, doux, humide et étroit. La sensation est parfaite. Je continue pendant plusieurs secondes avec le bout de mon doigt dans son vagin.
Elle ouvre un peu les yeux et son regard revolver me fixe. Je sors mon majeur de son sexe et en soutenant son regard je gobe mon doigt jusqu'au fond de ma bouche pour l'humidifier... Et récupérer sa cyprine délicieuse. Son regard s'arrête sur ma bouche, elle a l'air méditative, un peu excitée en se mordant la lèvre inférieure.
Après quelques secondes, je présente mon majeur mouillé devant les lèvres pileuses de Laetitia. Une deuxième phalange entre dans le sexe humide de ma belle-sœur puis ressort, pendant une vingtaine d'aller-retour, le niveau sonore et la fréquence des cris augmente. Finalement, mon doigt entier entre dans la douce intimité mouillée de Laetitia. Au bout de cinq minutes de masturbation avec mon doigt, pris par ses mouvements du bassin, ses (petits) cris dans mes oreilles et mon excitation qui atteint de nouveau un sommet, je lui chuchote à l'oreille :
"- Laetitia, j’ai très envie de te faire un cunnilingus ...
Elle me répond, à mon grand étonnement :
- Euh ... c'est quoi ... un cuni...truc ???
Difficile à expliquer !
- J'ai ... euh ... envie d'embrasser ton sexe, de le lécher ... de lécher ta vulve et ton vagin ... avec ma langue et ma bouche jusqu'à ce que tu aies ... un orgasme ! Lui répondis-je, un peu décontenancé.
- Tu veux lécher mon sexe ? Mais je fais pipi par-là ! Et puis, il y a des trucs qui sortent ... ce n’est pas ... ce n'est pas propre !
Je lui répondis, en pesant chaque mot :
- Je sais que tu pisse par là, ça ne me dérange pas. De plus, ton vagin n'est absolument pas sale, il est parfait ! Je sais pour les pertes blanches et les règles mais je sais ce que je fais et je te redis que si tu acceptes, je te stimule avec ma langue et je te promets un orgasme ... d'enfer ... enfin, tu vois ce que je veux dire ...
Je pense qu'à ce moment-là que mon visage est rouge écarlate tandis que mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine.
Elle me répond, d'une douce voix :
- Pour ne pas casser l'ambiance, je ... n'ai jamais vraiment ... eu ... d'orgasme...
- Avec mes ex, j'ai juste eu une "chaleur en bas" mais aucun ne s'est occupée de moi comme tu l'as fait. De ma vie, c'est la première fois que je ressens cette sensation de plaisir intense. Et tu dis que cela peut-être mieux ? J'ai de la peine à te croire ... me dit-elle d'un ton franc.
- Viens dans la chambre d'ami et je vais te dévorer la chatte, si bien que tu n'auras plus de cyprine en réserve ...
Laetitia me jette avec un regard noir ...
- La cyprine, c'est le liquide qui lubrifie et entretient le vagin "... lui dis-je, d'un ton léger ...
Son regard se relâche et un sourire éclaire son beau visage.
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