Laetitia - chapitre 8 : Oral de passage - histoire érotique

Avertissement : Il s’agit d’une histoire quasi intégralement imaginée, seuls les protagonistes sont inspirés de personnes réels.
Suite des chapitres 7 : Explication & Détentes.


Nous revoilà dans la chambre de nos premiers ébats, après notre douche mutuelle. Je regarde le vagin de ma belle-sœur, il est rouge et humide. Elle est toujours excitée. Moi, mon pénis est toujours dressé depuis que nous sommes montés à l'étage ...
Elle s'installe sur le lit sur le dos, avec son air coquin.
" - Tu viens ? dit-elle en écartant les jambes pour me montrer et ouvrir son coquillage, avec un sourire coquin.
Son sexe s'ouvre gracieusement, les lèvres s'éloignent les unes des autres, dévoilant l'entrée de son intimité. Son clitoris est le point central de cette œuvre d'art, qui trône au-dessus de l'ouverture vaginale.
- Euh ... j'ai une idée ...
- Je ... euh ... t'écoute ? dit-elle, perplexe, en resserrant les jambes, comme si elle s'attendait à une mauvaise nouvelle de ma part ...
- J'ai envie de te lécher ... mais pas comme on l'a fait la dernière fois. lui dis-je d'un air lubrique.
- Je t'écoute avec attention ... Elle ouvre de nouveau ses belles cuisses, rassurée et sa chatte s'ouvre de nouveau ...
- Si tu es curieuse, tu te mets en face-sitting ...
- Un face... quoi ??? me dit-elle, dubitative.
- Je m'allonge sur le lit et tu viens mettre ton vagin sur ma bouche en t'asseyant sur ma tête.
- Euh ... ???
Elle n'a pas l'air de comprendre, la position n'a pas l'air de lui parler.
Je précise :
- Je m'allonge sur le lit et tu t’assoies sur mon visage. Tu mets tes jambes à droite et à gauche de ma tête en les repliant et tes fesses seront sur mon torse, tu pourras me regarder dans les yeux et voir ce que je te fais ...
Elle réfléchit quelques secondes en visualisant la position et les effets potentiels sur elle.
- Ça m'a l'air ... intéressant ... ALLONS-Y ! " dit-elle d’un air enjoué.
Je m'exécute et Laetitia monte sur le lit, elle remonte du pied du lit vers la tête, elle debout, moi allongé. Comme la semaine dernière, son regard de braise me domine, à une nuance près, l'once d'inquiétude a disparu et des étoiles sont apparues. La regarder sous cet angle est nouveau, ce qui ne change pas, c'est sa beauté !
Elle plie doucement les jambes, avec une grâce absolue bien qu'elle réajuste son bassin régulièrement pour que mon but, sa vulve et son buisson pubien, s'approchent de ma bouche. Elle est vraiment magnifique et son triangle pubien est parfait. Ses deux paires de lèvres sont prêtes, elles sont rouge foncé et humides, les grandes lèvres sont rétractées, les petites sont dehors et recouvrement les grandes en allant vers l'extérieur à droite et à gauche, elles sont prêtres à guider mon pénis ... ou ma langue. Son clitoris est sorti de son capuchon, lui aussi est prêt à faire son rôle, à la faire jouir. Quelques secondes après, sa vulve est à un centimètre de ma bouche, son odeur vaginale parfumant délicatement l'air que j'inspire. Laetitia me regarde en attendant mon retour, je lui indique que c'est bon, avec un mouvement de tête. Elle relâche les muscles de ses puissantes cuisses et son sexe et ses lèvres se posent en douceur sur mes lèvres.

Elle me regarde avec impatience de ce qui vas suivre, je la regarde avec impatience de ce que je vais lui faire...
La voire d'en dessous change mes habitudes mais c'est une belle vision. De bas en haut je vois son triangle pubien en partie, derrière mon nez, sa fente vaginale et son bouton magique sont invisibles car dans ma bouche à se faire stimuler par ma langue. Plus haut, son ventre plat et sexy, à cette distance je vois le duvet blond qui le recouvre. Que c'est beau ! Sa peau est lisse et douce. Son nombril est érotique, il est comme un petit puit dont on voit le fond. Encore plus haut, sa cage thoracique est belle, avec ses côtes, saillantes. Au milieu trône ses petits seins excitants, vu de dessous, ils ont l'air différents, ce qui ne change pas, c'est leur beauté. Son cou fin porte cette tête magnifique avec ses cheveux attachés en queue de cheval. Ses mouvements de tête sont soulignés par les mouvements de ses cheveux, c'est extrêmement sensuel et érotique. Comme elle penche la tête vers l'avant pour me regarder faire, sa queue tombe du côté droit et se balade sur son épaule. Avec mes mains, qui sont libres, je touche et caresse ses hanches, son nombril, son ventre doux, ses côtes, ses seins et jusqu'à son cou.

Je lèche ce que j'ai dans la bouche. Ma langue commence son chemin par les espaces entre grandes et petites lèvres, ensuite je la rentre dans son vagin pendant plusieurs allers-retours puis je câline son clitoris. Je vois dans ses yeux le plaisir monter, ils se ferment progressivement et sa bouche s'entrouvre. Dans ma position, je respire l'air qui passe le long ou dans sa toison pubienne, l'odeur n'en est que plus agréable.
Plus tard, elle s'incline un peu en avant et pose ses mains sur chacune de mes épaules et commence des petits mouvements d'avant en arrière avec son bassin, dû à son plaisir qui l'envahit, son regard est centré sur mes yeux. Son vagin se remplit de cyprine et, par gravité et délectation, je déguste cette douce boisson produite par cette déesse. Quand son bassin s'éloigne de ma bouche, j'en profite pour passer ma langue, avec insistance, sur son bouton magique, ce qui lui fait émettre un cri dont le niveau sonore ne fait qu'augmenter avec le temps. Lorsque son sexe se rapproche, je l'enlève au rythme où son pubis arrive, ce qui appuie fort sur son clitoris. Ses petits cris se transforment en cris graves caractéristiques de Laetitia. Ils m'étonneront toujours, quand on sait que la personne qui les émets est une frêle belle femme de cinquante kilos à peine. Petit à petit, elle se redresse, ses mains quittes mes épaules mais elle continue de faire ses mouvements de va-et-vient. La pression que son corps exerce sur son vagin augmente. Pris entre le marteau et l'enclume, son clitoris est encore plus stimulé et ses cris évoluent en conséquence. Après quelques minutes, elle bascule légèrement vers l'arrière et j'en profite pour rentrer ma langue le plus profondément possible dans son vagin, ses mouvements de bassin s'accélèrent. Mes mains s'occupent de ses seins, je les caresse, je les pince en les mettant entre la base de mes doigts. Je lui caresse aussi les côtes, le dos et ses belles hanches.

Plus tard, une main de Laetitia se pose sur ma cuisse et l'autre touche mon bas ventre, à la recherche de quelque chose, mon pénis, on dirait ! Elle le trouve, l'attrape et me masturbe étonnamment lentement et profondément compte tenu de sa position et de ses propres mouvements. Sa masturbation provoque chez moi des contractions du ventre de plaisir. Après cinq minutes, le sperme monte dangereusement. N'ayant pas envie d'éjaculer sur ses fesses et sur le bas de son dos, je sors ma langue de son intimité, je recule la tête pour dégager mes lèvres de ses lèvres vaginales et je lui dis :
" - On peut faire un 69, si ça te dit, Laetitia ...
Elle répond, promptement :
- D'accord. Je suis ... tellement excitée ... que j'ai vraiment envie ... de te sucer la bite ... jusqu'au bout. " me dit-elle coupé par ses inspirations.
Dans l'excitation, ma belle-sœur dit des mots que je ne l'entends jamais prononcer d'habitude. En tout cas, pas la peine de lui expliquer, elle sait ce que c'est, manifestement ! Je ne vais donc pas lui éjaculer sur les fesses mais dans la bouche ...

Lentement, Laetitia se redresse, se lève, son sexe s'éloigne de ma bouche et son gracile postérieur passe au-dessus de ma tête. Elle se tourne, enjambe ma tête, son vagin humide et ses fesses grand ouvert passe au-dessus de mon visage. Avec cette belle vision, mon cœur s'emballe et mon pénis gonfle encore plus. Elle met son genou droit à droite de ma tête, fini de monter sur le lit en mettant son genou gauche en position et se baisse petit à petit. Avant qu'elle n'ait finie de s'installer, je lève la tête pour lui lécher, pendant une vingtaine de secondes, l'anus. Elle se fige mais se laisse faire, elle profite. Son ouverture est rugueuse et mes passages de langue la font se contacter ainsi que son vagin, plus bas. Ma belle-sœur finie de se mettre en position, elle se met sur les coudes, dégage sa main droite attrape la base de mon pénis et gobe goulûment le reste, j'adore la sensation de cette cavité humide autour de moi.
Tout en me suçant mon extrémité, elle finit de faire glisser ses genoux jusqu'à ce que son corps se pose sur le mien, ses beaux seins étant sur mon ventre, ses poils pubiens, sur mon menton. Elle s'est mise en position parfaitement et sans faux pas, je suis (très) étonné !

Je dois un peu lever ma tête pour lécher ses parties génitales. Je commence doucement par caresser ses lèvres et l'entrée de son vagin avec le bout de mon nez puis je le rentre dans son vagin et continu mes mouvements. L'air que je respire passe dans son vagin, l'odeur est exquise et mon excitation montre encore d'un cran, je ne savais pas que c'était possible. Si je pouvais respirer cet air toute ma vie... Je tire le bout de ma langue pour lécher le haut de sa vulve (qui est en bas, dans la position dans laquelle nous sommes) et son clitoris en complément de mes caresses avec le nez, qui se couvre de sa cyprine délicieuse. Pour un long moment, mon atmosphère se parfume délicatement de l'odeur exquise de son sexe. Je fais ça un petit moment. En tirant la langue vers le bas je stimule son clitoris et en la tirant tout droit, je la rentre dans son vagin. Je me remets au travail avec ardeur et je profite pour mettre ma main gauche sur sa fesse gauche et l'autre dans ses fesses à caresser son sillon anal et son anus. Cela n’a pas l'air de lui déplaire, son anus se détendant (sans y rentrer quoi que ce soit). De son côté, depuis qu'elle a pris mon sexe en bouche, elle le suce, le lèche, le stimule passionnément dans tous les sens et avec une douceur exquise. Elle sait ce qu'elle fait, ses fellations sont parfaites. Dix centimètres sont dans sa bouche, les cinq les plus proche de mon bassin ne sont pas oubliés pour autant, elle les tient toujours dans sa main droite et me masturbe. Les bruit de salive et de gorge sont vraiment érotique. Mon pénis est dur comme la pierre, enfin c'est l'impression que j'ai.
Elle refait son mouvement parfait d'avant en arrière et avec une rotation au niveau de la nuque. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je me concentre sur elle pour lui donner le maximum de plaisir et pour retarder l'inexorable pour moi. Je suis à l'écoute de son corps, de ses mouvements, de ses inspirations que je sens sur la base de mon sexe et sur mes testicules. Régulièrement, mon pénis est guidé par l'arrière de ses incisives, il bute et glisse sur son palais et elle balade sa langue autour de mon gland.
Malgré ma concentration, mon éjaculation est en approche finale, mes petits soldats sont en attente d'inonder sa bouche délicate. Je suis étonné qu'elle n'ait pas encore eu d'orgasme. Elle aussi a dû se concentrer sur moi. Je la préviens en reculant un peu ma tête :
" - Laetitia, ça va sortir ... Éloigne toi !" lui dis-je d'un ton monocorde en reprenant mon cunni.
En guise de réponse, elle fait un signe de tête avec mon sexe dans la bouche et je la sens faire des mouvements plus amples et sa langue balais rapidement l'extrémité de mon pénis là où ça va sortir mais ... je sens aussi son clitoris qui est en train de durcir et de se rétracter ... Elle va jouir et l'effet sur moi est radical.
J'éjacule une seconde fois dans la bouche de la personne que j'aime le plus au monde après ma femme. Pendant mon éjaculation, elle continue de passer rapidement le bout de sa langue à l'endroit où sort ma semence, ma jouissance est totale. Un flot interminable de sperme et de contractions inonde la bouche de Laetitia.

Une fraction de seconde après ma première salve, le corps de Laetitia se contacte à son tour, des gémissements intenses de plaisir, étouffés par mon sexe entre ses lèvres et dans sa bouche, sont émis par ce beau corps qui subit un orgasme intense. Ses jambes durcissent et s'allongent, son ventre se contacte tous azimuts, tout comme son bassin, c'est difficile de suivre sa fente sexuelle dans ces conditions. Pour finir, bien que je ne stimule pas spécifiquement son point G, j'ai le droit à ma petite gourmandise vaginale qui me mouille le visage, plus qu'il ne l'était déjà.
Après trente secondes, je relâche les fesses de ma maîtresse et laisse son anus tranquille. De son côté, elle pose la tête sur mes jambes, elle garde mon sexe en bouche et retrouve petit à petit son souffle. Laetitia a avalé ma semence, mon ventre étant sec.

Nous restons dans cette position agréable dix, vingt minutes. J'aime sentir son corps sur moi, ses seins sur mon ventre, sa vulve au-dessus de ma tête et ma verge dans sa bouche.
La respiration de Laetitia s'est assagie et son cœur, que je sens battre par ma poitrine, a mis plus de temps à se calmer. Régulièrement, de la cyprine tombe, goutte par goutte, de son vagin et je la récupère par un petit coup de langue. Quel délice !

Ma belle-sœur s'est endormie, je pense, sa tête est toujours posée sur mes cuisses, ses jambes se sont relâchées, sa respiration est calme. Mon sexe passe en mode repos et par la même occasion, il sort petit à petit de sa bouche. Je sens sa respiration lente et régulière sur mon gland toujours décalotté qui doit être à un centimètre de sa bouche, sous son nez. Je la laisse se reposer, je suis dans une position parfaite, j'ai une belle femme nue sur moi, son vagin au-dessus de ma tête, le rêve. Comme la semaine dernière, je la regarde dormir, de mon nouveau point de vue. Je profite de la position pour regarder et chercher tous les détails de ses cuisses musculeuses, de ses fesses et de son anus d'un côté et de l'autre, j'inspecte sa vulve, ses lèvres petites et grandes, son clitoris, son vagin et l'espace entre son sexe et ses fesses, vu sous un angle différent.
Que cette personne est belle, tout est beau, tout est cohérent et équilibré. Son vagin est vraiment une œuvre d'art, ses lèvres sont sensuelles et ses gouttes de cyprine sont belles ainsi que la façon dont elles perlent. Même la zone entre son vagin et son anus est érotique ... Je fini quand même par m'assoupir à mon tour, non pas pour la position que l'on peut penser inconfortable (c'est tout l'inverse !) mais pour l'œuvre exposé devant mes yeux et qui me fascine.

Suite au chapitre 9.