Laetitia - chapitre 7 : Explication & Détentes

Récit érotique écrit par Dark_Sev [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Laetitia - chapitre 7 : Explication & Détentes
Avertissement : Il s’agit d’une histoire quasi intégralement imaginée, seuls les protagonistes sont inspirés de personnes réels.
Suite du chapitre 6 : Pénétration.
Quelques jours après notre première expérience sexuelle, nous sommes de nouveau dans le jardin à continuer son aménagement. Il fait toujours beau et chaud, les mêmes causes faisant les mêmes effets, je suis de nouveau en transpiration et Laetitia ... pas vraiment. Vers la fin d'après-midi, la chaleur et la fatigue augmentant, nous nous arrêtons vers 16h30. Nous rangeons les outils et nous nous dirigeons vers la maison. Nous nous installons sous un gros ventilateur pour nous refroidir et nous nous désaltérons. C'est la première fois que nous nous revoyons depuis nos multiples rapports sexuels. Une petite gêne s'installe, vite dissipée, car j'engage la conversation.
" - Ça va, pas trop mal au dos ?
- Oui, ça va. me réponds-elle, avec un air préoccupé, le regard fuyant. Elle poursuit :
- Tu ... as parlé ... à ma sœur ?
- Oui. Je lui ai parlé le soir, après ton départ. Je lui expliqué la situation avec toi, mon attirance depuis des années, le fait que tu ne sois ni un complément ni un remplacement, que je vous aime toute les deux de façon différente et que je ne voulais pas t'aimer dans l'ombre.
- Elle a mis du temps à encaisser, elle était blessée ... Tu la connais, elle est fière ... comme toi ...
Je poursuis.
- Elle ne m'a pas parlé pendant trois jours. Mais, plus tard, en réabordant le sujet, elle a accepté à condition que nous ne faisons aucune démonstration affective ni devant elle, ni devant personne, cela doit rester entre nous trois. Elle nous parlera le moment venu, à nous deux.
- D'accord, me réponds-elle sérieusement.
Laetitia réfléchit un long moment, nous finissons nos verres et nos biscuits apéritifs. Elle sort d'un coup de ses pensées. Elle me dit :
- On va se doucher ?
- Je te suis, je suis ... mouillé ! " lui réponds-je, avec conviction tant je suis sale et transpirant.
C'est agréable de pouvoir aimer Laetitia en sachant que je ne le fais pas dans le dos d'Amanda.
En suivant ma belle-sœur dans les escaliers, à la vue de sa nuque (elle a une queue de cheval), de ses longues jambes, de son fessier, de sa chute de rein apparente (et ses salières de Venus) par son débardeur relevé, j'entre dans une ... grosse ... érection.
Une fois dans la salle de bain et elle ferme (encore) la porte à clé derrière nous et se tourne vers moi et sans un mot, elle commence à me déshabiller en baladant ses mains doucement sur moi. Je me laisse faire. Elle m'embrasse, sa petite langue chaude pénétrant ma bouche. Elle pose ses mains sur mes fesses, attrape mon T-shirt (plutôt) mouillé sur mes hanches et l'enlève d'un coup sec en m'arrachant l'oreille droite. Elle s'excuse d'une voie langoureuse dans mon oreille douloureuse. Pas le temps d'avoir mal très longtemps qu'elle baisse mon short en descendant elle-même et dévoile l'énorme bosse que fait mon pénis, prisonnier de mon sous-vêtement, devant son beau visage. En quelques instants, je suis en caleçon, Laetitia est à genoux devant moi, sa tête au niveau de mon entrejambe qui ne doit pas sentir bon, avec la transpiration ... Pas très érotique mais ça n'a pas trop l'air de la déranger. Quand elle descend mon caleçon, dévoilant ma verge turgescente qui rebondit, elle regarde, l'attrape, la renifle mais prends quand même en bouche mon gland et mes premiers centimètres pendant quelques secondes.
" - Tu m'as manqué... dit-elle avec une petite voie, pleine de conviction, pour que je n'entends pas, en regardant mon pénis.
- Tu n'es pas obligée de faire ça ... Je suis ... sale. lui dis-je ...
- Je sais ... mais j'en ai très envie. ", réponds-elle simplement d'une voie douce.
Elle continue la fellation deux minutes et ensuite me lèche les bourses et la base de mon sexe. Le sperme monte vite sachant que je n'ai rien fait depuis nos dernières aventures.
Ma belle-sœur se relève et m'embrasse. Sa langue pulpeuse envahit ma bouche. Je sens le goût de mon pénis, mais cela ne me dérange pas du tout, ça vient de Laetitia, tout ce qui viens d'elle est parfait ... À mon tour, je pose mes mains sur ses fesses et les caressent, elle en fait de même pour les miennes, qui sont à l'air libre. Après cinq minutes de baiser mouillé, sans la prévenir, je mets mes mains sur ses hanches et baisse son short d'un coup, qui emmène, aussi et à moitié, sa culotte blanche, laissant visible une bonne partie de sa toison pubienne. La vision de ce triangle de poils fait monter d'un cran mon excitation, déjà très ... avancée.
À mon tour je me baisse, fini d'enlever le sous-vêtement et plonge ma bouche sur sa vulve fermée par ses cuisses serrées. L'odeur de son vagin est plus forte que la dernière fois, ce qui est normale, elle sortait de la douche, mais elle n'est pas désagréable, bien au contraire, elle m'envoûte. Sa toison pubienne et son aine sont humides d'une légère transpiration, les odeurs de sueur et de sexe se mêlent et exacerbe mon désir et je la lèche avec assiduité au niveau de ses petites lèvres collée par la constriction de sa culotte. Rapidement des râles légers de plaisir se font entendre. En inspectant sa vulve toujours close par ses jambes, je remarque qu'elle est, quand même, bien humide ... voir trempée, j'en déduis qu'elle est (très ?) excitée.
Tout en restant, elle, debout et moi à genoux, je prends sa jambe gauche et la relève sur le bord de la baignoire, Laetitia accompagne mon mouvement. Ses petites lèvres se décollent, son vagin s'ouvre et devient accessible. Elle déploie ses bras à droite et à gauche pour se tenir, ses aisselles légèrement humides de transpiration se dévoilent, ses poils ont commencé à repoussés mais ils restent très courts, un millimètre tout au plus, c'est très excitant.
Je dirige ma tête directement vers son entrejambe et avale toute sa cyprine disponible ainsi que la transpiration. Avec mon nez, je simule son clitoris, avec ma langue je lèche ses petites et grandes lèvres. Dans cette posture, j'enfonce ma langue dans son vagin comme si c'était ma verge. Laetitia jouit de plus en plus, après trois minutes elle ne peut plus tenir la position, pas vraiment confortable. Elle ferme le capot des toilettes, s'assoit dessus, s'incline en arrière pour remettre sa jambe gauche sur la baignoire, prend appui sur le mur et de fait, elle écarte bien les cuisses et me regarde avec ses yeux bleus-verts magnifique remplis de bienveillance.
L'orgasme qui monte doit être énorme tant ses convulsions et ses cris de jouissance sont forts et de nouveaux j'entends des "oh ... oui", "c'est bon", "vas-y", "tu es vraiment doué" et même des "lèche-moi", qu'elle dit plusieurs fois d'affilé.
Je passe à la vitesse supérieure et introduit doucement mon majeur et mon annulaire dans son intimité. À chaque fois que je les enfonce en elle un peu plus, un cri plus fort sort de sa gorge. Un long moment se passe puis je stimule son point G.
Malheureusement, une minute après le début de la masturbation du point G, Laetitia m'éjacule de nouveau à la figure. J'aurais souhaité que cela dure plus longtemps, beaucoup plus longtemps, j'adore lui lécher le vagin ...
Je lui nettoie la vulve avec la langue, je me délecte de ses productions. Une fois la tâche finie, j'embrasse son sexe, son ventre, son aine et ses cuisses.
Après avoir repris un peu son souffle et ses esprits, elle baisse la jambe et s'assoie verticalement, la position à moitié couchée sur les toilettes n'est pas encore très agréable. Je fini par décoller mes lèvres de cette magnifique œuvre d'art.
Elle me regarde, étonnée :
" - Pourquoi tu as le visage mouillé comme ça ?
- Laetitia, sans trop entrer dans les détails, j'ai stimulé ton point G et donc tu as, entre guillemets, éjaculée ... sur moi et mon visage, lui répondis-je d'un ton un peu trop professoral.
- Je ... euh ... suis désolée ...
- Deux choses, Laetitia. Premièrement, j'ai lâché un litre de sperme DANS ta bouche la dernière fois et secundo, ce n’est pas la première fois que tu le fais...
- Tu veux dire que je t'ai déjà ... éjaculée au visage la semaine dernière ???
- Oui et j'ai adoré ça. lui réponds-je avec une voix pleine de conviction.
Elle se relève doucement, je la suis et j'enchaîne :
- Mais tu as encore ton haut ? Tes seins sont encore prisonniers ? Je vais les libérer !
Elle me répond un "mouais" sans conviction mais en voyant mon intention ...
- Assis toi sur mes genoux ! " lui dis-je d'un ton professoral totalement assumé, cette fois.
Elle sourit, je m'installe sur les toilettes en relevant le capot, de peur qu'il ne résiste pas à nos poids cumulés. Sa peau est douce, son odeur exquise, j'en profite pour embrasser ses aisselles si érotiques avec l'odeur de sa transpiration si délicieuse. Elle s'assoie avec une grâce infinie sur mes jambes, en écartant ses cuisses, ses lèvres vaginales s'écartent, son vagin s'ouvre et nos sexes se rapprochent.
Mon pénis étant toujours en érection depuis sa fellation et Laetitia n'ayant plus de culotte, nos sexes se touchent au niveau de leur point le plus sensibles, mon extrémité pour moi et son clitoris pour elle. Elle se relève un peu pour que nous nous "connections" l'un à l'autre. Le premier quart de mon sexe entre en elle sans résistance, accompagnée d'une expiration remplie de plaisir qui me projette sa douce halène et je sens ma semence ne plus être très loin de sortir sans sommation. J'attrape son débardeur bleu foncé, elle lève ses bras langoureusement en me regardant, d’un air amusé. Je lui enlève lentement, je vois son soutien-gorge rose en dessous. Nous nous regardons intensément.
" - Tu es une belle personne, Laetitia ... Je t'aime.
- Moi aussi." me réponds-t-elle avec de la bienveillance dans ses beaux yeux, un petit sourire au coin de sa bouche.
Je mets mes mains sur ses hanches et je baisse ma tête pour l'embrasser entre ses seins, toujours prisonniers, tout en prenant de grandes inspirations de son odeur corporelle, douce. Elle me relaxe et m'envoûte. Je vais vers la droite pour embrasser les seins en rentrant un peu mes lèvres dans son soutien-gorge, qui m'empêche d'accéder au téton. Je procède de la même façon en coulissant à gauche. Je reviens au centre et fait des bisous et lèche son sternum pendant une minute. Je monte vers son cou et sa bouche tout en faisant de multiples baiser, sa tête bascule en arrière petit-à-petit, un fois atteint son menton, sa tête bascule d'un coup en avant en s'inclinant sur le côté et nos bouches s'alignent et se rencontrent avec avidité. On s'embrasse avec une fougue de jeunes adolescents. Je redescends vers mes deux jouets préférés, je sens qu'elle baisse sa tête en suivant la mienne et passe sa main dans mes cheveux. Tout en restant sur sa poitrine, je monte mes mains dans son dos, touchant au passage ses cheveux, pour lui dégrafer son dernier vêtement. Le soutient gorge tombe et je tête avec force ses gracieux mamelons fraîchement libérés.
" - Vous m'avez manqué les jumeaux, chuchote-je entre deux tétées.
- Ah bon, ils sont jumeaux ? " rigole-t-elle.
Je couvre les seins de Laetitia de salive et de baisers depuis cinq minutes, mes mains caressant son dos, ses hanches et ses creux en bas du dos quand je sens avec mes lèvres que son rythme cardiaque augmente et qu'elle a de petit mouvement de bassin rapide mais presque imperceptible. Ces mouvements s'arrêtent et je sens par mon sexe, sans y prêter plus d'attention, que son vagin relâche un peu son étreinte, tout comme son ventre.
D'un coup, je sens un liquide chaud me parcourir la base du pénis, le bas ventre, couler sur mon pubis et dans ma toison pubienne, continuer sur les vallées entre mon bassin et mes cuisses et finir par tomber dans les toilettes. Cela dure une vingtaine de secondes. J'ai mis cinq secondes à comprendre que Laetitia m'urine dessus alors que je la pénètre. Cette situation est d'un érotisme fou, j'arrête immédiatement de lécher ses seins pour l'embrasser passionnément.
" - J'ai pensé que ça te plairait ... me dit-elle avec un air gêné entre deux baisers, pendant que sa vessie finie de se vider sur moi.
- C'est parfait ma chérie, j'adore ! lui répondis-je.
Trente secondes après la fin de son besoin naturel sur mon bassin, bien que nous ne bougions pas dans ce sens, pris dans la fougue de nos baisers et de ma zone intime trempée de sa production dorée, je sens le sperme monter et je la préviens tout en continuant à l'embrasser passionnément.
- Laetitia ?
- Oui ?
- Ça va sortir ..."
Elle me répond un "d'accord" et se met à m'embrasser l'oreille.
Cinq secondes après, mon pénis se contacte plusieurs fois et je lâche mes millions de petits soldats dans le vagin de ma belle-sœur. Je la serre très fort contre moi en tétant son sein gauche pendant mon orgasme.
" - J'ai besoin de respirer ... me dit-elle d'une voie étouffée.
- Désolé chérie " lui dis-je en relâchant mon étreinte.
Quelques minutes après, nous nous relevons des toilettes. En se déconnectant, ma semence tombe en grande partie sur mon pubis, sur ma toison pubienne mouillée d'urine. Du sperme tombe par petite goutte du vagin de ma belle-sœur sur le sol jusqu'à la baignoire, quel marquage érotique ! Les odeurs légères de son urine et plus intense de mon sperme, se mélangent dans nos narines. Elle est forte pour Laetitia, délicieuse pour moi.
" - On va se laver ... ensemble ? demande-t-elle.
- Vas-y, commence, j'ai envie de faire pipi ... et ce n’est pas facile avec cette ... érection.
Je m'assoie sur les toilettes et j'essaie tant bien que mal de faire mon besoin, en prenant une position bizarre. Laetitia s'approche de moi, sa belle vulve, ouverte et humide, entre dans mon champ de vision. Elle me dit, debout devant moi, le vagin devant mon visage :
- Tu vas venir dans la baignoire ...
- Euh ... ?
- J'ai envie d'essayer ton vice.
Je la regarde, surpris.
- Tu vas pisser sur ma chatte ... Après ce que je t'ai fait, ce serait de bonne guerre ! me dit-elle, le visage rougi par l'excitation.
Je réponds un ok, elle ajoute :
- Puisque, toi, tu peux orienter ton jet, tu pourras aussi viser mon ventre et mes seins ...
- Je ... suis curieuse ... de la sensation."
Elle entre dans la baignoire, de ma semence s'écoule toujours goutte par goutte de son vagin, en me levant des toilettes pour la suivre, je nettoie le chemin qu'elle a empruntée.
Incroyable, son corps même "sale" est beau, érotique et excitant (pour rappel : après plusieurs heures de travail intense en plein soleil). J'entre à mon tour, dans la baignoire, mouillé d'urine et odorant de mon sperme. Laetitia fait une folie, terriblement érotique due, sans doute, à son excitation qui doit atteindre un sommet. Elle attrape mon sexe d'une main, l'écarte, baisse la tête, attrape avec sa langue et sa bouche ce qui reste du dépôt de sperme posé à la base de ma verge, sur mes poils pubiens humide de son urine et l'avale. Elle grimace.
"- Oula, c'est fort et je sens mon urine ... pouah ..." dit-elle avec un frisson.
Je l'embrasse passionnément, terriblement excité par son acte. Quel baiser érotique lorsque nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre avec ma semence visqueuse et son urine !
Je suis nu face à Laetitia, nue, elle aussi. Elle est belle, très belle, magnifique, sensuelle.
Après quelques secondes, j'essaie d'ouvrir les vannes sur la vulve de ma belle-sœur. Comme elle, quelques jours plus tôt, je n'y arrive pas.
Elle me nargue :
" - Je te fais confiance, Ezio." Je me rapproche d'elle, et je pose mon méat contre son clitoris.
Vingt secondes après, je me détends et je sens mon urine bouillante commencer à sortir et mouiller le sexe parfait de Laetitia. Je m'éloigne d'une dizaine de centimètres, les éclaboussures me mouillent en retour le pénis, le bassin et mes cuisses. La vision de mon urine coulant sur le corps de Laetitia est très excitante, le son léger l'accompagnant, aussi. Au début, je vise sa vulve, son vagin, son clitoris et ses poils pubiens, puis je remonte vers son nombril sexy.
Je m'arrête dix centimètres au-dessus et fait un mouvement de droite à gauche pour bien faire profiter son ventre. L'urine coule vers son bassin puis ses jambes et enfin ses pieds. L'odeur est plus forte que celle de Laetitia. Je remonte rapidement vers ses seins, de peur de manquer de réserve. Je force un peu sur le ventre pour compenser la hauteur de sa belle poitrine.
Ma belle-sœur a depuis le début la tête inclinée vers l'avant, vers mon sexe, elle est posée sur mon épaule et j'en fait de même et nos têtes reposent sur l'épaule de l'autre et nous nous touchons par l'oreille. Je sens son regard sur mon gland, sur mon méat. Cela m'excite. Je force sur mes abdos pour atteindre ses seins, un peu trop sans doute car mon jet remonte jusqu'à la base de son cou, quelques centimètres sous son menton. Cela n'a pas l'air de la déranger. Elle n'a même pas cherché à esquiver. Après ajustement, mon jet redescend et l'urine, lorsqu'elle touche ses seins, avec la pression, nous éclabousse, un peu, les visages, en toutes petites gouttelettes. J'écoute la respiration de Laetitia, elle est courte et profonde, elle a l'air d'apprécier. Autant l'urine de Laetitia avait une odeur légère et agréable, la mienne est plus typée et prisonnière de nos corps rapprochés, on la perçoit ... très bien. Lentement mon jet descend de sa poitrine vers son ventre et son nombril puis sur son vagin. Nous relevons la tête en même temps et je vois que le visage de Laetitia a des petites gouttes de mon urine, chose qu'elle doit voir aussi sur ma face. Nous nous embrassons tendrement.
Elle attrape mon sexe, écarte un peu les jambes et le présente devant le sien pour que nous puissions nous coller l'un à l'autre. Son corps est trempé de mon urine froide. Ma verge entre sans résistance et nous nous embrassons, l'un contre l'autre, toison contre toison, avec l'odeur d'urine flottant dans l'air, pendant plusieurs minutes.
Finalement, je me désengage et nous prenons notre douche en nous lavant mutuellement. C'est avec un grand plaisir et une douceur infinie que je nettoie ce corps parfait de déesse, qui en fait de même pour moi.
Suite au chapitre 8.
Suite du chapitre 6 : Pénétration.
Quelques jours après notre première expérience sexuelle, nous sommes de nouveau dans le jardin à continuer son aménagement. Il fait toujours beau et chaud, les mêmes causes faisant les mêmes effets, je suis de nouveau en transpiration et Laetitia ... pas vraiment. Vers la fin d'après-midi, la chaleur et la fatigue augmentant, nous nous arrêtons vers 16h30. Nous rangeons les outils et nous nous dirigeons vers la maison. Nous nous installons sous un gros ventilateur pour nous refroidir et nous nous désaltérons. C'est la première fois que nous nous revoyons depuis nos multiples rapports sexuels. Une petite gêne s'installe, vite dissipée, car j'engage la conversation.
" - Ça va, pas trop mal au dos ?
- Oui, ça va. me réponds-elle, avec un air préoccupé, le regard fuyant. Elle poursuit :
- Tu ... as parlé ... à ma sœur ?
- Oui. Je lui ai parlé le soir, après ton départ. Je lui expliqué la situation avec toi, mon attirance depuis des années, le fait que tu ne sois ni un complément ni un remplacement, que je vous aime toute les deux de façon différente et que je ne voulais pas t'aimer dans l'ombre.
- Elle a mis du temps à encaisser, elle était blessée ... Tu la connais, elle est fière ... comme toi ...
Je poursuis.
- Elle ne m'a pas parlé pendant trois jours. Mais, plus tard, en réabordant le sujet, elle a accepté à condition que nous ne faisons aucune démonstration affective ni devant elle, ni devant personne, cela doit rester entre nous trois. Elle nous parlera le moment venu, à nous deux.
- D'accord, me réponds-elle sérieusement.
Laetitia réfléchit un long moment, nous finissons nos verres et nos biscuits apéritifs. Elle sort d'un coup de ses pensées. Elle me dit :
- On va se doucher ?
- Je te suis, je suis ... mouillé ! " lui réponds-je, avec conviction tant je suis sale et transpirant.
C'est agréable de pouvoir aimer Laetitia en sachant que je ne le fais pas dans le dos d'Amanda.
En suivant ma belle-sœur dans les escaliers, à la vue de sa nuque (elle a une queue de cheval), de ses longues jambes, de son fessier, de sa chute de rein apparente (et ses salières de Venus) par son débardeur relevé, j'entre dans une ... grosse ... érection.
Une fois dans la salle de bain et elle ferme (encore) la porte à clé derrière nous et se tourne vers moi et sans un mot, elle commence à me déshabiller en baladant ses mains doucement sur moi. Je me laisse faire. Elle m'embrasse, sa petite langue chaude pénétrant ma bouche. Elle pose ses mains sur mes fesses, attrape mon T-shirt (plutôt) mouillé sur mes hanches et l'enlève d'un coup sec en m'arrachant l'oreille droite. Elle s'excuse d'une voie langoureuse dans mon oreille douloureuse. Pas le temps d'avoir mal très longtemps qu'elle baisse mon short en descendant elle-même et dévoile l'énorme bosse que fait mon pénis, prisonnier de mon sous-vêtement, devant son beau visage. En quelques instants, je suis en caleçon, Laetitia est à genoux devant moi, sa tête au niveau de mon entrejambe qui ne doit pas sentir bon, avec la transpiration ... Pas très érotique mais ça n'a pas trop l'air de la déranger. Quand elle descend mon caleçon, dévoilant ma verge turgescente qui rebondit, elle regarde, l'attrape, la renifle mais prends quand même en bouche mon gland et mes premiers centimètres pendant quelques secondes.
" - Tu m'as manqué... dit-elle avec une petite voie, pleine de conviction, pour que je n'entends pas, en regardant mon pénis.
- Tu n'es pas obligée de faire ça ... Je suis ... sale. lui dis-je ...
- Je sais ... mais j'en ai très envie. ", réponds-elle simplement d'une voie douce.
Elle continue la fellation deux minutes et ensuite me lèche les bourses et la base de mon sexe. Le sperme monte vite sachant que je n'ai rien fait depuis nos dernières aventures.
Ma belle-sœur se relève et m'embrasse. Sa langue pulpeuse envahit ma bouche. Je sens le goût de mon pénis, mais cela ne me dérange pas du tout, ça vient de Laetitia, tout ce qui viens d'elle est parfait ... À mon tour, je pose mes mains sur ses fesses et les caressent, elle en fait de même pour les miennes, qui sont à l'air libre. Après cinq minutes de baiser mouillé, sans la prévenir, je mets mes mains sur ses hanches et baisse son short d'un coup, qui emmène, aussi et à moitié, sa culotte blanche, laissant visible une bonne partie de sa toison pubienne. La vision de ce triangle de poils fait monter d'un cran mon excitation, déjà très ... avancée.
À mon tour je me baisse, fini d'enlever le sous-vêtement et plonge ma bouche sur sa vulve fermée par ses cuisses serrées. L'odeur de son vagin est plus forte que la dernière fois, ce qui est normale, elle sortait de la douche, mais elle n'est pas désagréable, bien au contraire, elle m'envoûte. Sa toison pubienne et son aine sont humides d'une légère transpiration, les odeurs de sueur et de sexe se mêlent et exacerbe mon désir et je la lèche avec assiduité au niveau de ses petites lèvres collée par la constriction de sa culotte. Rapidement des râles légers de plaisir se font entendre. En inspectant sa vulve toujours close par ses jambes, je remarque qu'elle est, quand même, bien humide ... voir trempée, j'en déduis qu'elle est (très ?) excitée.
Tout en restant, elle, debout et moi à genoux, je prends sa jambe gauche et la relève sur le bord de la baignoire, Laetitia accompagne mon mouvement. Ses petites lèvres se décollent, son vagin s'ouvre et devient accessible. Elle déploie ses bras à droite et à gauche pour se tenir, ses aisselles légèrement humides de transpiration se dévoilent, ses poils ont commencé à repoussés mais ils restent très courts, un millimètre tout au plus, c'est très excitant.
Je dirige ma tête directement vers son entrejambe et avale toute sa cyprine disponible ainsi que la transpiration. Avec mon nez, je simule son clitoris, avec ma langue je lèche ses petites et grandes lèvres. Dans cette posture, j'enfonce ma langue dans son vagin comme si c'était ma verge. Laetitia jouit de plus en plus, après trois minutes elle ne peut plus tenir la position, pas vraiment confortable. Elle ferme le capot des toilettes, s'assoit dessus, s'incline en arrière pour remettre sa jambe gauche sur la baignoire, prend appui sur le mur et de fait, elle écarte bien les cuisses et me regarde avec ses yeux bleus-verts magnifique remplis de bienveillance.
L'orgasme qui monte doit être énorme tant ses convulsions et ses cris de jouissance sont forts et de nouveaux j'entends des "oh ... oui", "c'est bon", "vas-y", "tu es vraiment doué" et même des "lèche-moi", qu'elle dit plusieurs fois d'affilé.
Je passe à la vitesse supérieure et introduit doucement mon majeur et mon annulaire dans son intimité. À chaque fois que je les enfonce en elle un peu plus, un cri plus fort sort de sa gorge. Un long moment se passe puis je stimule son point G.
Malheureusement, une minute après le début de la masturbation du point G, Laetitia m'éjacule de nouveau à la figure. J'aurais souhaité que cela dure plus longtemps, beaucoup plus longtemps, j'adore lui lécher le vagin ...
Je lui nettoie la vulve avec la langue, je me délecte de ses productions. Une fois la tâche finie, j'embrasse son sexe, son ventre, son aine et ses cuisses.
Après avoir repris un peu son souffle et ses esprits, elle baisse la jambe et s'assoie verticalement, la position à moitié couchée sur les toilettes n'est pas encore très agréable. Je fini par décoller mes lèvres de cette magnifique œuvre d'art.
Elle me regarde, étonnée :
" - Pourquoi tu as le visage mouillé comme ça ?
- Laetitia, sans trop entrer dans les détails, j'ai stimulé ton point G et donc tu as, entre guillemets, éjaculée ... sur moi et mon visage, lui répondis-je d'un ton un peu trop professoral.
- Je ... euh ... suis désolée ...
- Deux choses, Laetitia. Premièrement, j'ai lâché un litre de sperme DANS ta bouche la dernière fois et secundo, ce n’est pas la première fois que tu le fais...
- Tu veux dire que je t'ai déjà ... éjaculée au visage la semaine dernière ???
- Oui et j'ai adoré ça. lui réponds-je avec une voix pleine de conviction.
Elle se relève doucement, je la suis et j'enchaîne :
- Mais tu as encore ton haut ? Tes seins sont encore prisonniers ? Je vais les libérer !
Elle me répond un "mouais" sans conviction mais en voyant mon intention ...
- Assis toi sur mes genoux ! " lui dis-je d'un ton professoral totalement assumé, cette fois.
Elle sourit, je m'installe sur les toilettes en relevant le capot, de peur qu'il ne résiste pas à nos poids cumulés. Sa peau est douce, son odeur exquise, j'en profite pour embrasser ses aisselles si érotiques avec l'odeur de sa transpiration si délicieuse. Elle s'assoie avec une grâce infinie sur mes jambes, en écartant ses cuisses, ses lèvres vaginales s'écartent, son vagin s'ouvre et nos sexes se rapprochent.
Mon pénis étant toujours en érection depuis sa fellation et Laetitia n'ayant plus de culotte, nos sexes se touchent au niveau de leur point le plus sensibles, mon extrémité pour moi et son clitoris pour elle. Elle se relève un peu pour que nous nous "connections" l'un à l'autre. Le premier quart de mon sexe entre en elle sans résistance, accompagnée d'une expiration remplie de plaisir qui me projette sa douce halène et je sens ma semence ne plus être très loin de sortir sans sommation. J'attrape son débardeur bleu foncé, elle lève ses bras langoureusement en me regardant, d’un air amusé. Je lui enlève lentement, je vois son soutien-gorge rose en dessous. Nous nous regardons intensément.
" - Tu es une belle personne, Laetitia ... Je t'aime.
- Moi aussi." me réponds-t-elle avec de la bienveillance dans ses beaux yeux, un petit sourire au coin de sa bouche.
Je mets mes mains sur ses hanches et je baisse ma tête pour l'embrasser entre ses seins, toujours prisonniers, tout en prenant de grandes inspirations de son odeur corporelle, douce. Elle me relaxe et m'envoûte. Je vais vers la droite pour embrasser les seins en rentrant un peu mes lèvres dans son soutien-gorge, qui m'empêche d'accéder au téton. Je procède de la même façon en coulissant à gauche. Je reviens au centre et fait des bisous et lèche son sternum pendant une minute. Je monte vers son cou et sa bouche tout en faisant de multiples baiser, sa tête bascule en arrière petit-à-petit, un fois atteint son menton, sa tête bascule d'un coup en avant en s'inclinant sur le côté et nos bouches s'alignent et se rencontrent avec avidité. On s'embrasse avec une fougue de jeunes adolescents. Je redescends vers mes deux jouets préférés, je sens qu'elle baisse sa tête en suivant la mienne et passe sa main dans mes cheveux. Tout en restant sur sa poitrine, je monte mes mains dans son dos, touchant au passage ses cheveux, pour lui dégrafer son dernier vêtement. Le soutient gorge tombe et je tête avec force ses gracieux mamelons fraîchement libérés.
" - Vous m'avez manqué les jumeaux, chuchote-je entre deux tétées.
- Ah bon, ils sont jumeaux ? " rigole-t-elle.
Je couvre les seins de Laetitia de salive et de baisers depuis cinq minutes, mes mains caressant son dos, ses hanches et ses creux en bas du dos quand je sens avec mes lèvres que son rythme cardiaque augmente et qu'elle a de petit mouvement de bassin rapide mais presque imperceptible. Ces mouvements s'arrêtent et je sens par mon sexe, sans y prêter plus d'attention, que son vagin relâche un peu son étreinte, tout comme son ventre.
D'un coup, je sens un liquide chaud me parcourir la base du pénis, le bas ventre, couler sur mon pubis et dans ma toison pubienne, continuer sur les vallées entre mon bassin et mes cuisses et finir par tomber dans les toilettes. Cela dure une vingtaine de secondes. J'ai mis cinq secondes à comprendre que Laetitia m'urine dessus alors que je la pénètre. Cette situation est d'un érotisme fou, j'arrête immédiatement de lécher ses seins pour l'embrasser passionnément.
" - J'ai pensé que ça te plairait ... me dit-elle avec un air gêné entre deux baisers, pendant que sa vessie finie de se vider sur moi.
- C'est parfait ma chérie, j'adore ! lui répondis-je.
Trente secondes après la fin de son besoin naturel sur mon bassin, bien que nous ne bougions pas dans ce sens, pris dans la fougue de nos baisers et de ma zone intime trempée de sa production dorée, je sens le sperme monter et je la préviens tout en continuant à l'embrasser passionnément.
- Laetitia ?
- Oui ?
- Ça va sortir ..."
Elle me répond un "d'accord" et se met à m'embrasser l'oreille.
Cinq secondes après, mon pénis se contacte plusieurs fois et je lâche mes millions de petits soldats dans le vagin de ma belle-sœur. Je la serre très fort contre moi en tétant son sein gauche pendant mon orgasme.
" - J'ai besoin de respirer ... me dit-elle d'une voie étouffée.
- Désolé chérie " lui dis-je en relâchant mon étreinte.
Quelques minutes après, nous nous relevons des toilettes. En se déconnectant, ma semence tombe en grande partie sur mon pubis, sur ma toison pubienne mouillée d'urine. Du sperme tombe par petite goutte du vagin de ma belle-sœur sur le sol jusqu'à la baignoire, quel marquage érotique ! Les odeurs légères de son urine et plus intense de mon sperme, se mélangent dans nos narines. Elle est forte pour Laetitia, délicieuse pour moi.
" - On va se laver ... ensemble ? demande-t-elle.
- Vas-y, commence, j'ai envie de faire pipi ... et ce n’est pas facile avec cette ... érection.
Je m'assoie sur les toilettes et j'essaie tant bien que mal de faire mon besoin, en prenant une position bizarre. Laetitia s'approche de moi, sa belle vulve, ouverte et humide, entre dans mon champ de vision. Elle me dit, debout devant moi, le vagin devant mon visage :
- Tu vas venir dans la baignoire ...
- Euh ... ?
- J'ai envie d'essayer ton vice.
Je la regarde, surpris.
- Tu vas pisser sur ma chatte ... Après ce que je t'ai fait, ce serait de bonne guerre ! me dit-elle, le visage rougi par l'excitation.
Je réponds un ok, elle ajoute :
- Puisque, toi, tu peux orienter ton jet, tu pourras aussi viser mon ventre et mes seins ...
- Je ... suis curieuse ... de la sensation."
Elle entre dans la baignoire, de ma semence s'écoule toujours goutte par goutte de son vagin, en me levant des toilettes pour la suivre, je nettoie le chemin qu'elle a empruntée.
Incroyable, son corps même "sale" est beau, érotique et excitant (pour rappel : après plusieurs heures de travail intense en plein soleil). J'entre à mon tour, dans la baignoire, mouillé d'urine et odorant de mon sperme. Laetitia fait une folie, terriblement érotique due, sans doute, à son excitation qui doit atteindre un sommet. Elle attrape mon sexe d'une main, l'écarte, baisse la tête, attrape avec sa langue et sa bouche ce qui reste du dépôt de sperme posé à la base de ma verge, sur mes poils pubiens humide de son urine et l'avale. Elle grimace.
"- Oula, c'est fort et je sens mon urine ... pouah ..." dit-elle avec un frisson.
Je l'embrasse passionnément, terriblement excité par son acte. Quel baiser érotique lorsque nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre avec ma semence visqueuse et son urine !
Je suis nu face à Laetitia, nue, elle aussi. Elle est belle, très belle, magnifique, sensuelle.
Après quelques secondes, j'essaie d'ouvrir les vannes sur la vulve de ma belle-sœur. Comme elle, quelques jours plus tôt, je n'y arrive pas.
Elle me nargue :
" - Je te fais confiance, Ezio." Je me rapproche d'elle, et je pose mon méat contre son clitoris.
Vingt secondes après, je me détends et je sens mon urine bouillante commencer à sortir et mouiller le sexe parfait de Laetitia. Je m'éloigne d'une dizaine de centimètres, les éclaboussures me mouillent en retour le pénis, le bassin et mes cuisses. La vision de mon urine coulant sur le corps de Laetitia est très excitante, le son léger l'accompagnant, aussi. Au début, je vise sa vulve, son vagin, son clitoris et ses poils pubiens, puis je remonte vers son nombril sexy.
Je m'arrête dix centimètres au-dessus et fait un mouvement de droite à gauche pour bien faire profiter son ventre. L'urine coule vers son bassin puis ses jambes et enfin ses pieds. L'odeur est plus forte que celle de Laetitia. Je remonte rapidement vers ses seins, de peur de manquer de réserve. Je force un peu sur le ventre pour compenser la hauteur de sa belle poitrine.
Ma belle-sœur a depuis le début la tête inclinée vers l'avant, vers mon sexe, elle est posée sur mon épaule et j'en fait de même et nos têtes reposent sur l'épaule de l'autre et nous nous touchons par l'oreille. Je sens son regard sur mon gland, sur mon méat. Cela m'excite. Je force sur mes abdos pour atteindre ses seins, un peu trop sans doute car mon jet remonte jusqu'à la base de son cou, quelques centimètres sous son menton. Cela n'a pas l'air de la déranger. Elle n'a même pas cherché à esquiver. Après ajustement, mon jet redescend et l'urine, lorsqu'elle touche ses seins, avec la pression, nous éclabousse, un peu, les visages, en toutes petites gouttelettes. J'écoute la respiration de Laetitia, elle est courte et profonde, elle a l'air d'apprécier. Autant l'urine de Laetitia avait une odeur légère et agréable, la mienne est plus typée et prisonnière de nos corps rapprochés, on la perçoit ... très bien. Lentement mon jet descend de sa poitrine vers son ventre et son nombril puis sur son vagin. Nous relevons la tête en même temps et je vois que le visage de Laetitia a des petites gouttes de mon urine, chose qu'elle doit voir aussi sur ma face. Nous nous embrassons tendrement.
Elle attrape mon sexe, écarte un peu les jambes et le présente devant le sien pour que nous puissions nous coller l'un à l'autre. Son corps est trempé de mon urine froide. Ma verge entre sans résistance et nous nous embrassons, l'un contre l'autre, toison contre toison, avec l'odeur d'urine flottant dans l'air, pendant plusieurs minutes.
Finalement, je me désengage et nous prenons notre douche en nous lavant mutuellement. C'est avec un grand plaisir et une douceur infinie que je nettoie ce corps parfait de déesse, qui en fait de même pour moi.
Suite au chapitre 8.
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