Laetitia - chapitre 6 : Pénétration

Récit érotique écrit par Dark_Sev [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Laetitia - chapitre 6 : Pénétration
Avertissement : Il s’agit d’une histoire quasi intégralement imaginée, seuls les protagonistes sont inspirés de personnes réels.
Suite du chapitre 5 : Echanges de bons procédés.
Je me lève de ma position pour lui faire un bisou dans la nuque, je monte, à quatre pattes, de ses fesses vers mon objectif, son sexe. Je fais exprès que mon pénis lui touche la jambe gauche, du talon jusqu'à la base de ses fesses. Ma tête étant arrivée au bon niveau, je lui embrasse les cervicales tendrement, à la base de ses cheveux. Je me pose sur elle (je l'écrase !) et mets mon pénis dans son thigh gap pour ne pas nous gêner, ma toison pubienne contre ses fesses. Cela ne la dérange pas du tout, et au contraire, je sens Laetitia qui commence à bouger sous moi. Elle bouge le bassin pour que mon sexe touche son sexe. Je la laisse faire, passivement. Sentir son corps bouger sous moi et stimuler mon pénis est un plaisir intense. Après quelques minutes, mon pénis est aligné, à l'entrée de son vagin, mais même en bougeant son bassin, il ne rentre pas, ils se touchent seulement.
Je lui murmure dans l'oreille :
"- Laetitia ... es-tu sûre de ta décision ? C'est ... irréversible ..."
Elle répond doucement, un oui déterminé, avec la tête.
Sur sa réponse, je me mets à faire un mouvement d'avant en arrière, lentement, mon pénis touche de façon plus appuyé sa vulve, ses petites lèvres, et un peu son clitoris, qui finit par forcer l'entrée de ses petites lèvres. Sa bouche s'ouvre, sa respiration s'accélère, ses yeux se ferment. Je continu et mes premiers centimètres entre en elle, doucement. Mon prépuce se décalotte au rythme où je rentre.
Ça y est, je pénètre ma belle-sœur, je suis en elle, mon pénis est dans son vagin, des années que je fantasmais sur cet hypothétique moment.
J'aime, j'adore, la sensation de mon sexe qui glisse dans celui de Laetitia. Mes mouvements sont de plus en plus amples, si bien que la moitié de mon pénis entre en elle. Ses petits cris sont revenus. Après quelques minutes, elle s'arrête, nette, en rentrant son bassin.
"- Je veux ... je veux te voir lorsque tu .... " elle ne finit pas sa phrase. Je n'ai pas arrêté de dire que son regard est intense, tel un revolver, mais là, son intensité est telle que je ne peux que faire ce qu'elle demande, bien qu'elle ne puisse pas me regarder longtemps dans les yeux, la position étant inconfortable.
Je me lève, me désengage et me met à genoux, mon pénis est brillant de cyprine. Elle se lève et se tourne, prends en bouche mon pénis une dernière fois fait quelques allers-retours et finit par me passer sa langue un moment sous mon gland sur mon frein, en me regardant droit dans les yeux, un petit sourire aux lèvres. Elle me dit qu'elle fait ça pour lubrifier mon pénis, pas sûr d'avoir besoin de tant de lubrification que ça tant son sexe est humide. Je me laisse faire, heureux. La voir lécher mon sexe avec sa cyprine dessus est vraiment ... érotique.
Après cela, elle s'installe sur le dos, les cuisses repliées et écartées. Son corps musculeux est très tendu et ses seins sont durs et bien plus gros qu'ils ne l'étaient plus avant. Je m'installe, en profitant moi aussi de son vagin une dernière fois en disant que c'est pour le lubrifier ... bien que je pense boire plus de cyprine que je n'ajoute de salive ... Je remonte très lentement, en posant ma langue sur le bas de sa vulve, mon nez étant sur son clitoris et en léchant de bas en haut ses lèvres et en m'arrêtant une dizaine seconde sur son bouton magique. Les râles reviennent. Je continu à remonter en lui léchant et embrassant le corps, je tête chaque sein un long moment, tout en lui caressant l'entrejambe. Ses mouvements de bassin, rapides et amples, me renseignent sur l'état très avancé de son excitation. Je m'arrête un centimètre devant sa fine bouche légèrement ouverte d'où les râles sortent. Son halène douce emplie mes narines.
" - Tu ... est prête ? lui demande-je en passant ma langue sur ses lèvres.
- Oui. " murmure-t-elle, en m'embrassant goulûment.
Je me mets en position sur elle, mon bassin entre ses cuisses, mes bras sous ses aisselles et je l'embrasse en retour. Nos sexes étant face-à-face, j'avance le bassin lentement, pour qu'ils fusionnent. Lætitia est prise de convulsions de plaisir lorsque mon pénis frôle ses lèvres vaginales. N'y arrivant pas, je me relève légèrement et avec la main droite, j'écarte ses très sensibles lèvres vaginales et je pousse le bassin. N'étant pas parfaitement aligné, je bute encore sur une grande lèvre. Je sens une main déterminée qui attrape mon pénis et le présente à l'entrée de son sexe tandis que l'autre tire mon bassin vers elle. Je pousse, je la pénètre de quelques centimètres d'abord.
Je suis dans une position fantasmique, sur elle, mon pénis commençant à remplir son vagin, ses lèvres vaginales embrassant mon sexe. Que j'aime la sensation de son ventre contre le mien, je vois son beau visage avec un grand sourire. Elle a l'air heureuse de faire l'amour avec moi.
Le prépuce de mon gland se décalotte doucement, jusqu'à ce que le frein l'arrête. Je sors et mon extrémité se recalotte, décuplant mes sensations. Ce premier aller-retour provoque un puissant spasme qui parcourt le corps de Laetitia qui, me le transmet.
Depuis que je me suis installé sur elle, nos corps se couvrent de transpiration, légère pour Laetitia, plus ... intense pour moi, si bien que nous glissons maintenant l'un sur l'autre.
De quelques centimètres, je pousse de plus en plus loin, mais lentement, jusqu'à ce que mes quinze centimètres entrent en elle entièrement. Guère plus aurait pu rentrer, je sens que je bute sur le fond de sa cavité vaginale. Étant complètement en elle, il n'y a plus de distance entre nous et je goûte à TOUTE la douceur de la peau de son corps. Son vagin est très bien lubrifié mais je sens quand même les parois. Je coulisse en elle sans forcer mais sans non plus ne rien sentir.
Quelques minutes plus tard, mon gland est complètement décalotté depuis longtemps maintenant. Je rentre et sort centimètre par centimètre de son vagin. La sensation est exceptionnelle, je profite de CHAQUE mouvement. Ma belle-sœur accompagne mes mouvements de bassin par les siens. Nous sommes parfaitement callés l'un sur l'autre. Sentir mes hanches dans le creux de ses cuisses, dans sa zone la plus intime est un bonheur. Je regarde son visage de très près, ses yeux fermés qui s'ouvrent régulièrement mais brièvement, elle respire par sa bouche ouverte, j'inspire cet air passé par elle. Sa langue passe à intervalle régulier sur ses lèvres délicates et je profite d'un passage pour passer ma langue entre ses lèvres et l'embrasser. La réaction de Laetitia ne se fait pas attendre, elle me sert contre elle et sa langue ne quitte plus ma bouche.
Nos mouvements lents et doux laissent placent à d'autres, plus rapides et amples. Ils le sont tellement qu'à chaque aller-retour, je touche (doucement) le fond du vagin de ma belle-sœur et nos pubis se cognent. Chaque coup de butoir arrache un cri plus fort et grave à Laetitia.
Depuis que nous nous embrassons, j'ai mis mes bras derrière ses omoplates et je lui caresse la nuque et le dos avec mes mains. Je profite aussi pour la serrer contre moi, ce qu'elle fait aussi avec ses mains sur mes fesses, qui les agrippent, me griffent et me sert contre elle. Nous sommes tellement proche sur je sens son cœur battre à travers ma poitrine. Ses petits seins s'impriment dans mon torse.
Je sens le sperme monter en moi, une grosse quantité, une énorme quantité.
J'arrête mes mouvements, je sens que ça monte. Laetitia continue ses mouvements de bassin. Ses mouvements agissent sur moi, je sens que ça arrive, vite. Mon corps est pris de convulsions qui, à son tour, donne des convulsions à Laetitia, qui me hurle de jouissance dans les oreilles. Un puissant jet de semence inonde son vagin suivi de plusieurs autres et je sens que, pour le coup, je ne touche plus ses parois vaginales, tant il déborde. Je m'effondre dans son cou, ses cris de plaisirs intenses berçant mes oreilles.
Après quelques secondes, minutes, heures, je relève la tête, Laetitia ouvre les yeux, elle est aux anges, elle sourit. Je me désengage lentement, pour profiter des derniers instants de ce rapport sexuel et le sperme à, en effet, déborder. Il coule du bas de son vagin, dans son sillon anal et goutte un peu sur le lit.
Je me glisse contre elle, vidé dans tous les sens du terme. Mon sexe, complètement décalotté, plein de semence et de cyprine, est posé sur sa cuisse droite. Du sperme continu un peu de goutter de ma verge et une petite flaque se forme sur l’aine. Elle met sa main sur cette accumulation de semence, l'attrape et la porte à sa bouche en me regardant et souriant. Ensuite, elle descend sa main qu'elle place sur mon pénis et je pose ma main sur sa vulve et lui bouche le vagin pour que mon sperme ne sorte pas. Elle me remercie, toujours en souriant.
Après un moment, elle me dit :
" - Je vais rester là quelques minutes pour ... et me rhabiller. Merci pour ce plaisir. Me chuchote-t-elle.
Je l'embrasse.
- Je descends, je te laisse te reposer.... Je ... je t'aime, lui dis-je.
- Moi aussi ... moi aussi ...".
Je ferme la porte et laisse Laetitia se reposer et … se faire féconder ... peut-être, peut-être pas ...
Suite au chapitre 7.
Suite du chapitre 5 : Echanges de bons procédés.
Je me lève de ma position pour lui faire un bisou dans la nuque, je monte, à quatre pattes, de ses fesses vers mon objectif, son sexe. Je fais exprès que mon pénis lui touche la jambe gauche, du talon jusqu'à la base de ses fesses. Ma tête étant arrivée au bon niveau, je lui embrasse les cervicales tendrement, à la base de ses cheveux. Je me pose sur elle (je l'écrase !) et mets mon pénis dans son thigh gap pour ne pas nous gêner, ma toison pubienne contre ses fesses. Cela ne la dérange pas du tout, et au contraire, je sens Laetitia qui commence à bouger sous moi. Elle bouge le bassin pour que mon sexe touche son sexe. Je la laisse faire, passivement. Sentir son corps bouger sous moi et stimuler mon pénis est un plaisir intense. Après quelques minutes, mon pénis est aligné, à l'entrée de son vagin, mais même en bougeant son bassin, il ne rentre pas, ils se touchent seulement.
Je lui murmure dans l'oreille :
"- Laetitia ... es-tu sûre de ta décision ? C'est ... irréversible ..."
Elle répond doucement, un oui déterminé, avec la tête.
Sur sa réponse, je me mets à faire un mouvement d'avant en arrière, lentement, mon pénis touche de façon plus appuyé sa vulve, ses petites lèvres, et un peu son clitoris, qui finit par forcer l'entrée de ses petites lèvres. Sa bouche s'ouvre, sa respiration s'accélère, ses yeux se ferment. Je continu et mes premiers centimètres entre en elle, doucement. Mon prépuce se décalotte au rythme où je rentre.
Ça y est, je pénètre ma belle-sœur, je suis en elle, mon pénis est dans son vagin, des années que je fantasmais sur cet hypothétique moment.
J'aime, j'adore, la sensation de mon sexe qui glisse dans celui de Laetitia. Mes mouvements sont de plus en plus amples, si bien que la moitié de mon pénis entre en elle. Ses petits cris sont revenus. Après quelques minutes, elle s'arrête, nette, en rentrant son bassin.
"- Je veux ... je veux te voir lorsque tu .... " elle ne finit pas sa phrase. Je n'ai pas arrêté de dire que son regard est intense, tel un revolver, mais là, son intensité est telle que je ne peux que faire ce qu'elle demande, bien qu'elle ne puisse pas me regarder longtemps dans les yeux, la position étant inconfortable.
Je me lève, me désengage et me met à genoux, mon pénis est brillant de cyprine. Elle se lève et se tourne, prends en bouche mon pénis une dernière fois fait quelques allers-retours et finit par me passer sa langue un moment sous mon gland sur mon frein, en me regardant droit dans les yeux, un petit sourire aux lèvres. Elle me dit qu'elle fait ça pour lubrifier mon pénis, pas sûr d'avoir besoin de tant de lubrification que ça tant son sexe est humide. Je me laisse faire, heureux. La voir lécher mon sexe avec sa cyprine dessus est vraiment ... érotique.
Après cela, elle s'installe sur le dos, les cuisses repliées et écartées. Son corps musculeux est très tendu et ses seins sont durs et bien plus gros qu'ils ne l'étaient plus avant. Je m'installe, en profitant moi aussi de son vagin une dernière fois en disant que c'est pour le lubrifier ... bien que je pense boire plus de cyprine que je n'ajoute de salive ... Je remonte très lentement, en posant ma langue sur le bas de sa vulve, mon nez étant sur son clitoris et en léchant de bas en haut ses lèvres et en m'arrêtant une dizaine seconde sur son bouton magique. Les râles reviennent. Je continu à remonter en lui léchant et embrassant le corps, je tête chaque sein un long moment, tout en lui caressant l'entrejambe. Ses mouvements de bassin, rapides et amples, me renseignent sur l'état très avancé de son excitation. Je m'arrête un centimètre devant sa fine bouche légèrement ouverte d'où les râles sortent. Son halène douce emplie mes narines.
" - Tu ... est prête ? lui demande-je en passant ma langue sur ses lèvres.
- Oui. " murmure-t-elle, en m'embrassant goulûment.
Je me mets en position sur elle, mon bassin entre ses cuisses, mes bras sous ses aisselles et je l'embrasse en retour. Nos sexes étant face-à-face, j'avance le bassin lentement, pour qu'ils fusionnent. Lætitia est prise de convulsions de plaisir lorsque mon pénis frôle ses lèvres vaginales. N'y arrivant pas, je me relève légèrement et avec la main droite, j'écarte ses très sensibles lèvres vaginales et je pousse le bassin. N'étant pas parfaitement aligné, je bute encore sur une grande lèvre. Je sens une main déterminée qui attrape mon pénis et le présente à l'entrée de son sexe tandis que l'autre tire mon bassin vers elle. Je pousse, je la pénètre de quelques centimètres d'abord.
Je suis dans une position fantasmique, sur elle, mon pénis commençant à remplir son vagin, ses lèvres vaginales embrassant mon sexe. Que j'aime la sensation de son ventre contre le mien, je vois son beau visage avec un grand sourire. Elle a l'air heureuse de faire l'amour avec moi.
Le prépuce de mon gland se décalotte doucement, jusqu'à ce que le frein l'arrête. Je sors et mon extrémité se recalotte, décuplant mes sensations. Ce premier aller-retour provoque un puissant spasme qui parcourt le corps de Laetitia qui, me le transmet.
Depuis que je me suis installé sur elle, nos corps se couvrent de transpiration, légère pour Laetitia, plus ... intense pour moi, si bien que nous glissons maintenant l'un sur l'autre.
De quelques centimètres, je pousse de plus en plus loin, mais lentement, jusqu'à ce que mes quinze centimètres entrent en elle entièrement. Guère plus aurait pu rentrer, je sens que je bute sur le fond de sa cavité vaginale. Étant complètement en elle, il n'y a plus de distance entre nous et je goûte à TOUTE la douceur de la peau de son corps. Son vagin est très bien lubrifié mais je sens quand même les parois. Je coulisse en elle sans forcer mais sans non plus ne rien sentir.
Quelques minutes plus tard, mon gland est complètement décalotté depuis longtemps maintenant. Je rentre et sort centimètre par centimètre de son vagin. La sensation est exceptionnelle, je profite de CHAQUE mouvement. Ma belle-sœur accompagne mes mouvements de bassin par les siens. Nous sommes parfaitement callés l'un sur l'autre. Sentir mes hanches dans le creux de ses cuisses, dans sa zone la plus intime est un bonheur. Je regarde son visage de très près, ses yeux fermés qui s'ouvrent régulièrement mais brièvement, elle respire par sa bouche ouverte, j'inspire cet air passé par elle. Sa langue passe à intervalle régulier sur ses lèvres délicates et je profite d'un passage pour passer ma langue entre ses lèvres et l'embrasser. La réaction de Laetitia ne se fait pas attendre, elle me sert contre elle et sa langue ne quitte plus ma bouche.
Nos mouvements lents et doux laissent placent à d'autres, plus rapides et amples. Ils le sont tellement qu'à chaque aller-retour, je touche (doucement) le fond du vagin de ma belle-sœur et nos pubis se cognent. Chaque coup de butoir arrache un cri plus fort et grave à Laetitia.
Depuis que nous nous embrassons, j'ai mis mes bras derrière ses omoplates et je lui caresse la nuque et le dos avec mes mains. Je profite aussi pour la serrer contre moi, ce qu'elle fait aussi avec ses mains sur mes fesses, qui les agrippent, me griffent et me sert contre elle. Nous sommes tellement proche sur je sens son cœur battre à travers ma poitrine. Ses petits seins s'impriment dans mon torse.
Je sens le sperme monter en moi, une grosse quantité, une énorme quantité.
J'arrête mes mouvements, je sens que ça monte. Laetitia continue ses mouvements de bassin. Ses mouvements agissent sur moi, je sens que ça arrive, vite. Mon corps est pris de convulsions qui, à son tour, donne des convulsions à Laetitia, qui me hurle de jouissance dans les oreilles. Un puissant jet de semence inonde son vagin suivi de plusieurs autres et je sens que, pour le coup, je ne touche plus ses parois vaginales, tant il déborde. Je m'effondre dans son cou, ses cris de plaisirs intenses berçant mes oreilles.
Après quelques secondes, minutes, heures, je relève la tête, Laetitia ouvre les yeux, elle est aux anges, elle sourit. Je me désengage lentement, pour profiter des derniers instants de ce rapport sexuel et le sperme à, en effet, déborder. Il coule du bas de son vagin, dans son sillon anal et goutte un peu sur le lit.
Je me glisse contre elle, vidé dans tous les sens du terme. Mon sexe, complètement décalotté, plein de semence et de cyprine, est posé sur sa cuisse droite. Du sperme continu un peu de goutter de ma verge et une petite flaque se forme sur l’aine. Elle met sa main sur cette accumulation de semence, l'attrape et la porte à sa bouche en me regardant et souriant. Ensuite, elle descend sa main qu'elle place sur mon pénis et je pose ma main sur sa vulve et lui bouche le vagin pour que mon sperme ne sorte pas. Elle me remercie, toujours en souriant.
Après un moment, elle me dit :
" - Je vais rester là quelques minutes pour ... et me rhabiller. Merci pour ce plaisir. Me chuchote-t-elle.
Je l'embrasse.
- Je descends, je te laisse te reposer.... Je ... je t'aime, lui dis-je.
- Moi aussi ... moi aussi ...".
Je ferme la porte et laisse Laetitia se reposer et … se faire féconder ... peut-être, peut-être pas ...
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