LE CHANTIER (12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (12)
Cela fait plus de huit jours que nous avons été donnés des cours sur le chantier tous les soirs.
La méthode Maryse est efficace à plus d’un titre.
Les hommes parlent de mieux en mieux et surtout Petrov qui me parle sans mâcher les mots et a abandonné le petit-nègre.

Mais surtout huit jours à baiser de manière intensive, la méthode Maryse nous a permis d’explorer des terres inconnues.
Déjà pour Maryse qui apprend la double pénétration et la double anal, elle a tenté six sexes en elle et sur elle, mais ce qu’elle préfère, c’est celui de Petrov qui se détache de moi pour investir le cœur de notre belle.
Nadia aussi a bien appris le français, elle explore les verbes, sucer, mélanger et surtout sodomiser.
Et moi qu’est-ce que j’apprends ?
Par une gymnastique impossible à imaginer, je réalise un quadruple de bite en moi.
Deux dans la chatte en double pénétrations, une dans mon cul par Christian et celle de Petrov dans ma bouche.
La seule présence de Christian me sodomisant démontre l’exploit que mon corps réalise vu l’ampleur de son manche.

Une seule ombre au tableau le bâtiment administratif sera fini prochainement et la cabane de chantier sera enlevée pour faire place à une allée faisant le tour des installations.
Ajouté à cela le mois de septembre avec ses nuits plus courtes et fraîches.
Fini de passer des soirées en profitant de la piscine et surtout de mon lit de plaisir.
En attendant ces mauvais jours, il est bientôt quinze heures et Maryse Nadia et moi venons de finir de déjeuner. Il faut bien récupérer de nos orgies nocturnes.
Suivant notre bonne habitude, nous mangeons nue, lorsque la sonnette de l’entrée retentie.

Je vais ouvrir me couvrant au passage du peignoir que nous avons pendu dans l’entrée à cet usage évitant de courir dans nos chambres.

• Pierre qu’est-ce qui t’amène par ce beau soleil.

J’ai failli le vouvoyer alors que je me souviens que dans son bureau pour mieux l’appâter, je me suis mise à le tutoyer.

• Je peux te voir, j’ai une proposition à te faire.
• Entre, nous sommes sur la terrasse avec des amies.
• Je repasserais, je vais vous déranger.
• Viens, ce sont des amies qui comblent ma solitude.

S’il savait comment nous la comblons, les nuits avec nos cours de français et dans la journée lorsque sur mon lit Maryse et moi somme nonchalamment allongé et que Nadia vient dans nos fourches pour nous faire jouir avec sa langue experte.
Il est vrai que nous sommes redevables lorsque sur les marches de la piscine, nous la coinçons pour lui brouter minette et lui faire des feuilles de rose sans oublier ses seins que nous aimons agresser, les mordillant tellement fort que, de temps en temps elle aime lorsqu’une perle de sang vient leur donner de la couleur.
Nous arrivons sur la terrasse où nos amies toujours dans le plus simple appareil trinquent avec un verre de rosé.

• Maryse, tu es là, beaucoup de monde s’interroge où tu es passé après tes déboires de vacances.
Valérie peux-tu me présenter cette jolie jeune fille que je n’ai jamais-vu dans la commune.
• Oui, Pierre, j’ai invité Maryse à vivre ici lorsque j’ai su que son mari l’avait jeté à la rue et je te présente Nadia qui vit aussi avec moi après quelques galères familiales.
• Bonjour jeune fille, lorsque l’on me parle de galère familiale et que je vois vos jolis grands yeux noirs, je pense que vos déboires sont liés à des vacances dans le pays d’origine de votre père.
• Vous êtes perspicace.
• Non, simplement maire d’une commune où plusieurs jeunes filles ont été confrontées à ce problème et moi avec.
Le lieu est sûr, cachez-vous bien auprès de Valérie.
• Je t’offre un petit rosé bien frais.
• Je bois peu, mais avec cette chaleur, pourquoi pas.

Monsieur le maire est rubicon, ses yeux allant de la chatte de Maryse qui est aussi garce que moi et qui s’assoie d’une manière équivoque lui montrant la partie rose de sa fente où Nadia aussi nue qui lui montre ses tétons au-dessus de la table.

• Valérie, je suis venu te voir pour une autre affaire que le poste de gestionnaire du complexe même si ce dossier avance lentement.
• Tu nous as caché cela, j’ai failli postuler et ainsi évité les kilomètres tous les jours mais ma séparation a changé ce plan.
Valérie a-t-elle des chances d’avoir le poste Pierre ?
• Lorsque j’analyse la situation, le premier tour se passera sans problème.
• Pour le deuxième tour, qui sera décisif les deux candidats ou candidates les mieux placées étant en finale, cela se complique.

Il porte son verre à la bouche, je sens que, manifestement je sois perdante alors une fois de plus, je joue, mon va-tout et je laisse mon peignoir s’ouvrir montrant, moi aussi ma nudité.
Il se sent obligé de finir son verre. Il va nous falloir faire attention que monsieur le représentant de la ville sorte sur ses deux jambes et non pas allongé dans un costume en chêne. Je parle bien de chêne car un sénateur, président du conseil général et maire de notre commune à certainement les moyens de se payer un cercueil dans ce bois.
Je lui ressers, un verre ce faisant je me penche et mes seins lui apparaissent intégralement.
Il sort son mouchoir et s’essuie le front.

• Avec ton expérience, comment vois-tu le scénario ?
• Nous sommes sept à décider, je suis sûr de deux voies. Madeleine, la droguiste et moi.

C’est normal, Madeleine est sa maîtresse et il fait porter des cornes au droguiste qui a du mal à passer sous certaines portes risquant de se fracasser dessus.

• Je pense que le garagiste votera pour toi, je viens de lui commander une nouvelle voiture en lui mettant une réserve suivant son choix, car son concurrent à l’autre bout de notre ville souhaiterait bien récupérer ma clientèle.

Maryse prend la parole.

• Cela fait trois qui te sont potentiellement acquis, il va falloir que je change ma voiture, Nadia, tu es partante, on ira demain après midi l’acheter chez lui si...
• Tu as raison ma belle. Pierre, tu peux compter trois voies pour Valérie.
• Deux sont perdues d’avance, les jumeaux notaires, ils me haïssent et systématiquement votent contre mes propositions.
La suivante, comment vous dire, Eliane le proviseur du lycée, je connais énormément de choses sur mes administrés, mais j’ignorais qu’elle aimait les femmes et exclusivement les femmes. Pourquoi me cacher que je suis considéré comme un grand dragueur et j’ai eu le malheur de lui faire une proposition très honnête entre célibataires mais qu’elle a fortement repoussé comme gougnotte ! Depuis j’ai le même résultat qu’avec les jumeaux.
• Et le ou la septième ?
• Le curé, lorsque mon prédécesseur a mis en place cette commission pour les choix importants dans la commune, deux critères là habités.
Des postes incontournables.
Le maire et le curé qui ont comme duré le temps de leur mandat dans la commune et cinq membres à vie qui peuvent être remplacés que par le décès ou la démission de la personne.
Dans ce cas, les autres votent le remplacement du déficient avec une voie prépondérant en cas d’égalité pour le maire.
Chaque fois, le curé a fait pencher la balance, sauf le bon Dieu, il n’a aucun maître.

• C’est mal barré, j’ai toujours séché la messe depuis ma communion.
Il est un peu tard de lui envoyer un chèque pour le denier du culte, là encore j’ai oublié de donner et cela pourrait lui paraître suspect de le faire aujourd’hui.
Je peux prier, peut-être que son copain en haut m’entendra et éclairera son choix.
• Il pourrait arriver des miracles. Les voies de Dieu…
C’est Maryse qui a prononcé cette phrase.

• On verra dans trois jours pour le moment je suis là pour autre chose. J’ai une proposition à te faire et peut-être une à Maryse pendant que je suis avec elle.
• Je t’écoute.
• Vous savez certainement que, dans quelques mois il y aura le même jour deux élections où je suis le candidat sortant.
La mairie et le conseil général.
• Oui, bien sûr, avant que tu arrives, on parlait de cela avec mes amies. Nous disions, il y a les élections dans notre commune et Pierre notre copain est le candidat sortant.
Pierre se redresse bombe le torse que trois aussi jolies femmes ont pensé à sa réélection.
• Valérie, tu te moques, mais la ligne que je défends pour notre commune serait mise à mal par ce fumier de pharmacien s’il gagnait les fauteuils.

La haine dont ce voue ces deux hommes est légendaire, le pharmacien ayant levé sauté et épousée la fiancée du premier qui suite à cette infidélité est toute sa vie restée célibataire.
Pour tout dire, il se dit que le maire s’est vengé en cocufiant le pharmacien dans l’arrière-boutique en venant acheter de l’aspirine alors qu’il recevait le représentant d’un laboratoire dans son bureau.

• J’ai eu deux idées pour ces élections après ton passage dans mon bureau et l’assurance que tu m’as montrée après les malheurs qui te sont arrivés.
Commençons par le conseil général.
La loi a changé et il faut que nous présentions un binôme homme-femme qui s’il est élu dirigerons le conseil général ensemble pour la parité.
Ton ardeur m’a séduite et je te propose d’être mon binôme.
S’occuper du département est passionnant et je si tu as le poste du centre sportif, ce serait complémentaire.
• Les copines qu’est-ce que vous en pensez ?
• Go, go, encore go. Il faut de l’ambition dans la vie et c’est ce que Hugo a muselé chez moi depuis notre mariage.
• Vas-y ma chérie, nous serons là pour t’épauler.
• Alors d’accord je ferai campagne avec toi.

Bien joué pépère, tu me fais élire à un poste de ton niveau et tu espères que j’écarte les cuisses, je comprends mieux pourquoi il est dit que te lâcher dans le village, c’est lâcher un coq dans la basse-cour.

• Il y a autre chose, parlons des municipales.

À ce point je sens que, là il faut lui donner un gage de fidélité. Je laisse mon peignoir glisser et c’est ma chatte qui s’étale devant lui.
C’est en urgence que je lui ressers un verre de vin qu’il boit cul sec à la porte de l’apoplexie.

• La chaleur me fait perdre le sens de ce que je veux te dire. Oui, en suivant la même idée, je travaille pour construire ma liste en mettant en avant toujours la parité.
• Je souhaite que tu sois le numéro deux de ma liste en cohérence avec le poste de conseiller général. Si nous sommes élues, tu serais mon premier adjoint à la place d’Alfonse qui par chance souhaite arrêter après quatrième mandat.
À ce titre, tu auras un bureau contigu au mien à la mairie et tu t’occuperas du social en priorité.

Quelle vieille macro de la politique, en deux minutes, il vient de tisser sa toile et de presque être arrivé à me mettre son sexe dans les orifices que je lui permets de mater.
Je regarde Maryse qui d’un mouvement de tête me fait signe d’accepter.

• Tout ce que tu dis est cohérent, j’accepte.
• Bien, il me restait une place pour une femme à trouver dans ma liste pour avoir 50 à 50 entre les femmes et les hommes.
Maryse, veux-tu prendre cette place en position éligible, ton mari en te virant pour ton infidélité alors qu’il est bien connu qu’il saute tout ce qui bouge derrière ton dos fait de toi la candidate idéale de toutes les femmes qui savent qu’il t’a viré et des hommes qu’il a cocufiés.
Demande à Valérie, je suis sûr qu’il lui a fait des avances.
• C’est vrai, un jour que Gaétan était absent, il s’est pointé et ma sortie sa verge en me disant que je n’en avais jamais-vu d’aussi belle et grosse et qu’il souhaitait me prendre comme une bête en remplacement mon mari qui devait en profiter en Angleterre.
Je lui ai fait prendre la porte en lui disant que s’il revenait m’embêter, je te dirais, comment il agissait. Comme il a certainement eu peur et qu’il s’est bien gardé de revenir, j’ai fini par oublier.
• Je te propose d’entrer sur la liste avec ta copine qui se sentira moins seule vue le degré d’intimité que vous semblez avoir tissé entre vous.
Quant à vous mademoiselle, vous êtes trop récemment installé ici et vous n’êtes pas sur les listes électorales, mais vous pourrez aider vos amies dans des commissions.
• Pierre, merci pour tous, vient te baigner.

En disant cela, je me lève cour vers la piscine faisant voler mon peignoir. Maryse et Nadia en faisant de même.
Je suis dans l’eau lorsque je vois Pierre, se dévêtir et courir vers nous certainement presser de faire entrer dans l’eau sa petite queue toute riquiqui.
C’est Nadia qui est la plus cochonne de nous trois en jouant avec monsieur le maire comme une petite fille peut le faire sans penser à mal.
Je plonge une fois non loin de lui et je peux admirer les sept à huit centimètres que les jeux de Nadia ont permis de développer.
Si je dois être baisé ce que j’espère, car j’aurais eu le poste, Christian et Petrov sentiront à peine qu’ils sont cocus…

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