LE CHANTIER (35)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (35)
Nous avons réussi notre soirée et Hilda est assise nue devant moi une coupe de champagne à la main.
• Tu es réveillé, je viens de donner mon sentiment à mes compatriotes et nous avons définitivement arrêté notre décision.
Je m’approche et je m’assieds près d’eux.
La conversation engageant l’avenir de la commune et de ses habitants sur le plan de l’emploi se passe autour de cette table les fesses des participants à l’air ainsi que les seins arrogants d’Hilda.
• Voici la confirmation de ce que nous avions déjà décidé avant de venir.
Ta commune mérite mieux que les trois cents emplois dont nous avions évoqué avec feu ton mari.
Tous tes amis et surtout Soso et Criss se sont beaucoup donnés pour que je prenne une décision en votre faveur, mais il serait utopique d’implanter l’usine de récupération et de broyage des déchets verts aussi loin des forêts pyrénéennes et des Landes.
J’ai perdu et les larmes me montent aux yeux.
• Merci tout de même Hilda, je te remercie de ta franchise et je souhaite bonne chance à la commune concurrente à qui tu vas donner l’implantation de ton usine.
• Demande à Rupert, j’ai horreur que l’on m’interrompe avant que je n’aie fini un exposé.
Ce que je viens de te dire était le point numéro 1, il y a un point numéro deux, je vais devenir le leader européen et pourquoi pas mondiale si tout va bien de la fabrication de granuler pour un nouveau type de chaudière à bois très design qui va être lancé sur le marché.
Cette usine dirigée par notre ami Willem aura besoin dans un premier temps d’ouvriers pour la construction des bâtiments et dès le commencement de la production 200 cents personnes pour finir à 400 quand les camions feront la navette entre les deux unités.
Il aurait été préférable que les deux usines soient plus rapprochées pour diminuer les coûts de transport. Il faut que je sois réaliste, je peux difficilement avoir tous les avantages or l’autoroute avec la sortie prévue sur ta commune qui va servir pour contourner différents villages avec les gros morceaux du A380 d’Airbus venant de la côte va nous faciliter la vie. Le terrain que tu me proposes est contigu à cette sortie et va me permettre d’arroser toute l’Europe du Sud au nord vers l’Allemagne et la Hollande, du Est l’Ouest vers l’Italie, la Grèce et même la Russie avec ses hivers très froids.
• Merci, tu auras toujours une chambre à ta disposition dans ma maison, mais avant il va falloir que je prenne un contrat avec la société de champagne près d’Épernay pour me faire livrer, moi aussi des camions de ce breuvage dont tu sembles particulièrement apprécier dans tes coupettes.
J’en ai encore quelques bouteilles dans le frigo de cet appartement aussi si tu le veux bien, nous allons faire péter un bouchon comme l’on dit ici pour seller notre projet que je te remercie de réaliser dans ma commune.
• Willem apprend à servir cette grande dame que nous avons eu plaisir à rencontrer depuis hier.
Mais encore deux choses la première, je souhaite investir quelques billets sur l’idée de transformer ta maison en palais des plaisirs exclusivement tournés vers les envies des femmes avec les hommes devant être là seulement pour les satisfaire.
Je vais aller rejoindre Criss et Soso à l’étage pour discuter de différents points que j’aimerais trouver pour que les petits culs de Rupert et aussi Willem sortent aussi marqués quand ils s’occupent du mien.
Deuxièmement, ces deux salopiaux avant que tu te réveilles me disaient qu’ils avaient fortement envie avant que nous partions, d’aller te rejoindre sur le lit au bord de la piscine où tes filles se sont particulièrement occupées d’eux les deux fois où tu leur as fait l’honneur de les recevoir.
Nous buvons une coupe quand avec une bouteille d’une main, une coupette de l’autre, elle passe près de moi, me donne un baiser langoureux et s’en va vers l’étage.
Les deux hommes me prennent chacun une main et me conduisent enfin vers le lit près de la piscine où tout a commencé et qui semble être la chance de ma vie au moment où elle aurait pu basculer vers le néant, je la vois monter fièrement les marches vers ceux qui vont avoir à subir son tempérament de feu.
En attendant de les voir redescendre, je me laisse glisser sur mon lit des plaisirs dans ma maison des plaisirs les cuisses largement écartées attendant l’assaut de mes deux Néerlandais.
Je vais pouvoir comparer l’attaque à la Française avec l’attaque à la Hollandaise de la vulve d’une femme française, je suis servi quand Rupert vient poser sa bouche sur mon clitoris et que Willem me donne sa queue à sucer, je suis contente de concrétiser le traité de Rome qui a réalisé la cohésion de nos pays qui ont été déchirés pendant des années.
Je me souviens du slogan des années 68 faites l’amour et pas la guerre.
L’amour, je le fais et je crois que je le fais bien quand je m’empale sur Rupert et que son acolyte vient m’enculer, je pratique l’entente cordiale et je me délecte de ces deux sexes qui me labourent faisant monter dans ma piscine, les râles de plaisir tiré de mon corps.
La porte de la chambre où Soso doit être honoré doit être ouverte, car je reconnais les tonalités de ses cris aussi fort que les miens au moment où nous jouissons en commun, ces cris sont rapidement relayés par le plaisir que doit prendre Hilda qui doit participer à la fête et en point d’orgue les hululements des trois hommes nous remplissant simultanément.
Un rire monte en moi que je retiens de peur de vexer ceux qui pour de nouveau m’honorer inversent le sens de leur pénétration.
Il me vient à l’esprit que Soso, Hilda et moi venons d’inaugurer ce que sera bientôt ce lupanar comme le disaient mes filles l’autre jour.
C’est allongé sur ce lit si important pour moi et surtout facteur de chance que je la vois redescendre toute pimpante comme si cette nuit elle avait dormi 12 heures, ma Hollandaise favorite.
Encore une coupette pour l’amitié et elle récupère ses affaires où nos amis les ont rangés à leur arrivée non sans avoir aboyé dans sa langue aux deux hommes qui réagissent rapidement comme s’ils avaient été piqués par une guêpe, se lèvent et vont aussi cacher leur virilité.
• Valérie, peux-tu nous faire reconduire à notre hôtel, je prends un avion dans deux heures à Toulouse et il faut que nous nous dépêchions.
J’espère que la Hollande a été à la hauteur de la réputation des Français ce que je viens encore de vérifier avec Criss qui m’a sodomisé avec une maestria qui me fait encore mal au cul.
Il est drôle d’entendre Hilda prononcer certains mots en français entièrement dans leur contexte, mais qu’une femme honnête éviterait de prononcer pour éviter de passer pour une salope, pour éviter de dire pute dans le contexte où elle a bâti sa fortune.
• Je m’habille et je vous emmène, cela nous permettra de prolonger le temps passé ensemble.
• Je suis prête dans une minute, c’est monsieur aussi, je l’espère.
Tu veux te doucher.
• Non, je m’en voudrais de finir notre séjour sur une fosse note risquant de nous fâcher si tu manques ton avion, j’aurais sur moi l’odeur de tes deux mâles qui ont si bien occupé mon intimité et qui m’ont fait jouir aussi bien que Christian et Petrov quand ils me prennent en double pénétration.
• Bien mes hommes, je peux partir en paix, l’honneur de notre pays est sauf alors en route.
Je les reconduis à leur hôtel, Hilda en chemin me signale qu’elle a tout réglé avec Criss et Soso concernant les travaux qu’il lui a présenté et qu’elle adore et lui a donné le montant de sa participation.
Je pense qu’elle omet de me dire que dans cette période de la nuit dans cette chambre, elle a dû en prendre pas mal elle aussi par la France flamboyante représentée par Soso et Criss.
Il faut bien ce dire à bientôt et se voir de plus en plus petit dans les rétros satisfait du travail de mes louves que j’en suis sûr, est à la base de l’implantation de la deuxième entreprise sur notre commune qui sera numéro un en matière d’emploi.
Les ayant déposés dans un grand mouvement d’effusion, j’ai tendance à appuyer sur le champignon afin de revenir, car je me demande ce que sont devenus Soso et Criss.
Je suis sûr de ce qui leur est arrivé ce qui confirmerait qu’ils sont restés dans la chambre lors du départ d’Hilda.
Je constate quand j’arrive en haut des marches et que je franchis, la porte que ce que je pensais se vérifie.
Le couple est attaché côte à côte par les quatre menottes qui par un fait du hasard de l’histoire ont été installées par un nommé Criss les subissant ainsi lui même.
C’est à ce moment que l’histoire de Tantale me revient en mémoire et surtout la lutte pour la possession de sa femme que nous avons pratiquée à distance.
Aussitôt, nue aussitôt fait, je m’installe dans la fourche de Soso et je lui écarte délicatement, les cuisses afin d’avoir à ma disposition la vulve de mon allié.
• Valérie, détache-moi, je vais vous honorer toutes les deux regarde à te voir te déshabiller, je bande.
• Silence esclave, depuis ce matin, ce sont les femmes qui commandent dans cette maison et nous te ferons participer suivant notre bon vouloir, tu es d’accord Soso.
• Oui, tu as raison, mets en pratique dès ce matin l’idée que je t’ai soumise de la soumission des hommes dans ce lieu qui va devenir idyllique pour nous les pauvres petites femmes écrasées par ces machos et surtout moi par celui qui est à nos côtés.
Satisfaite de sa réponse, je me penche et viens en contact de sa vulve dégoulinante de sa cyprine et du sperme que Criss lui a envoyés lors de leurs ébats avec Hilda avant que par vice, elle l’attache.
Au goût, les deux femmes ont dû se caresser simultanément les chattes, car je reconnais l’odeur de la belle néerlandaise, ce qui fait redoubler ma langue autour de son clitoris et de sa vulve qu’elle pénètre à lui arracher des cris qui doivent une fois de plus résonner jusqu’à la cave.
Je la détache afin qu’elle puisse me rendre mes caresses, car depuis que j’ai lâché les chevaux de ma sexualité ces moments de plénitude que m’apportent les caresses d’une femme son complémentaire d’un moment ou deux sexes me défoncent comme c’était le cas pas plus tard qu’il y a deux heures.
• Les filles, soyez sympa, je vais vous faire partir au-delà de ce que vous avez connu, je vais mourir si vous me laissez dans cet état.
Le 69 que nous venons de former évite que nous lui répondions, Criss devient le premier homme que je l’espère seront suivis de nombreux autres qui subissent la volonté de deux femmes dans cette maison.
C’est si bon que malgré la fatigue de la nuit qui commence à peser sur nous je suce cette vulve qui m’est offerte autant que j’offre la mienne à mon amie.
Criss est obligé de constater qu’il peut nous être inutile d’avoir sa queue en nous pour que nous jouissions.
Bonne âme qui un jour me perdra, je saisis la main de Soso et toutes les deux quand nous rejoignons cérébralement le lit ou nous nous allongeons dans les bras l’une de l’autre en nous embrassant nous masturbons Criss jusqu’au moment très rapide où ses jets de sperme partent vers le ciel et viennent retomber en pluie sur son ventre.
• Soso vient jusque chez moi, je t’offre le café…
• Tu es réveillé, je viens de donner mon sentiment à mes compatriotes et nous avons définitivement arrêté notre décision.
Je m’approche et je m’assieds près d’eux.
La conversation engageant l’avenir de la commune et de ses habitants sur le plan de l’emploi se passe autour de cette table les fesses des participants à l’air ainsi que les seins arrogants d’Hilda.
• Voici la confirmation de ce que nous avions déjà décidé avant de venir.
Ta commune mérite mieux que les trois cents emplois dont nous avions évoqué avec feu ton mari.
Tous tes amis et surtout Soso et Criss se sont beaucoup donnés pour que je prenne une décision en votre faveur, mais il serait utopique d’implanter l’usine de récupération et de broyage des déchets verts aussi loin des forêts pyrénéennes et des Landes.
J’ai perdu et les larmes me montent aux yeux.
• Merci tout de même Hilda, je te remercie de ta franchise et je souhaite bonne chance à la commune concurrente à qui tu vas donner l’implantation de ton usine.
• Demande à Rupert, j’ai horreur que l’on m’interrompe avant que je n’aie fini un exposé.
Ce que je viens de te dire était le point numéro 1, il y a un point numéro deux, je vais devenir le leader européen et pourquoi pas mondiale si tout va bien de la fabrication de granuler pour un nouveau type de chaudière à bois très design qui va être lancé sur le marché.
Cette usine dirigée par notre ami Willem aura besoin dans un premier temps d’ouvriers pour la construction des bâtiments et dès le commencement de la production 200 cents personnes pour finir à 400 quand les camions feront la navette entre les deux unités.
Il aurait été préférable que les deux usines soient plus rapprochées pour diminuer les coûts de transport. Il faut que je sois réaliste, je peux difficilement avoir tous les avantages or l’autoroute avec la sortie prévue sur ta commune qui va servir pour contourner différents villages avec les gros morceaux du A380 d’Airbus venant de la côte va nous faciliter la vie. Le terrain que tu me proposes est contigu à cette sortie et va me permettre d’arroser toute l’Europe du Sud au nord vers l’Allemagne et la Hollande, du Est l’Ouest vers l’Italie, la Grèce et même la Russie avec ses hivers très froids.
• Merci, tu auras toujours une chambre à ta disposition dans ma maison, mais avant il va falloir que je prenne un contrat avec la société de champagne près d’Épernay pour me faire livrer, moi aussi des camions de ce breuvage dont tu sembles particulièrement apprécier dans tes coupettes.
J’en ai encore quelques bouteilles dans le frigo de cet appartement aussi si tu le veux bien, nous allons faire péter un bouchon comme l’on dit ici pour seller notre projet que je te remercie de réaliser dans ma commune.
• Willem apprend à servir cette grande dame que nous avons eu plaisir à rencontrer depuis hier.
Mais encore deux choses la première, je souhaite investir quelques billets sur l’idée de transformer ta maison en palais des plaisirs exclusivement tournés vers les envies des femmes avec les hommes devant être là seulement pour les satisfaire.
Je vais aller rejoindre Criss et Soso à l’étage pour discuter de différents points que j’aimerais trouver pour que les petits culs de Rupert et aussi Willem sortent aussi marqués quand ils s’occupent du mien.
Deuxièmement, ces deux salopiaux avant que tu te réveilles me disaient qu’ils avaient fortement envie avant que nous partions, d’aller te rejoindre sur le lit au bord de la piscine où tes filles se sont particulièrement occupées d’eux les deux fois où tu leur as fait l’honneur de les recevoir.
Nous buvons une coupe quand avec une bouteille d’une main, une coupette de l’autre, elle passe près de moi, me donne un baiser langoureux et s’en va vers l’étage.
Les deux hommes me prennent chacun une main et me conduisent enfin vers le lit près de la piscine où tout a commencé et qui semble être la chance de ma vie au moment où elle aurait pu basculer vers le néant, je la vois monter fièrement les marches vers ceux qui vont avoir à subir son tempérament de feu.
En attendant de les voir redescendre, je me laisse glisser sur mon lit des plaisirs dans ma maison des plaisirs les cuisses largement écartées attendant l’assaut de mes deux Néerlandais.
Je vais pouvoir comparer l’attaque à la Française avec l’attaque à la Hollandaise de la vulve d’une femme française, je suis servi quand Rupert vient poser sa bouche sur mon clitoris et que Willem me donne sa queue à sucer, je suis contente de concrétiser le traité de Rome qui a réalisé la cohésion de nos pays qui ont été déchirés pendant des années.
Je me souviens du slogan des années 68 faites l’amour et pas la guerre.
L’amour, je le fais et je crois que je le fais bien quand je m’empale sur Rupert et que son acolyte vient m’enculer, je pratique l’entente cordiale et je me délecte de ces deux sexes qui me labourent faisant monter dans ma piscine, les râles de plaisir tiré de mon corps.
La porte de la chambre où Soso doit être honoré doit être ouverte, car je reconnais les tonalités de ses cris aussi fort que les miens au moment où nous jouissons en commun, ces cris sont rapidement relayés par le plaisir que doit prendre Hilda qui doit participer à la fête et en point d’orgue les hululements des trois hommes nous remplissant simultanément.
Un rire monte en moi que je retiens de peur de vexer ceux qui pour de nouveau m’honorer inversent le sens de leur pénétration.
Il me vient à l’esprit que Soso, Hilda et moi venons d’inaugurer ce que sera bientôt ce lupanar comme le disaient mes filles l’autre jour.
C’est allongé sur ce lit si important pour moi et surtout facteur de chance que je la vois redescendre toute pimpante comme si cette nuit elle avait dormi 12 heures, ma Hollandaise favorite.
Encore une coupette pour l’amitié et elle récupère ses affaires où nos amis les ont rangés à leur arrivée non sans avoir aboyé dans sa langue aux deux hommes qui réagissent rapidement comme s’ils avaient été piqués par une guêpe, se lèvent et vont aussi cacher leur virilité.
• Valérie, peux-tu nous faire reconduire à notre hôtel, je prends un avion dans deux heures à Toulouse et il faut que nous nous dépêchions.
J’espère que la Hollande a été à la hauteur de la réputation des Français ce que je viens encore de vérifier avec Criss qui m’a sodomisé avec une maestria qui me fait encore mal au cul.
Il est drôle d’entendre Hilda prononcer certains mots en français entièrement dans leur contexte, mais qu’une femme honnête éviterait de prononcer pour éviter de passer pour une salope, pour éviter de dire pute dans le contexte où elle a bâti sa fortune.
• Je m’habille et je vous emmène, cela nous permettra de prolonger le temps passé ensemble.
• Je suis prête dans une minute, c’est monsieur aussi, je l’espère.
Tu veux te doucher.
• Non, je m’en voudrais de finir notre séjour sur une fosse note risquant de nous fâcher si tu manques ton avion, j’aurais sur moi l’odeur de tes deux mâles qui ont si bien occupé mon intimité et qui m’ont fait jouir aussi bien que Christian et Petrov quand ils me prennent en double pénétration.
• Bien mes hommes, je peux partir en paix, l’honneur de notre pays est sauf alors en route.
Je les reconduis à leur hôtel, Hilda en chemin me signale qu’elle a tout réglé avec Criss et Soso concernant les travaux qu’il lui a présenté et qu’elle adore et lui a donné le montant de sa participation.
Je pense qu’elle omet de me dire que dans cette période de la nuit dans cette chambre, elle a dû en prendre pas mal elle aussi par la France flamboyante représentée par Soso et Criss.
Il faut bien ce dire à bientôt et se voir de plus en plus petit dans les rétros satisfait du travail de mes louves que j’en suis sûr, est à la base de l’implantation de la deuxième entreprise sur notre commune qui sera numéro un en matière d’emploi.
Les ayant déposés dans un grand mouvement d’effusion, j’ai tendance à appuyer sur le champignon afin de revenir, car je me demande ce que sont devenus Soso et Criss.
Je suis sûr de ce qui leur est arrivé ce qui confirmerait qu’ils sont restés dans la chambre lors du départ d’Hilda.
Je constate quand j’arrive en haut des marches et que je franchis, la porte que ce que je pensais se vérifie.
Le couple est attaché côte à côte par les quatre menottes qui par un fait du hasard de l’histoire ont été installées par un nommé Criss les subissant ainsi lui même.
C’est à ce moment que l’histoire de Tantale me revient en mémoire et surtout la lutte pour la possession de sa femme que nous avons pratiquée à distance.
Aussitôt, nue aussitôt fait, je m’installe dans la fourche de Soso et je lui écarte délicatement, les cuisses afin d’avoir à ma disposition la vulve de mon allié.
• Valérie, détache-moi, je vais vous honorer toutes les deux regarde à te voir te déshabiller, je bande.
• Silence esclave, depuis ce matin, ce sont les femmes qui commandent dans cette maison et nous te ferons participer suivant notre bon vouloir, tu es d’accord Soso.
• Oui, tu as raison, mets en pratique dès ce matin l’idée que je t’ai soumise de la soumission des hommes dans ce lieu qui va devenir idyllique pour nous les pauvres petites femmes écrasées par ces machos et surtout moi par celui qui est à nos côtés.
Satisfaite de sa réponse, je me penche et viens en contact de sa vulve dégoulinante de sa cyprine et du sperme que Criss lui a envoyés lors de leurs ébats avec Hilda avant que par vice, elle l’attache.
Au goût, les deux femmes ont dû se caresser simultanément les chattes, car je reconnais l’odeur de la belle néerlandaise, ce qui fait redoubler ma langue autour de son clitoris et de sa vulve qu’elle pénètre à lui arracher des cris qui doivent une fois de plus résonner jusqu’à la cave.
Je la détache afin qu’elle puisse me rendre mes caresses, car depuis que j’ai lâché les chevaux de ma sexualité ces moments de plénitude que m’apportent les caresses d’une femme son complémentaire d’un moment ou deux sexes me défoncent comme c’était le cas pas plus tard qu’il y a deux heures.
• Les filles, soyez sympa, je vais vous faire partir au-delà de ce que vous avez connu, je vais mourir si vous me laissez dans cet état.
Le 69 que nous venons de former évite que nous lui répondions, Criss devient le premier homme que je l’espère seront suivis de nombreux autres qui subissent la volonté de deux femmes dans cette maison.
C’est si bon que malgré la fatigue de la nuit qui commence à peser sur nous je suce cette vulve qui m’est offerte autant que j’offre la mienne à mon amie.
Criss est obligé de constater qu’il peut nous être inutile d’avoir sa queue en nous pour que nous jouissions.
Bonne âme qui un jour me perdra, je saisis la main de Soso et toutes les deux quand nous rejoignons cérébralement le lit ou nous nous allongeons dans les bras l’une de l’autre en nous embrassant nous masturbons Criss jusqu’au moment très rapide où ses jets de sperme partent vers le ciel et viennent retomber en pluie sur son ventre.
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