LE CHANTIER (38)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (38) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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LE CHANTIER (38)
Nous venons de prendre en photo Éliane avec sa copine Flavie qu’elle vient de retrouver.
Flavie semble avoir évolué vers le libertinage sado car dans notre palais des plaisirs où nous les retrouvons le cuir à l’air d’être une seconde peau pour elle.
Ajouté à cela la cravache qu’elle se sert en virtuose et nous venons de découvrir la nouvelle Flavie.

• Nadia va à la mairie, annule la réunion de ce soir et fait des tirages photos sur l’ordi de la belle Flavie fouettant et broutant notre amie Éliane, tu mets les photos dans mon tiroir où nous avons la clef commune et tu as quartier libre jusqu’à demain après-midi où nous retournerons chercher la troisième Aphrodite.
• Et toi, que vas-tu faire.
• Simplement retrouver Christian, demain je vais avoir une rude journée.
• Je peux savoir.
• Un peu de mystère je te dirais tout demain dans l’appartement, si j’arrive un peu en retard, commence à chercher.
• Demain matin, je commence le code et la conduite.
• À quelle heure ?
• 8 heures.
• Super, fait sonner mon phone à 9 heures, insiste plusieurs fois jusqu’à ce que je décroche, je dois aller à Toulouse.

J’entre chez moi et je retrouve Christian qui est content de passer la nuit avec moi.
Nous sommes dans la salle de bain et je le savonne non sans oublier d’ouvrir la bouche pour avaler sa bite jusqu’aux couilles qu’il a grosse et bien rempli du sperme que dans tous mes périples aventureux, j’ai eu tendance à les abandonner.
Nous nous essuyons, il me porte sur notre lit.
Je sens sous moi sa trique qui bat mes fesses prêtent à se faire pénétrer et me déposent sur notre lit.

• Attends, j’arrive.

Il va à la porte et la ferme à clef.

• Mon cœur à nous, tu vas voir la nuit que je vais te faire passer et comme je veux notre totale intimité, j’ai bloqué notre porte.
• Je reconnais que je te délaisse un peu ces temps si, mais depuis cet été les choses se sont précipitées et le temps passe à grande vitesse.
• Aurais-tu une soirée à me consacrer samedi soir, je t’invite au restaurant ?
• Tu as quelque chose à fêter.
• Cela, ce peu, assez parler ma salope écarte tes cuisses, j’ai perdu le gout de ta chatte et je vais me rafraîchir la mémoire.

C’est ainsi que je retrouve mon amour.
Sa langue très charnue comme beaucoup d’hommes de couleur viennent se promener dans tous les recoins de ma vulve que rapidement retrouve, comment il m’a séduite.
Si je m’échappe de temps en temps dans d’autres bras, c’est pour éviter de revivre l’humiliation que j’ai subie quand j’ai découvert que Gaétan me trompait, pire même qu’il avait une double vie et que, depuis je tiens à laisser mon corps vivre le moment présent.
Celui que me procure mon homme reste hors norme, il sait trouver le rythme qui me plait dès que son gros bâton est entré en moi.
Si nous sommes seules portes fermées à clef, les amis présents dans les pièces voisines doivent se dire que la grande salope que je suis va ramasser dure ce soir avec l’homme de sa vie.
Ce qu’il y a de bien lors de cette nuit, c’est que Christian me fait reprendre gout aux amours en simple position du missionnaire et plus tendrement de la cuillère, car il me prend dans ses bras alors que je tourne ma tête pour que nos bouches se trouvent dans un baiser enflammant nos corps et son envie de moi.
Notre position aurait pu lui permettre de m’enculer, mais quand il se replace dans ma chatte je comprends par ce geste qu’il veut me faire voir l’étendue de son amour.
C’est comme cela que jusqu’à neuf heures nous dormons repus de nos sexes.

• Allô ma chérie, il est neuf heures, debout, je suis au volant depuis dix minutes, j’adore conduire.
• Merde.

Et je me rendors.

• Allô ma belle salope, tu as dû ramasser cette nuit, d’habitude quand tu me demandes de te réveiller, tu es d’attaque de suite.
• Ou m’as-tu dit que tu étais ?
• Au volant de ma voiture d’auto-école, pas loin de toi on longe le parc des sports à quelques mètres.
• Et le moniteur te laisse téléphoner au volant.
• Non, tu es bête, on est arrêté sur le parking de la piscine qui est bien tranquille.
• Non, c’est impossible.
• Et si Claude à la tête sous le volant et me lèche la chatte.
Je conduisais quand je me suis aperçu qu’il bandait en voyant mes cuisses dénudées, j’ai pris sa main et je l’ai posé dessus.
Dit lui Claude que tu as aimé poser ta main sur ma cuisse.

J’entends un vague borborygme.

• Il est trop occupé, et je sens que moi aussi, je viens de sortir sa queue, j’ai trouvé un bel étalon.
• Profite en bien, je te remercie de m’avoir réveillé.

Je me lève, passe une robe propre sans sous-vêtements avec de petits escarpins.
Je descends à la cuisine et je prépare du café pour moi et toutes les personnes présentent.
Je réchauffe des croissants et je monte un plateau à Christian qui se réveille à l’odeur du café.

• Voilà comment j’aime les femmes, petit déjeuner au lit, hélas, pas de réveil crapuleux quand je vois que tu es prête à partir.
• Oui, j’ai un gros travail à la mairie ce matin.
• Toujours partante pour demain soir, je confirme ma réservation.

Après mon accord, je l’embrasse tendrement surtout après la nuit que nous avons passée et virevoltante, je m’échappe jusqu’à mon garage.
Alors que la porte s’ouvre, je vois les machines-outils dont Gaétan se servait pour bricoler.
Je file jusqu’à la maison de Pierre que j’ai donnée à mes filles et je vais dans le garage.
Hier si j’étais venue j’aurais vu la salle adjacente avec des machines permettant tout type de bricolage.
Elle est propre, mais un peu de sciure et des copeaux de métaux me font voir qu’elles ont servi.
Je referme et je pars pour Toulouse ou mon GPS me conduit dans une petite rue ou une boutique repérée sur Internet m’attend.
La porte est discrète, fermé par un simple rideau facilitant une entrée rapide.

• Bonjour madame que puis-je pour vous.
• Je voudrais vous acheter ce modèle vous avez ma taille.
• Sauf les bottes que j’ai en plusieurs pointures le reste s’ajustent, allez dans la cabine, dites-moi quand vous êtes prête, je viendrais régler l’ensemble directement sur vous.

Je fais ce qu’il m’a dit et quand je l’appelle, il est pressé de venir.

• Vous aimez dominer, cet ensemble vous va très bien, mettez la casquette.
C’est parfait, j’ignore qui vous souhaitez soumettre, mais vous êtes sûr de réussir.

Ces mains sur mon corps auraient pu déboucher sur une petite baise dans cette cabine malgré la nuit que je viens de passer.

• Il y a quelqu’un.
• Oui, j’arrive.

Voici comment se termine une aventure commençante alors, je mets le manteau de fourrure que j’avais en entrant amenant ma robe à la caisse avec les escarpins.
Je vois qu’un client regarde des godes, ce doit être celui qui nous a dérangés.

• Je vous dois.
• 500 € avec la casquette, je vous offre, cet objet j’espère que vous savez vous en servir sinon vous revenez me voir, je ferme à 20 heures tous les jours de la semaine même le dimanche.

Il met tous dans un sac, ma robe et la boîte avec le godemiché électrique avec stimulation clitoridienne du moins c’est ce que je vois sur la boîte que je sors dès que je suis dans ma voiture.
Nul doute que je reviendrais à 19 h 55 lui demander de me faire voir, comment il fonctionne si un de ces jours je suis en manque de sensations fortes.
Retour à la mairie à 11 h 45 où je récupère la pochette où Nadia a mis les photos A4 prise dans la cave.
Je téléphone au numéro d’Hilda pour me soumette une idée.

• 100 pour 100 d’accord sur ton idée, pendant que je te tiens, peux-tu venir à Anvers mardi avec ta petite Nadia.
Qu’elle se mette en rapport avec mon bureau pour vous me prévenir votre heure d’arrivée à l’aéroport.
• Il y aura des coupettes.
• Il se pourrait, c’est une surprise.

Je raccroche et je m’assieds pour laisser une note à Nadia si elle passe avant notre rendez-vous de l’après-midi J’ai failli enlever mon manteau quand je me souviens que ma tenue de cuir de femme dominatrice que je viens d’acheter laissant ma chatte dénudée ferait mauvais effet surtout quand Germaine ma secrétaire entre pour me faire signer un papier.

• Je ressors, appelez-moi ou plutôt Nadia si vous avez un problème.
• Bon weekend, j’ai peu de chances de repasser.

Direction une boutique que j’ai fréquentée avant que sa nouvelle propriétaire ne l’achète et où j’étais une simple habitante de notre patelin.
Il est midi moins cinq quand j’entre.

• Bonjour, madame, que puis-je pour vous, j’allais fermer ?
• Justement fermer, c’est pour cela que je suis venue à cette heure.

Elle déclenche le rideau de fer, ce qui nous isole du monde.

• On peut monter chez toi.
• Oui bien sûr mais je vous préviens si c’est pour les camions, je serais intransigeante.
• Oui, montons, on verra tout cela chez toi…

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