LE CHANTIER (70)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (70) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE CHANTIER (70)
Blandine la femme de l’adjudant Mathis arrivant de Bordeaux où il se trouve qu’ils sont amis et quand je dis ami, ami intime avec Criss et Soso ainsi que Cyl et Tichris leurs nouveaux copains, vient de découvrir mon Palais des Plaisirs.
Mieux dès que nous entrons nous sommes nues pressées de nous retrouver sur mon lit des plaisirs qui a joué un grand rôle dans mon émancipation.

Le chapitre 69 étant terminé nous nous retrouvons sur mon lit mais avant que nous suivions physiquement cette pratique des amours féminins de chatte à chatte ou avec un homme de chatte à verge, nous nous couchons côte à côte.
C’est la première fois que je me retrouve avec dans mes bras une femme aussi maigre, ce qui est drôle ce sont ses seins et surtout ses pointes plus proches des tétines de biberon que des petites fraises des bois ainsi que sa cage thoracique ou sans difficulté je peux compter ses côtes.
Nos bouches se trouvent et son baiser attendant mon initiative est un régal, ma langue fait tourner la sienne et elle accepte le combat à partir du moment où nous l’avons engagé.
Une de mes mains prend l’une des siennes et la pose sur mon propre sein, elle comprend ce que j’attends mais nous sommes un peu gauches malgré l’expérience acquise par l'une et l'autre dans le libertinage car nous sommes toutes deux plutôt passives qu’active.
Dommage que Nadia soit en Belgique chez Hilda car elle nous ferait valser toutes les deux et nos trois corps seraient à la fête.
Je m’attarde sur l’un de ses seins puis sur l’autre évitant que l’un soit jaloux de l’autre, je sens son souffle s’accélérer au-dessus de ma tête qu’elle tient entre ses deux mains.
Je continue mon exploration descendant jusqu’à son nombril avant de laisser traîner ma langue et retourner au sein, les traces de salive sur son corps sont de plus en plus marquées car je fais le chemin plusieurs fois appuyant le plus que je peux dans le trou de son nombril comme si ma langue voulait le dépuceler.

• Oh ! Oui, vas-y, descends, va boire à ma source elle attend que tu viennes.

Ce qu’ignore Blandine c’est que si elle semble pressée moi je veux prendre mon temps, la faire souffrir d’attendre du moins c’est ce que je crois alors que ses mains qui appuient de façon continue sape ma volonté et veulent que je descends.
Réussissant à franchir l’obstacle que son nombril représente, source de la vie de cette jolie femme depuis que son père ou un médecin ont coupé le cordon qui la reliait à sa maman, j’arrive à l’autre partie de cette femme qui lorsque son mari la baisera refermera la boucle en déversant ses spermatozoïdes lui permettant d’enfanter.
Avec moi, aucun risque car ma langue est dans l’impossibilité de la féconder et si en l’introduisant dans son vagin je lui donne du plaisir c’est la seule chose que je lui apporte et c’est déjà beaucoup.
Ma langue est efficace car sans que je voie sa figure ses cris de plaisir me montre que mes doigts qui l’on rejoint lui apportent des spasmes de plaisir.
Combien de temps j’entends son souffle court je suis incapable de le dire car quand moi aussi je reprends conscience ma tête repose sur sa toison aussi blonde que les blés dans les champs l’été.
Je fais rapidement le chemin inverse jusqu’à sa bouche et c’est après un moment de repos que sa propre langue commence à se déplacer à la même vitesse vers mes seins, atteint mon nombril avant de remonter vers mes seins et de le retrouver.
Comme elle m’a forcé à le faire j’appuie sur sa tête pour qu’elle le contourne pour rejoindre ma propre source de vie, qui a déjà trois fois fermé la boucle après la naissance de mon fils et de mes jumelles.
Comme Blandine au moment où elle s’occupait de mes seins et de mon nombril je commence à avoir le souffle court, lorsque sa langue attaque mon clitoris et qu’une boule se forme dans mon ventre j’entends une femme hurler sans me rendre compte que ces hurlements sortent de ma bouche.
Même parcours sur nos corps et même jouissance avant d’avoir une nouvelle fois une zone d’ombre sur ce que nous faisons jusqu’à ce que le bruit de la chute d’un corps dans l’eau me ramène sur mon lit de plaisir Blandine ayant plongé dans la piscine.

• Viens me rejoindre, c’est incroyable, c’est beau et gigantesque à la fois.
• Tu es loin d’avoir tout vu.

Je plonge du lit car il est à l’endroit où il y a le plus d’eau.
En entrant j’ai conscience que si je me suis régulièrement baignée dans la piscine dans ma maison voisine ici cela a été très rare.
À côté, j’ai fait régulièrement l’amour avec les hommes du chantier, chantier qui a fini par m’apporter Christian mon nouvel amour à queue noire, ici j’ai été dans les divers endroits que je vais faire connaître à Blandine tout à l’heure mais rarement dans l’eau.

• C’est vrai, elle est bonne, ont fait quelques longueurs ?
• Oui j’adore nager.

Nous partons à égalité mais elle prend de l’avance dans sa nage sur le dos et je peux admirer son anatomie blonde chaque fois que ses jambes battent.
Reprendre le sport j’en aurais besoin surtout à mon âge, j’y penserais plus tard, présentement j’essaye d’éviter d’être ridicule surtout que la fatigue me gagnant je passe en brasse.
J’ai le souffle cour alors qu’à chaque fois qu’elle passe vers moi elle arrive à me parler.
• Sur le dos j’ai une vue d’ensemble de la partie haute, je vois les nuages passer.

Une demi-longueur elle repasse.

• Qui a-t-il dans ces pièces au-dessus sur la mezzanine ?
• Des chambres avec des lits ou on peut attacher les gens avec un système vidéo pour se filmer.

Une demi-longueur.

• Je sens que je vais aimer, j’adore que Mathis m’offre à d’autres après qu’il m’est attaché.
• Et tu dois voir autre chose mais cela c’est quand nous serons sorties de l’eau.

Encore un tiers de longueur car je finis une longueur pendant qu’elle en fait deux, enfin elle bascule et passe en brasse comme moi.

• Regarde Valérie il y a quelque chose au fond de l’eau.

A-t-elle découvert le secret de la cave à vin impossible de le dire surtout que le système pour monter et descendre la bouteille cloue de la collection de Pierre est en train de se monter sans montrer ce qu’il y a en dessous.
Elle plonge après avoir respiré un grand coup et finit par remonter.

• C’est ta culotte et ma robe, on était vraiment pressé de nous retrouver pour notre plaisir.

Elle prend les vêtements et les balances hors de la piscine.

• Tu m’as mis l’eau à la bouche, fais-moi voir ce qu’il faut que je voie comme tu l’as dit tout à l’heure.

Je rejoins les marches pendant que prestement elle sort de l’eau à hauteur de nos affaires mouillée.

• Viens, suis-moi.

Je lui prends la main et j’ouvre la cave.

• Descendons.

Je la sens un peu craintive mais elle me suit après que j’ai allumé, j’ai moi-même une surprise, Criss a apporté de nouveau appareil de torture de sa fabrication, une troisième croix, une cage suspendue et un pilori.

• C’est incroyable Soso m’avait bien dit que lorsque j’aurais le plaisir de venir au Palais je serais surprise mais cela dépass toutes mes espérances, j’aimerais essayer la croix.
• Non, il en a rajouté une, celle-là la plus belle mais j’aimerais te voir placée dans le pilori, regarde il y a une partie ou tes genoux seront sur une douce surface, douceur et rudesse il connaît bien le mélange du plaisir et de la douleur.

J’ouvre la partie supérieure, Blandine se place à quatre pattes et je referme l’ensemble.
Sur un tableau sur le mur voisin je prends une boule à bouche ainsi qu’un foulard pour lui obturer yeux et bouche.
À côté il y a une cravache à large spatule et sans que je réfléchisse vu ma sensibilité je la fouette une première fois, la trace du cuir marque ses fesses au moment où elle doit hurler car la boule laisse passer un bruit sourd.
Deux trois quatre fois ses fesses reçoivent une volée de coups, je tape avec ma spatule mais une partie fine de la cravache la marque chaque fois.
Elle se tortille de plus en plus et je prends goût à ce que je fais subir à ma nouvelle amie.
Je suis toute mouillée, ma chatte ruisselle, je lui enlève la boule et je place ma chatte sur ses lèvres avant qu’elle ne m’insulte.
Je finis par jouir, inondant le visage de Blandine mes sécrétions étant abondantes.

• Salope, tu me fais souffrir et tu m’obliges à te donner du plaisir, libère-moi que je te mette à ma place tu vas voir ton cul comment il va ramasser.
• Tu parles trop ma belle j’ai loin d’en avoir fini avec toi, tu voulais connaître mon Palais tu y es mais dans le secteur le plus intéressant pour les libertins comme nos amis.

Mon regard se pose sur une étagère où Criss a posé des godes, un grand et gros c’est ce que je choisis, j’ai envie de la faire souffrir.
Je me retire pour qu’elle puisse respirer.

• Salope, tu m’as piégé, je suis libertine mais là tu dépasses les bornes, je vais loin avec mes partenaires mais toujours en présence de Mathis.
• Quand tu étais avec moi sur mon lit des plaisirs et que je te suçais la foune tu te fichais de ton mari.
• Cela fait partie de notre convention seulement avec les femmes j’ai le droit de m’isoler.

En contournant l’engin de torture je viens derrière elle et après avoir écarté ses lèvres vaginales je la plante jusqu’à la garde.

• Ah !

Elle émet ce bruit mais quand le gode commence à coulisser en elle, aux petits cris qu’elle lance je sens que ses certitudes concernant la présence de Mathis pour qu’elle se fasse labourer viennent de s’envoler…

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