LE CHANTIER (76)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (76)
C’est avec la certitude sans pour autant confirmation que je suis certaine d’être enceinte de Christian mon futur mari.
Les vomissements qui ont commencé depuis le matin de notre soirée du 1er de l’an qui a vu nos amis se défouler dans la cave du Palais des Plaisirs me donnent la meilleure des indications car j’ai subi le même phénomène lors de mes deux premières grossesses.
J’émerge sans savoir ou tous sont partis car le Palais semble bien calme après les cris de la nuit montant de sa cave ou mes amies se sont fait éclater sur les croix de bois et le Jacuzzi, leurs hommes enfermés dans les cages.
Je me lève et je récupère mes affaires et mon manteau pour parcourir les quelques mètres qui me séparent de mon bain, il va falloir que je prévoie dès maintenant le nettoyage de mon futur club surtout quand Hilda est là.
Autour de la piscine les cadavres de bouteilles de champagne jonchent le sol, l’une d’elles avec un fonds ayant certainement échappé à mon amie étant posée sur mon lit des plaisirs.
J’évite la cave qui doit en receler quelques-unes mais quand j’amène la bouteille entamée vers le frigo, toutes les bouteilles qu’Hilda avait amenées ont été sifflées.
Je me prélasse dans mon bain épargné pour le moment par le problème qui va durer quelques jours repensant à ce qu’il va m’arriver dans quelques mois, si je calcule bien à un mois prêt le club libertin dédié aux femmes que souhaite Soso sera ouvert quand je mettrais au monde le fils de Christian.
J’ai hâte de voir le teint de mon bébé car j’ai toujours adoré la grâce de ses enfants issus de parents ayant des peaux de couleurs différentes.
Quand je retrace mon parcours jusqu’à ce jour je pense que mon amour pour celui qui va m’épouser avait cette idée en arrière-pensée, le seul point qui me fait peur est mon âge, que n’a ton pas dit sur ces femmes en mal de grossesse tardive qui peut faire peur mais mon amour pour Christian va aplanir cette pensée noire.
Je suis en train de rigoler toute seule après le rapprochement que je fais de la naissance de mon enfant ayant un papa noir et mes pensées.
• Je vois que tu as le moral, ma caille, c’est moi qui te fais rire ?
• Indirectement je pensais à notre petit négrillon que tu m’as fait.
• Négrillon !
Vais-je épouser une affreuse raciste ?
• Oh ! non mon aimé, si tu savais comme je t’aime.
• Prouve-le-moi !
Pour lui prouver que je suis loin du mot qu’il vient d’employer quand il me sort sa verge toujours avec des proportions qui me font mouiller malgré que j’aie le derrière dans l’eau, je la prends dans ma main et je la masturbe jusqu’au moment où sa rigidité est suffisante pour que je la mette dans ma bouche.
J’aime lui caresser le filet et avaler ses couilles l'une après l'autre mêmes si pour cela je dois me pencher coinçant l’un de mes seins sur le rebord de la baignoire.
J’aime le plaisir, j’ai appris à aimer la rudesse qu’un ou des hommes voir des femmes peuvent vous apporter mais je suis prête à souffrir pour lui prouver que je suis loin d’être cette femme qu’il aurait pu croire que je suis.
Entre deux coups de langue.
• Chéri tu me pardonnes s’il te plaît.
• Suce et tais-toi, après je te dirais ce que je pense d’une femme comme toi.
J’ai envie de pleurer car j’ai l’impression que les coups de bite propulsant sa verge presque à toucher ma glotte sont faits pour se venger et quand il éjacule au fond de ma gorge je suis contente d’avaler sa semence.
Il sort de ma bouche semblant être lointaine, récupérant ma serviette, il a un geste tendre pour m’aider à sortir du bain me recouvrant pour éviter que je prenne froid malgré le chauffage.
Il me frotte le dos et me regardant dans les yeux malgré ma bouche pleine de son sperme il m’embrasse si profondément que je sais qu’il a fait semblant d’être fâché contre moi et comme la midinette que je suis à ce moment il me prouve tout l’amour qui nous unit.
• Valérie, c’est le moment de faire pipi.
Pipi, caca, j’ai l’impression d’être redevenue la petite fille que j’étais il y a peu qui étais loin de penser que ma vie évoluerait comme elle a évolué.
Je m’installe sur les toilettes, je suis la notice du test de grossesse, je regarde le résultat et d’un commun accord par un simple regard nous décidons de garder pour nous le résultat.
• Chérie, viens, regarde malgré ta fellation et la fin de la nuit où j’ai fait l’amour avec Hilda avec ton accord j’ai envie de toi.
Il me prend dans ses bras me porte sur notre lit et comme un vieux couple il me pénètre dans la classique position du missionnaire mes jambes venant bloquer ses reins et c’est avec délice qu’il me laboure profondément faisant monter notre plaisir crescendo jusqu’à ce qu’il éjacule en moi.
• C’est très bien, tu es un bon amant, mais malgré ton sperme que j’ai dans l’estomac j’aimerais beaucoup une bonne tranche de viande rouge, descendons dans la cuisine.
• Tu peux toujours courir, regardons ce que contient notre frigo, évitons tout ce qui pourrait être contaminé par la toxoplasmose.
• Pour mon fils et mes filles, on ne nous emmerdait pas avec tout cela, de plus j’avais cru comprendre que nous garderions le résultat du test de grossesse pour nous seulement !
• Vois-tu d’autre personne que nous dans cette cuisine ?
• Oui, les milliers de lecteurs de HDS qui lisent mes aventures.
J’avais envie de me faire plaisir, mais je sais que vous garderez le secret surtout près d’Hilda car la connaissant elle serait capable de faire le tour de notre ville en voiture avec un mégaphone annonçant « Avis à la population, votre maire va avoir un bébé dont je serais la marraine. »Le plus grave c’est qu’elle serait capable d’avoir son porte voie d’une main et une bouteille de champagne de l’autre.
• Bonjours Germaine, bonne année.
• À vous aussi madame le maire, félicitation.
Pourquoi Germaine me félicite-elle ?
• Bonne année, madame, félicitation.
J’entre dans mon bureau et j’appelle Germaine sur l’Interphone avec son bureau.
• Oui, madame, avez-vous une lettre à me dicter ?
• Non, une question, pourquoi m’avez-vous félicité ?
• Pour votre grossesse, tous le personnel de la mairie vous présente leurs vœux pour la nouvelle année qui va vous apporter un bébé qui je le pense sera à l’image de sa maman et de son papa.
• Comment savez-vous que je suis enceinte ?
• Votre amie néerlandaise est passée ce matin avant de partir sur le terrain avec le responsable du projet qui va amener des emplois à notre commune, c’est elle qui nous a annoncé la bonne nouvelle.
J’espère que c’est vrai, je serais tellement déçu.
• Excusez Germaine, je dois aller aux toilettes.
• Votre amie a dit vrai, félicitation.
Je crois que le mal est fait et je restitue les quelques aliments que je pensais avoir ingurgité sans oublier la semence de mon homme.
De retour dans mon bureau, je téléphone à Hilda et je la rejoins sur le chantier.
Mathis est là en tenue de travail.
• Merci pour notre soirée, grâce à toi j’ai appris à connaître Blandine, tu nous as ouvert des perspectives préviens-moi quand tu commenceras à mettre en vente des cartes de membre pour notre club, je pense que Criss et Soso mérite le numéro 1 et 2 ou toi et Christian d’ailleurs mais nous aurons les numéros suivants.
Surtout que je viens de faire valoir mes droits à la retraite nous avons décidé d’acheter une résidence dans notre ville et de nous poser jusqu’à la fin de nos jours.
Félicitation à toi et au papa pour la naissance regarde la marraine elle est comme folle.
• Hilda vient me voir je veux éviter de tomber avec le début du chantier, je reste sur la route tracée par le bulldozer.
• Valérie, je suis contente, viens dans mes bras.
Elle m’étreint d’une façon exubérante mais je suis heureuse car rien ne peut entacher mon plaisir d’être bientôt maman.
• Valérie, voilà Baudoin, nous venons de voir l’implantation du rond-point qui va permettre aux camions et aux ouvriers de venir facilement travailler.
• Félicitation madame.
• Je dois vous quitter pour allée sûre le chantier de l’hôtel, Baudoin merci pour ton invitation ce soir de m’amener au restaurant.
Baudoin au propos d’Hilda est rouge comme la veste qu’il porte sur le dos pour être bien vu sur les chantiers.
• Baudoin, je peux vous parler en tête à tête.
• Bien sûr madame le maire.
Nous nous isolons.
• Je voudrais vous dire, êtes-vous marié où en couple ?
• Non célibataire pourquoi cette question ?
J’éclate de rire.
• Vous faites bien ce que vous voulez de votre vie, je serais mal placé pour vous critiquer, j’ai vu que vous rougissiez, foncez, Hilda est une jeune femme croqueuse d’homme et si vous restez détaché de tous sentiments vous allez passer une excellente soirée.
• Merci de votre compréhension et de votre mise en garde, je suis très pragmatique, j’ai senti que cette jeune femme avait du chien comme l’on dit et j’ai pour habitude de vivre au jour le jour, n’ayez rien à craindre, l’avenir vous prouvera que ce que je dis est la vérité.
• Êtes-vous riche ?
• Quelle question incongrue madame la Maire, mais je vais vous répondre que j’ai de quoi assurer, vous allez me dire pourquoi je le pense.
• Oui, votre soirée va vous coûter un max en champagne…
Les vomissements qui ont commencé depuis le matin de notre soirée du 1er de l’an qui a vu nos amis se défouler dans la cave du Palais des Plaisirs me donnent la meilleure des indications car j’ai subi le même phénomène lors de mes deux premières grossesses.
J’émerge sans savoir ou tous sont partis car le Palais semble bien calme après les cris de la nuit montant de sa cave ou mes amies se sont fait éclater sur les croix de bois et le Jacuzzi, leurs hommes enfermés dans les cages.
Je me lève et je récupère mes affaires et mon manteau pour parcourir les quelques mètres qui me séparent de mon bain, il va falloir que je prévoie dès maintenant le nettoyage de mon futur club surtout quand Hilda est là.
Autour de la piscine les cadavres de bouteilles de champagne jonchent le sol, l’une d’elles avec un fonds ayant certainement échappé à mon amie étant posée sur mon lit des plaisirs.
J’évite la cave qui doit en receler quelques-unes mais quand j’amène la bouteille entamée vers le frigo, toutes les bouteilles qu’Hilda avait amenées ont été sifflées.
Je me prélasse dans mon bain épargné pour le moment par le problème qui va durer quelques jours repensant à ce qu’il va m’arriver dans quelques mois, si je calcule bien à un mois prêt le club libertin dédié aux femmes que souhaite Soso sera ouvert quand je mettrais au monde le fils de Christian.
J’ai hâte de voir le teint de mon bébé car j’ai toujours adoré la grâce de ses enfants issus de parents ayant des peaux de couleurs différentes.
Quand je retrace mon parcours jusqu’à ce jour je pense que mon amour pour celui qui va m’épouser avait cette idée en arrière-pensée, le seul point qui me fait peur est mon âge, que n’a ton pas dit sur ces femmes en mal de grossesse tardive qui peut faire peur mais mon amour pour Christian va aplanir cette pensée noire.
Je suis en train de rigoler toute seule après le rapprochement que je fais de la naissance de mon enfant ayant un papa noir et mes pensées.
• Je vois que tu as le moral, ma caille, c’est moi qui te fais rire ?
• Indirectement je pensais à notre petit négrillon que tu m’as fait.
• Négrillon !
Vais-je épouser une affreuse raciste ?
• Oh ! non mon aimé, si tu savais comme je t’aime.
• Prouve-le-moi !
Pour lui prouver que je suis loin du mot qu’il vient d’employer quand il me sort sa verge toujours avec des proportions qui me font mouiller malgré que j’aie le derrière dans l’eau, je la prends dans ma main et je la masturbe jusqu’au moment où sa rigidité est suffisante pour que je la mette dans ma bouche.
J’aime lui caresser le filet et avaler ses couilles l'une après l'autre mêmes si pour cela je dois me pencher coinçant l’un de mes seins sur le rebord de la baignoire.
J’aime le plaisir, j’ai appris à aimer la rudesse qu’un ou des hommes voir des femmes peuvent vous apporter mais je suis prête à souffrir pour lui prouver que je suis loin d’être cette femme qu’il aurait pu croire que je suis.
Entre deux coups de langue.
• Chéri tu me pardonnes s’il te plaît.
• Suce et tais-toi, après je te dirais ce que je pense d’une femme comme toi.
J’ai envie de pleurer car j’ai l’impression que les coups de bite propulsant sa verge presque à toucher ma glotte sont faits pour se venger et quand il éjacule au fond de ma gorge je suis contente d’avaler sa semence.
Il sort de ma bouche semblant être lointaine, récupérant ma serviette, il a un geste tendre pour m’aider à sortir du bain me recouvrant pour éviter que je prenne froid malgré le chauffage.
Il me frotte le dos et me regardant dans les yeux malgré ma bouche pleine de son sperme il m’embrasse si profondément que je sais qu’il a fait semblant d’être fâché contre moi et comme la midinette que je suis à ce moment il me prouve tout l’amour qui nous unit.
• Valérie, c’est le moment de faire pipi.
Pipi, caca, j’ai l’impression d’être redevenue la petite fille que j’étais il y a peu qui étais loin de penser que ma vie évoluerait comme elle a évolué.
Je m’installe sur les toilettes, je suis la notice du test de grossesse, je regarde le résultat et d’un commun accord par un simple regard nous décidons de garder pour nous le résultat.
• Chérie, viens, regarde malgré ta fellation et la fin de la nuit où j’ai fait l’amour avec Hilda avec ton accord j’ai envie de toi.
Il me prend dans ses bras me porte sur notre lit et comme un vieux couple il me pénètre dans la classique position du missionnaire mes jambes venant bloquer ses reins et c’est avec délice qu’il me laboure profondément faisant monter notre plaisir crescendo jusqu’à ce qu’il éjacule en moi.
• C’est très bien, tu es un bon amant, mais malgré ton sperme que j’ai dans l’estomac j’aimerais beaucoup une bonne tranche de viande rouge, descendons dans la cuisine.
• Tu peux toujours courir, regardons ce que contient notre frigo, évitons tout ce qui pourrait être contaminé par la toxoplasmose.
• Pour mon fils et mes filles, on ne nous emmerdait pas avec tout cela, de plus j’avais cru comprendre que nous garderions le résultat du test de grossesse pour nous seulement !
• Vois-tu d’autre personne que nous dans cette cuisine ?
• Oui, les milliers de lecteurs de HDS qui lisent mes aventures.
J’avais envie de me faire plaisir, mais je sais que vous garderez le secret surtout près d’Hilda car la connaissant elle serait capable de faire le tour de notre ville en voiture avec un mégaphone annonçant « Avis à la population, votre maire va avoir un bébé dont je serais la marraine. »Le plus grave c’est qu’elle serait capable d’avoir son porte voie d’une main et une bouteille de champagne de l’autre.
• Bonjours Germaine, bonne année.
• À vous aussi madame le maire, félicitation.
Pourquoi Germaine me félicite-elle ?
• Bonne année, madame, félicitation.
J’entre dans mon bureau et j’appelle Germaine sur l’Interphone avec son bureau.
• Oui, madame, avez-vous une lettre à me dicter ?
• Non, une question, pourquoi m’avez-vous félicité ?
• Pour votre grossesse, tous le personnel de la mairie vous présente leurs vœux pour la nouvelle année qui va vous apporter un bébé qui je le pense sera à l’image de sa maman et de son papa.
• Comment savez-vous que je suis enceinte ?
• Votre amie néerlandaise est passée ce matin avant de partir sur le terrain avec le responsable du projet qui va amener des emplois à notre commune, c’est elle qui nous a annoncé la bonne nouvelle.
J’espère que c’est vrai, je serais tellement déçu.
• Excusez Germaine, je dois aller aux toilettes.
• Votre amie a dit vrai, félicitation.
Je crois que le mal est fait et je restitue les quelques aliments que je pensais avoir ingurgité sans oublier la semence de mon homme.
De retour dans mon bureau, je téléphone à Hilda et je la rejoins sur le chantier.
Mathis est là en tenue de travail.
• Merci pour notre soirée, grâce à toi j’ai appris à connaître Blandine, tu nous as ouvert des perspectives préviens-moi quand tu commenceras à mettre en vente des cartes de membre pour notre club, je pense que Criss et Soso mérite le numéro 1 et 2 ou toi et Christian d’ailleurs mais nous aurons les numéros suivants.
Surtout que je viens de faire valoir mes droits à la retraite nous avons décidé d’acheter une résidence dans notre ville et de nous poser jusqu’à la fin de nos jours.
Félicitation à toi et au papa pour la naissance regarde la marraine elle est comme folle.
• Hilda vient me voir je veux éviter de tomber avec le début du chantier, je reste sur la route tracée par le bulldozer.
• Valérie, je suis contente, viens dans mes bras.
Elle m’étreint d’une façon exubérante mais je suis heureuse car rien ne peut entacher mon plaisir d’être bientôt maman.
• Valérie, voilà Baudoin, nous venons de voir l’implantation du rond-point qui va permettre aux camions et aux ouvriers de venir facilement travailler.
• Félicitation madame.
• Je dois vous quitter pour allée sûre le chantier de l’hôtel, Baudoin merci pour ton invitation ce soir de m’amener au restaurant.
Baudoin au propos d’Hilda est rouge comme la veste qu’il porte sur le dos pour être bien vu sur les chantiers.
• Baudoin, je peux vous parler en tête à tête.
• Bien sûr madame le maire.
Nous nous isolons.
• Je voudrais vous dire, êtes-vous marié où en couple ?
• Non célibataire pourquoi cette question ?
J’éclate de rire.
• Vous faites bien ce que vous voulez de votre vie, je serais mal placé pour vous critiquer, j’ai vu que vous rougissiez, foncez, Hilda est une jeune femme croqueuse d’homme et si vous restez détaché de tous sentiments vous allez passer une excellente soirée.
• Merci de votre compréhension et de votre mise en garde, je suis très pragmatique, j’ai senti que cette jeune femme avait du chien comme l’on dit et j’ai pour habitude de vivre au jour le jour, n’ayez rien à craindre, l’avenir vous prouvera que ce que je dis est la vérité.
• Êtes-vous riche ?
• Quelle question incongrue madame la Maire, mais je vais vous répondre que j’ai de quoi assurer, vous allez me dire pourquoi je le pense.
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