Le choix des Dominas-Educatrices
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le choix des Dominas-Educatrices
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°598) - Le choix des Dominas-Educatrices –
Comme si le temps était compté, les deux Dominantes poursuivirent leurs explications pour bien cadrer les choses, ces choses qui n’étaient autre que douze chiens mâles soumis attentifs et empalés pour chacun d’eux sur un gode profondément dans leur fondement. Maîtresse Marina, revint sur deux interdictions formelles en ce Centre. Elle rappela encore que les soumis ne pouvaient se parler ou communiquer entre eux par quelque moyen que ce soit, ils ne pouvaient pas non plus s’adresser spontanément à une Educatrice, ni même à une Maîtresse et encore moins à Monsieur le Directeur du Centre. Pour s’adresser en Eux et seulement en cas de réel besoin, Ils devaient respecter un mode opératoire très précis pour obtenir le droit à la parole. Le chien mâle soumis devait se camper sur la pointe des pieds devant la et le Dominant présent et lever son index droit à la verticale à hauteur de son oreille droite et attendre qu’on l’autorise à parler. Alors sitôt autorisé, il devait se placer à genoux, tête basse, bras croisés dans le dos et faire sa demande clairement, sans trainer pour s’exprimer. Pour la seconde interdiction, Maîtresse Marina rappela un grand principe :
- Vous n’êtes que des lopes, et en tant que telles, vous ne disposez d’aucune manière de vos génitaux. Couilles, bite et cul ne vous appartiennent plus, ces parties de votre anatomie sont notre pleine et entière propriété, comme tout le reste de votre corps d’ailleurs ! A ce titre, il vous est strictement interdit de vous toucher, encore moins de vous caresser sinon de vous masturber sans autorisation préalable. Vous pisserez toujours assis comme des femelles, sans toucher votre nouille. De toute façon, celle-ci sera le plus souvent encagée et verrouillée. Nous vous ferons purger vos couilles, ou vous viderons votre sac à foutre, une fois par semaine, selon un protocole établi et toujours lors d’une séance plénière. Evidemment ceux trop régulièrement punis seront de facto privés de ces séances et recevront le fouet en lieu et place.
Le ton était autoritaire, cassant, sévère, strict, le regard de Maîtresse Marina n’exprimait d’aucune manière la moindre pitié. Elle cherchait par tous les moyens à rabaisser ces chiens soumis et leur faire comprendre qu’ils n’étaient rien d’autre que de simples pantins à Sa disposition. Maitresse Ella s’était absentée quelques instants, elle revint les bras chargés de plusieurs cahiers. Elle en déposa deux sur chacun des bureaux des soumis. Le plus épais portait la mention « cahier de cours », l’autre de taille plus modeste était intitulé « carnet du slave » Sur chacune des couvertures des cahiers, le logo avec les Initiales ‘MDE’’ figurait en entête.
- Evidemment, vous devez prendre soin de ce que l’on vous donne. J’ai déposé devant vous, un stylo et deux cahiers, l’un vous servira à écrire les cours et les leçons que nous allons vous enseigner et dispenser ici. L’autre, le plus important, le carnet du slave, sera celui de vos notations. Seront aussi inscrits, dans ce carnet toutes les appréciations des Educatrices, comme vos punitions mais aussi vos bons ou mauvais points. Tous les samedis après-midi, de 14 à 16 heures, Le Comité de Direction du Centre se réunira avec tous les chiens soumis que vous êtes. Vous serez appelés à un entretien individuel avec ce carnet, et nous Trois, Monsieur le Directeur, le Vicomte d’Evans, Maîtresse Marina et moi-même apprécierons ensemble vos aptitudes et attitudes tout au long de la semaine. Evidemment, si le travail imposé n’était suffisant à nos yeux, vous seriez sévèrement punis…
Maitresse Ella reprit son souffle, dévisagea un soumis grimaçant en silence lequel devait souffrir de la profonde sodomie en son cul, puis en lui détournant le regard, elle continua :
- Ah, autre chose, inutile de vous dire que vous aurez droit également à une perverse visite médicale par semaine, votre santé étant primordiale. C’est une Domina-médecin, qui vous auscultera un par un chaque vendredi après-midi, et cette Domina vous la connaissez, puisque c’est moi-même, étant médecin de formation.
Toutes les informations données s’entrechoquaient dans la petite tête de soumis Endymion MDE. Il tentait de rester concentré quand bien même sa nouille cherchait à le dissiper. Sa bandaison n’avait pas cessé de s’amplifier tout au long de ces explications. Elle suintait tant et plus. Il pensa même qu’il était devenu un véritable détraqué sexuel, pour preuve, son congénère assis de l’autre côté de la rangée n’était pas dans cet état constant d’excitation. Sa nouille pendait lamentablement, et restait totalement flasque !... Maitresse Ella, en distribuant les cahiers s’était bien aperçu que le chien soumis MDE avait bien du mal à calmer ses ardeurs. D’ailleurs lorsqu’elle eut fini son discours, elle s’approcha de lui et lui chuchota à l’oreille.
- Tu es une vraie petite lope toi !
soumis Endymion MDE fébrile, craignant une punition acquiesça par un hochement de tête de haut en bas. La Dominante pressa sur son gland violacé et turgescent, une perle de liquide séminale s’échappa de sa tige.
- Ici, nous ne punissons jamais les chiens en chaleur, au contraire même nous apprécions les voir ainsi bander et évidemment nous tolérons les pertes séminales, elles sont acceptées comme un élément naturel inévitable.
Au fond de lui-même soumis Endymion MDE poussait un grand ouf de soulagement, il eut craint une sévère réprimande. Il en était tout autre, Maîtresse Ella venait de le complimenter et comble de bonheur lui donnait à lécher ses doigts couverts de sa mouille. Sur ces entrefaites, quatre plantureuses femmes étaient entrées, Il s’agissait des quatre Educatrices. soumis Endymion MDE en connaissait déjà deux, la brune pulpeuse mais perverse, la bonde filiforme au regard d’acier suivies de deux autres, une grande black à la chevelure crépue et foisonnante, la dernière, une rousse avec des taches de rousseur sur le visage avec des yeux verts. Celle-ci ne pouvait renier ses origines irlandaises. La grande black ne put s’empêcher d’humilier les douze stagiaires soumis, elle lança à la cantonade :
- Ces chiens nous manquent de respect, ne leur a-t-on pas appris à s’agenouiller lorsqu’une Domina entre !
Elle éclata de rire, un rire sonore, à gorge déployée, laissant apparaitre sa parfaite dentition.
- Ne perdons pas de temps, lança Maîtresse Marina, détachez ces chiens et qu’ils s’alignent tous contre ce mur. Vous ferez votre choix sur les trois stagiaires lopes que vous aurez à charge et s’il le faut nous procéderons éventuellement à un tirage au sort pour vous départager ces salopes.
Le regard bas, les mains dans le dos, les cuisses écartées, les douze stagiaires soumis s’alignèrent debout comme ordonné. Les quatre Educatrices se précipitèrent sur eux, chacune leur tour, elles les auscultèrent, les palpèrent, leur retroussèrent les babines, vérifièrent leurs oreilles, contrôlèrent leur musculature, leur enfilèrent avec un excès de perversité des doigts dans leur cul. Elles soupesèrent leur couilles, les étirèrent, les pincèrent, les comprimèrent. Elles s’intéressèrent à leur bite, décalottant ceux qui n’étaient pas circoncis, tirant sur le frein, pressant les glands. Elles masturbèrent ceux qui ne parvenaient pas à bander. Elles pincèrent violemment les tétons... Chaque Dominante faisait en quelque sorte son marché, terrible humiliation pour ces chiens soumis impassibles, manipulés et examinés comme des vulgaires bestiaux sur une foire, une foire aux esclaves ! soumis Endymion MDE rebandait de plus belle. La Domina noire, toujours elle, vive et expressive interpella ces trois autres collègues, tout en donnant une forte fessée sur le cul de l’esclave MDE :
- Mais c’est que nous avons du beau monde parmi ces chiens !… Regardez ce marquage sur le cul de celui-ci, vous savez ce qu’il signifie, cette pute appartient à notre Bienfaiteur, à Monsieur le Marquis d’Evans ! Il va falloir que l’on s’en occupe grave de cette lope certainement exceptionnelle pour que le Maître daigne lui faire traverser l’Atlantique pour le faire venir jusqu’à nous ! … Je suppose que ce chien MDE ne devra avoir aucun traitement de faveur de notre part, bien au contraire il faudra le dresser encore plus sévèrement… ! dit-elle avec perversité.
Chacune leur tour, les trois autres Educatrices regardèrent de près les empruntes du marquage à jamais laissées dans la peau de l’esclave MDE ; Les compliments fusaient : « Quel beau travail… » « vous avez vu les bas-reliefs… » « et la finesse de cet ouvrage… » « un vrai travail d’orfèvrerie… » Chacune y allait de son compliment et laissait échapper son émerveillement !
soumis Endymion MDE était tout à la fois heureux et fier que cette marque de « fabrique » soit reconnue, mais il était aussi gêné vis-à-vis de ces congénères. Il craignait aussi qu’on exige de lui beaucoup plus en sa qualité d’esclave attitré de Monsieur le Marquis d’Evans, surtout après ce que venait de dire la Domina noire.
- Mesdames, votre choix est-il fait ? Interpella Maîtresse Ella
Les quatre Educatrices avaient arrêté leur choix, toutes avaient choisi deux esclaves, seul dilemme, toutes voulaient prendre en charge et dresser le chien soumis de Monsieur le Marquis d’Evans. Pour chacune d’elle, c’était un honneur, un privilège que de s’occuper d’un esclave MDE en chair et en os ! Maîtresse Ella intervint en ordonnant à soumis Endymion MDE de venir se prosterner en levrette à ses pieds.
- Mesdames, un peu de retenue, ce chien MDE effectivement appartient à mon Cher et bien aimé Oncle, Monsieur le Marquis d’Evans, le Bienfaiteur et Mécène de notre Centre. Ce chien MDE est en Ses cachots depuis plus de six mois. A mon mari et à moi, Il nous l’a confié pour ce stage en nous précisant bien qu’Il souhaitait qu’il soit dressé comme n’importe quel autre chien soumis, sans aucune distinction. Cette lope est là, comme les onze autres, pour poursuivre et intensifier son dressage et son apprentissage à la soumission féminine. Nous le traiterons donc de la même manière, sans plus ni moins. Telle est la Volonté de Monsieur le Marquis d’Evans. Nous la respecterons !
Cette mise au point avait quelque peu calmé l’effervescence de ces Dames. Maitresse Ella décida de confier soumis Endymion MDE à l’Educatrice Jane, celle qui était rousse au regard vert. Les deux autres chiens mâles soumis retrouvèrent soumis Endymion MDE : Le premier, un certain Xao, petit, mince presque frêle, d’une trentaine d’année, un belge d’origine asiatique et le second, un dénommé Andy, lui plutôt trapu, avec une musculature développée, ayant dépassé la cinquantaine, un Canadien venant de Montréal.
Tous à quatre pattes derrière leurs Educatrices, les chiens soumis vinrent avant de quitter la salle de classe se prosterner devant le portrait de Monsieur le Marquis d’Evans. Ils restèrent en levrette, têtes au sol, culs relevés et reins cambrés devant cette image, presqu’une icône religieuse, pendant une longue minute silencieusement et respectueusement. Dans son for intérieur, soumis Endymion MDE remerciait le Maître de l’avoir conduit ici et le vénérait encore et encore pour son Autorité sur sa conscience et sur tout son être…
(A suivre…)
Comme si le temps était compté, les deux Dominantes poursuivirent leurs explications pour bien cadrer les choses, ces choses qui n’étaient autre que douze chiens mâles soumis attentifs et empalés pour chacun d’eux sur un gode profondément dans leur fondement. Maîtresse Marina, revint sur deux interdictions formelles en ce Centre. Elle rappela encore que les soumis ne pouvaient se parler ou communiquer entre eux par quelque moyen que ce soit, ils ne pouvaient pas non plus s’adresser spontanément à une Educatrice, ni même à une Maîtresse et encore moins à Monsieur le Directeur du Centre. Pour s’adresser en Eux et seulement en cas de réel besoin, Ils devaient respecter un mode opératoire très précis pour obtenir le droit à la parole. Le chien mâle soumis devait se camper sur la pointe des pieds devant la et le Dominant présent et lever son index droit à la verticale à hauteur de son oreille droite et attendre qu’on l’autorise à parler. Alors sitôt autorisé, il devait se placer à genoux, tête basse, bras croisés dans le dos et faire sa demande clairement, sans trainer pour s’exprimer. Pour la seconde interdiction, Maîtresse Marina rappela un grand principe :
- Vous n’êtes que des lopes, et en tant que telles, vous ne disposez d’aucune manière de vos génitaux. Couilles, bite et cul ne vous appartiennent plus, ces parties de votre anatomie sont notre pleine et entière propriété, comme tout le reste de votre corps d’ailleurs ! A ce titre, il vous est strictement interdit de vous toucher, encore moins de vous caresser sinon de vous masturber sans autorisation préalable. Vous pisserez toujours assis comme des femelles, sans toucher votre nouille. De toute façon, celle-ci sera le plus souvent encagée et verrouillée. Nous vous ferons purger vos couilles, ou vous viderons votre sac à foutre, une fois par semaine, selon un protocole établi et toujours lors d’une séance plénière. Evidemment ceux trop régulièrement punis seront de facto privés de ces séances et recevront le fouet en lieu et place.
Le ton était autoritaire, cassant, sévère, strict, le regard de Maîtresse Marina n’exprimait d’aucune manière la moindre pitié. Elle cherchait par tous les moyens à rabaisser ces chiens soumis et leur faire comprendre qu’ils n’étaient rien d’autre que de simples pantins à Sa disposition. Maitresse Ella s’était absentée quelques instants, elle revint les bras chargés de plusieurs cahiers. Elle en déposa deux sur chacun des bureaux des soumis. Le plus épais portait la mention « cahier de cours », l’autre de taille plus modeste était intitulé « carnet du slave » Sur chacune des couvertures des cahiers, le logo avec les Initiales ‘MDE’’ figurait en entête.
- Evidemment, vous devez prendre soin de ce que l’on vous donne. J’ai déposé devant vous, un stylo et deux cahiers, l’un vous servira à écrire les cours et les leçons que nous allons vous enseigner et dispenser ici. L’autre, le plus important, le carnet du slave, sera celui de vos notations. Seront aussi inscrits, dans ce carnet toutes les appréciations des Educatrices, comme vos punitions mais aussi vos bons ou mauvais points. Tous les samedis après-midi, de 14 à 16 heures, Le Comité de Direction du Centre se réunira avec tous les chiens soumis que vous êtes. Vous serez appelés à un entretien individuel avec ce carnet, et nous Trois, Monsieur le Directeur, le Vicomte d’Evans, Maîtresse Marina et moi-même apprécierons ensemble vos aptitudes et attitudes tout au long de la semaine. Evidemment, si le travail imposé n’était suffisant à nos yeux, vous seriez sévèrement punis…
Maitresse Ella reprit son souffle, dévisagea un soumis grimaçant en silence lequel devait souffrir de la profonde sodomie en son cul, puis en lui détournant le regard, elle continua :
- Ah, autre chose, inutile de vous dire que vous aurez droit également à une perverse visite médicale par semaine, votre santé étant primordiale. C’est une Domina-médecin, qui vous auscultera un par un chaque vendredi après-midi, et cette Domina vous la connaissez, puisque c’est moi-même, étant médecin de formation.
Toutes les informations données s’entrechoquaient dans la petite tête de soumis Endymion MDE. Il tentait de rester concentré quand bien même sa nouille cherchait à le dissiper. Sa bandaison n’avait pas cessé de s’amplifier tout au long de ces explications. Elle suintait tant et plus. Il pensa même qu’il était devenu un véritable détraqué sexuel, pour preuve, son congénère assis de l’autre côté de la rangée n’était pas dans cet état constant d’excitation. Sa nouille pendait lamentablement, et restait totalement flasque !... Maitresse Ella, en distribuant les cahiers s’était bien aperçu que le chien soumis MDE avait bien du mal à calmer ses ardeurs. D’ailleurs lorsqu’elle eut fini son discours, elle s’approcha de lui et lui chuchota à l’oreille.
- Tu es une vraie petite lope toi !
soumis Endymion MDE fébrile, craignant une punition acquiesça par un hochement de tête de haut en bas. La Dominante pressa sur son gland violacé et turgescent, une perle de liquide séminale s’échappa de sa tige.
- Ici, nous ne punissons jamais les chiens en chaleur, au contraire même nous apprécions les voir ainsi bander et évidemment nous tolérons les pertes séminales, elles sont acceptées comme un élément naturel inévitable.
Au fond de lui-même soumis Endymion MDE poussait un grand ouf de soulagement, il eut craint une sévère réprimande. Il en était tout autre, Maîtresse Ella venait de le complimenter et comble de bonheur lui donnait à lécher ses doigts couverts de sa mouille. Sur ces entrefaites, quatre plantureuses femmes étaient entrées, Il s’agissait des quatre Educatrices. soumis Endymion MDE en connaissait déjà deux, la brune pulpeuse mais perverse, la bonde filiforme au regard d’acier suivies de deux autres, une grande black à la chevelure crépue et foisonnante, la dernière, une rousse avec des taches de rousseur sur le visage avec des yeux verts. Celle-ci ne pouvait renier ses origines irlandaises. La grande black ne put s’empêcher d’humilier les douze stagiaires soumis, elle lança à la cantonade :
- Ces chiens nous manquent de respect, ne leur a-t-on pas appris à s’agenouiller lorsqu’une Domina entre !
Elle éclata de rire, un rire sonore, à gorge déployée, laissant apparaitre sa parfaite dentition.
- Ne perdons pas de temps, lança Maîtresse Marina, détachez ces chiens et qu’ils s’alignent tous contre ce mur. Vous ferez votre choix sur les trois stagiaires lopes que vous aurez à charge et s’il le faut nous procéderons éventuellement à un tirage au sort pour vous départager ces salopes.
Le regard bas, les mains dans le dos, les cuisses écartées, les douze stagiaires soumis s’alignèrent debout comme ordonné. Les quatre Educatrices se précipitèrent sur eux, chacune leur tour, elles les auscultèrent, les palpèrent, leur retroussèrent les babines, vérifièrent leurs oreilles, contrôlèrent leur musculature, leur enfilèrent avec un excès de perversité des doigts dans leur cul. Elles soupesèrent leur couilles, les étirèrent, les pincèrent, les comprimèrent. Elles s’intéressèrent à leur bite, décalottant ceux qui n’étaient pas circoncis, tirant sur le frein, pressant les glands. Elles masturbèrent ceux qui ne parvenaient pas à bander. Elles pincèrent violemment les tétons... Chaque Dominante faisait en quelque sorte son marché, terrible humiliation pour ces chiens soumis impassibles, manipulés et examinés comme des vulgaires bestiaux sur une foire, une foire aux esclaves ! soumis Endymion MDE rebandait de plus belle. La Domina noire, toujours elle, vive et expressive interpella ces trois autres collègues, tout en donnant une forte fessée sur le cul de l’esclave MDE :
- Mais c’est que nous avons du beau monde parmi ces chiens !… Regardez ce marquage sur le cul de celui-ci, vous savez ce qu’il signifie, cette pute appartient à notre Bienfaiteur, à Monsieur le Marquis d’Evans ! Il va falloir que l’on s’en occupe grave de cette lope certainement exceptionnelle pour que le Maître daigne lui faire traverser l’Atlantique pour le faire venir jusqu’à nous ! … Je suppose que ce chien MDE ne devra avoir aucun traitement de faveur de notre part, bien au contraire il faudra le dresser encore plus sévèrement… ! dit-elle avec perversité.
Chacune leur tour, les trois autres Educatrices regardèrent de près les empruntes du marquage à jamais laissées dans la peau de l’esclave MDE ; Les compliments fusaient : « Quel beau travail… » « vous avez vu les bas-reliefs… » « et la finesse de cet ouvrage… » « un vrai travail d’orfèvrerie… » Chacune y allait de son compliment et laissait échapper son émerveillement !
soumis Endymion MDE était tout à la fois heureux et fier que cette marque de « fabrique » soit reconnue, mais il était aussi gêné vis-à-vis de ces congénères. Il craignait aussi qu’on exige de lui beaucoup plus en sa qualité d’esclave attitré de Monsieur le Marquis d’Evans, surtout après ce que venait de dire la Domina noire.
- Mesdames, votre choix est-il fait ? Interpella Maîtresse Ella
Les quatre Educatrices avaient arrêté leur choix, toutes avaient choisi deux esclaves, seul dilemme, toutes voulaient prendre en charge et dresser le chien soumis de Monsieur le Marquis d’Evans. Pour chacune d’elle, c’était un honneur, un privilège que de s’occuper d’un esclave MDE en chair et en os ! Maîtresse Ella intervint en ordonnant à soumis Endymion MDE de venir se prosterner en levrette à ses pieds.
- Mesdames, un peu de retenue, ce chien MDE effectivement appartient à mon Cher et bien aimé Oncle, Monsieur le Marquis d’Evans, le Bienfaiteur et Mécène de notre Centre. Ce chien MDE est en Ses cachots depuis plus de six mois. A mon mari et à moi, Il nous l’a confié pour ce stage en nous précisant bien qu’Il souhaitait qu’il soit dressé comme n’importe quel autre chien soumis, sans aucune distinction. Cette lope est là, comme les onze autres, pour poursuivre et intensifier son dressage et son apprentissage à la soumission féminine. Nous le traiterons donc de la même manière, sans plus ni moins. Telle est la Volonté de Monsieur le Marquis d’Evans. Nous la respecterons !
Cette mise au point avait quelque peu calmé l’effervescence de ces Dames. Maitresse Ella décida de confier soumis Endymion MDE à l’Educatrice Jane, celle qui était rousse au regard vert. Les deux autres chiens mâles soumis retrouvèrent soumis Endymion MDE : Le premier, un certain Xao, petit, mince presque frêle, d’une trentaine d’année, un belge d’origine asiatique et le second, un dénommé Andy, lui plutôt trapu, avec une musculature développée, ayant dépassé la cinquantaine, un Canadien venant de Montréal.
Tous à quatre pattes derrière leurs Educatrices, les chiens soumis vinrent avant de quitter la salle de classe se prosterner devant le portrait de Monsieur le Marquis d’Evans. Ils restèrent en levrette, têtes au sol, culs relevés et reins cambrés devant cette image, presqu’une icône religieuse, pendant une longue minute silencieusement et respectueusement. Dans son for intérieur, soumis Endymion MDE remerciait le Maître de l’avoir conduit ici et le vénérait encore et encore pour son Autorité sur sa conscience et sur tout son être…
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