LE DÉFI DE MON MARI ( part 1 ) - histoire érotique

Sur le chemin du retour âpres notre dernière soirée et ma prestation lors du bukkake final une nouvelle idée a germée dans la tête de mon mentor :

— Bravo ma chérie, en te voyant sucer tous ces hommes tout a l'heure, je me suis demander combien d'hommes différents tu serais capable de soulager en une journée, mais attention un seul à chaque fois et toujours dans un lieu différent.

Je fais un rapide calcul:

— Si c'est un samedi et que j'ai la journée du matin au soir minuit, je dirais bonne une dizaine.

A mon mari de me rétorquer:

— Alors je te lance un défi, voila si tu réussi à pomper dix hommes que tu aura choisi en moins de vingt quatre heure, hors club libertin et sauna,je t'offrirais le bijou de ton choix. En revanche si tu échoue tu devra durant quatre heure te soumettre au moindre de mes désirs.

Je réfléchie si j'accepte ce challenge je vais devoir jouer de mes charmes pour gagner cette bague vue en boutique la semaine dernière mais si des fois je manquais a ma parole je ne pourrais pas compter sur l'indulgence de mon époux et devrais faire me plier à ses envie.

Mais je prend le risque et j'accepte le marché.

Me voila donc le samedi suivant sous un beau soleil en route pour avaler un maximum de queues, j'ai durant la semaine réfléchie comment réussir ce défi et pris quelques dispositions afin de trouver quelques cibles potentielles.

Direction l'hypermarché proche de la maison. J'ai passer pour l'occasion ma petite robe rouge, plutôt courte, pas de string, une paire de bas autofixants blancs et des escarpins rouge vernis. Je remarque une grosse Audi noire qui se gare à quelques voiture de la mienne, je sort rapidement et ouvre le coffre et me plonge au plus profond de celui-ci laissant volontairement remonter ma robe sur mes fesses et découvrir le haut de ma lingerie.

Il passe derrière moi et ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre.

Je bougonne assez fortement pour qu'il m'entende. Et voila que mon petit jeux porte ses fruit il s'approche et me demande:

— Bonjour madame auriez vous un soucis ?

Je me retourne et lui décroche mon plus beau sourire:

— Oui mon sac a main est bloquer et je suis très pressée.

Il se penche et passe tous prêt de moi, débloque d'un coup sec le sac que j'avais volontairement coincer.

Je lui demande comment je pourrais le remercier, ce à quoi il me répond qu'en prenant un café ensemble. Hélas je lui explique que comme je viens de lui dire mon temps est compté aujourd'hui mais que c'est vraiment trop bête car je le trouve vraiment mignon mais que si il est d'accord je pourrais lui prouver ma gratitude rapidement sur le cuir de sa banquette arrière, et que la seule chose que je lui demande c'est de faire une photo avec mon téléphone de moi sa queue en bouche. Ma proposition lui semble insolite mais il ne lui faut pas longtemps pour accepter ma proposition.

Me voila installée confortablement aux places arrière de cette grosse berline allemande et son propriétaire se pose à mes cotés. Je déboutonne sont pantalon et fait glisser sa braguette. J'en sort un membre de taille moyenne et circoncis. Je la prend en main et commence à monter et descendre le long de sa tige qui durcie rapidement. Je pose mes lèvres sur son engin et commence à le pomper.

Je lui tend mon téléphone et le regarde dans les yeux pour une jolie photo souvenir, et je me remet a l'ouvrage. En moins de cinq minute je sent que la sève monte, un geyser de liqueur chaude se déverse dans ma bouche. Une belle gorgée avalée et quelques coup de langue pour le nettoyage et monsieur peut reprendre les courses qu'il était venu faire.

— Et d'un !

Pour le second je me dirige vers la galerie marchande. J'ai à plusieurs reprise aperçu les regards insistants d' un grand et bel africain agents de la sécurité dans cette grande surface, il me reluque surtout quand je porte mes tenues les plus sexy, je me dit que si il est à sont poste je devrais facilement pouvoir le détourner de sa tache de vigile pour quelques minutes de plaisir. Je regarde devant les caisse et je l'aperçois au bout de la rangée de caissières, impossible de le rater c'est un gaillard d'au moins cent vingt kilos et de plus de deux mètres. Je rentre dans le magasin prend dans le rayon lingerie deux paires de bas une couture et une résille, je file aussitôt aux caisses du fonds celles ou est planté ma proie potentielle. Je passe en caisse et je sent qu'il a remarqué et que je ne le laisse vraiment pas indifférent. Une fois mon règlement effectué je fonce sur le colosse qui me matte depuis un moment.

— Excusez moi monsieur, mais je viens d'acheter un ensemble et je souhaiterais savoir si je peut l'échanger si la taille n'est pas bonne ?

Et je lui ouvre mon sac ou se trouve les bas. Il sorte un paquet de bas, me regarde des pied à la tête et le lance:

— Sans être un spécialiste je suis sur que c'est votre taille et d'ailleurs je pense que sur vous ce sera très sexy.

.

Je lui répond du tac au tac :

— Si des fois ça vous dit de vérifier, je suis prête à vous montrer tous de suite, vous en pensez quoi ?

Après un OK rapide le voila qui me précède direction le PC de sécurité. Nous passons devant l'homme de ménage et son chariot, le vigile prend l'étiquette qui pend sur un des balais «ménage en cours» et la pose sur la porte de WC.

— Dit moi Ali tu voudrais profiter du défilé de madame?

— Oui? Alors suit nous.

Le Ali en question est une petit homme d'une soixantaine d'années en blouse grise visiblement enchanté de cette aubaine.

J'entre dans les toilettes des hommes et mon black claque la porte et j'entends qu'il la ferme à clés derrière nous.

Ali n'avait visiblement pas encore nettoyé ce local car un odeur d'urine me prend a la gorge, mais bon je suis la pour une bonne raison donc je me lance.

Je me colle face au mur pose mes paumes à plat écarte les jambes ce qui fait remonter ma robe laissant voir le liserer de mes bas. Je sent de grosses mains se poser sur mes fesses. Je me retourne et fait face a l'homme, plaque mon dos au mur et glisse doucement jusqu'à avoir ma tête à la hauteur de sont membre que je devine se tendre au travers son pantalon.

D'un geste il ouvre sa braguette et dégaine un monstre devant mes yeux. Il est énorme se sexe comme je les aiment un gros gland et des veines bien gonflée qui parcours la longueur de sa bite très noire. Monsieur Ali pourrait peut être me prendre en photo avec mon téléphone mais sans ton visage, je lui tend mon appareil sur la position photo.

J'ouvre la bouche le plus grand possible pour recevoir se sexe vraiment hors norme. Il me prend la tête entre ses mains et enfonce sont dard au fond de ma gorge et je le suce avec délectation elle est vraiment très agréable en bouche. Je la sort d'entre mes lèvres et la pose sur mon visage et je demande a monsieur Ali de faire un joli cliché de se sexe très noir posé sur mon front bien blanc.

Je ne résiste pas a l'envie de profiter plus que prévu de cette superbe engin et je sort de mon sac des préservatifs et j'emballe ce pieux dans une capote. Je me relève et me retourne pour m'offrir à lui. Je vois aussi que monsieur Ali a sorti lui aussi son chibre et se branle dans sont coin et il l'astique fermement.

Deux mains m'empoigne les hanches et je me sent d'un seul coup le vagin complètement remplie et ses mouvements de va et viens font vite monter le plaisir en moi.

Monsieur Ali tout en se branlant approche doucement vers moi, sa bite tendue fièrement vers mon visage, je comprend qu'il ne serait pas contre me la glisser entre mes lèvres.

— Allez approche ne soit pas timide Ali , tu vois bien que c'est une bonne salope elle va te sucer.

Lui balance mon vigoureux amant.

Et me voila avec sa queue en bouche et l' autre qui me laboure sans ménagement, monsieur Ali ne résiste pas très longtemps dans ma bouche et m'envoie quelques belles giclées aux goûts acre. J'avale en grimaçant sont jus épais. Le colosse se vide les bourses au fond de moi et se retire la capote pendante et remplie d'une liqueur blanche. Il me demande de lui nettoyer l'engin, je m'exécute à coup de langue avant de le voir ranger son outil dans son pantalon et ouvrir la porte âpres un rapide merci.

Je me réajuste, sais bien qu'un seul hommes sera comptabilisé pour mon défi mais je suis ravi de ma petite prestation.

— Et de deux !

Je suis de retour dans ma voiture, il est presque onze heure et j'ai encore beaucoup a faire pour réussir ma journée. Je file sur la rocade et sa grande station service la je suis presque sur de trouver une nouvelle proie. Me voici sur cette aire d'autoroute avec sont parking ses pompes et sa boutique. Je stationne ma voiture sur le parking pratiquement vide a cette heure et j'entre dans le magasin. Derrière la caisse ou se tiens un jeune homme très fort d'une vingtaine d'années le style grand ado, sandales, bermuda et tee-shirt et au fond une femme d'environs cinquante ans est affairée à remplir les frigos de bouteilles d'eau. Je m'avance vers le caissier je prend un paquet de chewing-gum à la menthe et sort un billet de cinquante euro.

— Désoles vous n'auriez pas un billet moins gros, je n'est pas suffisamment dans ma caisse pour vous rendre la monnaie.

Je lui lance mon plus beau sourire et doucement comme en confidence je lui glisse a l'oreille :

— C'est pour enlever le goût des bites des mecs que je dois de sucer aujourd'hui, les spermes n'ont pas toujours très bon goût. Par contre je suis sur que le tien doit être sucré a souhaits.

Il devient tout rouge et bégaye quelques mots incompréhensibles.

— Si tu a une pose je serais ravie de vérifier.

Sans dire un mot il hoche la tête.

— Sabrina tu prend la caisse je vais en réserve fumer une cigarette.

Et il me dit doucement de passer derrière et qu'il m'y rejoindra tout de suite.

Je sort et fais le tour de la boutique, j'attends devant la porte de service qui ne tarde pas à s'ouvrir. Il m'affirme que sa collègue ne peut pas quitter son poste et qu'on sera tranquille.

J'entre dans une pièce encombrée de palettes, de cartons et de bouteilles, je lui explique pour la photo et lui tend mon portable et sans perdre de temps je baisse directement sont bermuda. Sous son ventre proéminent une broussaille de poils et au milieu un petit appendice dépasse. Je prend un carton vide le pose au sol en me met à genoux devant lui. Je le caresse sa queue, ses bourses pour le mettre en forme et la j'ouvre doucement mes lèvres. Je commence mes caresses buccales, lui place une main sur mes cheveux et timidement l'autre sur un de mes sein. Je sort mes nichons de ma robe pour lui faciliter la tache et reprend mon pompage de plus belle. Je retire sa bite et lui demande de faire ma photo et la reprend en bouche.

Au bout d'une dizaine de minute j'accélère et ce qui devait arriver arriva , je sent ses mains qui se crispent sur mes seins et il déverse dans ma bouche une énorme quantité de foutre chaud tellement que je suis obligée d'en déglutir plusieurs gorgées pour ne pas en avoir sur ma robe.

— Voilà pour le troisième!