Le déménagement

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le déménagement
C’était une période difficile de ma vie. Je venais de perdre un gros mandat et je devais quitter mon bureau car la charge devenait trop élevée à supporter par l’indépendante que je suis.
Ce jour-là, j’attendais le Centre social à qui je cédais pour rien la plupart de mes meubles. Ce n’était pas leur valeur que j’allais regretter mais le fait qu’ils « partaient » avant moi, me laissant dans un espace chaque jour un peu plus vide.
Il faisait chaud et malgré l’humeur maussade que je me trimballais depuis l’annonce de mon «licenciement», j’étais chaude. Je portais donc un body transparent noir qui ne cachait rien de mes tétons (que j’essayais en vain de développer depuis des mois) et un short assez moulant qui cachait à peine la bosse créée, non pas par ma queue, mais par ma cage de chasteté. J’avais hésité à porter mon collier d'appartenance en métal, mais ça aurait été un peu trop évident, non ? Ainsi « habillée », j’avais l’air de ce que je suis : une lope en quête de sensations fortes.
Ils sont arrivés. Trois grands gaillards, pas de trop pour emporter deux bibliothèques, un bureau avec son fauteuil, un caisson à dossiers suspendus, un canapé, trois fauteuils et deux tables. Pour les plus grosses affaires.
Deux d’entre eux me gratifièrent à peine d’un regard amusé, 100% hétéro apparemment. Le troisième en revanche, qui semblait être le chef, fixa immédiatement ma poitrine et attarda son regard sur la bosse de mon short, tout en laissant les autres s’occuper de mes affaires. Il devait bien faire 1m95 et était tout en muscles. Un monstre dont on hésite à désobéir mais devant lequel on n'hésite pas à se mettre à genoux.
J’aime qu’un homme soit plus grand que moi, qu’il soit capable de jeter mon 1m76 (sans talons) et mes 86 kg sur son épaule pour m’emmener au lit (ou ailleurs). Tout à fait mon genre d’homme, quoi.
Je voyais bien qu’il me regardait comme un coca dans le désert, un regard qui criait si fort « toi, ma lope, je vais te mettre à genoux ! » que je pouvais presque l’entendre.
Mais j’aime qu’un homme prenne l’initiative.
Aussi, je me détournai de lui et me contentai de donner des instructions à ses collègues.
Quand les meubles furent dans leur camionnette, le gars laissa partir ses collègues, puis me glissa à l’oreille « attends-moi, ma lope, je reviens dans une heure. Et t’as intérêt à être là ! ».
J’aime qu’un homme sache me calculer et décide de ce qu’il va faire de moi.
Je l’attendis donc, en ayant une assez bonne idée de ce qui m'attendait.
Cette fois, je mis mon collier autour du cou, pour ajouter à ce qu’il avait déjà deviné un élément qu’il n’avait peut-être pas décelé : je suis aussi soumise, et pas seulement sexuellement. J’étais depuis longtemps à la recherche de mon Maître et celui-là, je sentais qu'il avait tout à fait le profil.
Et pour être encore plus claire, j’avais sorti de mon short ma petite queue en cage pour achever de lui montrer à qui il avait affaire.
Ponctuel, il revint une heure plus tard : la queue a ses raisons que la raison ne connaît pas.
À peine avais-je fermé la porte du bureau que, dans le même mouvement, il mata ma cage et me jeta : « À genoux bouche ouverte ! ».
Un Dom, me dis-je ravie, en me mettant immédiatement à genoux, bouche ouverte, langue dehors. Il dut se dire qu'elle était bien dressée, cette lope. En attendant, c'est sa queue qui l'était, massive et longue. Il la sortit et me l’enfourna sans ménagement dans la bouche. Il était pressé de se faire sucer car il accompagnait mes va-et-vient de mouvements secs et rapides. À un moment, il me prit la tête à deux mains, m’empêchant de dévier de ma course, et me pilonna la bouche à sa guise sans que je puisse me dégager. Il savait ce qu’il voulait et se montrait endurant car cette fellation forcée (mais l'était-elle vraiment ?) n’en finissait pas. Ça tombait bien : j’adore sucer, de surcroît une queue magnifique. Je m’étouffais sur elle, mais mes haut-le-cœur ne l’attendrissaient pas pour autant. Je protestais avec des gargouillis baveux et tentais de reprendre ma respiration mais le salaud n’écoutait pas mes jérémiades. Bien au contraire, mes gémissements semblaient l’exciter davantage.
Au bout d’un long moment, je devinai, plus que je ne le vis, prendre une capote dans une poche de son jeans. Il avait tout prévu : pas question de se contenter d’une pipe, il comptait bien profiter de moi jusqu’au bout.
Il se retira donc de ma bouche dégoulinante de salive, ce qui provoqua chez moi un gémissement moins étouffé que les autres, enfila sa capote et m’obligea à me relever en tirant sur mon collier.
Il fit glisser mon short, fit sauter les deux boutons pression qui fermait mon body à l’entrejambe en me regardant droit dans les yeux, me lubrifia succinctement avec sa salive et, me retournant sans ménagement, me pénétra debout, d’un coup, jusqu’à la garde, tout en prenant soin de me bâillonner avec sa main.
Je poussai un long cri bâillonné car la sensation fut violente, puis je gémis car elle n’était pas désagréable, n’ayant jamais eu de mal à me faire pénétrer.
Très vite, il entama ses va-et-vient sur toute l’amplitude de sa queue, à un rythme soutenu, accompagnant son coït de grognements bestiaux. Comme il était beaucoup plus grand que moi, il me soulevait légèrement de terre à chaque poussée. Il me plaquait contre le mur et je n’avais d’autre choix que celui de subir ses coups de reins. Ça tombait bien : j’adore me faire pilonner.
Au bout de ce que je pris pour un quart d’heure d’un coït ininterrompu, il sortit de moi, aussi brutalement qu’il était entré, me força de nouveau à me mettre à genoux en tirant sur mon collier, et retira sa capote pour me gratifier d'une longue et abondante giclée. Il sperma tellement qu’il m’aspergea la bouche, le visage et la poitrine, ruinant mon body au passage.
Quand il eut fini, il me sourit en enfonçant son pouce dans ma bouche, que je suçai comme si c'était sa queue, puis il étala son sperme sur mon visage, comme une crème de jour régénératrice. LOL. Il devait considérer ça comme un compliment, du genre « bonne lope », et une marque de propriété, du genre « tu es à moi, maintenant ».
Puis, en bon macho, comme font la plupart des hommes quand ils ont eu ce qu’ils voulaient, il remballa son matos sans un mot et me promit de revenir prochainement.
Ce jour-là, encore couverte de sperme, je me suis dit qu’il n’y a rien de tel qu’un Homme dominant et puissant pour vous faire oublier votre déprime.
Mon Terminator tint parole : Il revint, et pas qu’une fois.
Puis, m’estimant prête, Il m’invita chez Lui et fit de moi Sa lope attitrée.
Il devint progressivement mon Maître, je devins Sa soumise sous collier et en chasteté permanente, physiquement possédée, mentalement cadenassée, rendue obéissante à force d'être fessée, entraînée au silence à force de sucer, éduquée à la fidélité à force d'être sodomisée.
Bien malin qui aurait pu prédire qu'un « simple » déménagement amènerait un tel changement de vie ? Même moi, je n'aurais jamais imaginé, ce jour-là, devenir la Propriété d'un Homme. Mais en y repensant, j'ai bien fait de porter ce body et ce short ;O)).
Ce jour-là, j’attendais le Centre social à qui je cédais pour rien la plupart de mes meubles. Ce n’était pas leur valeur que j’allais regretter mais le fait qu’ils « partaient » avant moi, me laissant dans un espace chaque jour un peu plus vide.
Il faisait chaud et malgré l’humeur maussade que je me trimballais depuis l’annonce de mon «licenciement», j’étais chaude. Je portais donc un body transparent noir qui ne cachait rien de mes tétons (que j’essayais en vain de développer depuis des mois) et un short assez moulant qui cachait à peine la bosse créée, non pas par ma queue, mais par ma cage de chasteté. J’avais hésité à porter mon collier d'appartenance en métal, mais ça aurait été un peu trop évident, non ? Ainsi « habillée », j’avais l’air de ce que je suis : une lope en quête de sensations fortes.
Ils sont arrivés. Trois grands gaillards, pas de trop pour emporter deux bibliothèques, un bureau avec son fauteuil, un caisson à dossiers suspendus, un canapé, trois fauteuils et deux tables. Pour les plus grosses affaires.
Deux d’entre eux me gratifièrent à peine d’un regard amusé, 100% hétéro apparemment. Le troisième en revanche, qui semblait être le chef, fixa immédiatement ma poitrine et attarda son regard sur la bosse de mon short, tout en laissant les autres s’occuper de mes affaires. Il devait bien faire 1m95 et était tout en muscles. Un monstre dont on hésite à désobéir mais devant lequel on n'hésite pas à se mettre à genoux.
J’aime qu’un homme soit plus grand que moi, qu’il soit capable de jeter mon 1m76 (sans talons) et mes 86 kg sur son épaule pour m’emmener au lit (ou ailleurs). Tout à fait mon genre d’homme, quoi.
Je voyais bien qu’il me regardait comme un coca dans le désert, un regard qui criait si fort « toi, ma lope, je vais te mettre à genoux ! » que je pouvais presque l’entendre.
Mais j’aime qu’un homme prenne l’initiative.
Aussi, je me détournai de lui et me contentai de donner des instructions à ses collègues.
Quand les meubles furent dans leur camionnette, le gars laissa partir ses collègues, puis me glissa à l’oreille « attends-moi, ma lope, je reviens dans une heure. Et t’as intérêt à être là ! ».
J’aime qu’un homme sache me calculer et décide de ce qu’il va faire de moi.
Je l’attendis donc, en ayant une assez bonne idée de ce qui m'attendait.
Cette fois, je mis mon collier autour du cou, pour ajouter à ce qu’il avait déjà deviné un élément qu’il n’avait peut-être pas décelé : je suis aussi soumise, et pas seulement sexuellement. J’étais depuis longtemps à la recherche de mon Maître et celui-là, je sentais qu'il avait tout à fait le profil.
Et pour être encore plus claire, j’avais sorti de mon short ma petite queue en cage pour achever de lui montrer à qui il avait affaire.
Ponctuel, il revint une heure plus tard : la queue a ses raisons que la raison ne connaît pas.
À peine avais-je fermé la porte du bureau que, dans le même mouvement, il mata ma cage et me jeta : « À genoux bouche ouverte ! ».
Un Dom, me dis-je ravie, en me mettant immédiatement à genoux, bouche ouverte, langue dehors. Il dut se dire qu'elle était bien dressée, cette lope. En attendant, c'est sa queue qui l'était, massive et longue. Il la sortit et me l’enfourna sans ménagement dans la bouche. Il était pressé de se faire sucer car il accompagnait mes va-et-vient de mouvements secs et rapides. À un moment, il me prit la tête à deux mains, m’empêchant de dévier de ma course, et me pilonna la bouche à sa guise sans que je puisse me dégager. Il savait ce qu’il voulait et se montrait endurant car cette fellation forcée (mais l'était-elle vraiment ?) n’en finissait pas. Ça tombait bien : j’adore sucer, de surcroît une queue magnifique. Je m’étouffais sur elle, mais mes haut-le-cœur ne l’attendrissaient pas pour autant. Je protestais avec des gargouillis baveux et tentais de reprendre ma respiration mais le salaud n’écoutait pas mes jérémiades. Bien au contraire, mes gémissements semblaient l’exciter davantage.
Au bout d’un long moment, je devinai, plus que je ne le vis, prendre une capote dans une poche de son jeans. Il avait tout prévu : pas question de se contenter d’une pipe, il comptait bien profiter de moi jusqu’au bout.
Il se retira donc de ma bouche dégoulinante de salive, ce qui provoqua chez moi un gémissement moins étouffé que les autres, enfila sa capote et m’obligea à me relever en tirant sur mon collier.
Il fit glisser mon short, fit sauter les deux boutons pression qui fermait mon body à l’entrejambe en me regardant droit dans les yeux, me lubrifia succinctement avec sa salive et, me retournant sans ménagement, me pénétra debout, d’un coup, jusqu’à la garde, tout en prenant soin de me bâillonner avec sa main.
Je poussai un long cri bâillonné car la sensation fut violente, puis je gémis car elle n’était pas désagréable, n’ayant jamais eu de mal à me faire pénétrer.
Très vite, il entama ses va-et-vient sur toute l’amplitude de sa queue, à un rythme soutenu, accompagnant son coït de grognements bestiaux. Comme il était beaucoup plus grand que moi, il me soulevait légèrement de terre à chaque poussée. Il me plaquait contre le mur et je n’avais d’autre choix que celui de subir ses coups de reins. Ça tombait bien : j’adore me faire pilonner.
Au bout de ce que je pris pour un quart d’heure d’un coït ininterrompu, il sortit de moi, aussi brutalement qu’il était entré, me força de nouveau à me mettre à genoux en tirant sur mon collier, et retira sa capote pour me gratifier d'une longue et abondante giclée. Il sperma tellement qu’il m’aspergea la bouche, le visage et la poitrine, ruinant mon body au passage.
Quand il eut fini, il me sourit en enfonçant son pouce dans ma bouche, que je suçai comme si c'était sa queue, puis il étala son sperme sur mon visage, comme une crème de jour régénératrice. LOL. Il devait considérer ça comme un compliment, du genre « bonne lope », et une marque de propriété, du genre « tu es à moi, maintenant ».
Puis, en bon macho, comme font la plupart des hommes quand ils ont eu ce qu’ils voulaient, il remballa son matos sans un mot et me promit de revenir prochainement.
Ce jour-là, encore couverte de sperme, je me suis dit qu’il n’y a rien de tel qu’un Homme dominant et puissant pour vous faire oublier votre déprime.
Mon Terminator tint parole : Il revint, et pas qu’une fois.
Puis, m’estimant prête, Il m’invita chez Lui et fit de moi Sa lope attitrée.
Il devint progressivement mon Maître, je devins Sa soumise sous collier et en chasteté permanente, physiquement possédée, mentalement cadenassée, rendue obéissante à force d'être fessée, entraînée au silence à force de sucer, éduquée à la fidélité à force d'être sodomisée.
Bien malin qui aurait pu prédire qu'un « simple » déménagement amènerait un tel changement de vie ? Même moi, je n'aurais jamais imaginé, ce jour-là, devenir la Propriété d'un Homme. Mais en y repensant, j'ai bien fait de porter ce body et ce short ;O)).
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