Le dépucelage de Clara
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le dépucelage de Clara
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°740) - Le dépucelage de Clara -
‘‘Toujours assise sur les marches, en bas des escaliers menant au premier étage, Clara est donc entièrement nue. Sa chemisette de nuit jetée à terre, elle a écarté ses genoux et ouvert largement ses cuisses. Elle révèle la blanche douceur de ses cuisses, de ses hanches et exhibe ainsi, aux regards de sa mère et du Marquis, la large fente rose de sa vulve pulpeuse. La tête de Clara est renversée en arrière, ses cheveux ondulés tombent en cascade sur ses épaules nues, elle est calée sur les marches en bois et offre le plus impudique des spectacles. Elle se déhanche dans la jouissance tout en montrant bien en avant son sexe grand ouvert. En effet, Clara jouit à n’en plus finir, ouvrant de ses doigts sa chatte et dévoilant ses chairs les plus intimes, écartant celles-ci au maximum d'une main fourrant ses doigts dans son sexe béant et ruisselant de cyprine et de l'autre main à se masturber son clitoris gonflé et gorgé de désirs brûlants... Moi, la comtesse du Dranier, sa propre mère, reste figée par la surprise, bouche bée. Monsieur Le Marquis recule et je le vois aussi dans un absolu silence due à la stupeur du moment. Alors, je me lève en omettant de demander l’autorisation à pouvoir le faire, mais ma surprise étant totale, d’une part d’être prise en flagrant délit de soumission me perturbe et d’autre part le constat de voir ma propre fille Clara se caresser d’une manière aussi ostentatoire et impudique. Même si je ne l’a savais pas tout à fait innocente sur la sexualité féminine car je savais qu’elle se caressait parfois seule dans sa chambre, répondant à l’appel de ses envies de vierge en chaleur, de son corps de femme ... Je n’en ai jamais parlé à son sévère père, le comte, beaucoup trop puritain pour comprendre ce genre de choses.
Donc, afin de calmer la situation, je m’approche doucement de Clara, sans prendre aucun air de reproches, mais j’opte plutôt pour une attitude de compassion en tendant mes bras en avant légèrement élevés. Clara me voyant m’approcher, stoppe sa masturbation mais ne peut retenir sa respiration rapide post-orgasmique. Je prends sa tête dans mes bras, contre ma poitrine et serre très fort pour lui montrer tout mon amour de mère mais aussi que je la comprends et que je trouve normal son agissement à se masturber, qu’il n’y ait aucun pêché à se caresser. Agissant ainsi, je suis encore une fois en total désaccord avec mon mari ultra-catholique qui, lui, considère la masturbation comme étant un inadmissible et impardonnable pêché… Clara se calme, sa respiration ralentit, elle ne bouge pas, reste ainsi de longues minutes dans une tendresse inouïe. Je la sens bien, apaisée, comme c’est si souvent le cas quand je la console de ses petits tracas, là au creux de mon épaule lui caressant doucement ses beaux cheveux. Car malgré son handicap, ce n’est parce qu’elle est muette de naissance, qu’elle ne puisse pas me communiquer ses émotions, ses joies, ses peines. Bien au contraire, les mots ne servent souvent à rien pour que le dialogue avec elle soit riche, sachant entendre la compréhension, l’affection, ou la tendresse qui passent entre une mère et sa fille. Ses larmes coulent sans bruit sur son doux visage et je comprends amplement qu’elle est heureuse de se savoir aimée et comprise par la mère que je suis. Ce sont des larmes de bonheur. Après de longues minutes ainsi, Monsieur le Marquis Louis-Alexandre d’Evans, qui jusque-là avait observé la scène en silence, s’exclame et nous sort ainsi de ce merveilleux moment de câlins :
- Je constate que ta fille n’est pas choquée de ce que nous faisions ensemble… De plus, son comportement à se caresser sans aucune pudeur à nous regarder, a … comment dire …. enivré son corps de jeune pucelle !
- Oui ô Maître, veuillez pardonner son attitude, elle est encore jeune et vierge et avec tout juste ses 18 ans passés, elle ne connait que le plaisir solitaire de la masturbation en réponse à l’appel de son corps…- Je ne suis pas venu ici pour m’occuper d’une jeune vierge, alors qu’elle remonte se coucher.
- Oui Maître, vous agissez ainsi en honorable Seigneur. (puis s’adressant à Clara) - Tu as entendu ce qu’a dit Monsieur le Marquis, va te coucher, ma chérie. Soit tranquille, je sais que tout ce qui s’est passé ce soir restera entre nous et que ton père n’en saura jamais rien… Tu peux aller dormir en toute quiétude…
Pour toute réponse, Clara, telle une enfant capricieuse me tourne énergiquement la tête négativement de droite à gauche avec une moue de mécontentement. Visiblement, elle ne veut pas remonter se coucher et se remet à se serrer fort contre moi, me faisant comprendre qu’elle veut rester, qu’elle est bien avec nous.
- Ne fait pas l’enfant, ma chérie, tu vois bien que Monsieur le Marquis a exigé que tu ailles te coucher… Allez soit gentille et obéis-moi… lui dis-je.
Cette fois, comme toute réponse et subitement Clara s’extirpe de mes bras et d’un bon rapide, va se mettre promptement devant Monsieur le Marquis, toujours dénudée, elle s’agenouille le plus vite possible et se prosterne en levrette, les bras longuement en avant, la pointe de ses doigts juste à quelques centimètres des chaussures du Noble. Elle ne bouge plus ainsi positionnée et semble attendre dans une évidente servilité.
- Clara, revient vite et va te coucher, lui dis-je de nouveau.
- Ta fille ne semble pas vouloir t’obéir, toi sa propre mère !
- Je suis bien désolée, Maître, veuillez la pardonner mais je sais qu’il ne faut pas la brusquer sinon, elle va se braquer et cela sera pire encore pour elle. Je vais essayer de lui faire comprendre que sa place n’est pas là …- Et qu’en sais-tu, si ce n’est pas sa place ici, après tout ? s’exclame Monsieur le Marquis – Et quand je dis ‘‘sa place’’, je parle de celle qu’elle semble souhaiter absolument, la seule qui l’a rendrait heureuse apparemment, celle qui est tout simplement à Mes Nobles pieds … Oui, ouvre les yeux, ma chienne, et regarde plus attentivement la réaction, l’attitude, le désir de ta fille et ce qu’elle vient de faire comme geste fort en venant se mettre immobile en prosternation devant moi- Oui bien entendu Maître, mais elle est si jeune et innocente et …- Innocente ? Oh que non ! quand on se masturbe de la façon impudique comme elle vient de nous montrer… Je crois qu’il est temps que ta fille découvre ce qui peut la rendre heureuse et épanouie…- Non, Maître, pas ma fille Clara, elle n’est pas soumise et …- Pas soumise, certes pour le moment, mais son attitude démontre qu’elle veut le devenir, c’est clair … Regarde comme elle est positionnée, là à Mes pieds, sans bouger elle semble attendre mes ordres, mon bon vouloir… - Mais ?… dis-je dubitative- Le mieux est de lui demander ce qu’elle souhaite vraiment, tu ne crois pas ?
- Bi … bien Maître, vous … vous avez sans doute raison … je … suis simplement juste un peu perturbée par tout ça… Elle est si jeune… mais oui, à y réfléchir, vos paroles sont sensées, que je finis par dire un peu plus convaincue en voyant l’immobilité de Clara aux pieds de Monsieur le Marquis !
Alors je m’approche de Clara, m’agenouille près d’elle et lui relève délicatement la tête, lui caresse et range ses cheveux en bataille sur son visage humide car elle pleure en silence, ses larmes coulent le long de ses joues et son regard qu’elle me porte en dit long sur ses intentions. C’est un regard de supplication claire à rester là où elle est venue d’elle-même se mettre, là où elle laisse paraître un inouï bonheur à se trouver en cette position prosternée.
- Ma chérie, ma fille bien-aimée, tu veux vraiment devenir une soumise ? lui dis-je, - Tu sais, ce n’est pas toujours facile ! Il faut obéir sans jamais rechigner, être toujours à la disposition du Maître et obtempérer à toutes Ses exigences, mêmes les plus perverses… Tu devras faire preuve d’une obéissance totale, d’une dévotion la plus absolue et sans jamais te plaindre … C’est vraiment ça que tu veux ?...Tu le veux vraiment ? Tu penses trouver le bonheur en étant ainsi ?
Pour toute répondre, Clara me fait un grand signe de tête positif et répétitif exprimant un grand oui avec un changement radical dans l’expression de son visage qui s’épanouit spontanément dans un large et radieux sourire exprimant tout le bonheur de cette perspective…
- Je crois que ta fille a clairement fait comprendre sa réponse, ma chienne …- Oui Maître, je me rends à l’évidence, je n’ai plus aucun doute là-dessus …- Alors, il faut qu’elle me demande si je veux bien daigner la prendre comme soumise et sous ma protection… bien évidemment ! dit le Maître
Si Clara est muette, elle est loin d’être sourde et c’est avec un geste fort qu’elle s’exécute à faire sa demande de soumission envers le Maître. Subitement, en effet, elle se met d’abord à genoux bien droite et met ensuite ses deux mains jointes comme si elle faisait une prière, mais la tête baissée, le buste bien droit. Elle reste ainsi quelques minutes le temps que le Maître, qui l’observe sans rien dire, s’exprime enfin pour lui dire d’un ton solennel :
- Très bien Clara, je prends en compte ta demande de devenir à l’instar de ta mère, Ma soumise. Tu sais à quoi tu t’engages, ta mère vient de te le dire : Obéissance totale et dévotion complète, absolue. … Alors j’accepte de m’occuper de toi et de faire de toi une bonne chienne docile et obéissante. A partir de maintenant, ton corps et ton esprit m’appartiennent totalement. Soit heureuse ainsi à Me satisfaire, rien ne comptera plus au monde que Ma pleine satisfaction… Ce sera ta seule et unique raison de vivre, la même raison que celle de ta mère… Tu viendras demain pour 9h au Château, avec ta mère, afin que je te remette de mes propres mains ton collier et ta laisse de cuir… J’ai dit, termine le Maître en lui caressant les cheveux avec douceur.
En guise de remerciements, Clara se penche en avant en levrette et vient baiser abondement et avec une évidente dévotion les pieds du Marquis d’Evans. Elle en est très excitée à voir sa cyprine coulant le long de ses cuisses. Cela ne passe pas inaperçu au regard de Marquis :
- Bien, chienne Clara, couches-toi là sur le dos, à même le sol, écartes bien tes cuisses et continues ce que tu faisais sur les marches d’escaliers, caresses-toi, masturbes-toi bien, petite salope, devant Moi, montres-moi bien ton sexe largement trempée et caresses le encore et encore en te tortillant d’excitation …. Et regardes en même temps, ce que je vais faire avec ta chienne de mère ! lança-t-il.
Ceci-dit, Clara obéit avec une motivation évidence à voir. Alors le Maitre me fait mettre debout, face au poteau central du salon qui sert de poutre verticale de soutènement. Il me lie les poignets à ce gros poteau improvisé par des cordes trouvées dans le coffre en bois près de la porte ... Monsieur le Marquis me met en position, debout, il me fait cambrer les reins en arrière afin de bien faire saillir ma croupe arrondie, les cuisses largement écartées... Alors sous les yeux de Clara très excitée autant à se masturber qu’à obéir à un ordre, le Maître m’inflige une dizaine de coups de cravache, secs et violents... J’essaie de ne laisser échapper aucun gémissement.
- Pour te rappeler que j'ai tous Pouvoirs, me-dit-il
Ensuite, une fois ses coups de badine terminés, il pose Ses mains sur mes hanches, en me tirant vers Lui... Puis il passe sa main entre mes cuisses, caresse longuement mes lèvres intimes et s’attarde sur mon clito, pour finir son savoureux doigtage en me mettant un doigt dans mon anus ... puis deux … et il les fait aller et venir en me traitant de bonne chienne. Le Maître se saisit alors de son sexe qui commence à durcir et l'insère tout en poussant brusquement son gland contre mon anus dilaté par ses doigts pénétrants ... Ensuite, tout en me serrant de plus en plus contre lui, toujours avec sa queue redevenue raide, épaisse, et dressée, il me pénètre d'un coup sec en donnant un puissant coup de reins... Il me besogne ensuite un long moment durant lequel, il n'a jamais cessé de me tenir par le sexe, ses doigts entre mes lèvres intimes, tout en m'enculant profondément. Au bout d’un moment, il se retire sans éjaculer et m’oblige à lui nettoyer sa verge raidie et souillée. J’obéis avec une gourmandise qui me surprend moi-même… Puis il se retourne vers Clara toujours couchée au sol, jambes largement écartées qui a redoublé ses déhanchements de plaisirs à décoller ses fesses du sol. C’est avec la verge en forte érection que le Maître lui dit :
- Ca t’excite, hein ! petite femelle … Mais, tu es pucelle, Ma chienne eh bien, je vais prendre possession de ta virginité... Et de plein droit, dit le Maître, tu es Ma propriété désormais ....
Ses mots sont dits dans un souffle en se couchant en position du missionnaire entre les cuisses de Clara qui dans son excitation écarte encore plus les cuisses. Et c’est sur chienne Clara que le Noble pousse d’un coup de reins puissant son bassin pour enfoncer sa bite dans cette chatte vierge et fort trempée... Clara a la respiration très rapide comme si elle jouissait déjà. Alors qu’elle se fait dépuceler, elle halète et regarde le grand lustre de cristal au plafond, au-dessus d'elle. Elle sent un épais bout de chair dur dans son intimité, déflorer son hymen, ses lèvres se mettent à trembler légèrement et son souffle s’accélère encore lorsqu'elle sent le Vit du Noble si raide la besogner en elle à grands coups de reins cadencés et ininterrompus… Le Maître est en elle, il va et vient encore et encore, s'enfonce, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit de plaisirs mais aucun son ne sort de sa bouche, muette à jamais. Elle se sent possédée, bien remplie, baisée, elle se sent enfin être une femme, tout simplement. Et Clara souhaite tellement cette verge tout entière en elle, qu’elle écarte encore plus les jambes. Le sexe du Marquis la possède désormais pleinement, sauvagement, bestialement dans des ‘’han’’ à chaque coup de boutoir... Longuement il la baise ainsi, savourant pleinement la fin de cette virginité si longtemps préservée et qui a cédé face à Son Pouvoir le plus absolue...
C'est sur ces mots que ce nouveau récit de la comtesse du Dranier termine la page de son journal intime sur laquelle est penché Monsieur le Marquis Edouard d'Evans ...
(A suivre …)
‘‘Toujours assise sur les marches, en bas des escaliers menant au premier étage, Clara est donc entièrement nue. Sa chemisette de nuit jetée à terre, elle a écarté ses genoux et ouvert largement ses cuisses. Elle révèle la blanche douceur de ses cuisses, de ses hanches et exhibe ainsi, aux regards de sa mère et du Marquis, la large fente rose de sa vulve pulpeuse. La tête de Clara est renversée en arrière, ses cheveux ondulés tombent en cascade sur ses épaules nues, elle est calée sur les marches en bois et offre le plus impudique des spectacles. Elle se déhanche dans la jouissance tout en montrant bien en avant son sexe grand ouvert. En effet, Clara jouit à n’en plus finir, ouvrant de ses doigts sa chatte et dévoilant ses chairs les plus intimes, écartant celles-ci au maximum d'une main fourrant ses doigts dans son sexe béant et ruisselant de cyprine et de l'autre main à se masturber son clitoris gonflé et gorgé de désirs brûlants... Moi, la comtesse du Dranier, sa propre mère, reste figée par la surprise, bouche bée. Monsieur Le Marquis recule et je le vois aussi dans un absolu silence due à la stupeur du moment. Alors, je me lève en omettant de demander l’autorisation à pouvoir le faire, mais ma surprise étant totale, d’une part d’être prise en flagrant délit de soumission me perturbe et d’autre part le constat de voir ma propre fille Clara se caresser d’une manière aussi ostentatoire et impudique. Même si je ne l’a savais pas tout à fait innocente sur la sexualité féminine car je savais qu’elle se caressait parfois seule dans sa chambre, répondant à l’appel de ses envies de vierge en chaleur, de son corps de femme ... Je n’en ai jamais parlé à son sévère père, le comte, beaucoup trop puritain pour comprendre ce genre de choses.
Donc, afin de calmer la situation, je m’approche doucement de Clara, sans prendre aucun air de reproches, mais j’opte plutôt pour une attitude de compassion en tendant mes bras en avant légèrement élevés. Clara me voyant m’approcher, stoppe sa masturbation mais ne peut retenir sa respiration rapide post-orgasmique. Je prends sa tête dans mes bras, contre ma poitrine et serre très fort pour lui montrer tout mon amour de mère mais aussi que je la comprends et que je trouve normal son agissement à se masturber, qu’il n’y ait aucun pêché à se caresser. Agissant ainsi, je suis encore une fois en total désaccord avec mon mari ultra-catholique qui, lui, considère la masturbation comme étant un inadmissible et impardonnable pêché… Clara se calme, sa respiration ralentit, elle ne bouge pas, reste ainsi de longues minutes dans une tendresse inouïe. Je la sens bien, apaisée, comme c’est si souvent le cas quand je la console de ses petits tracas, là au creux de mon épaule lui caressant doucement ses beaux cheveux. Car malgré son handicap, ce n’est parce qu’elle est muette de naissance, qu’elle ne puisse pas me communiquer ses émotions, ses joies, ses peines. Bien au contraire, les mots ne servent souvent à rien pour que le dialogue avec elle soit riche, sachant entendre la compréhension, l’affection, ou la tendresse qui passent entre une mère et sa fille. Ses larmes coulent sans bruit sur son doux visage et je comprends amplement qu’elle est heureuse de se savoir aimée et comprise par la mère que je suis. Ce sont des larmes de bonheur. Après de longues minutes ainsi, Monsieur le Marquis Louis-Alexandre d’Evans, qui jusque-là avait observé la scène en silence, s’exclame et nous sort ainsi de ce merveilleux moment de câlins :
- Je constate que ta fille n’est pas choquée de ce que nous faisions ensemble… De plus, son comportement à se caresser sans aucune pudeur à nous regarder, a … comment dire …. enivré son corps de jeune pucelle !
- Oui ô Maître, veuillez pardonner son attitude, elle est encore jeune et vierge et avec tout juste ses 18 ans passés, elle ne connait que le plaisir solitaire de la masturbation en réponse à l’appel de son corps…- Je ne suis pas venu ici pour m’occuper d’une jeune vierge, alors qu’elle remonte se coucher.
- Oui Maître, vous agissez ainsi en honorable Seigneur. (puis s’adressant à Clara) - Tu as entendu ce qu’a dit Monsieur le Marquis, va te coucher, ma chérie. Soit tranquille, je sais que tout ce qui s’est passé ce soir restera entre nous et que ton père n’en saura jamais rien… Tu peux aller dormir en toute quiétude…
Pour toute réponse, Clara, telle une enfant capricieuse me tourne énergiquement la tête négativement de droite à gauche avec une moue de mécontentement. Visiblement, elle ne veut pas remonter se coucher et se remet à se serrer fort contre moi, me faisant comprendre qu’elle veut rester, qu’elle est bien avec nous.
- Ne fait pas l’enfant, ma chérie, tu vois bien que Monsieur le Marquis a exigé que tu ailles te coucher… Allez soit gentille et obéis-moi… lui dis-je.
Cette fois, comme toute réponse et subitement Clara s’extirpe de mes bras et d’un bon rapide, va se mettre promptement devant Monsieur le Marquis, toujours dénudée, elle s’agenouille le plus vite possible et se prosterne en levrette, les bras longuement en avant, la pointe de ses doigts juste à quelques centimètres des chaussures du Noble. Elle ne bouge plus ainsi positionnée et semble attendre dans une évidente servilité.
- Clara, revient vite et va te coucher, lui dis-je de nouveau.
- Ta fille ne semble pas vouloir t’obéir, toi sa propre mère !
- Je suis bien désolée, Maître, veuillez la pardonner mais je sais qu’il ne faut pas la brusquer sinon, elle va se braquer et cela sera pire encore pour elle. Je vais essayer de lui faire comprendre que sa place n’est pas là …- Et qu’en sais-tu, si ce n’est pas sa place ici, après tout ? s’exclame Monsieur le Marquis – Et quand je dis ‘‘sa place’’, je parle de celle qu’elle semble souhaiter absolument, la seule qui l’a rendrait heureuse apparemment, celle qui est tout simplement à Mes Nobles pieds … Oui, ouvre les yeux, ma chienne, et regarde plus attentivement la réaction, l’attitude, le désir de ta fille et ce qu’elle vient de faire comme geste fort en venant se mettre immobile en prosternation devant moi- Oui bien entendu Maître, mais elle est si jeune et innocente et …- Innocente ? Oh que non ! quand on se masturbe de la façon impudique comme elle vient de nous montrer… Je crois qu’il est temps que ta fille découvre ce qui peut la rendre heureuse et épanouie…- Non, Maître, pas ma fille Clara, elle n’est pas soumise et …- Pas soumise, certes pour le moment, mais son attitude démontre qu’elle veut le devenir, c’est clair … Regarde comme elle est positionnée, là à Mes pieds, sans bouger elle semble attendre mes ordres, mon bon vouloir… - Mais ?… dis-je dubitative- Le mieux est de lui demander ce qu’elle souhaite vraiment, tu ne crois pas ?
- Bi … bien Maître, vous … vous avez sans doute raison … je … suis simplement juste un peu perturbée par tout ça… Elle est si jeune… mais oui, à y réfléchir, vos paroles sont sensées, que je finis par dire un peu plus convaincue en voyant l’immobilité de Clara aux pieds de Monsieur le Marquis !
Alors je m’approche de Clara, m’agenouille près d’elle et lui relève délicatement la tête, lui caresse et range ses cheveux en bataille sur son visage humide car elle pleure en silence, ses larmes coulent le long de ses joues et son regard qu’elle me porte en dit long sur ses intentions. C’est un regard de supplication claire à rester là où elle est venue d’elle-même se mettre, là où elle laisse paraître un inouï bonheur à se trouver en cette position prosternée.
- Ma chérie, ma fille bien-aimée, tu veux vraiment devenir une soumise ? lui dis-je, - Tu sais, ce n’est pas toujours facile ! Il faut obéir sans jamais rechigner, être toujours à la disposition du Maître et obtempérer à toutes Ses exigences, mêmes les plus perverses… Tu devras faire preuve d’une obéissance totale, d’une dévotion la plus absolue et sans jamais te plaindre … C’est vraiment ça que tu veux ?...Tu le veux vraiment ? Tu penses trouver le bonheur en étant ainsi ?
Pour toute répondre, Clara me fait un grand signe de tête positif et répétitif exprimant un grand oui avec un changement radical dans l’expression de son visage qui s’épanouit spontanément dans un large et radieux sourire exprimant tout le bonheur de cette perspective…
- Je crois que ta fille a clairement fait comprendre sa réponse, ma chienne …- Oui Maître, je me rends à l’évidence, je n’ai plus aucun doute là-dessus …- Alors, il faut qu’elle me demande si je veux bien daigner la prendre comme soumise et sous ma protection… bien évidemment ! dit le Maître
Si Clara est muette, elle est loin d’être sourde et c’est avec un geste fort qu’elle s’exécute à faire sa demande de soumission envers le Maître. Subitement, en effet, elle se met d’abord à genoux bien droite et met ensuite ses deux mains jointes comme si elle faisait une prière, mais la tête baissée, le buste bien droit. Elle reste ainsi quelques minutes le temps que le Maître, qui l’observe sans rien dire, s’exprime enfin pour lui dire d’un ton solennel :
- Très bien Clara, je prends en compte ta demande de devenir à l’instar de ta mère, Ma soumise. Tu sais à quoi tu t’engages, ta mère vient de te le dire : Obéissance totale et dévotion complète, absolue. … Alors j’accepte de m’occuper de toi et de faire de toi une bonne chienne docile et obéissante. A partir de maintenant, ton corps et ton esprit m’appartiennent totalement. Soit heureuse ainsi à Me satisfaire, rien ne comptera plus au monde que Ma pleine satisfaction… Ce sera ta seule et unique raison de vivre, la même raison que celle de ta mère… Tu viendras demain pour 9h au Château, avec ta mère, afin que je te remette de mes propres mains ton collier et ta laisse de cuir… J’ai dit, termine le Maître en lui caressant les cheveux avec douceur.
En guise de remerciements, Clara se penche en avant en levrette et vient baiser abondement et avec une évidente dévotion les pieds du Marquis d’Evans. Elle en est très excitée à voir sa cyprine coulant le long de ses cuisses. Cela ne passe pas inaperçu au regard de Marquis :
- Bien, chienne Clara, couches-toi là sur le dos, à même le sol, écartes bien tes cuisses et continues ce que tu faisais sur les marches d’escaliers, caresses-toi, masturbes-toi bien, petite salope, devant Moi, montres-moi bien ton sexe largement trempée et caresses le encore et encore en te tortillant d’excitation …. Et regardes en même temps, ce que je vais faire avec ta chienne de mère ! lança-t-il.
Ceci-dit, Clara obéit avec une motivation évidence à voir. Alors le Maitre me fait mettre debout, face au poteau central du salon qui sert de poutre verticale de soutènement. Il me lie les poignets à ce gros poteau improvisé par des cordes trouvées dans le coffre en bois près de la porte ... Monsieur le Marquis me met en position, debout, il me fait cambrer les reins en arrière afin de bien faire saillir ma croupe arrondie, les cuisses largement écartées... Alors sous les yeux de Clara très excitée autant à se masturber qu’à obéir à un ordre, le Maître m’inflige une dizaine de coups de cravache, secs et violents... J’essaie de ne laisser échapper aucun gémissement.
- Pour te rappeler que j'ai tous Pouvoirs, me-dit-il
Ensuite, une fois ses coups de badine terminés, il pose Ses mains sur mes hanches, en me tirant vers Lui... Puis il passe sa main entre mes cuisses, caresse longuement mes lèvres intimes et s’attarde sur mon clito, pour finir son savoureux doigtage en me mettant un doigt dans mon anus ... puis deux … et il les fait aller et venir en me traitant de bonne chienne. Le Maître se saisit alors de son sexe qui commence à durcir et l'insère tout en poussant brusquement son gland contre mon anus dilaté par ses doigts pénétrants ... Ensuite, tout en me serrant de plus en plus contre lui, toujours avec sa queue redevenue raide, épaisse, et dressée, il me pénètre d'un coup sec en donnant un puissant coup de reins... Il me besogne ensuite un long moment durant lequel, il n'a jamais cessé de me tenir par le sexe, ses doigts entre mes lèvres intimes, tout en m'enculant profondément. Au bout d’un moment, il se retire sans éjaculer et m’oblige à lui nettoyer sa verge raidie et souillée. J’obéis avec une gourmandise qui me surprend moi-même… Puis il se retourne vers Clara toujours couchée au sol, jambes largement écartées qui a redoublé ses déhanchements de plaisirs à décoller ses fesses du sol. C’est avec la verge en forte érection que le Maître lui dit :
- Ca t’excite, hein ! petite femelle … Mais, tu es pucelle, Ma chienne eh bien, je vais prendre possession de ta virginité... Et de plein droit, dit le Maître, tu es Ma propriété désormais ....
Ses mots sont dits dans un souffle en se couchant en position du missionnaire entre les cuisses de Clara qui dans son excitation écarte encore plus les cuisses. Et c’est sur chienne Clara que le Noble pousse d’un coup de reins puissant son bassin pour enfoncer sa bite dans cette chatte vierge et fort trempée... Clara a la respiration très rapide comme si elle jouissait déjà. Alors qu’elle se fait dépuceler, elle halète et regarde le grand lustre de cristal au plafond, au-dessus d'elle. Elle sent un épais bout de chair dur dans son intimité, déflorer son hymen, ses lèvres se mettent à trembler légèrement et son souffle s’accélère encore lorsqu'elle sent le Vit du Noble si raide la besogner en elle à grands coups de reins cadencés et ininterrompus… Le Maître est en elle, il va et vient encore et encore, s'enfonce, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit de plaisirs mais aucun son ne sort de sa bouche, muette à jamais. Elle se sent possédée, bien remplie, baisée, elle se sent enfin être une femme, tout simplement. Et Clara souhaite tellement cette verge tout entière en elle, qu’elle écarte encore plus les jambes. Le sexe du Marquis la possède désormais pleinement, sauvagement, bestialement dans des ‘’han’’ à chaque coup de boutoir... Longuement il la baise ainsi, savourant pleinement la fin de cette virginité si longtemps préservée et qui a cédé face à Son Pouvoir le plus absolue...
C'est sur ces mots que ce nouveau récit de la comtesse du Dranier termine la page de son journal intime sur laquelle est penché Monsieur le Marquis Edouard d'Evans ...
(A suivre …)
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