LE MARIN. La Parisienne en vacances. (11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE MARIN. La Parisienne en vacances. (11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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LE MARIN. La Parisienne en vacances. (11)
Didier, notre nouveau petit mousse, venant d’embarquer venant des apprentis-mécaniciens de Toulon et surtout partenaire de nos jeux sexuels après avoir perdu son pucelage avec Véronique, la belle Parisienne en vacances d’oxygénation devenue notre maîtresse vient de s’émanciper en sautant dans sa chambre Gislène jeune mariée avec Benoît, un jeune homme de Bègles où il tient un garage de voitures américaines.
Le comportement de la jeune femme se disant vierge et dépucelée le jour de ses noces m’interpelle et je viens de lui faire reconnaître qu’elle a blousé son mari et que de vierge, elle reconnaît être une folle du cul.
Je l’aurais bien couché sur le capot de la Mercedes comme je l’ai fait avec Véro au début d’après-midi lorsque Benoît refait son apparition.
Commençant à bien connaître Véronique, la proposition qu’elle fait et surtout comme elle nous place m’interpelle.

• Si nous prenions, une seule voiture, ce serait sympa d’être tous ensemble. Quand penses-tu Christian.
• Oui, mais il faut prendre ta Mercedes, car avec la deudeuche, nous serons en retard chez Gaëlle et Louise.
• Oui, c’est mieux alors voilà ce que je vous propose, je prends le volant, Benoît avec ton mètre quatre-vingt-dix et tes 100 kg, tu montes devant à la place du mort et vous trois, vous montez derrière même si la place est exiguë.
• Pas 100 mais 98 kg.

Même pour parler de son poids, il faut qu’il emmerde le monde.
Bien sûr, avec un mètre quatre-vingt pour 70 kg, je suis frêle en rapport et je n’ai aucun mal à me glisser à l’arrière surtout qu’avec la chaleur permettant à nos compagnes d’avoir des robes légères de tenir sans avoir la tête dans la capote.
Didier prend l’autre coin et Gislène s’assoit entre nous.
Nous avons parcouru une courte distance et comme je suis derrière son mari qui est dans l’impossibilité de nous voir la belle garce me glisse sa main sous le pont du pantalon blanc et l’entre dans mon caleçon à fleur achetée à Tahiti lord de mon voyage autour du monde.

• Gislène, tu as dû épuiser ton mari, il dort déjà !
• C’est chaque fois pareille quand il se fait conduire, j’ai l’habitude.

Je suis sûr que Véronique par cette phrase ayant certainement vu la main de la belle pénétrant mon pantalon dans son rétroviseur veut nous faire comprendre que nous pouvons franchir une étape dans nos rapports.
C’est ce que s’empresse de faire Gislène qui sort sa main pour ouvrir carrément le pont et se penche pour prendre ma hampe en bouche.
Une experte surtout lorsque dans la lumière descendante du jour, elle relève ses grands yeux de biche et qu’elle me montre son regard mutin plein d’envie.
J’ai eu ma bite dans la bouche de plusieurs filles, mais je dois reconnaître qu’avec elle j’ai la reine des pompeuses.
Sa langue est très agile autour de mon sexe et virevolte de mon gland à ma tige qu’elle lèche avec avidité.
C’est le moment que Didier décide d’entrer dans le jeu, car au-dessus du dos de la belle salope, je le vois soulever la jupe de sa voisine et plonger trois doigts au fond de son vagin dénudé la garce ayant oublié de mettre une culotte.
Les 40 kilomètres nous séparant de Lorient avec une voiture lancée à 140 kilomètres heures sur ces grandes lignes droites sont vite avalés lorsque je lui remplis la bouche de longs jets que j’aurais voulus lui envoyer dans sa chatte poilue.

• On arrive, Benoît avez-vous bien dormi ?
• Juste fermé les yeux.

Une nouvelle fois Véronique me montre sa connivence. Nous nous rajustons et nous sommes sagement assis lorsque Benoît se retourne.

• Embrasse-moi chérie, ta bouche me manque.

C’est ainsi que je vois les petites parcelles de spermes non ingurgités passer dans la bouche du mari cocu et qui semble heureux de l’être.

• Ta bouche est toujours aussi bonne chérie. Je t’aime.

Cocue et heureuse quand elle nous arrête devant son hôtel.

• Je vais me changer, allez dire bonjour à Agnès, je vous rejoins.

Elle est contente de nous voir et fait aussi la bise à nos amis.
Elle m’attire dans sa cuisine à l’arrière du bar.

• Christian, pour mon contrat, il y a un changement, Véronique la marchande de fringues, c’est à Larmor-Plage qu’elles habitent.
• Pourquoi, dis-tu qu’elles habitent ?
• Car Véronique la marchande de fringues habite avec Françoise, son amie marchande de chaussures.
• Je comprends miens pourquoi elle était si experte en léchage de chatte et que les deux nous ont faite des remises.
• J’ai pu avoir des confidences par Françoise qui est venue avant que je ferme à midi et qui m’a dit que sa copine était bisexuelle alors qu’elle était accro aux chattes.
• Cela sent les choses vécues, tu es sûr que tu as juste fermé pour ta pose.
• Oui, je le reconnais, nous avons passé un petit moment bien agréable dans ma chambre.
Mais quand je te dis qu’il y a un changement, c’est que, ce soir elles seront parties après la fermeture des magasins pour leurs vacances à Marrakech.
• Bien, je te relève de ta mission, tu as fait le nécessaire et nul n’est tenu de maîtriser les déplacements des uns ou plutôt des unes.

Nous retournons près de nos amis et le temps de prendre l’apéritif et Véronique arrive.

• Bonsoir, Agnès, je suis prête, vous êtes à l’apéro, mets-moi un chouchen.

Et c’est reparti.

• Un chouchen, c’est quoi, un cocktail.
• Oui et non.
• Alors c’est m’a tourné, patronne, servez-nous des chouchens, il faut éviter de mourir idiot.

Idiot peut-être mais cocu, c’est sûr lorsque je sens la main de son épouse me tâter le cul.
Comme notre amie Véronique le jour de notre rencontre, il boit avec envie cet apéritif liquoreux.

Nous reprenons notre route et quelques minutes après nous arrivons devant le rideau de fer du restaurant qui est baissé.
Gaëlle a dû nous entendre et devait nous attendre, car la porte s’ouvre immédiatement.

• Entrées.

Elles ont préparé la salle afin de mettre les tables au centre et une musique douce se fait entendre.

• Gaëlle, nous nous sommes permis d’inviter ce jeune couple en voyage de noces et que nous avons rencontré à Carnac.
• Louise sera contente plus, nous serons à apprécier ce qu’elle nous a préparé plus, elle sera contente.

Sortant des cuisines, je vois Roger approché.

• Roger, tu es là, je te croyais reparti en mer.
• Le bateau est reparti en mer avec mon second à la barre, un copain nous a fourni un équipier pour assurer ma place, je repars avec leur prochaine rotation.
Excusez-moi, je retourne aider Louise en cuisine, je dois l’aider à cuir une surprise.

Gaëlle nous entraîne vers le bar pour que nous prenions l’apéritif.

• Vous avez du chouchen, nous en avons bu à Lorient tout à l’heure et je dois dire que je suis séduit.
• Attention, demander à Véronique, ce qui lui est arrivé.
• C’est une petite nature, regarder la baraque que je suis, je suis le roi des troisièmes mi-temps dans notre club, je suis toujours le dernier à m’écrouler.
• Ce qu’il oublie de vous dire, c’est qu’il est le dernier toutes les semaines et que maintenant que nous sommes mariés, il sera le premier à rentrer sinon il ira coucher dans la niche du chien.

Comme Agnès tout à l’heure après avoir servi la tournée Gaëlle se rapproche de moi et prenant une voix plus basse me fait une confidence.

• Christian, je dois te dire, je crois que mon frère en pince pour Véronique, il y a huit ans, un jour comme aujourd’hui il est resté à terre pour un motif qu’il nous a toujours tu.
Il était équipier sur le chalutier commandé par Lucien, le mari de Louise et où mon mari était aussi à bord.
Roger avait été remplacé par le fils de Louise et Lucien matelot qui faisait sa première sortie en mer avec son père.
La mer était démontée et le bateau a dû chavirer, ils ont été portés définitivement disparus. Louise et moi avons perdu nos maris et elle son fils et Roger son beau-frère, son meilleur copain de plus de trente ans et surtout le fils qui s’il avait embarqué serait toujours parmi nous.
Louise et moi avec nos indemnités de veuve avons décidé d’ouvrir se restaurant surtout que nous nous étions rapprochés pour finir par former le couple de femmes qui refusent de revivre la période et le calvaire que ces disparitions nous ont apportés.
Roger, c’était réfugier dans l’alcool jusqu’à, il y a deux ans où un soir, je l’ai vu arriver pour la première fois sobre et où il nous a montré les papiers de l’acquisition qui venait de faire auprès d’un vieux patron de pêche dont la vue ayant baissé l’obligeait à rejoindre la côte définitivement.
Pour qu’il soit resté à terre si tu le peux, fait tout ce qu’il faut l’aider à passer un moment agréable avec elle.

Cette confidence faite, je me suis senti obligé d’aider Roger à effectuer un rapprochement avec Véronique.

• Gaëlle as-tu une piste de 421 ?
• Oui, je suis très fort à ce jeu, on joue la tournée.
• Trop facile. Nous allons jouer en dix parties en cumulant les points de chacun, celui qui en aura le plus pourra imposer au perdant ce qu’il souhaitera.

Contrairement à la partie jouée avec Agnès, il nous est impossible de tricher et d’orienter le jeu, mais je briffe tout de même Gaëlle et Didier vont essayer de m’aider à gagner.

• Je peux jouer.

C’est Roger qui souhaite se joindre à nous.
Les parties une à une défilent, ce grand d’Adet de Benoît à la chance des cocus et mènent le jeu.
Par chance Gaëlle est bien placée, car comme Agnès, c’est une experte de la triche et nous nous partageons les pions.
La chance grâce au chouchen que Benoît semble apprécié et au quatrième verre tourne, il commence à jouer les matamores.

• Un 2 et un 1, je gagne si je fais un 4 olé, c’est un 3, la vache, je me ramasse 6 pions, pas de problèmes, la prochaine partie, c’est pour moi.

Enfin si Gaëlle gagne, elle remporte la mise et Roger son frère est le perdant.
Un regard, nous sommes complices et elle donne à Roger son gage.

• Roger, tu seras le chevalier servant de la belle Véronique, toute la soirée, aucun homme que toi ne pourra essayer de la séduire.
• Ce sont toujours les mêmes qui ont de la chance.
• Regarder ce salop, à peine marié et il a déjà envie d’aller voir ailleurs.
Je m’en souviendrai.
• Mais non Gislène, c’est pour rire, je serais ton chevalier servant toutes les nuits jusqu’à la fin de notre vie, je l’ai promis au curé…

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