LE MARIN. La parisienne en vacances. (3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La parisienne en vacances. (3)
Après avoir rencontré Véronique à Lorient, je la guide jusqu’ au port de pêche pour qu’elle voie le retour des chalutiers avec la marée.
Robert, un pote marin pécheur nous offre un carrelet et nous propose d’aller chez sa sœur qui tient un restaurant à deux pas de chez Janine que je fréquente la nuit.
Elle fait connaissance avec le chouchen boisson bien connu des marins bretons ajouter au muscadet avec le poisson, j’ai repris le volant de sa Mercédès pour lui faire prendre l’air le long de la côte lorsqu’elle m’annonce que j’ai intérêt à m’arrêter rapidement.

Me voilà bien moi qui pensais avoir une bombe sexuelle que j’espérais prendre sauvagement dans sa chambre, je me retrouve avec une pocharde qui dès que je m’arrête en urgence et que j’ouvre la portière pour la faire sortir arrose mes chaussures.
Nous sommes le long d’une plage avec peu de personnes. Je l’emmène sur le sable et je l’assieds.
Je vais jusqu’à la mer où je rince mes chaussures et où je mouille mon mouchoir.
Lorsque j’arrive, elle s’est rallongée et elle dort.
Je lui nettoie la bouche et je lui mets de l’eau sur le front.
Je la secoue pour lui faire dire où est son hôtel.

• La clef regarde la clef.

Je mets du temps à comprendre ce qu’elle a voulu dire, il faut que je regarde la clef qu’elle doit avoir dans son sac.
Je la trouve et j’ai la chance de savoir ou aller, elle est descendue à l’hôtel contigu au café où je l’ai rencontré.
Je la fais remonter en voiture direction le centre-ville de Lorient.

• Madame a des problèmes.
• Elle a goûté au chouchen.
• Je comprends, c’est mortel.

C’est le patron de l’hôtel qui m’apostrophe.
J’arrive à la faire monter dans sa chambre et je la conduis dans la salle de bains.
Après l’avoir assise sur une chaise, je la dénude.
Quels beaux seins déjà caressés mais Véronique commence à réagir et afin d’éviter qu’elle pense que je profite de sa faiblesse passagère pour caresser son corps, je m’abstiens.
J’ai déjà la chance de la voir dans sa nudité, c’est déjà beaucoup.
J’arrive à la faire enjamber le rebord de la baignoire profitant une fraction de seconde pour admirer l’intérieur de son vagin rose.
Dès qu’elle est assise, j’ouvre l’eau bien froide et je lui fais couler sur la tête en m’arrangeant pour la faire suffoquer.
J’ai l’habitude de ce traitement, il y a quelques semaines ou lorsque l’on était en escale, un copain avait besoin du même traitement en rentrant de terre.

• C’est froid, assassin tu veux ma mort. Tortionnaire.

À partir du moment où la dame commence à hurler que ces froids, vous pouvez arrêter, ses idées reviennent en place.
C’est ce qui arrive avec Véronique. J’ajoute de l’eau chaude quelques minutes et je la relève pour l’essuyer.
Un coup de sèche-cheveux et vous pouvez amener la personne dans ses draps où généralement dans les cinq minutes, elle dort.
Véronique rentre dans la règle, je suis assez fière d’avoir réussi à faire de cette pochetronne cette femme de grande qualité.
Je vais pour partir lorsqu’elle ouvre un œil.

• Reste, couche-toi près de moi !

Les demandes d’une dame sont des ordres.
Je me déshabille et je me couche à côté d’elle. Je dors toujours nu depuis des années.
Sans me poser la question, je me glisse à ses côtés avant d’éteindre la lumière bien qu’il soit dix-sept heures.

Quelle heure peut-il être, il fait nuit lorsque je sens une main sur ma queue.
Je fais celui qui continue à dormir pour voir jusqu’à ou elle est capable d’aller.
Je me retrouve sucé, léché, elle me prend dans sa bouche jusqu’à ce que je bande au maximum.
Je sens les draps bouger, un poids sur mon bas-ventre et rapidement son fourreau qui se laisse glisser le long de ma verge.
À partir de ce moment je décide de devenir actif et lui faire voir que les marins sont de bons amants.
J’ai eu une initiatrice amie de ma mère du même âge que ma nouvelle maîtresse.
Elle m’a appris à respecter les désirs des femmes souvent coincées en amour par une éducation rigoriste leur interdisant de pensée à leur propre personne avant de penser à prendre leur plaisir.
Nous nous prenons mutuellement la bouche dans un baiser fougueux.
C’est sous moi que je la bascule et en lui écartant les jambes au maximum je plonge, mon sexe bandé au plus fort de mes possibilités au fond de son vagin.
Pour la première fois que je lui fais l’amour, je fais cela sans la brusquer dans une position classique du missionnaire. La seule entorse que je fais est lorsque sur mes bras tendus, je lui massacre un peu les seins avec ma bouche.
Je dirai, je lui mords les seins surtout ses tétons qui semblent appréciés et qui la font partir dans une jouissance que les voisins doivent entendre tellement ses cris viennent de la profondeur de son corps.
Depuis que je bande pour elle sur le quai de la criée, qu’elle m’a sucée dans sa voiture, que je l’ai vu dénudé devant moi depuis que je l’ai rencontré, je peux difficilement résister à lui envoyer mon sperme qui l’a rempli dans des jets difficiles à métriser.

• Merci mon chéri, j’ai beaucoup aimé.

Elle se rendort et moi aussi à moitié satisfait d’avoir éjaculé un peu trop vite à mon goût.
En arrivant la veille, j’ai demandé que l’on me réveille à 7 heures. Ce doit être l’heure, car le téléphone sonne et qu’à travers les imperfections des volets le jour permettent de voir clair dans la chambre.
Je remets, ma tenue et récupère mon bachi, au moment de sortir, je me penche pour l’embrasser.

• Attends-moi, je reviens dans quelques minutes, j’aurai peut-être une surprise. Dors bien.

Je descends et je vais prendre un café du côté d’Agnès qui est enchanté d’apprendre que tout va bien avec la jolie cliente, mais je la préviens que le chouchen lui est interdit à vie au moins tant que nous sortirons ensemble.
J’arrive un quart d’heure d’avance au foyer et à 8 heures, je me présente à l’appel.
J’explique à mon second-maître que je retourne en ville ayant des obligations et que j’emmène le petit mousse avec moi afin de lui faire découvrir la ville.
Que nous partions toute la journée sans avoir à s’occuper de nous, doit l’arranger et dix minutes après nous sortons de l’arsenal.

• Didier, je peux te poser une question, nous sommes entre hommes, je veux une réponse franche.
• Jamais je ne mens.
• Ok, est tu puceau ?
• À moitié, une copine à l’école m’a sucé dans les toilettes.
• Et une chatte ?
• Non, seulement en photo floutée sur Paris Hollywood.
• Tu es un vrai puceau donc. Tu veux en voir une en vrai et si tu aies gentil avec la dame perdre ton pucelage.
• Plutôt deux fois qu’une. Tu connais une pute.
• Non, pas une pute, une femme du monde très belle et qui je le crois ne peut rien, me refuser.

Nous arrivons au pied de l’hôtel où Véronique doit encore dormir pour récupérer de sa biture et de la petite partie de jambes en l’air que nous avons pratiqué cette nuit.
Lorsque j’entre dans la chambre laissée ouverte en partant, les volets sont fermés et comme je le pensais, elle dort encore.
Je m’approche du lit après avoir fait pousser Didier qui semble intimidé et je referme la porte.

• Chérie, réveille-toi, c’est moi, je t’ai apporté la surprise que je t’ai promise tout à l’heure en te quittant.

Elle répond à ma sollicitation en m’entourant le cou et en me prenant la bouche dans un baiser fougueux.

• Viens me faire l’amour, j’ai tellement envie.
• Tu as entendu ce que je t’ai dit, je t’ai apporté ton cadeau et j’aimerai que tu t’en occupes.
• Qu’est-ce que c’est, je ne vois rien dans le noir ?
• C’est le petit mousse qui va aller dans le tonneau, en attendant il est puceau et je voudrais que tu le déniaises. J’ai eu la chance d’avoir comme maîtresse une dame avec autant d’expérience que toi et si je suis devenu un bon amant, c’est grace à elle et a ses conseils.
• Tu me prends pour une prostituée.
• Non, je te dis que c’est un cadeau, je vais ouvrir les volets lorsque tu le verras, je te promets que tu vas craquer, il a un visage d’ange.
• Alors ouvrent les volets.

Quand je dis que ma maîtresse est une bien gentille femelle, j’étais sûr qu’elle accepterait mon cadeau.

Je vais ouvrir les volets et passant près de Didier, je lui lâche.

• À toi de jouer gamin, suis les instructions de la dame et tu vas passer le moment le plus inoubliable de ta vie.

Lorsque je tourne la manivelle des volets, la lumière qui entre me fait apparaître Véronique qui se remonte dans le lit laissant ses seins apparaître.

• Merci mon cœur, tu as raison, joli cadeau que tu me fais dès le matin, je suis sûr que nous allons passer une très bonne journée.
Avance petit ne craint rien, maman va t’enlever ton pucelage.

En disant cela, elle avance sa main vers lui pour qu’il vienne à elle.

• Il s’appelle Didier.

Je m’assieds dans le fauteuil face au lit et je regarde les futurs amants.
Véronique écarte les draps apparaissant nue au petit qui a les yeux écarquillés.

• Approche que je te déshabille, nous allons aller prendre un bain, car Christian m’a rempli la chatte cette nuit et je veux éviter que pour ta première fois, tu baignes dans son sperme.

Dider est près d’elle et elle l’attire pour lui ouvrir le pont de son pantalon.
Nous sommes en tenue blanche d’été et les marinières blanches quittes sont corps pour le laisser en maillot de bain et chaussette.
Elle lui descend le slip et découvre une verge qui est très prometteuse, car le diamètre est supérieur au mien.
Petit en taille mais bien monté en sexe.
Véronique prend la bite d’une main et les bourses de l’autre, elle va pour l’avaler, mais se recule.

• Non, commençons par la douche, je veux que, pour une première fois ton sperme entre dans ma chatte et pas dans ma bouche.

Toujours muet, Didier la suit lorsqu’elle se lève et qu’elle le conduit dans la salle de bains en le tirant par la queue.
J’entends la douche coulée et lorsqu’elle ferme les robinets le bruit de l’eau bougeant dans la baignoire me fait penser qu’ils viennent d’entrer dans l’eau.
Je le laisse quelques minutes voulant les mater mais pas trop tôt.

• Didier, que tu es gros, oui tu y aies, c’est fait, tu as perdu ton pucelage, tu m’as pénétré et je dois dire que Christian me fait un cadeau pharaonique.

Il est temps de m’approcher. Véronique est en position de levrette les bras appuyés sur le rebord de la baignoire.
Didier est en elle et lui a empoigné les hanches et la pilonne ardemment.
J’arrive au moment où mon amie profite au maximum de son cadeau, car lorsque je m’approche le pont baisé et la queue à la main, je vois les poile sur son corps s’hérisser.

• Oui, chérie, donne-moi là, j’ai tellement attendu pour que tu me la donne à sucer.
• Tu aurais fait attention hier au chouchen, il y aurait bien longtemps que tu aurais bu mon sperme depuis hier dans la voiture.

Elle est dans l’impossibilité de me répondre la bouche pleine.

• Alors Didier cela te plait, tu apprécies.
• Si tu as fait un cadeau à Véronique, tu en as fait un à moi aussi.
C’est chaud, je sens qu’elle me malaxe avec les muscles de sa chatte qui se resserre autour de ma verge, je voudrais la pilonner encore longtemps mais je crois que.

La parole lui manque quelques secondes.

• Excuse-moi Véronique, il m’a été impossible de me retenir.

Véronique aurait bien du mal à lui répondre, car dans l’orgasme qui la dévaste, elle me mord la verge au point que je manque crier.
Cette pression de ses dents a une vertu pour la femelle en chaleur qu’elle est car de longs jets de ma substance spéciale Véronique lui emplie la bouche et coule dans sa gorge.
Didier se retire.

• Merci madame, vous serez le plus beau souvenir lorsque je serai vieux.
• Merci Didier, maman est contente, on a fait cela très bien pour une première fois…

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