Le Marquis d’Evans dominant l’O – Episode N°1 – (1/2) La fête donnée pour le départ du Marquis d’Eva

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : Le Marquis d’Evans dominant l’O – Episode N°1 – (1/2) La fête donnée pour le départ du Marquis d’Eva Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Marquis d’Evans dominant l’O – Episode N°1 – (1/2) La fête donnée pour le départ du Marquis d’Eva
Le Marquis d’Evans dominant l’O – Episode N°1 – (1/2) La fête donnée pour le départ du Marquis d’Evans -
C’était donc décidé, Monsieur le Marquis d’Evans allait quitter la Noble résidence de Ses ancêtres pour une durée indéterminée et c’est pour cela qu’il avait eu envie de donner avant Son départ une fête en Son Château, en réunissant l’ensemble de Sa maisonnée, tous les serviteurs salariés et également tous Ses esclaves, en particulier ceux qui resteraient à demeure après son départ et ne pourraient plus avant longtemps se réjouir de la présence du Patron pour les premiers et Maître Vénéré pour les autres, mais qui seraient heureux de le savoir parti pour des vacances salvatrices qui lui permettrait de revenir plus reposé et encore plus Dominant que jamais. Tous les esclaves du Château avaient été réunis dans la Grande Salle de réception. Seuls les soumis et soumises punis au cours des dernières 24 heures ne seraient pas des réjouissances et ils seraient affectés aux tâches matérielles pour l’organisation de la fête, que ce soient le service, la cuisine, le rangement, le ménage, ou toutes autres obligations incontournables. Les esclaves punis portaient tous une chaine avec des pinces aux seins et une ceinture de chasteté munie d’un plug anal, les mâles étant de surcroit encagés tandis que les femelles avaient la chatte munie d’un envahissant et large gode.

Pour encore plus marquer dans leur esprit le courroux du Châtelain, déçu à la veille de son départ par tous ceux et celles qui avaient fauté avant cette soirée, qui auraient dû être un divertissement pour tous, les esclaves fort blâmables et contrits avaient été installés en deux rangées devant la porte de la salle à manger, positionnés à genoux et de dos, le front posé contre le sol. Ils n’auraient même pas l’opportunité et la chance de pouvoir apercevoir les pieds du Maître Vénéré qui, volontairement de surcroît, ne daignerait même pas venir fesser leurs croupes exposées ou marquer du moindre signe un quelconque intérêt pour ceux qui n’avaient pas su faire honneur à Son éducation. A l’inverse, tous les autres esclaves du Cheptel qui allaient participer à cette soirée festive avaient eu le bonheur de voir tous leurs orifices dégagés de toutes contraintes. Les mâles, dont Walter, le Majordome du Château, avait ôté les cages, bandaient déjà outrageusement pour la plupart d’un désir sexuel qu’ils ne pouvaient contenir après pour certains de longues périodes d’abstinences. Et quant aux femelles, leurs bas-ventres luisaient d’une humidité réelle car elles étaient toutes de vraies chiennes en chaleur, avides de plaisirs sensuels et sexuels. Certains étaient totalement nus, tandis que d’autres portaient des tenues sexy ou fétichistes, allant des bas avec porte-jarretelles ou guêpières pour les femelles aux bottes ou leggings de cuir moulants et ouverts à l’entrejambe pour les mâles. Les soumis et soumises étaient peu habitués à ce genre de soirée sans le moindre Invité extérieur, mais tous et toutes étaient ravi(e)s de pouvoir se réjouir d’un moment privilégié en présence du Noble Maître qu’ils et elles chérissaient plus que tout.

Quatre croix de Saint-André montées sur estrade avaient été positionnées sur chacun des côtés de la table qui avait été dressée pour que le Noble puisse prendre Son repas tandis que Ses esclaves pourraient se préparer à forniquer sous ses yeux. Ils avaient été, à l’exception de quatre d’entre eux, installés à genoux, le dos droit, devant chacune des croix encore vides. En attendant patiemment l’arrivée du Maître des Lieux, les quatre esclaves MDE les plus méritants qui bénéficiaient de places privilégiées dans les Cachots et le Chenil du Château du Marquis d’Evans, se tenaient debout près de la porte d’entrée de la Salle à Manger, avec les jambes écartées et les mains derrière la nuque, position qui faisait gonfler le torse musclé de l’esclave Endymion MDE et ressortir les poitrines généreuses aux mamelons turgescents des chiennes femelles, soumise Aphrodite MDE, soumise Laïs MDE et esclave Phryné MDE. Le Châtelain après avoir franchi à toute allure, sans même y prêter la moindre attention la haie de « déshonneur » des croupes des esclaves punis, entra dans la pièce où tout le monde l’attendait. Il prit le temps de s’arrêter devant chacun des quatre esclaves MDE un à un, et après avoir relevé le menton de chacun/chacune, IL leur adressa un bref sourire de Ses grands yeux bleus si profonds, tout en le poursuivant par un long regard Dominant et d’une certaine manière hypnotisant et envoûtant. Il posa tour à tour son doigt sur l’épaule gauche de ses quatre fidèles esclaves qui comprirent aussi sec que cela voulait dire qu’ils étaient autorisés à se prosterner pour pouvoir honorer le Seigneur et Maître de leur vie en déposant un humble et respectueux baiser à Ses Nobles pieds.

Les quatre esclaves furent ensuite conduits pour être installés sur les quatre croix de Saint-André, attachés face à la salle, bras et jambes écartés, retenus par des bandes de cuir étroitement sanglées. Les trois femelles portaient des guêpières à la taille, également solidarisées par une ceinture de cuir qui partait du centre des deux barres en croix de l’équipement Domination/soumission. De fait, tout mouvement leur était totalement impossible sauf au niveau de la tête qui restait libre de tourner de droite à gauche, sans la moindre contrainte, pouvant profiter intégralement du visuel sur l’ensemble de la pièce. Monsieur le Marquis d’Evans s’assit dans un grand fauteuil et tour à tour chaque autre esclave du Cheptel fut autorisé à s’approcher en se déplaçant en quadrupédie pour venir rendre hommage au Maître Vénéré et déposer chacun à leur tour un simple baiser à un pied du Noble et ceci dans un lent défilé pour ensuite aller se replacer toujours à quatre pattes à l’endroit d’où chaque esclave était parti. Cela dura donc un certain temps, mais Monsieur le Marquis d’Evans avait tenu à ne pas occulter cette marque de déférence qu’il Lui serait rendu individuellement, car IL savait combien il était important que le souvenir du Dominant reste présent et fortement ancré dans la mémoire de chacun, tout en leur permettant d’attendre Son retour au Domaine ancestral. Une fois terminé le défilé de tous les soumis mâles et soumises femelles, le Châtelain se leva pour faire le tour de la salle et saluer d’une poignée de mains l’ensemble des serviteurs, gardes et autres employés par un signe de bienveillance qui se transforma même en une longue accolade d’estime pour les deux fidèles de toujours, les plus proches du Noble : Marie la cuisinière, et Walter le Majordome. Il entreprit ensuite d’aller glisser un petit mot à l’oreille de ceux mis en croix, qui devait faire son effet dans l’esprit de chacun. Il commença par la petite dernière du Cheptel MDE, soumise Aphrodite MDE, qui avait été installée derrière la table :
- Ma petite chienne, tu es encore là pour apprendre sur le chemin de la soumission. Il ne sera rien exigé de toi en particulier pour ce soir. Profite du spectacle et également de tout l’enseignement que tu retireras en voyant comment se comportent tes frères et sœurs de soumission qui sont à Mes pieds depuis plus longtemps. Sache que tu feras partie de ceux qui auront le privilège de m’accompagner pour aller à la première soirée inaugurale donnée en l’honneur de mon nouveau petit « jouet flottant ».

La soumise Aphrodite MDE ne comprit pas à quoi correspondait l’allusion du Maître Vénéré. Mais comme Le Maître le lui avait appris, elle était là pour obéir sans se poser de questions, et elle ne chercha pas plus que cela à se préoccuper de savoir ce qu’était le jouet en question et pourquoi le Châtelain avait dit qu’il était « flottant ». Le Marquis d’Evans s’approcha par la suite tour à tour de soumise Laïs MDE et esclave Endymion MDE, à qui IL leur tint le même discours à l’oreille, à la variante près qu’il avait une chienne et un chien.

- Ma fidèle chienne MDE, profite bien de cette soirée en visuel. Aucun plaisir ne te sera autorisé ce soir et pendant les 48 h à venir, car je te veux chaste et totalement sevré jusqu’à la soirée inaugurale donnée en l’honneur de mon nouveau petit « jouet flottant ».

Là encore, ni Laïs MDE, ni Endymion MDE ne comprirent ce dont il s’agissait, et ce d’autant plus que personne au Château n’était au courant de la fameuse construction du paquebot « L’Odyssée ». A chaque fois qu’il venait de terminer de parler à l’un des esclaves qui avait bénéficié d’une place d’honneur sur l’une des quatre croix de Saint-André, Le Maître Vénéré attrapait la laisse qui pendait au collier du dominé attaché et faisant face à l’assemblée d’esclaves regroupés aux pieds de la croix, il leur faisait signe de lever les mains en l’air comme pour ovationner tant le Maître en Domination/soumission que l’esclave MDE méritant, dans une sorte de « öla » festive, qui commençait à mettre un peu d’animation et d’excitation dans la soirée à venir. Pour terminer ce que le Noble avait en tête, il s’approcha de Son esclave Phryné MDE, qu’IL avait décidé d’emmener avec lui pendant tout le temps que durerait sa croisière sur L’Odyssée. Mais il voulait qu’elle n’en sache rien avant de se retrouver à bord. Le Dominant avait même décidé de tester, non pas sa résistance physique à pouvoir endurer coups et douleur, mais bien plus la force morale de sa Dévotion pour savoir jusqu’à quel point, elle serait prête à lui obéir dans une totale abnégation qu’il savourait tant comme Dominant et Maître Absolu de celle qui s’était offerte à Lui.

- « Phryné ... » ……….. - laissant un long espace vide et muet avant de reprendre d’un ton lourd - ……….., il me faut maintenant te prévenir que ceci est ta dernière soirée au sein de ce Château, qui a vu défiler de multiples générations de Marquis d’Evans en près de 4 siècles.

L’esclave Phryné MDE commença à se crisper, se demandant avec effroi ce que Le Maître Vénéré avait bien voulu dire. Son cœur s’était déjà serré lorsqu’elle avait entendu que le Noble l’avait appelé tout simplement « Phryné … ». Comment cela se pouvait-il ? Le Maître avait l’habitude de la nommer toujours de son pseudo complet comprenant les Nobles Initiales MDE qu’IL l’avait autorisé à porter depuis trois ans. De plus très souvent, il préférait l’appeler « Ma chienne » quand il s’adressait à Son esclave-femelle, allant même parfois jusqu’à des termes tels que « Ma belle chienne », voire « Ma chienne adorable » lorsqu’IL se voulait plus affectueux et prêt à la récompenser de sa soumission exemplaire. Et là, à l’instant, rien de cela ! Plus rien qui marquait son appartenance au Cheptel MDE et sa soumission servile au Maître Vénéré, un simple prénom qui sonnait vide et creux et qui résonnait encore au tréfonds de son âme terriblement inquiète par cette interpellation des plus surprenantes. La fidèle chienne ne tarda pas à culpabiliser en se demandant ce qu’elle avait bien pu commettre comme grave faute qui pourrait justifier un tel bannissement, qui ne lui était même pas expliqué comme si cela devait couler de source. D’autant plus qu’elle commençait à réfléchir sur la portée des mots qui avaient suivi ce nom volontairement écourté. Non, elle n’avait pas rêvé, pas simplement pu imaginer qu’au milieu des chuchotements le « MDE » avait peut-être été prononcé trop bas à son oreille pour qu’elle ait pu l’entendre. Monsieur le Marquis d’Evans venait bien de lui dire que ce serait sa dernière soirée au Château. Son cœur battait de plus en plus fort, sa respiration devait profonde et lourde.

Qu’avait-elle donc pu faire pour qu’il en soit ainsi ? Cela voulait-il dire qu’elle serait renvoyée dès la fin de la soirée, sans plus d’explications. Elle ne put s’empêcher de laisser une première larme couler de ses yeux qu’elle tenta de masquer en courbant encore plus la tête. Elle savait qu’elle avait expressément renoncé à toute liberté et que les exigences du Maître Vénéré n’étaient pas négociables. Elle n’aurait donc pas l’affront d’oser ouvrir la bouche, d’émettre le moindre désagrément et de venir solliciter une quelconque explication sur ce que le Châtelain venait de lui glisser à l’oreille. Monsieur le Marquis d’Evans examinait avec beaucoup d’attention les réactions de Son esclave qui tentait tant bien que mal de masquer son profond désarroi, mais il voulait la pousser dans ses derniers retranchements et sans le moindre ménagement, il reprit en attrapant la laisse qui pendait au collier de Sa chienne-femelle, histoire d’enfoncer un peu plus le clou.

- Lève la tête, profite au moins du spectacle. C’est un ordre ! Et je te conseille de ne pas songer à me désobéir. D’ailleurs, il ne te sera rien exigé de plus que d’être une spectatrice passive pendant toute cette dernière soirée que tu passeras en ces Nobles lieux. Tu vas juste être privée dès à présent de l’ouïe, mais tu pourras te repaître à loisir de la vue des plaisirs jouissifs que je veux offrir à tous Mes serviteurs et aussi à certains de Mes esclaves. Cela te fera de bons souvenirs lorsque les murs anciens du Château te manqueront.

Le Marquis d’Evans glissa deux doigts sur les joues humides de sa chienne pour y recueillir les gouttes de liquide et il força sa bouche pour lui enfourner profondément les doigts trempés :
- Et cesse immédiatement ces larmes de crocodile, car elles sont une offense à Ma Noble personne.

La soumise se ressaisit comme elle put pour ne plus laisser sortir les larmes qu’elle ravalait maintenant de l’intérieur. Le Dominant posa un casque sur les oreilles de Son esclave Phryné MDE qui ne put plus rien entendre de la suite du déroulement de la soirée festive et de toutes les nouvelles qui allaient être annoncées. Le Maître Vénéré souleva le menton avec force de l’aplat de la cravache qu’IL venait d’attraper pour obliger sa soumise à garder la tête droite et lui faire comprendre à l’aide de petites tapes sur le haut du cou et le bas des joues qu’elle n’avait pas intérêt à modifier sa position après Son départ. L’esclave Phryné MDE ne comprenait rien de ce qui se passait et le silence dans lequel elle était plongée sous le casque devenait encore plus pesant et inquiétant dans son esprit. Pourquoi, les esclaves l’ovationnerait-elle si elle devait être répudiée dès le lendemain, comme cela lui semblait de plus en plus probable eu égard aux propos sans équivoque du Noble qui lui avait annoncé que c’était sa dernière soirée dans les murs (anciens) du Château (sauf que l’esclave Phryné MDE n’avait vraiment pas pu comprendre la subtilité de cette petite précision, n’ayant jamais entendu parler du paquebot privé en construction appartenant au Maître et encore moins de ce que seul le lecteur a pu découvrir au sein du prologue précédemment écrit)…
La chienne finit par se reprendre dans ses pensées déferlantes en se disant qu’elle manquait d’humilité chaque fois qu’elle s’imaginait être au centre de l’intérêt des uns ou des autres, et du Maître à fortiori. Là, devant elle et sous ses yeux, les esclaves ne saluaient pas d’une ovation leur sœur de soumission en croix, mais tout simplement le Maître auquel chacun et chacune rendait hommage. Ni les uns, ni les autres, ne songeaient à se soucier une seule seconde de son sort, et ne se chagrineraient outre mesure (pas plus qu’ils ne se réjouiraient) de la voir répudiée, pensant que si Le Maître avait été contraint de prendre une telle décision, c’est qu’elle l’avait, soit personnellement désirée puisqu’elle était libre de partir à tout moment comme chaque esclave, soit dans le cas contraire bien méritée par un comportement inadapté envers Monsieur le Marquis d’Evans. Le Châtelain était reparti s’asseoir à Sa table, la laissant avec toutes ses pensées confuses qui étaient bien à l’opposées de ce qu’IL avait dans l’esprit, puisque loin d’être répudiée et abandonnée l’esclave MDE méritante aurait le bonheur de pouvoir l’accompagner pendant tout son périple en Mer Méditerranée. Mais le Maître Vénéré, calculateur et un tantinet plus que pervers sur ce coup, avait tout manigancé dans son fertile esprit pour laisser Son esclave mariner dans les doutes et les craintes, aussi longtemps qu’IL avait décidé qu’il en serait ainsi, surveillant le moindre de ses faits et gestes ou le plus petit mot qui trahirait une défaillance dans sa Dévotion extrême…
(A suivre …)

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