Le placard

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le placard
Vous voulez savoir comment j’ai appris où était ma place ?
Un jour, Marc, mon Homme m’a dit :
- Puisque tu ne veux pas sortir du placard, petit pédé, je vais t’apprendre qui tu es…
Et sans attendre ma réaction, Il m’a jetée sur son épaule et m’a amenée jusqu’à la penderie de notre chambre à coucher. J’ai ri, pensant qu’Il plaisantait. Après m’avoir déposée, Il m’a demandé – ordonné devrais-je plutôt dire – de me déshabiller entièrement, pendant qu’Il sortait de dessous le lit un gros sac de voyage – que je voyais pour la première fois – en l’appelant son « Sac de Discipline ».
Il l’a ouvert et j’ai découvert, mi-effrayée mi-excitée, qu’il contenait, bien rangés, des cordes, des bâillons et toutes sortes d’accessoires – plugs, godes, cravache, badine, martinet…
- Mais qu’est-ce que tu fais, Marc ? Lui ai-demandé, entièrement nue.
Sans me répondre, Il m’a fait entrer dans la penderie, m’a enfoncé dans la bouche une grosse boule en caoutchouc et a fermé la sangle derrière ma tête par une boucle ardillon.
- Tu vas commencer par te taire, Ava. Et pour m’assurer que tu garderas ton bâillon bien en place, j’en cadenasse la boucle.
Sourd à mes protestations, Il a commencé à m’attacher serré : poignets joints dans le dos et coudes, pour commencer. C’était la toute première fois de ma vie que je me retrouvais attachée.
Puis il s’est emparé de la cage de chasteté que je portais parfois par jeu, pour l’exciter.
- Désormais, tu vas porter ta cage H24 et tu devras me demander l’autorisation de l’enlever, dit-Il en me l’enfilant avant que j’aie une érection.
J’ai fait non de la tête en gémissant, mais là encore, Il est resté sourd à mes suppliques. J’étais désormais en chasteté pour mon Homme, dont je sentais confusément qu’Il devenait mon Maître, et Il ne plaisantait pas du tout.
Notre histoire prenait tout à coup un tour auquel je ne me serais pas attendue, mais qui n’était pas pour me déplaire.
Il a continué à m’attacher en silence : une première corde entourant le haut de mes cuisses, passant à la base de mes fesses et sous mes testicules ; une deuxième corde qu’Il a attachée autour de ma taille et fait passer par mon entrejambe, empêchant ainsi la première de glisser ; une troisième corde au-dessus de mes genoux, puis une quatrième juste au-dessous, et enfin un cinquième corde autour de mes chevilles.
J’étais vraiment saucissonnée, incapable de parler et de bouger.
Puis Il m’a aidée à me mettre à genoux. Dans cette position, les cordes étaient encore plus serrées que debout.
Il a pris dans son sac un collier en cuir muni d’une boucle sur le devant, me l’a passé autour du cou et l’a attaché à l’aide d’une cordelette à la tringle. Ainsi, j’étais totalement immobilisée et réduite au silence.
- Ton éducation commence aujourd’hui, soumise Ava.
C’était la première fois qu’Il m’appelait « soumise ».
Ce jour-là, j’ai eu le sentiment assez concret que, comme le chantait Johnny Hallyday, pour moi la vie, la vraie, allait commencer.
Marc m’a éduquée, corrigée, félicitée, parfois Il a dû me dresser, c’est-à-dire sortir la cravache, car je commettais des erreurs ou j’oubliais d’accomplir une tâche qu’il m’avait assignée.
Mais j’apprends vite (surtout avec le martinet) et rapidement j’ai aimé Ses liens, toujours serrés et parfois très élaborés. J’adore quand Il me laisse dans Ses cordes des après-midi entiers, surtout le week-end. J’aime me prélasser sur le canapé du salon ou au lit, solidement ligotée et strictement bâillonnée, « préparée » pour de longues séances de baise. J’ai vite appris où est ma place, qui est aussi, inutile de le préciser, à genoux, attachée et la bouche pleine de ses 24 cm gorgés de désir pour moi et qu’Il replace mon bâillon après m’avoir tapissé la gorge de Son sperme.
J’étais déjà une lope passive, je suis devenue une esclave sexuelle. Le sexe fait bien sûr partie intégrante de mon quotidien avec mon Maître, je suis éduquée à Le servir. C’est ma place et je l’aime ainsi.
Mais ma soumission, vous vous en doutez, va bien au-delà de la relation physique. Autant je dois porter bracelets aux poignets et aux chevilles, et collier et cage de chasteté dès que je rentre à la maison – j’ai dix minutes après mon arrivée pour me « mettre en tenue », c’est-à-dire nue, en bas et talons, en plus des accessoires –, autant je suis aussi mentalement « cadenassée » quand Maître Marc n’est pas là, au travail ou en voyage d’affaires.
Le placard a été un enseignement salutaire pour moi.
J’en suis sortie en sachant qui je suis.
Mon Maître prend soin de moi, Il m’a bien éduquée et je sais aujourd’hui que ma place est à Ses pieds.
Et je n’envisagerais pas ma vie autrement.
Un jour, Marc, mon Homme m’a dit :
- Puisque tu ne veux pas sortir du placard, petit pédé, je vais t’apprendre qui tu es…
Et sans attendre ma réaction, Il m’a jetée sur son épaule et m’a amenée jusqu’à la penderie de notre chambre à coucher. J’ai ri, pensant qu’Il plaisantait. Après m’avoir déposée, Il m’a demandé – ordonné devrais-je plutôt dire – de me déshabiller entièrement, pendant qu’Il sortait de dessous le lit un gros sac de voyage – que je voyais pour la première fois – en l’appelant son « Sac de Discipline ».
Il l’a ouvert et j’ai découvert, mi-effrayée mi-excitée, qu’il contenait, bien rangés, des cordes, des bâillons et toutes sortes d’accessoires – plugs, godes, cravache, badine, martinet…
- Mais qu’est-ce que tu fais, Marc ? Lui ai-demandé, entièrement nue.
Sans me répondre, Il m’a fait entrer dans la penderie, m’a enfoncé dans la bouche une grosse boule en caoutchouc et a fermé la sangle derrière ma tête par une boucle ardillon.
- Tu vas commencer par te taire, Ava. Et pour m’assurer que tu garderas ton bâillon bien en place, j’en cadenasse la boucle.
Sourd à mes protestations, Il a commencé à m’attacher serré : poignets joints dans le dos et coudes, pour commencer. C’était la toute première fois de ma vie que je me retrouvais attachée.
Puis il s’est emparé de la cage de chasteté que je portais parfois par jeu, pour l’exciter.
- Désormais, tu vas porter ta cage H24 et tu devras me demander l’autorisation de l’enlever, dit-Il en me l’enfilant avant que j’aie une érection.
J’ai fait non de la tête en gémissant, mais là encore, Il est resté sourd à mes suppliques. J’étais désormais en chasteté pour mon Homme, dont je sentais confusément qu’Il devenait mon Maître, et Il ne plaisantait pas du tout.
Notre histoire prenait tout à coup un tour auquel je ne me serais pas attendue, mais qui n’était pas pour me déplaire.
Il a continué à m’attacher en silence : une première corde entourant le haut de mes cuisses, passant à la base de mes fesses et sous mes testicules ; une deuxième corde qu’Il a attachée autour de ma taille et fait passer par mon entrejambe, empêchant ainsi la première de glisser ; une troisième corde au-dessus de mes genoux, puis une quatrième juste au-dessous, et enfin un cinquième corde autour de mes chevilles.
J’étais vraiment saucissonnée, incapable de parler et de bouger.
Puis Il m’a aidée à me mettre à genoux. Dans cette position, les cordes étaient encore plus serrées que debout.
Il a pris dans son sac un collier en cuir muni d’une boucle sur le devant, me l’a passé autour du cou et l’a attaché à l’aide d’une cordelette à la tringle. Ainsi, j’étais totalement immobilisée et réduite au silence.
- Ton éducation commence aujourd’hui, soumise Ava.
C’était la première fois qu’Il m’appelait « soumise ».
Ce jour-là, j’ai eu le sentiment assez concret que, comme le chantait Johnny Hallyday, pour moi la vie, la vraie, allait commencer.
Marc m’a éduquée, corrigée, félicitée, parfois Il a dû me dresser, c’est-à-dire sortir la cravache, car je commettais des erreurs ou j’oubliais d’accomplir une tâche qu’il m’avait assignée.
Mais j’apprends vite (surtout avec le martinet) et rapidement j’ai aimé Ses liens, toujours serrés et parfois très élaborés. J’adore quand Il me laisse dans Ses cordes des après-midi entiers, surtout le week-end. J’aime me prélasser sur le canapé du salon ou au lit, solidement ligotée et strictement bâillonnée, « préparée » pour de longues séances de baise. J’ai vite appris où est ma place, qui est aussi, inutile de le préciser, à genoux, attachée et la bouche pleine de ses 24 cm gorgés de désir pour moi et qu’Il replace mon bâillon après m’avoir tapissé la gorge de Son sperme.
J’étais déjà une lope passive, je suis devenue une esclave sexuelle. Le sexe fait bien sûr partie intégrante de mon quotidien avec mon Maître, je suis éduquée à Le servir. C’est ma place et je l’aime ainsi.
Mais ma soumission, vous vous en doutez, va bien au-delà de la relation physique. Autant je dois porter bracelets aux poignets et aux chevilles, et collier et cage de chasteté dès que je rentre à la maison – j’ai dix minutes après mon arrivée pour me « mettre en tenue », c’est-à-dire nue, en bas et talons, en plus des accessoires –, autant je suis aussi mentalement « cadenassée » quand Maître Marc n’est pas là, au travail ou en voyage d’affaires.
Le placard a été un enseignement salutaire pour moi.
J’en suis sortie en sachant qui je suis.
Mon Maître prend soin de moi, Il m’a bien éduquée et je sais aujourd’hui que ma place est à Ses pieds.
Et je n’envisagerais pas ma vie autrement.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoires "crues" mais parfaitement écrites, une lente progression vers une soumission totale...
Je ne suis pas adepte du BDSM, mais je comprends parfaitement, grâce au talent de l'auteur, le ressenti de la "soumise" qui ressent un plaisir très érotique à la progression de sa soumission...
Vivement la suite !!!
Je ne suis pas adepte du BDSM, mais je comprends parfaitement, grâce au talent de l'auteur, le ressenti de la "soumise" qui ressent un plaisir très érotique à la progression de sa soumission...
Vivement la suite !!!

