LE REFUGE. (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE REFUGE. (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REFUGE. (6/6)
Notre première soirée dans une boîte échangiste où Germain m’a emmené pour fêter mes quarante ans et où j’ai découvert l’amour saphique avec Corinne jeune femme de trente ans mariée avec Robert chirurgien esthétique possédant trois clinique à Paris, Barcelone et Londres.
Nous y retournons deux jours plus tard pour l’anniversaire de Corinne et je fais connaissance de la queue de Robert aussi grosse que Corinne me l’avait dit pendant qu’elle entraînait Germain à faire avec lui l’échange de nos couples.
Nos amis sont partis à Barcelone pour plusieurs jours Robert ayant des opérations à pratiquer.
Dans la journée, nous sommes dans nos bureaux lorsque l’on reçoit un coup de fil du couple. Ils nous donnent de bonnes nouvelles sur leur séjour et surtout nous préviennent que le virement de fonds pour notre projet est fait et que nous pouvons le démarrer.

Le soir, pour fêter cette bonne nouvelle l’envie de retrouver au club prend Germain.

• Chérie met, ta tenue sexy ce soir je t’emmène fêter notre anniversaire de mariage.

Je sais maintenant ce que cela veut dire et je me prépare avec les affaires de plus en plus provocantes que j’ai été acheté avec Corinne.
Nos derniers achats se sont faits à Londres hier où nous sommes partis en Eurostar.
Elle est restée près de Robert qui comme pour Barcelone va remplir son porte-monnaie en pratiquant deux opérations dont elle va s’empresser de dépenser la plus grande partie dans les boutiques d’Oxford Street.
J’ai repris le train pour Paris en fin de journée et je peux étrenner la tenue d’écolière typiquement anglaise avec un kilt porté dans la pure tradition et un chemisier blanc avec chaussettes montant aux genoux et aux escarpins noirs.
Ajouté à cela deux couettes et vous avez le tableau de la petite salope anglaise qui va à l’école.
Arrivé dans la boîte après le restaurant où nous avons mangé au champagne, je fais un tour de la salle où trône le podium pour faire admirer la jolie petite salope que je suis comme le souhaite Germain.
Après être retourné au vestiaire nous déshabiller, il me demande d’aller dans l’eau l’attendre.
Lorsqu’il revient, il me bande les yeux et il me fait monter sur quelque chose.

• Met toi en levrette.

Je me place comme il le demande un peu anxieuse et il m’enlève mon bandeau.
Je suis sur l’estrade qui commence à tourner au milieu de plusieurs hommes qui bandent pour certain et qui sont déjà chapeautés.

• Messieurs, madame est à vous, il y a quelques semaines, elle a émis l’idée de faire l’amour avec plusieurs hommes.
Je vous ai choisi pour réaliser son fantasme soyer à la hauteur de son attente.

Je vois Germain s’asseoir dans un coin sur un sofa pendant que six bites avancent vers moi.
C’est le plus près qui bande encore un peu mou alors que l’homme qui la possède attend que je le fasse bander, sa capote à la main qui entre dans ma bouche alors que d’une main alerte, j’en masturbe un autre.
Prise par-devant je sens que des mains empoignent mes hanches et qu’une bite de celle qui bandait dès le départ me pénètre la chatte.
Celui dans ma bouche bande assez pour laisser la place à un autre.
Dans le mouvement qu’il fait sur le côté le plateau qui tourne toujours me permet d’apercevoir Germain qui a été rejoint par deux femmes qui sont à quatre pattes comme moi et qui doivent lui sucer la bite.
Je suis contente que le chéri pendant que l’on me décharge déjà une fois dans la chatte soit lui aussi en des bonnes-mains, je devrais dire bonne bouche certainement des femmes de deux hommes me besognant.
Le tour suivant correspond comme pour le tour d’avant au moment où mes partenaires me placent sur le ventre de l’homme qui s’est glissé sous moi et qui me permet de m’abaisser sur son pieu pris par la chatte.
J’ai le temps d’apercevoir celui que j’aime et qui s’est souvenu de mon rêve d’être prise par les onze hommes présents dans le refuge. Je suis contente qu’il enfile en levrette la petite un peu ronde qui semble savoir se tortiller sur ma queue.
Pardon, sa queue, mais depuis le jour de notre mariage, il y a vingt ans le maire et le curé si je me souviens bien mon dit qu’elle était la mienne et que je devais en faire un usage fréquent.
Je peux difficilement dire le temps que ces six hommes sont sur moi dans moi, dans ma chatte et mon anus, ils réussissent même, j’ai l’impression dans le brouillard qui finit par m’entourer en apothéose de cet anniversaire de nos vingt ans de m’en mettre deux dans la chatte alors qu’une troisième est dans mon cul, une dans la bouche pendant que j’arrive bien difficilement à masturber les deux derniers.
2 + 1 + 1 + 2 cela fait bien les six hommes que Germain a choisis pour que je réalise mon fantasme suite à mon rêve qui était donc bien prémonitoire.
Il a su mieux compter que moi qui mon rêve voulais que je m’occupe des onze présents dans le chalet.
Leur capote enlevée c’est sur mes seins évitant mon visage que la plupart finissent notre partouze. Le dernier qui lui se permet le visage et surtout ma bouche, c’est l’instigateur de la réalisation de cette soirée orgiaque qui s’est rapproché de moi et qui me tient la main où il glisse au doigt une bague en porcelaine peinte.
Chaque homme nous remercie et je vois deux d’entre eux récupérer leur femme et leur demander si mon mari avait été à la même hauteur de la salope qu’ils ont baiser une partie de la nuit.
Salope qu’ils ont baisé c’est ce que je pense car ce sont des gentleman et ils doivent être plus pondéré envers celle qui a bien voulu accepté tout leurs jeux sans rechigner à la tache pour leur seul plaisir et beaucoup le mien.
Avant de rentrer, nous trainons quelque temps dans le Jacuzzi après que je suis allé prendre une douche ayant le respect des eaux ou je me prélasse.
Des hommes voire des femmes ayant certainement assisté à mes ébats souhaitent les continuer, mais je suis tellement épuisé que j’éconduis tout ce beau monde. Aucun essaye plus d’une seconde comme pourraient le faire des bofs dans un autre endroit que celui-ci.

Comme la fois précédente, c’est sur la table de la cuisine une tasse de café à portée de main que Germain à droit à sa récompense bien mérité après de petit gang bang qu’il m’a fait vivre pour la première fois.

• Chérie, tu accepteras de retourner avec plusieurs hommes dans les semaines prochaines.
• Oui, à une seule condition, je m’occupe de faire l’amour à Corinne pendant que vous rechercher des queues que nous donnerons à ma petite coquine.
Je suis sûr qu’elle appréciera énormément et que Robert sera enchanté de la partager avec tous ces hommes comme tu l’as fait pour moi ce soir.

Café bu, promesse de Germain de suivre mon idée et nous pouvons aller nous coucher notre journée pleinement satisfaite.
Nous avons réalisé avec Corinne, la soirée que nous avions extrapolée et la cochonne ait commencé avec dix hommes pour elle seule avant que je la rejoigne devenant de plus en plus de jolie salope.
Chaque soir que nous sommes là, nous sommes les reines du club et les clients semblent plus nombreux lorsque nous faisons notre show.
Corinne voulait nous emmener huit jours à Barcelone découvrir un club qu’il fréquente là-bas.
Nous refusons à double titre, dans le cadre de l’extension, l’une des deux nouvelles chaîne, de fabrication va être démarrée et il est presque au boulot vingt-quatre heures sur vingt-quatre et Christophe qui arrive comme il nous lavait promis passer trois mois à la maison avant de retourner en février préparer la saison de marche dans les montagnes.

Ma chatte qui a connu des multitudes de sexes ces dernières semaines est contente de retrouver le calme des deux sexes de mes amants, car j’ai fait promettre à Germain d’éviter d’aller au club avec lui, car j’ai trop peur qu’il trouve une chatte plus jeune malgré le goût qu’il semble avoir pour les femmes cougars.

Anaïs, ma fille semble avoir viré son dernier flirt, car depuis quelques jours elle a réintégré sa chambre.
La tension monte entre elle et moi et les mots vont avec.
Je suis sur des charbons ardents, car si elle est là tout le temps, j’aurais du mal à le faire venir dans ma chambre.
Le soir de la veille de l’arrivée de notre montagnard, c’est le sommet, on dirait qu’elle trouve un malin plaisir à me contrarier sur tout ce que je dis ou tous ce que je fais au point qu’à la fin malgré son âge, je l’envoie dans sa chambre.
Elle rechigne, mais nous quitte.
Je passe une nuit blanche surtout après ma prise de bec avec Anaïs et deux trois fois dans la nuit, je commence à me lever pour aller la consoler, chaque fois je me recouche refusant d’avoir tort.

Le samedi matin, elle qui le week-end a du mal à se lever, est dans la cuisine avant moi.

• Maman, j’ai été ignoble envers toi hier, pour me faire pardonner, je viens avec toi chercher votre ami.

Comment lui dire non sans éveiller en elle des soupçons de ce qui c’est passé avec le jeune homme.

• Viens dans mes bras, j’ai autant de tors que toi, merci de m’accompagner.

Bus jusqu’à la gare de Joinville-le-pont puis RER jusqu’à la gare de Lyon.
Le train a une demi-heure de retard, j’en suis à trois cafés plus celui de ce matin lorsque le train entre en gare.
Presque tous les voyageurs sont sortis lorsque dans les derniers, il arrive.
Je vois le regard d’Anaïs vers le garçon répondant au sien me faisant voir immédiatement que la queue de Christophe vient de m’échapper.
Le coup de foudre vient de frapper ces deux jeunes gens sur un simple regard qui se croise.

• Emmanuelle, c’est ta fille, elle te ressemble tellement, il est impossible que je me trompe.
Anaïs, on se fait la bise.

En même temps qu’il l’embrasse et que je l’embrasse une question me viens à l’esprit.

• Tu connais ma fille.
• Oui, par ton mari le soir devant nos bouteilles de blanc de Savoie. Son nom est venu dans la conversation et j’ai compris, quelle complicité il y avait entre vous tous.

En sortant de la gare la file d’attente des taxis est courte et rapidement nous rentrons sur nos bords de marne.

• Christophe vient voir la vue sur la terrasse.
• Christophe, qu’est-ce que tu aimes comme musique.
• Christophe, je vais te préparer des pâtes à la carbonara, c’est ma spécialité.
• Christophe, je vais à une soirée pour l’anniversaire d’une amie, tu m’accompagnes.

Avec Germain de retour, notre avis leur est superflu, Anaïs décide de tout. J’ai vu mon amant très peu de temps dans la journée et jamais seul.
L’après-midi, ils s’enferment dans sa chambre et j’entends la musique qui remplit la pièce.
Le son est fort qu’il faudrait que j’entre pour lui demander de le baisser, mais depuis que ma fille est majeure, j’hésite à entrer.

• Salut, les anciens, on va éviter de faire du bruit en rentrant.
Mais dormez tranquille, je guide notre invité.

Ils nous embrassent et comme deux vieux cons, nous nous retrouvons en tête à tête avec comme seule perspective le match de foot à la télé.
Dans la nuit, je suis réveillé par les jeunes qui rentrent.

• Chute.

Des petits rires.

• Chute.

Puis une porte qui se ferme non loin de notre chambre.
La chambre d’Anaïs est contiguë à la nôtre et malgré des parois assez isolantes au bout de quelques minutes les halètements que j’entends ne font aucun doute, Christophe fait l’amour à ma fille qui semble appréciée.
Il est difficile à la mère que je suis d’entende ma fille jouir sous les coups de bite de ce garçon que j’ai eu comme amant et malgré la fin du bruit je fini la nuit sans dormir.
Comme l’on dit communément il remette le couvert au petit matin.
Vers neuf heures je me lève et pour me vider la tête, je sors courir, je cours et j cours encore.
Je passe devant chez Corinne qui est absente et je retourne à la maison ou les trois sont installés dans la cuisine.
Anaïs est assise sur les genoux de Christophe recouverts d’une nuisette qui cache juste ce qu’il faut de son intimité.

• Maman, c’est incroyable, nous nous aimons.
Tu crois au coup de foudre, j’apprends que cela est possible, dès que j’ai vu votre ami, j’ai su que c’était lui.
Nous allons aller habiter dans sa maison qu’il remet en état pour en faire des chambres d’hôtes, nous en avons parlé toute la nuit et je suis emballé par son projet.
• Je peux difficilement vous dire ce qu’il m’arrive.
Après les bons moments que nous avons passés ensemble dans la montagne au-dessus de Courchevel, je suis venu ici sans penser perturber notre amitié, mais depuis que je suis descendu du train, la vie s’est accélérée sans que je maîtrise tous surtout mes sentiments.
• Tu as des doutes sur tes sentiments envers Anaïs.
• Non, aucun doute m’habite, comme pour Anaïs, mon cœur a fait un saut dans ma poitrine lorsque je vous ai vu au bout du quai.
Ce que j’ai eu du mal à maîtriser, c’est la nuit que nous venons de passer.
Je croyais qu’il était impossible de rencontrer sa moitié si vite.
• Attention les enfants, évités les décisions trop hâtives, apprenez à vous connaître pendant le séjour de Christophe, Anaïs passe ton examen en fin d’année et après tu décideras de ta vie avec Christophe.
• Maman, cette année pour votre balade annuelle en montagne, vous pouvez annuler l’hôtel ou vous descendez chaque année.
Ces de chez nous que vous démarrerez dans la chambre que nous aurons fini de refaire d’ici là, vous serez nos premiers clients, nous vous ferons une remise de dix pour cent.

Ces mots ont été sans appel, les deux enfants sont restés à Paris jusqu’au lendemain des fêtes où nous avons loué une voiture pour que notre fille suive l’amour de sa vie à Peisey-Nancroix.
Comme Anaïs l’avait prévu, nous venons d’entrer dans les deux chambres entièrement refaites que nous occuperons.
Germain par la fenêtre regarde l’endroit ou lorsque la maison des parents était encore une ferme, la fosse à purin va faire place à la piscine pour que les clients profitent de la fraîcheur de l’eau et de la vue des montagnes accompagnées de l’air pur l’été.
Demain matin un taxi vient nous chercher pour retrouver le bas du chemin où Christophe doit nous emmener sur un parcours nouveau pour nous.
Corinne qui est arrivée avec nous et Robert nous accompagnera ainsi que notre fille qui tient à être avec nous.
Robert gardera le gîte, les balades en montagne le rebutant fortement.
Dommage, d’après ce que j’ai compris quoiqu’il soit de nouveau ouvert notre route évitera le refuge du grand plan, mais passera par celui où j’ai rencontré ma jeune allemande…

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