Le sous-directeur de la Bower Compagny

- Par l'auteur HDS DeeWar -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le sous-directeur de la Bower Compagny Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le sous-directeur de la Bower Compagny
7 heures du matin.

La pluie redoublait de violence dans Lawson street pendant que James Morgan courait à grandes enjambées vers les locaux de l'Epson Tower. Il s'arrêta à l'entrée, hors d'haleine. Il était trempé. Son beau costume beige dégoulinait. Un Brexley à 3000£. Comment s'appelait déjà ce connard de présentateur météo qui, la veille, avait prédit une journée radieuse... À Rome, oui, mais certainement pas à Londres!

Il prit appui contre la lourde porte de chêne, histoire de reprendre haleine. C'est là qu'il aperçut Carlson.



L'homme, âgé de 50 ans, l'avait repéré de loin. Comme tous les jours, à 7 heures précises. Le sous-directeur de la Bower company arrivait toujours à l'heure. Et toujours le premier. Tout dans cet homme de quarante ans inspirait le respect et l'envie.

Le respect, tout d'abord, par sa position dominante dans l'entreprise. Par son mariage people, aussi. Prendre pour épouse une starlette de 20 ans sa cadette avait fait jaser dans le milieu. Mais bon... C'était Monsieur Morgan tout craché, ça! Rien ne lui résistait. Surtout pas les femmes. Et il les lui fallait toutes...

L'envie, ensuite, car Monsieur Morgan était bel homme. Très bel homme, même. L'ovale du visage parfait, un peu à la Beckham, bien équilibré, des lèvres charnues, deux fossettes ravageuses et des pupilles d'un sombres abyssal qui vous intimidaient. Ses cheveux couleur jais, assortis à ses costumes parfaitement taillés et des plus moulants, lui conféraient une aura particulière. Tout le monde tombait sous son charme. Même Carlson...

Il sentit sa queue prendre de l'ampleur dans son pantalon d'uniforme. Personne ne savait qu'il était gay dans la boîte. D'ailleurs, qui se souciait de la vie d'un simple gardien de sécurité.

Il vint au devant de son supérieur. Il ne put s'empêcher de porter le regard sur son entrejambe et ses cuisses musclées. Le fin pantalon de toile imbibé de pluie faisait ressortir un long renflement épais, une colonne de chair qui remontait jusque sous la ceinture. Bon sang, en plus d'être beau, Monsieur Morgan semblait monté comme un turc.

Carlson évitait toujours de trop s'attarder sur la braguette des hommes, de peur de se trahir, mais ce matin, le joyau qui se dressait à quelques mètres de lui dépassait tout entendement.

James Morgan saisit le regard de son employé mais ne dit rien. Il était flatté qu'un inférieur s'intéresse à lui. Même au niveau de son bas-ventre.

Cette simple pensée le fit durcir...

Carlson ne pouvait détacher les yeux de cette énorme bosse. Il se doutait bien que son patron l'épiait, mais c'était plus fort que lui. Il restait là, figé, incapable de la moindre réaction, comme un lapin pris dans les phares d'une voiture.

D'ailleurs, il aurait juré qu'elle avait grossi. En tous les cas, son manche s'étirait en diagonale jusque sous la poche gauche. Doux Jésus, quel morceau! Il déformait le fin tissus de coton de manière obscène. Il ne put s'empêcher d'émettre un grognement muet d'animal en rut.

Monsieur Morgan poussa le vice jusqu'à introduire une main dans ladite poche et palper son membre qu'il plaqua tout contre la toile trempée.

Le gardien ouvrit la bouche, surpris par tant d'audace. Le pauvre homme pouvait nettement distinguer le contour des vaisseaux sanguins épais qui couraient le long de cette queue gorgée de sang. Les doigts s'activaient sur le gland, le faisant suinter abondamment. Carlson ne mit pas longtemps à constater qu'une tache plus sombre mouillait le haut du pantalon.

Cependant, James Morgan jugea que ce petit jeu avait assez duré. Il ressortit sa main et pressa les manches de sa veste.

- Bonjours, Carlson. Je suis trempé. Apportez-moi un nouveau costume dans mon bureau.


Le bureau du sous-directeur était tel qu'il l'avait laissé vendredi soir. Tous les dossiers reposaient sur son bureau. Il avait finalisé les contrats des principaux fournisseurs et attendait neuf heures pour attaquer de nouveaux projets en présence de sa secrétaire.

Il prit place dans son fauteuil de cuir et fixa la large baie vitrée. Depuis l'avant dernier étage, il dominait toute la City. Il ferma les yeux un court instant. Il avait trimé pour arriver là.

Il desserra sa cravate de soie, une Balesta à 260 £, qu'il fourra dans un des tiroirs, puis porta son attention sur le cadre cerclé d'or qui trônait en bout de bureau. Gladys! Sa chère Gladys, sa dernière conquête, ou plutôt son dernier joujou sexuel. Il faut dire qu'elle était particulièrement douée au lit, la garce. La vision de sa croupe offerte le fit bander.

Mais qu'est-ce qui lui avait pris de faire un tube planétaire. Une jeune écervelée de vingt ans qui chantait des fadaises et qui se retrouve propulsée du jour au lendemain en haut des charts. Pfff !!!

Résultat, elle était partie en tournée aux States et lui se retrouvait seul, la queue entre les jambes, avec une furieuse envie de baiser tout ce qui bouge.

Il palpa sa grosse queue à travers l'étoffe du pantalon mouillé, puis, n'y tenant plus, il se débraguetta et empoigna son manche. Il ressentit comme une décharge électrique. Sa bite était brûlante, épaisse, réceptive à ses moindres coups de poignet. Il la sentait palpiter à chacun de ses va-et-vient...

James Morgan ferma les yeux et se mit à haleter. Il revoyait Gladys lui faire des gorges profondes, ses longs cheveux retombant sur son ventre musclé. Il avait écarté les jambes et son autre main malaxait à présent ses lourdes boules pleines depuis cinq jours.

Il commençait à se sentir bien. Son gland luisait et un long fil de liquide transparent s'étirait et coulait jusqu'à la naissance des couilles. Il aimait la sensation de sa main chaude qui décalottait et recalottait le gland. Il y était très sensible. Et voir sa queue tendue à l'extrême, son dard presque violet, ses grosses veines bleutées...

Il accéléra la cadence. Un plaisir immense l'envahit. De grosses contractions ébranlèrent son sexe. Il allait jouir...

TOC.TOC. TOC.

Trois coups distincts résonnèrent à la porte de son bureau. Il eut juste le temps de se rajuster.

- Qui est-ce?

- C'est Carlson, Monsieur. Je vous apporte un costume neuf.

Carlson! Il l'avait complètement oublié, celui-là.

Il lui ordonna d'entrer. Le gardien de la Tour pénétra dans la vaste pièce, peu sûr de lui. C'était la première fois qu'on l'autorisait à franchir le seuil du bureau de son supérieur.

- Approchez. Fermez la porte derrière vous!

Il se leva et vint à l'encontre de son subalterne.

- Enlevez-moi mes chaussures, je vous prie.

Carlson prit cela pour un ordre. Il s'accroupit devant les mocassins Bellucci. Il savait que sa paye de l'année ne suffirait pas à se les offrir.

James Morgan regarda Carlson batailler avec les lacets qui formaient un nœud tenace. Dans cette position, il le dominait entièrement. À un moment, il vit la tête de l'employé se redresser et tomber nez à nez avec le renflement de sa braguette. Il profita de ce spectacle pour agripper sa fermeture éclair et la baisser le plus lentement possible.

C'était un supplice pour Carlson, il le savait. Il entendait son subordonné se racler la gorge, manquer d'air...

Il continua son strip-tease, sous les yeux ébahis du malheureux. Il fit glisser son pantalon, découvrant un boxer couleur rouge vif. L'épaisse queue de Morgan se trouva à quelques centimètres de la bouche de Carlson.

Mon Dieu, quel engin... Il n'en revenait pas. Cet homme puissant avait nourri ses fantasmes les plus fous. Chaque soir, dans l'intimité de sa chambre, il s'inventait des scénarios érotiques toujours plus osés dans lesquels il se faisait prendre comme une bête, ou fouetter tel un esclave... Mais jamais il n'aurait envisagé se retrouver un jour à genoux, face à l'objet de tous ses désirs.

Bien malgré lui, il s'humecta les lèvres et ses yeux pétillèrent d'envie.

Morgan n'en perdait pas une miette. Il semblait plus amusé qu'autre chose. Avoir un type en uniforme à ses pied ajoutait à son sentiment de puissance. Et tant pis si ce n'était qu'un insignifiant gardien de sécurité.

Il abaissa d'un coup sec son sous-vêtement. Ses 24cm jaillirent tel un félin et vinrent buter sur les lèvres de Carlson. Celui-ci recula, surpris. Il restait sans réaction, la bouche grande ouverte en forme de ''O''.

- Alors, qu'est-ce que tu attends?

C'est lui qui lui flanqua son gland sous le nez. Carlson inspira profondément. Ses narines, gonflées de l'odeur masculine, furent barbouillées de liquide pré-séminal qui s'échappait de la la large fente. Il écarta lentement ses lèvres et sortit la langue pour goûter le nectar de son patron.

- C'est ça, tu commences à comprendre.

Il attrapa la nuque de Carlson et la tira en avant, forçant le passage de sa bouche.

- Suce... Suce ma bite!!!

Carlson se transforma alors en véritable soumis. Les vannes de son fantasme s'ouvraient enfin. La seule chose qu'imprimait son cerveau était la bite de son sous-directeur. Une bite longue, épaisse, dure comme l'acier. Une bite qui prenait possession de sa bouche, qui dictait sa loi et imposait la cadence.

- Ho, my god!!!

Carlson aspirait cette colonne de chair. Son seul monde se résumait en une bite. Sa langue tournait autour de la large tête du champignon baveux. Ses lèvres chaudes enfournaient le maximum de viande.

La longueur de la tige était impressionnante. Jamais il n'avait sucé une telle queue. Monsieur Morgan était bien le meilleur. Et dans tous les domaines.

Il prit comme un défit de faire coulisser le long membre jusqu'au fond de sa gorge. Il la voulait en entier. Que son chef soit fier de lui. Après plusieurs tentatives, il réussit enfin à sentir les poils pubiens lui chatouiller le menton.

- Oh, my god! OOH, my god!!!

Carlson était fier. Son patron appréciait.

Il prit le risque de s'attaquer à ses boules poilues. Il les emprisonna chacune dans une main. Il craignait de se faire rejeter, mais au lieu de cela, les râles redoublèrent.

Il les enveloppa délicatement, ressentant le bouillonnement du sperme à l'intérieur. Il les malaxa avec tout son art de pédé aguerri.

- OOHHH my GOD !!!

Morgan lui agrippa la tête. Cette fellation était du délire. Une pure merveille . Même ses nombreuses conquêtes féminines ne l'avaient jamais pompé comme ce matin. Sans parler de Gladys...

Il accéléra le rythme. Peu lui importait que son suceur se soumette ou pas. Pour lui, il n'était qu'une bouche vouée à son propre plaisir. Il sentit qu'il butait tout au fond, que son gland descendait à travers la trachée et que le torrent de foutre qui menaçait depuis ses couilles allait bientôt inonder son gosier.

La perspective de nourrir de sa semence un autre homme le fit se raidir. C'en était trop...

- OOHHH, MY GOOOOOOOD !!!

Carlson sentit le premier jet s'écraser au fond de sa gorge. Il laissa s'écouler le déluge de sperme. Le dernier jet glissa le long de sa langue. Quelques gouttes chaudes, sucrées,... Il les garda en bouche encore un instant, comme on déguste un bon millésime.

- Neuf heures, déjà!!! Vite, je vais être en retard. Et vous, ne restez pas planté là. Vous devriez être à l'accueil, il me semble!


9H10

Après avoir frappé, la secrétaire de James Morgan s'approcha du bureau. Il s'était déjà mis au travail. Elle déposa son courrier sur une pile de dossiers, fit le tour, et vint s'accroupir entre ses cuisses.

- Mais que faites-vous, miss Sanders?

Elle reporta ses beaux yeux bleus sur lui.

- Je pensais que, comme tous les lundis, vous...

Il la repoussa violemment.

- Non, pas ce matin. J'ai du travail.

Elle parut surprise mais ne dit rien. Elle savait que sa femme voyageait aux États-Unis et qu'il n'avait pas baisé depuis plusieurs jours. Le lundi était même devenu un rituel entre eux. Sans rien dire, elle se positionnait sous le bureau et lui administrait une fellation royale pendant qu'il s'attachait à consulter ses documents.

Mais ce matin...

James Morgan n'osa la regarder en face. Il savait qu'elle se posait mille questions, que c'est lui qui la plupart du temps était demandeur. Mais bon sang, il n'allait quant même pas lui avouer qu'il venait de se faire sucer par un homme. Qui plus est, par le gardien de la Tour.

- Apportez-moi plutôt le dossier Arrows.


10H30

James Morgan quitta son bureau pour se rendre dans un local tout au bout de couloir. Il nota que sa secrétaire était absente.

Il ouvrit la porte et pénétra dans cette pièce exiguë. C'était un ancien entrepôt où l'on stockait toutes les encres. Il avait fait aménager une lucarne avec une vitre sans tain et, du haut de sa planque, il espionnait à loisir tout son personnel.

Chaque employé travaillait seul, délimité par un box individuel. La hauteur du repère et l'emplacement stratégique faisait qu'aucun salarié ne pouvait échapper à sa vigilance.

Il commençait à compter les fauteuils vides lorsque la porte s'ouvrit.

- Ah! Morgan, vous êtes là.

Un homme, la cinquantaine grisonnante, fit son apparition. Un beau spécimen, dans la force de l'âge. Son costume trois pièces laissait deviner un peu d'embonpoint, une corpulence compensée par un visage carré, volontaire, et une barbe poivre-sel qui lui conféraient une autorité naturelle.

- Bonjour Monsieur, je comptabilisais les absents.

- Très bonne initiative, Morgan. En tant que P.D.G de la boîte, je dois pouvoir être informé à toute heure de qui bosse et qui se la coule douce.

Se positionnant derrière son associé.

- Voyons ce que cela donne.

Le local était des plus étroit, un minuscule réduit, en fait. Morgan sentit le souffle de son patron derrière sa nuque, et surtout son parfum. Du Bird-Oasis à 4000£ le flacon.

Il était presque collé derrière son dos. Il posait des questions sur chacun des employés, les montrant du doigt. Morgan ne pouvait ignorer la bosse qui pressait de plus en plus contre ses fesses.

- Et que pensez-vous de Mitchel?

Un petit halètement plaintif sortit des lèvres du sous-directeur.

- Je...

Heureusement que la pièce était peu éclairée car Morgan bandait comme un âne. Il était quasiment collé contre le mur, le visage aplati sur lucarne, mais l'autre continuait à se frotter comme si de rien n'était.

- Et O'Connors?

Ses yeux se tournèrent vers un rouquin de vingt-trois ans, assis dans l'un des box. Il lui sembla que ses mouvements de jambes étaient suspects. Il les avait bien écartés et une chevelure brune s'agitait au niveau de l'aine.

Bordel...

- Vous ne remarquez rien de bizarre, Morgan?

Bien sûr qu'il avait remarqué. Bien sûr qu'il voyait la même chose que lui. Il répondit dans un souffle à peine audible.

- Je crois qu'il...

Le P.D.G se colla encore plus fort contre son dos.

- Et ne serait-ce point votre secrétaire qui se trouve avec lui, en ce moment?

La surprise fit reculer Morgan. Sa raie entra en contact avec le bâton de son supérieur. Sa bite était raide comme du bois. Sans doute que la scène qui se jouait sous ses yeux l'avait émoustillé.

Il finit par se décoller de lui et rejoindre la sortie.

- Je compte sur vous pour régler cette affaire.




18H30

James Morgan convoqua Kylian O'Connors à son bureau.

Il avait son contrat d'embauche sous les yeux.

'' O'Connors, 23 ans, irlandais né à Dublin, intérimaire depuis 6 mois. En attente d'une titularisation.''

Morgan s'enfonça dans son fauteuil et jura à haute voix. Après le triste spectacle qu'il avait offert ce matin, l'avenir de ce Jackeens* dans la Bower Compagny semblait des plus compromis. (* surnom insultant attribué aux dublinois)

Il le fit patienter quelques minutes avant de lui ordonner de rentrer. Le jeune irlandais ne parut nullement impressionné de se retrouver dans le luxueux bureau de son sous-directeur.

Ce dernier ne lui proposa pas de s'asseoir. Il tenait à ce qu'il reste debout lorsqu'il lui signifierait son licenciement.

Il prit soin de le détailler. Belle gueule parsemée de tâches de rousseur, des cheveux orangés, coupés courts saupoudrés de gel, des yeux d'un bleu acier qu'il refusait de baisser et un discret diamant à l'oreille gauche. Il avait desserré sa cravate et déboutonné les trois premiers boutons de sa chemise si bien que l'on devinait une chaînette enfouie dans une broussaille de poils. Il ne portait pas la veste réglementaire et ses manches retroussées laissaient voir d'étranges tatouages ainsi qu'un bracelet de cuir tressé.

- C'est dans cette tenue que vous vous présentez à moi?

- J'ai fini mon service, monsieur.

- MONSIEUR MORGAN, je vous prie!!!

Le fier irlandais ne rectifia pas, se contentant d'incliner la tête.

Assis à son bureau, James Morgan avait pratiquement sa braguette sous les yeux. Son fin pantalon de toile moulait un engin impressionnant, même au repos. Pour sûr, il y avait du matos, la dedans.

Morgan secoua la tête comme pour chasser ces mauvaises pensées. Il se leva, contourna son bureau, et vint se planter tout près de lui.

- Monsieur le P.D.G en personne vous a vu dans une position fort délicate, ce matin.

Aucun mouvement de sourcil ne vint trahir son aplomb. James Morgan poursuivit.

- Vous étiez censé nous fournir les graphiques des dernières ventes, au lieu de ça, il semblerait que vous passiez votre temps à toute autre chose!

Il haussa le ton, exaspéré par le manque de réactivité de son arrogant employé.

- Ma secrétaire n'a pas été embauchée pour vous faire des turluttes. VOUS ÊTES VIRÉ, VOUS ENTENDEZ !!!

À cet instant, le beau rouquin perdit de sa superbe. Ses joues pâlirent.

- C'est sa faute, Monsieur Morgan. C'est elle qui m'a allumé, je vous le jure.

- Tu t'imagines que ton box est un baisodrome?

O'Connors fit un pas en arrière, se retrouvant coincé contre le bureau.

- De toute manière, le patron ma chargé de prendre les mesures qui s'imposaient.

Son assurance avait fondu comme neige au soleil. Il implorait à présent, les larmes aux yeux.

- S'il vous plaît, Monsieur Morgan, j'ai une femme et des gosses. J'ai vraiment besoin de ce job.

- Fallait réfléchir avant. Ah! ces irlandais, je vous jure... Mais, bon, peut-être pouvons-nous trouver un terrain d'entente.

Le regard du rouquin s'illumina. Ses beau yeux bleus retrouvèrent leur éclat.

- Tout ce que vous voudrez, Monsieur Morgan. Tout ce que vous voudrez...

Morgan fit un pas en direction du jeune homme et lui agrippa les testicules à travers le pantalon de costume.

- Voilà ce que je veux.

Kylian O'Connors n'eut pas le temps de réagir que déjà Morgan le retournait et le plaquait contre le bureau, sa croupe bien offerte. Il frotta son bassin contre ses fesses musclées tout en retirant un à un les boutons de sa chemise. Ses doigts s'attaquèrent aux tétons enfouis dans une forêt de poils roux. Il les malaxa sans ménagement, comme il le faisait avec les seins de Gladys. La réaction ne se fit pas attendre. Le jeune irlandais ne put s'empêcher de gémir. Une de ses mains s'aventura ensuite jusqu'à son entre-jambe...

O'Connors luttait avec l'énergie du désespoir pour garder ses mains à plat sur le bureau. Il ne pouvait croire qu'il se faisait peloter par un autre homme. Mais quand la main du patron vint caresser sa queue, il ne put empêcher son érection de tendre le tissus. Sa tête était prête à exploser, pleine de fantasmes et d'interdits. Et la chaleur n'arrangeait rien. Il transpirait aussi bien de la torpeur que de la tension sexuelle qui l'habitait. C'était le combat d'un hétéro, un combat âpre, inégal... Un combat perdu d'avance. La dernière digue sauta lorsque des doigts experts baissèrent sa fermeture éclair et sortirent son membre bandé.

- Humm! Intéressant tout ça.

James Morgan prit en main le sexe dressé et le branla doucement. Il était à la fois surpris et ravi du manque de réaction de son partenaire. Il aurait pu s'attendre à un peu plus de résistance. Surtout venant de la part d'un homme marié. Il entrepris de déboucler sa ceinture...

O' Connors ferma un instant les yeux dans un ultime sursaut de résistance mais il bandait fort. Sa queue lui faisait mal. Il sentait la pointe du gros dard de Morgan flatter ses fesses et lorsque son pantalon glissa à ses chevilles, il sut que son monde hétéro allait basculer.

James Morgan ne pensait pas prendre autant de plaisir à dominer un homme. Il s'attaqua au boxer qu'il abaissa d'un geste sec. Il contempla l'anatomie de son soumis. Cet irlandais avait un cul parfait. Bombé à souhait. Rien à voir avec un fessier féminin si ce n'est que les gestes restaient les mêmes. Il écarta les fesses d'un blanc laiteux pour découvrir la corolle qui gardait l'entrée de son anus. Il l'entendit respirer un peu plus fort quand un de ses doigts s'aventura dans son œillet inexploré. C'était aussi doux qu'un cul de femme.


O'Connors gémit lorsqu'un doigt, puis deux, vinrent titiller sa rondelle. Ils lui massaient l'anus en cercles concentriques, l'assouplissant au maximum. Il se trouvait complètement affalé sur le bureau, le cul offert, presque inconscient. Il ronronnait tel un chaton. Il sursauta lorsqu'une phalange s'aventura plus loin. Le contact de cette intrusion soudaine lui arracha un faible cri mais il ne se déroba point. Au contraire, il poussa ses globes bien haut, pour une meilleure pénétration.

James Morgan était totalement hypnotisé. Encouragé par son acolyte, il introduisit deux, puis trois phalanges, trouvant la prostate qu'il stimula. L'excitation de violer ce cul vierge le faisait bander comme un cheval. Il ressentait tellement l'envie de le baiser qu'il en avait mal. Ses 24cm pointaient en direction des fesses imberbes. Il releva sa chemise bien haut, dévoilant un dos parsemé de tâches de rousseur, positionna son gland à l'entrée et...

O'Connors cria à plein poumons lorsque Morgan s'enfonça inexorablement en lui. Il ne s'imaginait pas à quel point cela pouvait être douloureux. Il tenta de se relever, mais son patron le maintint vigoureusement en position.

James Morgan poussa pour entrer plus profondément dans les entrailles du jeune irlandais. Il sentit une ultime barrière lui résister et, d'un coup sec, il emporta la virginité de ce cul de mec marié. Il l'entendit crier sa douleur à mesure qu'il s'enfonçait inexorablement en lui. Chaque centimètre était un combat. Sa queue, gonflée de désir et de frustration, se faisait une place, savourait chaque résistance de son conduit étroit. Il l'entendait gueuler contre cette pénétration bestiale. Mais l'issu ne faisait aucun doute. À la fin, il rejoindrait la liste des milliers d'enculés qui peuplaient la planète.
Il aurait souhaité une baise moins hard, mais ces semaines d'abstinences sexuelle faisait de lui un animal. Il assouvissait enfin ses besoins les plus primaires.

O'Connors ne résistait plus. Il avait lâché prise. Il accompagnait les coups de queues de son directeur. Il se faisait ramoner d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Il soupirait lorsque la queue de son boss ressortait et râlait de plaisir quand il le pistonnait à nouveau. Bordel, il aimait la queue. C'était une véritable révélation. D'ailleurs, c'est lui qui le lui criait. ''Ouai... Baise-moi. Bourre-moi le cul !!!''
Il se mettait à bouger les fesses autour de son gros gourdin, tout en aboyant ses envies. Il en voulait plus. Il voulait se faire remplir...

Morgan sentit le désir monter lentement en lui. Mais il ne souhaitait pas aller trop vite. Il voulait savourer ce corps parfait, ce ventre plat, ses cuisses puissantes. Il lui agrippa les cheveux et s'enfonça au plus profond dans ses intestins. Il voulait à jamais marquer son empreinte dans ses chairs et dans sa tête. C'était une première dont il se souviendrait toute sa vie.

Son éjaculation ne put être retenue davantage. Dans un dernier effort, il sortit de ce cul mutilé et explosa sur tout son corps. Son premier jet puissant zébra son dos pour atteindre sa chemise relevée. Le reste de sa jouissance macula ses fesses, ses cuisses, et son pantalon. Pour sûr, il aurait du mal à expliquer à sa petite femme la présence de toutes ces taches.

En sentant son supérieur décharger, O'Connors céda à son tour. Il se cabra et commença à jouir sans même se toucher. Plusieurs salves nourries vinrent souiller les papiers épars sur le bureau. La dernière goutte s'écrasa à l'emplacement précis de la signature de son contrat.

James Morgan finit par se redresser, essoufflé. Il admira son œuvre. O'Connors couvert de sperme et un cul meurtri qui refusait de se refermer.

L'irlandais tremblait de tout son corps, les mains agrippées encore fermement sur le rebord du bureau. Il lui fallut quelques minutes pour récupérer, tant l'orgasme avait été violent.

Il venait de boucler sa ceinture lorsque son patron lui dit.

- Je veux vous voir demain à 9 heures précises dans mon bureau. Je vous engage comme secrétaire.

Il le regarda un peu surpris.

- Et miss Sanders?

- Elle est virée.


FIN

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci pour ces 2 retours positifs.

Et non, il n'y aura pas de suite à ce one shot.

Je compte publier bientôt une nouvelle histoire que je considère bien meilleure. :-)

À bientôt pour d'autres lectures.

Histoire Erotique
Excellent récit. En espérant une suite.

Histoire Erotique
Super récit. J'espère que tu en as d'autre du même style pour nous



Texte coquin : Le sous-directeur de la Bower Compagny
Histoire sexe : Une rose rouge
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