Le standardiste - Jour 1

- Par l'auteur HDS envie2gay -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le standardiste - Jour 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le standardiste - Jour 1
J’ai toujours été assez fit, même si les années m’ont progressivement fait cadeau d’un léger surpoids : 1m76 pour 86 kg, deux à trois entraînements par semaine avec cardio et un peu de muscu. Juste pour limiter les dégâts. Ce n’est pas parce qu’on est une lope qu’on ne doit pas garder la forme. Bref, je me surveillais et j’aimais, j’aime toujours, l’esthétique des corps. Le mien, je le rase régulièrement, couilles, cul, jambes, aisselles et pubis en ticket de métro. À l’époque, il y a deux ans, je ne savais pas vraiment pourquoi je faisais ça car cela faisait une dizaine d’années que je n’avais plus de vie d’homme : un drame personnel avait tué ma libido et je n’avais pas recherché de tendre et virile compagnie. Plus envie non plus de me masturber ni de jouer avec des sex-toys. En clair, je n’avais pas goûté à une queue depuis belle lurette et m’étais encore moins fait baiser. Pucelle à 62 ans, en quelque sorte. Enfin, jusqu’à ce jour de 2023.

J’étais au chômage depuis un an. Ma boîte, une grosse compagnie d’assurance, m’avait poussé vers la sortie à quatre ans de la retraite. Vous le croyez, ça ? Signe des temps, vous me direz. L’époque est au jeunisme, même si les patrons s’en défendent.

J’avais tout essayé, toutes les petites annonces qui me passaient dans les mains, même en France voisine, avec des salaires qui frisaient les pâquerettes. Quand ce n’étaient pas des refus purs et simples, c’étaient des silences assourdissants à mes lettres de motivation. Et honnêtement, quelles boîtes engagent aujourd’hui des mecs de mon âge ?

Et puis un jour, je suis tombé sur l’annonce d’une TPE genevoise qui cherchait un(e) standardiste. La mission : répondre au téléphone et prendre des rendez-vous. Moi qui étais assureur, je m’étais dit que c’était un job facile et surtout qu’il n’y avait rien d’humiliant à répondre au téléphone. Et puis, pourquoi pas un homme ? J’ai une voix agréable et sais sourire au bout du fil. Mais en réalité, j’avais besoin de bosser et de gagner de quoi payer mes factures. J’étais donc prêt à me mettre littéralement à genoux pour supplier la personne de me confier ce job. Je ne croyais pas si bien dire.

Il y avait un numéro de téléphone, j’ai appelé, conscient que le patron l’avait sûrement indiqué à dessein, histoire de tester les éventuels candidats, et qu’un contact vocal serait positif. Il m’a répondu en me disant que j’étais le seul à avoir pris l’initiative et que c’était déjà un bon point pour moi.

- Pas besoin de qualifications particulières, il faut savoir parler avec le sourire au téléphone, ce que vous savez faire apparemment. Mais il faudra quand même vous soumettre à deux petites journées de formation.
- OK.
- Vous pouvez venir demain ?
- Bien sûr !

Le lendemain, je me suis rendu à l’adresse indiquée, prêt à donner satisfaction et garder ce job dont j’avais besoin, sans savoir ce qui m’y attendait. C’était effectivement une TPE, si TP qu’il n’y avait que le patron et personne d’autre. Je me suis dit que les employés arriveraient sûrement plus tard. Je me trompais, il n’y avait vraiment que lui : 1m90, 95 kg, les cheveux qui commençaient à grisonner, un regard d’acier, bref, le genre taillé en V qui vous intimide. Mais il avait l’air sympa. Il m’a fait entrer dans ce qui ressemblait à la salle de réunions.

- Bonjour, Marc, me dit-il en m’écrasant pratiquement la main et en me jaugeant des pieds à la tête avec un sourire que je ne sus déchiffrer sur le moment. On se dit « tu » ?, dit-il en fermant la porte. Si on est appelés à bosser ensemble, ce sera plus sympa.
- Bonjour, Damien, enchanté, lui répondis-je, pas de problème.
- Bien, j’ai besoin d’une personne de confiance absolue, je vais donc te tester dès maintenant et pendant les deux prochains jours.
- D’accord.
- Alors déshabille-toi entièrement.
- Pardon ?
- Je ne te le répéterai pas.

Je me suis exécuté.

- Enfile ça.

Il sortit d’un sac une paire de stay-ups, une culotte transparente, des gants longs et transparents, ainsi qu’une paire de sandales à hauts talons. Le tout noir. Gêné d’être nu devant un homme que je ne connaissais pas, j’ai tout enfilé en étant très surpris que ces accessoires soient à ma taille, y compris les sandales. Totalement dérouté par le but du jeu, je me suis ainsi retrouvé féminisé, mal assuré sur ces talons de 10 cm et cette culotte qui ne cachait rien de mon excitation naissante. Je ne sais pas de quoi j’avais l’air, ou plutôt si, je savais parfaitement que j’avais l’air d’une lope en lingerie, mais lui eut l’air satisfait, apercevant mon sourire et surtout mon érection naissante.

- Je vois que tu apprécies ce petit jeu, je sens que nous allons nous entendre. Maintenant, tourne-toi.

Il sortit des cordes du même sac et commença à m’attacher les poignets croisés dans le dos.

- Mais qu’est-ce que vous faites ?, ai-je protesté. Qu’est-ce que ça veut dire ? C’est quoi cette formation ?
- Je t’ai dit que j’ai besoin de quelqu’un de confiance, c’est-à-dire qui obéit au doigt et à l’œil, alors tu vas commencer par fermer ta gueule, a-t-il tranquillement répondu en sortant de sa poche un bâillon-boule qu’il m’a enfoncé dans la bouche en le serrant bien.

J’ai bien essayé de protester mais ce bâillon m’emplissait vraiment la bouche. Pendant ce temps, il continuait à m’attacher sans se soucier de mes réactions : coudes, genoux et enfin chevilles. Il a complété la panoplie par un collier en cuir qui m’empêchait de baisser la tête. J’ai bien essayé de lui dire que j’obéirais de toute manière, qu’il n’avait pas besoin de m’attacher pour ça, mais parler avec un ballgag a résulté en un galimatias incompréhensible et pour tout dire un peu ridicule. Puis il est sorti de la pièce en me laissant debout, immobilisé et réduit au silence.

J’ai essayé de me libérer, mais c’était peine perdue, ses liens étaient bien trop serrés. Je me suis approché de la table de réunion en sautillant et m’y suis assis à demi car les talons forçaient un peu sur mes chevilles et, sans me faire mal, étaient un peu inconfortables.

Cela a duré exactement une heure (je le sais parce qu’il y avait une horloge murale au mur). Et pendant tout ce temps, je me suis dit que si je voulais avoir le job, je n’allais pas avoir d’autre choix que celui de me plier à cette « formation ». D’autant qu’elle intéressait la lope que j’étais secrètement depuis toujours. Mais j’allais devoir m’adapter rapidement.

Au bout d’une heure, donc, il revint et me fit allonger à plat ventre à même le sol. Il prit une autre corde avec laquelle il relia mes poignets à mes chevilles. Je me suis retrouvé pas mal cambré, incapable de bouger. Même si j’avais pratiqué cette position dans mes jeunes années et que je l’aimais, elle était très inconfortable pour l’homme de 62 ans que j’étais, en manque d’exercice et en mal de souplesse. Puis il a remplacé la boule du bâillon par une grosse éponge qu’il a maintenu par de l’adhésif en faisant plusieurs fois le tour de ma tête. Ce bâillon-là était bien plus efficace que le premier. Et franchement, ça ne m’a pas déplu. Du temps où j’avais des amants, ils me disaient que je parlais beaucoup trop. Certains me faisaient même taire en enfonçant leur queue dans ma bouche, d’autres me bâillonnaient de leur main pendant qu’ils me baisaient. J’adorais ça, à tel point que je faisais exprès de parler. Cette éponge qui m’emplissait la bouche me ramena des années en arrière, et cela me fit un bien fou. Et ça a été reparti pour une heure. Que j’ai cru. Mais le mec voulait vraiment tester ma résistance (et ma soumission) car il m’a laissé dans cette position une heure de plus.

Puis il est revenu.

- Je te détache mais je ne t’enlève pas le bâillon car je veux une standardiste qui ferme sa gueule et ne parle qu’au téléphone.

J’ai remarqué qu’il utilisait le féminin. Cela m’a pratiquement fait l’effet d’un électrochoc. Jusqu’à ce qu’il dise « une » standardiste, je me prenais pour un mec. Peut-on oublier ce qu’on est réellement ? J’ai réalisé à cet instant précis que je me berçais d’illusion et que je me retrouvais sur la pente descendante de mon moi profond.

En attendant, j’avais mal au dos et me suis relevé avec peine. Une fois que j’ai été debout, un peu désorienté, il a sorti de son sac (c’était décidément une pochette-surprise) une cage de chasteté transparente. J’ai fait mmmpf, cela faisait une éternité que j’avais été en cage. Les hommes qui m’ont possédé dans ma vie acceptaient en général mon goût pour la chasteté. Certains m’ont même éduqué à être emprisonné pendant des périodes assez longues.

En attendant, sans prêter attention à ma réaction, il s’est agenouillé (ça a été la seule fois) pour « m’équiper ». D’abord le cockring, autour des couilles et de la queue, puis la partie qui ressemble à une queue, pour enfiler la mienne dedans. Encore une fois pile à ma taille, comme s’il me connaissait déjà. Puis il l’a verrouillé avec une petite clé qu’il a mise dans sa poche.

- Tu as tous les atouts d’une bonne standardiste, m’a-t-il dit un petit sourire aux lèvres.

Avec cette grosse éponge dans ma bouche, je ne pouvais que gémir. Effectivement, la cage m’empêchait de bander, même si j’en avais envie, et même besoin, tant cette « formation » commençait à m’exciter.

D’autant que, je l’avoue, ses pecs et ses abdos, que je devinais sous son polo, et la bosse qui se cachait derrière sa braguette, me faisaient fantasmer. Cet homme était une vraie gravure de mode et était en train de réveiller la lope qui dormait profondément en moi. Il concrétisait sans le savoir un fantasme que j’avais oublié : appartenir à un Homme, être Sa propriété, Le servir, Lui être soumis. Et, pour être honnête, je sais que je suis fait pour être contrôlé. Dès l’adolescence, l’idée m’excitait, même si je n’étais jamais passé à l’acte et n’avais jamais rencontré de vrai dominant, tout au plus m’étais-je fait attacher, mais plus par jeu occasionnel que par règle de vie.

La cage bien en place, il m’a attaché les poignets devant et m’a levé les bras pour les fixer à un anneau qui se trouvait au mur. L’anneau étant haut, j’avais les bras tendus mais avec les talons, ça allait. Il m’a attaché les coudes derrière la tête, afin que mes bras soient totalement tendus, puis les genoux et enfin les chevilles jointes. Puis il a retiré mes sandales, me forçant à me tenir sur l’extrême pointe des pieds. Cette position inconfortable m’excitait terriblement, mais j’étais interdit d’érection, petit soumis à la merci de cet homme.

Je suis resté comme ça pendant deux nouvelles heures et la position m’a totalement épuisé. Quand il m’a détaché, je me suis écroulé par terre, à quatre pattes à ses pieds.

Il en a profité pour attacher une laisse à mon collier et, sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il a tiré dessus, m’obligeant à avancer à quatre pattes pour me guider jusqu’à une table basse en bois sur laquelle était vissé un anneau et, juste devant, un gode à ventouse. Il m’a retiré mon bâillon et m’a dit :

- Ouvre la bouche et suce le gode.

Je l’ai pris en bouche et arrivais à en avaler à peine la moitié.

- Parfait, a-t-il observé en maintenant ma tête dans cette exacte position et en reliant par un mousqueton l’anneau de mon collier et celui de la table.

Coincé comme je l’étais, il m’était impossible de recracher le gode.

- Applique-toi !, m’a-t-il ordonné.

Je n’ai eu d’autre choix que de le garder en bouche et de le sucer comme je pouvais, salivant abondamment et m’étouffant à moitié lorsque je m’enfonçais un peu trop.

C’était mon premier contact depuis des années avec un sexe masculin (même en plastique). Tout un tas de souvenirs sont remontés à la surface, toutes ces queues que j’ai sucées dans ma vie, à l’arrière de voitures dans des parkings déserts, dans des caves, des cages d’escaliers et d’ascenseurs, sous la douche, dans la nature, même sous l’eau à la piscine. Il ne m’a pas fallu longtemps ce matin-là pour que le suceur que j’avais toujours été en retrouve l’envie et le plaisir.

Au bout d’une heure de cet entraînement, j’avais les lèvres gourdes et la mâchoire endolorie. Il me libéra, m’aida à me relever et m’ordonna de retirer ma culotte.

Puis il me fit allonger à plat ventre sur la table de conférences en m’ordonnant d’écarter les jambes. Je me retrouvai écartelé, poignets et chevilles attachés aux quatre coins de la table. Puis il passa une cordelette autour de mes testicules et les étira pour les attacher à l’un des pieds de la table. J’essayai de glisser du mieux que je pouvais vers le bas de la table pour soulager la douleur mais il me retint et sécurisa les liens pour me maintenir dans la position que lui avait choisie. Puis il retira l’éponge pour le remplacer par un bâillon-harnais. Puis je sentis quelque chose de fin et de froid me pénétrer. Et soudain ma tête fut tirée en arrière et l’objet qui me pénétrait se tendit. J’avais la tête immobilisée et lorsque je tentai de la baisser, l’objet dans mon cul me pénétrait davantage. Je compris alors que mon bâillon était relié à un crochet anal. J’étais désormais complètement immobilisé, incapable de bouger et de parler. C’était un défi pour l’homme de 62 ans que j’étais alors, pas du tout habitué aux acrobaties nécessitant d’être souple.

Cette fois, il me libéra un peu plus vite, au bout d’une demi-heure. J’étais épuisé, mais curieusement j’étais bien. Je ne me l’avouais pas à ce moment-là, mais j’étais en train de revivre.

Il me dit que ça suffisait pour aujourd’hui, que je m’étais bien débrouillé et que je pouvais rentrer chez moi car demain les choses sérieuses allaient commencer.

- Si tu continues comme ça , je t’embauche sans hésiter. Reviens demain habillé comme aujourd’hui sous tes vêtements de ville, c’est-à-dire en portant culotte, bas et cage. Le collier, les escarpins et les gants t’attendront ici, avec les cordes et les bâillons, bien sûr.

Je me suis demandé ce qui pouvait être plus sérieux que ce que j’avais déjà enduré. Mais curieusement, je me suis réjoui du lendemain.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour histoire vraie



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