Le standardiste - Jour 2

- Par l'auteur HDS envie2gay -
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Récit libertin : Le standardiste - Jour 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le standardiste - Jour 2
Le lendemain, j’y suis donc retourné, habillé sous mes vêtements comme ordonné. C’était assez excitant d’être en lingerie et en chasteté, et d’être le seul à le savoir. La lope en moi était en train de se réveiller et, après les séances de bondage de la veille, le soumis aussi. Cette fois, Marc m’a reçu dans son bureau. Outre sa table de travail, qui était fermée, si bien qu’on ne pouvait voir ses jambes, le mobilier était simple et prévu pour recevoir des clients : une table basse avec deux chaises et un canapé dans un coin. Il m’a tout de suite ordonné de me déshabiller, de chausser les escarpins et d’enfiler les gants. Je me suis exécuté.

- Une vraie petite standardiste comme je les aime, m’a-t-il dit en me matant de haut en bas. À partir d’aujourd’hui, tu répondras au prénom d’Ava et je ne m’adresserai plus à toi qu’au féminin. Je vais faire de toi ma PLP, ma petite lope perso.

Je souris car non seulement je trouvais l’idée amusante, mais elle me ramenait aussi des années en arrière, au temps où ma bouche et mon cul faisaient le bonheur des hommes, hétéro ou gay, dominants ou pas, célibataires ou mariés. À cette époque, j’avais une sexualité débridée, je me donnais aux hommes sans retenue, femelle éhontée et entreprenante, habillée de lingerie et de talons.

Mon sourire lui confirma qu’il ne s’était pas trompé en me soumettant à cette formation. En me soumettant tout court.

Soumise, moi ? Je sentais qu’avec Marc, non seulement je retrouverais de vieilles envies oubliées, mais je pourrais enfin les concrétiser. Petite parenthèse, dorénavant, je parlerai de moi au féminin, car c’est ce qui me définit le mieux. Et Marc a dû le sentir au premier regard, ce qui explique son sourire lors de notre première poignée de mains.

Donc, soumise, moi ? Évidemment ! Laissez-moi une heure entre les mains d’un Homme qui sait ce qu’il veut et vous me retrouverez à genoux, à ses pieds, pluggée, en chasteté, la bouche pleine.

L’idée excitait au plus haut point la vieille pucelle que j’étais redevenue, en l’absence totale de vie sexuelle. Je me sentais de nouveau attirée par cette force irrésistible contre laquelle je n’avais même jamais eu envie de résister et à laquelle j’avais toujours été d’accord d’obéir. J’ai toujours été soumise, soyons clairs, même si cette soumission n’avait jamais été que sexuelle. Mais là, avec Marc, elle prenait un tour que j’appelais de mes vœux depuis l’adolescence, sans jamais avoir eu l’occasion de m’y frotter. Et en une seule journée, en quelques petites heures, je me trouvais déjà soumise à un homme que je ne connaissais pas et qui avait réussi en un éclair à faire de moi exactement ce qu’il voulait.

Il m’a ordonné de me mettre à genoux sous son bureau en s’écartant légèrement pour me laisser prendre ma place… au premier sens du terme, c’est-à-dire que, à ses pieds, je serais désormais à ma place. Au passage, j’ai vu qu’il avait ouvert sa braguette pour sortir sa queue, une queue comme je les aimais avant, circoncise, longue, lourde, massive, bien faite, sûrement endurante, de ces queues qui aiment qu’on leur fasse l’amour, qu’on s’occupe d’elles longuement, langoureusement, et qui font de vous de bonnes femelles à force de vous pilonner méthodiquement, métronomiquement, à grands coups de reins.

Quand j’ai été à genoux, il a rapproché son fauteuil, me coinçant tout à fait sous son bureau, à bonne hauteur pour prendre son membre en bouche. Le pervers avait fixé sur l’assise de son fauteuil un anneau auquel il a accroché mon collier par un mousqueton. Comme la veille avec le gode, mais cette fois avec une vraie queue, j’allais avoir la bouche pleine sans possibilité de recracher.

- Je vais te former à la gorge profonde, m’a-t-il dit en s’enfonçant dans ma bouche.

L’injonction me fit peur car je ne voyais pas comment je pourrais avaler ce pieu en entier. Et la fellation commença qui dura longtemps. J’avais la moitié de son membre dans la bouche et je ne pouvais reculer. J’étais donc obligée d’avancer, ce qui me donnait systématiquement des haut-le-cœur. Et, pendant que je m’étouffais sur son sexe, espérant me débrouiller pas trop mal, il travaillait, répondait au téléphone. La situation me plaisait car j’ai toujours aimé sucer un homme qui ne me prête aucune attention. Je ne saurais dire pourquoi, sans doute une croyance personnelle selon laquelle une soumise n’existant que pour le plaisir des hommes, elle doit fermer sa gueule et ouvrir la bouche.

À un moment, Marc s’est arrêté de travailler et m’a pris par la nuque pour m’attirer un peu plus vers lui et imprimer à ma tête des mouvements bien plus profonds que ceux auxquels je m’évertuais depuis un moment. J’ai bien cru vomir plusieurs fois, tellement il me forçait, tellement les haut-le-cœur étaient violents. Mais cela ne semblait pas l’inquiéter outre mesure. De temps à autre, il me lâchait pour me laisser reprendre mon souffle. Et je dois avouer que cette expérience a été assez déplaisante. Arrêtez s’il vous plaît, essayais-je de supplier, mais, comme avec le bâillon, les mots que je tentais de formuler étaient incompréhensibles. Lui, se doutant bien de ce que je voulais dire, me fit taire en s’enfonçant profondément dans ma bouche.

- Ferme ta gueule et ouvre la bouche, me dit-il sans pitié.

Je salivais abondamment, bavant tant que je pouvais, au bord de l’asphyxie, proférant comme une lope des gémissements étouffés et gargouillés. Autant la veille, j’avais aimé sucer le gode, autant cette « vraie » fellation, ce matin-là, a démenti cette impression.

Ce matin-là, à l’issue de cette gorge profonde, Marc a éjaculé au fond de ma bouche, me causant une nouvelle nausée. Il sperma abondamment, tapissant littéralement le fond de ma gorge. En y repensant aujourd’hui, je ne le connaissais pas, il aurait pu être porteur de n’importe quelle IST, j’aurais pu me rebeller, refuser, recracher, mais non, bizarrement, je me surpris à tout avaler consciencieusement, trouvant même cela normal, heureuse de retrouver le goût intime d’un Homme. Et je me suis souvenu que tous les hommes aux pieds desquels j’avais été dans ma vie adoraient ça. Les hétéro-curieux me disaient que je suçais mieux que leur femme, mais qu’en plus j’avalais leur sperme, ce que leur femme leur refusait, les gays par contre étaient pour certains plus prudents et préféraient le plus souvent m’asperger le visage ou le corps en me traitant de bonne lope.

Ma formation ne s’est pas arrêtée là. Après avoir joui dans ma bouche, mon nouveau patron (mon embauche était quasiment assurée) n’a pas attendu que j’aie tout avalé pour m’enfoncer un foulard dans la bouche et l’a maintenu bien en place, comme la veille, avec de l’adhésif. Puis il m’a attaché les poignets dans le dos, m’a relevée et a tiré sur la laisse pour me diriger vers une chaise où était ventousé le gode sur lequel je m’étais entraînée à sucer la veille. Il m’a fait pencher en avant et m’a abondamment enduit l’anus de lubrifiant, enfonçant au passage un, puis deux, puis trois doigts en moi, pour m’assouplir. Puis il a lubrifié le gode, lui aussi abondamment.

- Assieds-toi, m’a-t-il ordonné après avoir estimé que j’étais prête.

J’ai fait non de la tête, un non qui voulait dire « mon cul ne va pas apprécier, ça fait tellement longtemps ! ». Oui, j’arrive à dire cela en faisant non de la tête. Curieusement, Marc ne sembla pas comprendre, ou plutôt s’en fichait comme de sa première sodomie.

- Ferme ta gueule et obéis, a-t-il répété comme hier, tu n’as qu’à y aller lentement.

Je me suis donc exécutée, m’asseyant tout doucement sur ce pieu qui me faisait l’effet d’un tronc qui allait me déchirer. Mes muscles des cuisses brûlaient car je me retenais pour ne pas m’asseoir trop vite. Dieu merci, au bout d’un moment, mon anus s’est assoupli et j’ai pu me sodomiser un peu plus facilement. Mais je n’étais toujours pas assise. Je regardais Marc qui ne perdait pas une miette de l’opération, le regard rivé au mien, la main tenant la laisse pour me retenir de tomber d’un coup sec.

Au bout d’un long moment, je me suis retrouvée littéralement empalée, complètement assise. C’est alors que Marc m’attacha le haut des cuisses à l’assise de la chaise afin de m’empêcher de me relever et, mes bras étant passés au-dessus du dossier, attacha mes chevilles, puis mes poignets à mes chevilles en faisant passer la corde sous la chaise. Ainsi fermement maintenue et totalement remplie par le gode, j’étais incapable de bouger. Et soudain, j’ai senti des vibrations dans mon cul. Car oui, le gode était vibrant, ce que j’ignorais. Je n’ai pas ressenti grand-chose ce matin-là, n’ayant plus du tout l’habitude de la sodomie. En revanche, je sentais que ma queue voulait grossir mais qu’elle en était empêchée par la cage. Mais la frustration de ne pouvoir bander, j’ai fini par l’oublier pour me concentrer sur mon cul. La sodomie, que je redécouvrais, commençait à m’exciter, sans me donner de plaisir.

En y repensant, après toutes ces années, cette « formation » a été plutôt une éducation accélérée. Je l’ai compris à l’issue du premier jour : Marc cherchait une lope, ou une soumise, voire une lope soumise, avant une standardiste. Si j’y suis retournée, c’est parce que cela me plaisait. Bien m’en a pris.

Je suis restée enculée sur ce gode toute la matinée mais les sensations, à part celle d’être écartelée, ne venaient toujours pas. Quand Marc m’a estimée prête, il m’a libérée, mais toujours sans ôter le bâillon. J’avais l’anus béant et je crois que j’aurais pu m’enfiler n’importe quoi. Mais ce n’est pas n’importe quoi qu’il m’a enfilé par la suite.

Il m’a ordonné de retirer mes talons, de mettre les mains derrière la tête et de traverser la pièce sur la pointe des pieds. Toujours bâillonnée, je me suis de nouveau exécutée, d’un pas mal assuré au début, puis de plus en plus stable. Il appréciait le galbe de mes cuisses et de mes mollets gainés de bas, mon ventre un peu rebondi et ma queue en cage. Mes gants noirs recouvrant mes avant-bras semblaient l’exciter également. Il faut dire que je me sentais de mieux en mieux ainsi accoutrée.

Quatre ou cinq allers-retours comme ça et j’avais l’impression de marcher comme une top model sur un catwalk. Je m’amusais même à me déhancher comme elles savent si bien le faire. Puis il m’a ordonné de remettre les sandales et de continuer à marcher. Ce que j’ai fait, et ces talons de 10 cm, que j’avais eu toutes les peines du monde à garder la veille, devenaient subitement un peu plus confortables. Si bien que j’ai pris l’initiative de faire durer le plaisir. Je constatais que mon patron se masturbait pendant mon petit numéro. Je ne devais pas être si ridicule que ça, m’étais-je fait la remarque. J’étais vraiment sur la bonne voie pour me faire engager.

Au bout d’un moment de ce petit jeu, il m’a ordonné d’aller me mettre à genoux et de sucer le gode qui m’avait enculée auparavant. Je ne me suis pas fait prier. Il m’a autorisée à le nettoyer avant de le prendre en bouche. Mais le gode avait l’odeur de mon cul, pas de merde, plutôt de sueur, une odeur que je sentirais et aurais en bouche souvent par la suite. J’en prenais cette fois plus que la veille, ce qui ne m’empêchait pas d’avoir des haut-le-cœur. Il allait me falloir un peu de courage pour combattre ces nausées, mais j’avais très envie de plaire à mon patron, aussi je décidai de me donner. Cette troisième fellation dura une nouvelle heure.

- Te voilà arrivée à la fin de ta formation, Ava, l’entendis-je me dire derrière moi. Il te reste un dernier test à passer.

J’arrêtai de sucer et me tournai pour le regarder : il était nu, sa queue massive dressée. Je compris ce qu’était ce dernier test et, avant même qu’il ne m’en donne l’ordre, je pris l’initiative de me relever et d’aller m’asseoir sur le canapé. Il sourit d’un sourire presque heureux et s’assit à son tour.

- Assieds-toi sur moi, me dit-il.

Une fois à califourchon sur lui, ma petite queue en cage frottant contre son membre en érection qui coulait de son lubrifiant naturel. Il tira sur mon collier et me roula une de ces pelles qui coupent le souffle, tant sa langue m’envahissait la bouche. Pendant ce temps, je cherchai à placer son gland sur mon anus et, y arrivant sans problème, effectuai quelques mouvements afin de me lubrifier la rondelle avec son liquide séminal. Sans me lâcher, il prit sa queue en main pour me permettre la pénétration. Lorsque je fus empalée sur lui, il commença ses va-et-vient, d’abord lentement, puis de plus en plus vite.

C’est ainsi que, dès le deuxième jour de ma formation, je me fis enculer par mon nouveau patron. Il me tenait par la nuque, parfois même en me bâillonnant avec sa main, je devais faire un peu trop de bruit. Moi je ne m’en rendais pas compte, j’étais concentrée sur ma première vraie sodomie depuis des lustres.

Puis il changea de position pour me prendre en levrette. Il me tenait fermement par les hanches et allait et venait tantôt lentement, tantôt vite, tantôt restait à « l’entrée », me titillant de son gland, tantôt s’enfonçait en moi jusqu’à la garde sans crier gare, il sortit même de moi à plusieurs reprises pour replonger en moi aussitôt, créant une drôle d’aspiration qui me faisait gueuler, mais pas de douleur. C’était une sensation bizarre, pas désagréable mais pas forcément totalement agréable non plus. D’être pénétrée avec une telle vigueur me faisait crier, de surprise et de joie. D’être pénétrée tout court, qui plus est par un membre de ce calibre, faisait renaître des sensations oubliées au fin fond de mon inconscient. D’être pénétrée ainsi, par un quasi-inconnu, me mettait dans une position de soumise. Et j’adorais ça. Ce jour-là, je me suis abandonnée sans complexe à cet Homme, au point de lui dire des choses que l’on dit dans le feu de l’action et que je ne pensais pas redire un jour à un homme. Je l’encourageais à me prendre sans ménagement, je me surpris à lui dire que j’acceptais de me mettre à genoux devant Lui en signe de soumission. De plus, je savais que gémir, voire crier, excitait les hommes, Cela leur donne une impression de puissance et cela les place en position de dominants. Plus on gueule, plus ils aiment ça, plus ils ont envie de nous pilonner et plus nous, les lopes, on aime ça. C’est un cercle sexuellement vertueux.

Je ne sais pas combien de temps que dura ce coït, mais Marc sut me rendre ma féminité. Ils n’en finissait pas de me sodomiser, à croire que je lui faisais aimer ça et, plus encore, m’aimer moi, toutes proportions gardées bien sûr. On n’en était pas (encore) aux sentiments, mais la séquence sexuelle qu’il me fit vivre ce jour-là me fit entrevoir une vie de découvertes et de plaisir. Après m’avoir prise en missionnaire, puis sur son bureau, puis de nouveau sur son canapé, assise dos à lui, il éjacula en moi en me bâillonnant avec ses deux mains. Par réflexe, je croisai mes mains dans le dos, achevant ainsi de me soumettre à Lui, signifiant « je suis Ta prisonnière, fais-moi ce que Tu veux ». La sensation de sa semence giclant avec force en moi fut indescriptible. Je sus à ce moment précis que j’étais à Lui, qu’Il serait désormais bien plus que mon patron, il serait mon Maître.

À l’issue de ce second jour de formation, Marc m’a fait signer deux contrats : un premier comme standardiste et un second comme soumise. Encore une fois, j’aurais pu protester, refuser, mais j’ai senti à ce moment-là, quand il m’a tendu ce second papier, que je laisserais passer une belle occasion si je ne le signais pas. Aussi, après l’avoir lu, l’anus béant et dégoulinant encore de Son sperme, je l’ai signé de mon nouveau nom : lope Ava.

Deux ans plus tard, moi, Damien, suis devenue, à 64 ans, Ava H24, propriété de Marc. Ava Lui a abandonné le contrôle total de sa vie. Ainsi, Il la maintient sous collier et en chasteté permanente, elle est à Son service, silencieuse et obéissante, au travail comme en privé. Ava a appris à se « concentrer sur l’essentiel », c’est-à-dire sur le plaisir de son Maître et a réappris à jouir par le cul. À la maison, elle porte son collier, de la lingerie et des hauts talons. La plupart du temps elle n’a pas le droit de parler car elle est strictement bâillonnée, et porte aux poignets et aux chevilles des bracelets en cuir à anneaux qui permettent à son Maître de l’attacher rapidement, en général le soir. Totalement soumise à son Maître, Ava a réappris avec le temps à lâcher prise et à redevenir, notamment, la lope anale qu’elle était. Pour son plus grand plaisir et surtout pour le Sien.

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