Le tatoueur m'a offert son apprenti!
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le tatoueur m'a offert son apprenti!
Le tatoueur m’a offert son apprenti !
Je m’étais finalement décidé. Ce matin, après mon petit déjeuner, j’allais me faire tatouer. J’y avais mis du temps. C’est vrai. Ne sachant pas trop si cela m’irait bien. Si j’avais l’assurance de le porter et subir les regards des autres. Mais, voilà, j’avais pris rendez-vous et discuté du tatou que je désirais voir dessiné sur mon torse. Le travail de l’artiste débuterait ce matin. J’étais fébrile, car il n’était pas possible de retourner en arrière. Ce n’est pas que je craignais un travail bâclé. Au contraire. Non, je me demandais ce que mon entourage en penserait. Moi, le premier j’avais tendance à regarder les mecs tatoué avec une idée préconçue, car ils projetaient un air de mauvais garçon, de rebelle, de belle assurance érotique. Puis, à tout admettre, je trouve sexy et viril les mecs tatoués qui s’assument. Je voulais faire partie de cette faune.
Après des mois à chercher un tatoueur expérimenté, j’avais porté mon choix sur un artisan qui comptait plusieurs tatous fort bien réussit. J’avais passé en revu son site web et les critiques l’encensaient. C’était un des meilleurs de Montréal. Son atelier était situé dans le quartier gay et comptait une clientèle bien établie parmi les hommes du voisinages. Lors de la première consultation, on avait discuté des raisons de me faire tatouer, ce que je voulais projeter et bien sûr du tatou que je désirais. Je ne le voulais pas qu’il soit entièrement visible en public. Je le voulais à la fois discret, mais révélateur en même temps. Je bossais dans un bureau de techno web, alors je pouvais me permettre qu’il soit visible. Alors, j’avais porté mon choix sur un dragon qui prendrait naissance sur mon abdomen et longerait mon thorax, mon pec gauche pour finir à l’arrière de mon cou. À la nuque. Il serait de couleur verte, rouge avec un peu de doré et de blanc. Ricky, le tatoueur, jurait qu’il serait superbe sur ma peau blanche.
J’avais bien pris soin de m’appliquer une crème hydratante avant de partir. J’avais bien dormi et me sentais bien hydrater. Fin prêt pour la première séance de tatouage. J’attrapa mon blouson de cuir et prit la direction du métro.
A la sortie de la station Beaudry, je repérai le studio et ouvrit la porte. Je donnai mon nom à la réception et m’assis en attendant l’arrivée de Ricky. La salle d’attente légèrement tamisée avait une allure de lounge. Je pris une revue sur la table devant moi et la feuilleta en attendant l’heure de mon rendez-vous Un mec plutôt bien baraqué portant un teeshirt blanc moulant laissant voir ses superbes muscles tatoués sur les bras, un jeans en cuir tout aussi moulant et des bottes style militaire entra dans la boutique. Il me jeta un regard, puis discuta avec le réceptionniste avant d’aller s’assoir devant moi. Je feignais de lire ma revue. Il était très sexy avec sa coupe dégradée et son chinon de samouraï. Son pantalon lui collait à la peau et son zob y était si bien imprégné qu’on pouvait deviner qu’il avait un début d’érection. Il ne devait pas venir se faire tatouer me dis-je. Comment enfilerait-il sa seconde peau après s’être fait tatouer. Il souffrirait juste à sentir son cuir masser son corps.
—Salut Éric !
—Salut Ricky !
—C’est aujourd’hui le grand jour !
—Eh oui !
—Viens, on va aller s’installer.
Je suivis Ricky jusque dans son atelier en jasant de tout et de rien. Regrettant de ne plus pouvoir caresser des yeux ce mec qui venait d’entrer.
—Éric ! on va commencer par dessiner ton dragon, puis si tu supportes bien le tout, je vais le tracer à l’encre noir. Pour la coloration, je crois qu’on devra attendre la prochaine séance. Ça te va ?
—Parfait, lui dis-je impatient de commencer.
—J’ai une petite faveur à te demander.
—Vas-y ! J’écoute Ricky.
—J’ai un apprenti très prometteur qui commence ce matin. Je me demandais s‘il pouvait m’assister ? Tu peux refuser si tu veux ? Il ne fera aucun traçage sur ton corps. Je vais lui expliquer comment faire. C’est tout.
—Bien sûr Ricky. Il faut bien commencer à quelque part. J’y vois aucun inconvénient.
Ricky, ravi, sortit chercher l’apprenti. Au bout de quelques secondes, il revint suivi du mec de la salle d’attente. Je reçu un choc d’excitation en le voyant. Le beau mec au jeans de cuir était l’apprenti. Il me regarderait souffrir sous l’aiguille experte de son maître. Je sentais mon fion frémir et mes couilles se raffermir à l’idée qu’il observerait, comme si j’étais sous son emprise.
Il se nommait Félix. On avait discuté de mon tatou. Il trouvait que c’était un excellent choix. Surtout l’idée que la tête du dragon soit visible de l’arrière et le côté de mon cou laissant deviner le reste cacher par les vêtements. Lui-même, il était attiré par les mecs qui dévoilent que partiellement leurs tatous. C’était une invitation à aller découvrir la partie cachée.
Félix et Ricky mirent des gants noir en latex et comme entendu, Ricky traça le dragon. J’étais étendu sur une chaise de dentiste. Ricky commença par tracer la queue autour du nombril, puis remonta mes abdos. Au niveau des pectoraux, le dragon semblait s’enrouler sur lui-même comme s’il se tortillait. Son cou et sa tête tracés dans mon cou et la nuque.
Ricky invita Félix a palpé mon cou et ma nuque pour lui montrer l’importance d’un tracé fin épousant les courbes de mon corps. Leurs touchés m’excitaient. Je me levai et me regarda dans le miroir. Le tracé du tatou était magistralement bien dessiné. Je pouvais m’imaginer le rendu.
—Qu’en penses-tu ? demanda Ricky.
—J’adore ! lui répondit-je. Il y a comme un mouvement que le dragon prend avec les courbes de mes abdos et mon pec.
Pendant que je discutais avec Ricky qui sculptait de son index le pourtour du dragon sur mon pec, Félix, derrière moi, passait son doigt sur le contour du cou et la tête du dragon. J’accusa un frisson tant que les touchés étaient doux. Ricky m’annonça que la séance était terminée et que jeudi matin, il tracerait à l’encre tous les détails du dragon. Il m’avisa que la prochaine rencontre risquerait d’être douloureuse. On se quitta sur cette dernière remarque.
**
Je m’y étais préparé. Ricky tracerait le tatou à l’aide de son dermographe. Ça serait douloureux, pendant et après. Il décida cette fois de commencer par ma nuque et mon cou. J’étais assis sur une fauteuil de massage. Ricky assis sur un tabouret derrière moi traçait la tête du dragon sous l’œil attentionné de Félix. Je pouvais, par un jeu de miroir, voir les deux artistes travailler. Félix debout à côté de Ricky avait enlevé son chandail dévoilant son corps magnifiquement musclé et tatoué. Seul une casquette, des shorts en jeans saillants et des bottes militaires composaient sa tenue. Je kiffais de le voir si peu vêtu. Sa queue semblait bien dodue dans ce short si ajusté. Il épongeait les surplus d’encre laissé par l’outil de Ricky.
Je demandai de prendre une pause le temps de contenir la douleur après que Ricky eut tracé le dragon jusqu’à mon pec. Ricky acquiesça et en profita pour aller prendre un café. Par contre, Félix s’assied sur le tabouret et proposa de me masser pour me détendre. Il avait passé par ces séances de tatouage et avait apprécié les massages de l’apprenti. Une proposition que j’accepta avec empressement. Il enduit ses mains d’huile et les déposa sur mes épaules. Et doucement descendit le long de ma colonne. Puis remonta sur les côtés. Il appuya une légèrement pression, puis glissa ses mains vers l’avant et frôla mes mamelons. Je réprimai une léger gémissement. Ce son lui donna l’approbation qu’il cherchait à recevoir. Il ramena ses mains de nouveau sur mes pecs, et de ses pouces, il effleura mes mamelons à nouveau. Quel délice, ce mélange de frissons et de douleur. J’étais conquis. Je cambrai mon dos, ma tête allant s’appuyer sur son épaule. Il en profita pour me déposer un bisou dans le cou et m’enlaça doucement. Ses muscles enserraient mon corps endolori offrant sensualité et réconfort. Je sentis son énorme et dodue zob contre mes fesses. De mes mains, je me mis à caresser ses cuisses. Il me baisa le cou à nouveau avant de me libérer de l’étreinte. Je haletais de bonheur et Félix aussi. Les pas de Ricky se fit entendre. Il revenait.
Dès son retour, il nota que l’atmosphère ne cadrait pas avec une séance de tatouage. Il avait de l’électricité dans l’aire. Il jeta un coup d’œil inquisiteur à Félix qui lui répondit par un sourire. Il comprit tout de suite que j’étais ouvert à autre chose que la torture du dermographe.
—Pour la suite Jay, tu pourrais te placer sur le tabouret, car de vais tracer sur ton torse. Si tu le désires, Félix pourrait se placer derrière pour te masser si la douleur devient trop intense. Qu’en dis-tu ?
Comment ne pas dire oui à cette proposition ? Alors, pendant que Ricky se prépara et remis l’outil en marche, Félix s’assied sur un tabouret et roula derrière moi pour déposer ses mains sur mes cuisses. Prêt à masser le cas échéant. Ricky nous sourit. Je compris dès lors le manège.
Ricky déposa le dermographe et s’approcha doucement de moi. Il déposa une main sur ma cuisse et se pencha pour m’embrasser. Mon cœur s’emballa, n’en croyant pas mes yeux. Derrière Félix déposa ses lèvres sur une épaule et traça de sa langue mon cou jusqu’à l’oreille avant de l’envahir et la mordiller. Ses mains avaient passé devant et me pinçaient les mamelons. Ricky força sa langue profondément dans ma bouche et prit en chasse la mienne qu’il finit par sucer. Je frôlais l’extase. Ma queue solidement gonflée laissait couler ce précieux liquide séminale à en tacher mon froc.
Ricky se leva laissant ma bouche dévorée et ouverte. Il déboutonna son jeans. Une énorme queue ronde en sortie. Il me la balança devant et me l’offrit pour déguster. Je la pris avec bonheur et lécha le méat. Il gémit. Puis, déposa mes lèvres mouillées sur son beau gland tout rouge pour le sucer doucement. Il gémit de nouveau. Il prit ma tête et la ramena vers la base se son pubis doucement. Quelle était longue et dodue cette merveille. Je le pompa lentement et accéléra le rythme cherchant à le faire gémir encore et encore. Il se retira. Je me leva pour l’embrasser. J’en profita pour me débarrasser de mon jeans avec l’aide de Félix qui bavait d’envie de me farcir. J’attrapa la bouche de Ricky tenant sa mâchoire entre mes mains. Félix en profita pour m’administrer un anulingus fort passionnément. Après avoir assouvit mon désir de baiser la bouche pulpeuse de Rick, Félix m’agrippa par les hanches et m’assit sur lui m’empalant de son gros zob. Ma bouche s’ouvrit soudainement pour laisser sortir un gémissement de plaisir extrême. Je descendis sur lui jusqu’à sentir ses couilles. Ricky s’approcha tout sourire et me glissa son sexe dans ma bouche que j’entrepris de sucer avec passion tenant ses couilles dans une main et une de ses fesses dans l’autre. Je haletais de plaisir. Mon corps commençait à convulser sous le plaisir charnel des vas-et-vients administrés avec passion par Félix. Ses mains me tenaient fermement les hanches. Il me lima sans ménagement. J’entendais leurs souffles et leurs voix plaider le plaisir, la jouissance jusqu’à je sente quasi simultanément la sève de Ricky monter dans sa verge et celle de Félix faire vibrer mon fion. Ils allaient jouir en moi. C’était imminent. Je les entendais couiner, râler. J’étais excité à l’idée que deux mecs me rempliraient de leur précieux jus. Je fus comblé. Le tatou pouvait attendre.
Je m’étais finalement décidé. Ce matin, après mon petit déjeuner, j’allais me faire tatouer. J’y avais mis du temps. C’est vrai. Ne sachant pas trop si cela m’irait bien. Si j’avais l’assurance de le porter et subir les regards des autres. Mais, voilà, j’avais pris rendez-vous et discuté du tatou que je désirais voir dessiné sur mon torse. Le travail de l’artiste débuterait ce matin. J’étais fébrile, car il n’était pas possible de retourner en arrière. Ce n’est pas que je craignais un travail bâclé. Au contraire. Non, je me demandais ce que mon entourage en penserait. Moi, le premier j’avais tendance à regarder les mecs tatoué avec une idée préconçue, car ils projetaient un air de mauvais garçon, de rebelle, de belle assurance érotique. Puis, à tout admettre, je trouve sexy et viril les mecs tatoués qui s’assument. Je voulais faire partie de cette faune.
Après des mois à chercher un tatoueur expérimenté, j’avais porté mon choix sur un artisan qui comptait plusieurs tatous fort bien réussit. J’avais passé en revu son site web et les critiques l’encensaient. C’était un des meilleurs de Montréal. Son atelier était situé dans le quartier gay et comptait une clientèle bien établie parmi les hommes du voisinages. Lors de la première consultation, on avait discuté des raisons de me faire tatouer, ce que je voulais projeter et bien sûr du tatou que je désirais. Je ne le voulais pas qu’il soit entièrement visible en public. Je le voulais à la fois discret, mais révélateur en même temps. Je bossais dans un bureau de techno web, alors je pouvais me permettre qu’il soit visible. Alors, j’avais porté mon choix sur un dragon qui prendrait naissance sur mon abdomen et longerait mon thorax, mon pec gauche pour finir à l’arrière de mon cou. À la nuque. Il serait de couleur verte, rouge avec un peu de doré et de blanc. Ricky, le tatoueur, jurait qu’il serait superbe sur ma peau blanche.
J’avais bien pris soin de m’appliquer une crème hydratante avant de partir. J’avais bien dormi et me sentais bien hydrater. Fin prêt pour la première séance de tatouage. J’attrapa mon blouson de cuir et prit la direction du métro.
A la sortie de la station Beaudry, je repérai le studio et ouvrit la porte. Je donnai mon nom à la réception et m’assis en attendant l’arrivée de Ricky. La salle d’attente légèrement tamisée avait une allure de lounge. Je pris une revue sur la table devant moi et la feuilleta en attendant l’heure de mon rendez-vous Un mec plutôt bien baraqué portant un teeshirt blanc moulant laissant voir ses superbes muscles tatoués sur les bras, un jeans en cuir tout aussi moulant et des bottes style militaire entra dans la boutique. Il me jeta un regard, puis discuta avec le réceptionniste avant d’aller s’assoir devant moi. Je feignais de lire ma revue. Il était très sexy avec sa coupe dégradée et son chinon de samouraï. Son pantalon lui collait à la peau et son zob y était si bien imprégné qu’on pouvait deviner qu’il avait un début d’érection. Il ne devait pas venir se faire tatouer me dis-je. Comment enfilerait-il sa seconde peau après s’être fait tatouer. Il souffrirait juste à sentir son cuir masser son corps.
—Salut Éric !
—Salut Ricky !
—C’est aujourd’hui le grand jour !
—Eh oui !
—Viens, on va aller s’installer.
Je suivis Ricky jusque dans son atelier en jasant de tout et de rien. Regrettant de ne plus pouvoir caresser des yeux ce mec qui venait d’entrer.
—Éric ! on va commencer par dessiner ton dragon, puis si tu supportes bien le tout, je vais le tracer à l’encre noir. Pour la coloration, je crois qu’on devra attendre la prochaine séance. Ça te va ?
—Parfait, lui dis-je impatient de commencer.
—J’ai une petite faveur à te demander.
—Vas-y ! J’écoute Ricky.
—J’ai un apprenti très prometteur qui commence ce matin. Je me demandais s‘il pouvait m’assister ? Tu peux refuser si tu veux ? Il ne fera aucun traçage sur ton corps. Je vais lui expliquer comment faire. C’est tout.
—Bien sûr Ricky. Il faut bien commencer à quelque part. J’y vois aucun inconvénient.
Ricky, ravi, sortit chercher l’apprenti. Au bout de quelques secondes, il revint suivi du mec de la salle d’attente. Je reçu un choc d’excitation en le voyant. Le beau mec au jeans de cuir était l’apprenti. Il me regarderait souffrir sous l’aiguille experte de son maître. Je sentais mon fion frémir et mes couilles se raffermir à l’idée qu’il observerait, comme si j’étais sous son emprise.
Il se nommait Félix. On avait discuté de mon tatou. Il trouvait que c’était un excellent choix. Surtout l’idée que la tête du dragon soit visible de l’arrière et le côté de mon cou laissant deviner le reste cacher par les vêtements. Lui-même, il était attiré par les mecs qui dévoilent que partiellement leurs tatous. C’était une invitation à aller découvrir la partie cachée.
Félix et Ricky mirent des gants noir en latex et comme entendu, Ricky traça le dragon. J’étais étendu sur une chaise de dentiste. Ricky commença par tracer la queue autour du nombril, puis remonta mes abdos. Au niveau des pectoraux, le dragon semblait s’enrouler sur lui-même comme s’il se tortillait. Son cou et sa tête tracés dans mon cou et la nuque.
Ricky invita Félix a palpé mon cou et ma nuque pour lui montrer l’importance d’un tracé fin épousant les courbes de mon corps. Leurs touchés m’excitaient. Je me levai et me regarda dans le miroir. Le tracé du tatou était magistralement bien dessiné. Je pouvais m’imaginer le rendu.
—Qu’en penses-tu ? demanda Ricky.
—J’adore ! lui répondit-je. Il y a comme un mouvement que le dragon prend avec les courbes de mes abdos et mon pec.
Pendant que je discutais avec Ricky qui sculptait de son index le pourtour du dragon sur mon pec, Félix, derrière moi, passait son doigt sur le contour du cou et la tête du dragon. J’accusa un frisson tant que les touchés étaient doux. Ricky m’annonça que la séance était terminée et que jeudi matin, il tracerait à l’encre tous les détails du dragon. Il m’avisa que la prochaine rencontre risquerait d’être douloureuse. On se quitta sur cette dernière remarque.
**
Je m’y étais préparé. Ricky tracerait le tatou à l’aide de son dermographe. Ça serait douloureux, pendant et après. Il décida cette fois de commencer par ma nuque et mon cou. J’étais assis sur une fauteuil de massage. Ricky assis sur un tabouret derrière moi traçait la tête du dragon sous l’œil attentionné de Félix. Je pouvais, par un jeu de miroir, voir les deux artistes travailler. Félix debout à côté de Ricky avait enlevé son chandail dévoilant son corps magnifiquement musclé et tatoué. Seul une casquette, des shorts en jeans saillants et des bottes militaires composaient sa tenue. Je kiffais de le voir si peu vêtu. Sa queue semblait bien dodue dans ce short si ajusté. Il épongeait les surplus d’encre laissé par l’outil de Ricky.
Je demandai de prendre une pause le temps de contenir la douleur après que Ricky eut tracé le dragon jusqu’à mon pec. Ricky acquiesça et en profita pour aller prendre un café. Par contre, Félix s’assied sur le tabouret et proposa de me masser pour me détendre. Il avait passé par ces séances de tatouage et avait apprécié les massages de l’apprenti. Une proposition que j’accepta avec empressement. Il enduit ses mains d’huile et les déposa sur mes épaules. Et doucement descendit le long de ma colonne. Puis remonta sur les côtés. Il appuya une légèrement pression, puis glissa ses mains vers l’avant et frôla mes mamelons. Je réprimai une léger gémissement. Ce son lui donna l’approbation qu’il cherchait à recevoir. Il ramena ses mains de nouveau sur mes pecs, et de ses pouces, il effleura mes mamelons à nouveau. Quel délice, ce mélange de frissons et de douleur. J’étais conquis. Je cambrai mon dos, ma tête allant s’appuyer sur son épaule. Il en profita pour me déposer un bisou dans le cou et m’enlaça doucement. Ses muscles enserraient mon corps endolori offrant sensualité et réconfort. Je sentis son énorme et dodue zob contre mes fesses. De mes mains, je me mis à caresser ses cuisses. Il me baisa le cou à nouveau avant de me libérer de l’étreinte. Je haletais de bonheur et Félix aussi. Les pas de Ricky se fit entendre. Il revenait.
Dès son retour, il nota que l’atmosphère ne cadrait pas avec une séance de tatouage. Il avait de l’électricité dans l’aire. Il jeta un coup d’œil inquisiteur à Félix qui lui répondit par un sourire. Il comprit tout de suite que j’étais ouvert à autre chose que la torture du dermographe.
—Pour la suite Jay, tu pourrais te placer sur le tabouret, car de vais tracer sur ton torse. Si tu le désires, Félix pourrait se placer derrière pour te masser si la douleur devient trop intense. Qu’en dis-tu ?
Comment ne pas dire oui à cette proposition ? Alors, pendant que Ricky se prépara et remis l’outil en marche, Félix s’assied sur un tabouret et roula derrière moi pour déposer ses mains sur mes cuisses. Prêt à masser le cas échéant. Ricky nous sourit. Je compris dès lors le manège.
Ricky déposa le dermographe et s’approcha doucement de moi. Il déposa une main sur ma cuisse et se pencha pour m’embrasser. Mon cœur s’emballa, n’en croyant pas mes yeux. Derrière Félix déposa ses lèvres sur une épaule et traça de sa langue mon cou jusqu’à l’oreille avant de l’envahir et la mordiller. Ses mains avaient passé devant et me pinçaient les mamelons. Ricky força sa langue profondément dans ma bouche et prit en chasse la mienne qu’il finit par sucer. Je frôlais l’extase. Ma queue solidement gonflée laissait couler ce précieux liquide séminale à en tacher mon froc.
Ricky se leva laissant ma bouche dévorée et ouverte. Il déboutonna son jeans. Une énorme queue ronde en sortie. Il me la balança devant et me l’offrit pour déguster. Je la pris avec bonheur et lécha le méat. Il gémit. Puis, déposa mes lèvres mouillées sur son beau gland tout rouge pour le sucer doucement. Il gémit de nouveau. Il prit ma tête et la ramena vers la base se son pubis doucement. Quelle était longue et dodue cette merveille. Je le pompa lentement et accéléra le rythme cherchant à le faire gémir encore et encore. Il se retira. Je me leva pour l’embrasser. J’en profita pour me débarrasser de mon jeans avec l’aide de Félix qui bavait d’envie de me farcir. J’attrapa la bouche de Ricky tenant sa mâchoire entre mes mains. Félix en profita pour m’administrer un anulingus fort passionnément. Après avoir assouvit mon désir de baiser la bouche pulpeuse de Rick, Félix m’agrippa par les hanches et m’assit sur lui m’empalant de son gros zob. Ma bouche s’ouvrit soudainement pour laisser sortir un gémissement de plaisir extrême. Je descendis sur lui jusqu’à sentir ses couilles. Ricky s’approcha tout sourire et me glissa son sexe dans ma bouche que j’entrepris de sucer avec passion tenant ses couilles dans une main et une de ses fesses dans l’autre. Je haletais de plaisir. Mon corps commençait à convulser sous le plaisir charnel des vas-et-vients administrés avec passion par Félix. Ses mains me tenaient fermement les hanches. Il me lima sans ménagement. J’entendais leurs souffles et leurs voix plaider le plaisir, la jouissance jusqu’à je sente quasi simultanément la sève de Ricky monter dans sa verge et celle de Félix faire vibrer mon fion. Ils allaient jouir en moi. C’était imminent. Je les entendais couiner, râler. J’étais excité à l’idée que deux mecs me rempliraient de leur précieux jus. Je fus comblé. Le tatou pouvait attendre.
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