Le tréteau

Récit érotique écrit par envie2gay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le tréteau
Samedi matin, mon Maître est parti courir. Comme tous les samedis matin. Je sais qu’il en a pour deux petites heures. Et comme tous les samedis matin, il m’attache et me bâillonne strict avant d’y aller, me laissant impuissante et excitée au lit en attendant « sagement » son retour. Ce samedi, il m’a attachée en hogtie serré, c’est-à-dire qu’il a ligoté mes poignets dans le dos et mes chevilles et les a reliés avec une corde. En français, on appelle ça une crapaudine. Je préfère hogtie. J’adore ça, j’adore ce sentiment d’impuissance et d’appartenance totales. Donc ce samedi matin-là, comme souvent les samedis matin, j’ai fait un grasse matinée bondage, nue dans le lit de mon Maître (qui est aussi le mien), incapable de bouger et de parler.
Et je sais ce qui m’attend quand il revient. Et comme souvent, j’étais impatiente.
Quand il est revenu, avant même de prendre une douche, il m’a contemplée un moment comme si c’était la première fois qu’il voyait sa soumise, a défait la corde qui reliait mes poignets à mes chevilles, et m’a fait l’amour sans véritablement s’arrêter pendant près d’une heure.
Il adore me faire l’amour quand je suis attachée et bâillonnée. Ça le rend puissant et endurant. Paradoxalement, plus il est excité, plus il dure. J’adore ça aussi. Et je fais tout pour l’exciter.
Vous n’avez pas idée à quel point le bondage décuple l’excitation et les sensations. Et pas seulement les miennes : avec lui, attachée et bâillonnée, je ne suis plus une lope, je ne suis même plus une femelle, je me sens femme. Et c’est un sentiment (et une sensation) extraordinaire.
Puis il est allé prendre sa douche, me laissant dégoulinante de sperme et pantelante, comme à chaque fois qu’il jouit et me fait jouir.
L’après-midi, il avait décidé de le passer à bricoler dans le garage de notre maison.
Il m’a dit de l’attendre debout dans le salon, simplement vêtue de mes bas et de mes sandales à talons, mon collier au cou.
Il est revenu avec de la corde et un rouleau d’adhésif avec lequel il a pris soin de me bâillonner en faisant plusieurs fois le tour de ma tête. Inutile de dire qu’il m’était impossible de proférer le moindre mot, tout juste pouvais-je gémir. Puis il m’a attaché les bras croisés dans le dos et les a maintenus en faisant le tour de ma poitrine au-dessus et en dessous de mes seins. Ensuite, à l’aide d’une troisième corde, il a relié les deux premières par-devant, puis l’a attachée à mes poignets en la faisant passer des deux côtés de ma tête. Ainsi (très) serrée, la corde faisant gonfler un peu mes seins, me rendant un peu plus féminine, et surtout un peu plus immobilisée. Puis il a attaché une laisse à mon collier qu’il a prise en main pour me guider vers le garage.
Là, j’ai vu qu’il avait fixé à un tréteau le gode vibrant de bonne dimension qu’il utilise quand il a la flemme ou qu’il est trop fatigué pour me baiser.
Ce tréteau étant assez haut, vos pieds ne touchent pas le sol quand vous êtes assis à califourchon dessus.
Il m’ordonna de m’asseoir sur le gode. Un petit escabeau était placé sur le côté. Il m’aida à monter et à prendre place. Je n’ai eu aucun mal à m’empaler dessus, ayant l’anus encore dilaté de la sodomie du matin. Puis il attacha serré ma queue au madrier, mes couilles légèrement écrasées sur le bois.
Mes jambes pendant de chaque côté, mon Maître fixa à mes chevilles une barre d’écartement qui m’interdisait de serrer les jambes. Et mon Maître a actionné le gode avant de s’affairer à son établi.
Tout mon poids reposant sur cet engin, les sensations ne se sont pas fait attendre.
Vous avez déjà subi les vibrations impitoyables d’un gros gode sans RIEN pouvoir faire, sans pouvoir bouger, sans pouvoir vous exprimer, alors que la main qui l’actionné est devant vous mais ne vous prête aucune attention, quoi que vous essayiez de lui faire comprendre ?
Je ne vous le cache pas, le plaisir a commencé à se faire sentir. Il faut dire que j’avais déjà été bien « préparée » le matin. Satané gode, satanée position : incapable de résister longtemps, j’ai essayé pourtant, me concentrant pour ne pas « ressentir ».
Mais les vibrations ne connaissent aucun répit, aucune pitié. Et moi, dans ces-là, eh bien je jouis. Je ne peux pas faire autrement. Je suis une petite salope anale (bon orale aussi, mais là, je prenais du plaisir par l’anus pendant que ma petite queue attachée mouillait).
Je ne sais pas combien de temps a duré mon « supplice » et je n’ai pas compté les fois où j’ai joui, mais j’ai joui comme une lope, davantage que le matin.
À la fin j’ai crié dans mon bâillon pour le supplier de me libérer car je n’en pouvais plus de jouir. Le sadique a pris tout son temps pour me délivrer.
Quand je suis descendue de ce fichu tréteau, je ne tenais plus sur mes jambes et il a dû me jeter sur son épaule, comme ça, attachée et bâillonnée, pour me ramener à l’intérieur de la maison.
J’étais devenue une lope loque, étourdie, éreintée, abasourdie de plaisir. Alanguie pour le reste du jour. Rendue folle de désir par et pour mon Maître. Car lui seul sait faire de moi ce que je suis vraiment. Il m’a détachée et m’a déposée sur le lit à l’étage. J’étais épuisée mais électrisée par le tsunami de plaisir que j’avais ressenti depuis le matin.
Aussi je l’ai retenu par la ceinture de son short et l’ai abaissé pour le sucer.
Il ne s’y attendait pas et, pour une fois, n’avait rien exigé. Surpris, il s’est laissé faire, debout au pied du lit. Moi j’en suis descendue, du lit, pour me mettre à genoux et le prendre confortablement en bouche. Il n’a pas mis longtemps à devenir dur comme du bois. J’ai pris tout mon temps pour lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné. Il fallait que je le remercie.
La fellation a duré longtemps, et j’adore quand ça dure. Je vous l’ai dit, mon Maître est endurant quand il est excité. Et avec son endurance, il m’a transformée en une soumise folle de sexe. J’ai goûté chaque seconde de cette fellation. Quand il a éjaculé en chaudes et longues giclées, je ne l’ai pas laissé m’asperger : je me suis appliquée à avaler consciencieusement chaque goutte de sa semence.
Un week-end comme les autres en somme…
Et je sais ce qui m’attend quand il revient. Et comme souvent, j’étais impatiente.
Quand il est revenu, avant même de prendre une douche, il m’a contemplée un moment comme si c’était la première fois qu’il voyait sa soumise, a défait la corde qui reliait mes poignets à mes chevilles, et m’a fait l’amour sans véritablement s’arrêter pendant près d’une heure.
Il adore me faire l’amour quand je suis attachée et bâillonnée. Ça le rend puissant et endurant. Paradoxalement, plus il est excité, plus il dure. J’adore ça aussi. Et je fais tout pour l’exciter.
Vous n’avez pas idée à quel point le bondage décuple l’excitation et les sensations. Et pas seulement les miennes : avec lui, attachée et bâillonnée, je ne suis plus une lope, je ne suis même plus une femelle, je me sens femme. Et c’est un sentiment (et une sensation) extraordinaire.
Puis il est allé prendre sa douche, me laissant dégoulinante de sperme et pantelante, comme à chaque fois qu’il jouit et me fait jouir.
L’après-midi, il avait décidé de le passer à bricoler dans le garage de notre maison.
Il m’a dit de l’attendre debout dans le salon, simplement vêtue de mes bas et de mes sandales à talons, mon collier au cou.
Il est revenu avec de la corde et un rouleau d’adhésif avec lequel il a pris soin de me bâillonner en faisant plusieurs fois le tour de ma tête. Inutile de dire qu’il m’était impossible de proférer le moindre mot, tout juste pouvais-je gémir. Puis il m’a attaché les bras croisés dans le dos et les a maintenus en faisant le tour de ma poitrine au-dessus et en dessous de mes seins. Ensuite, à l’aide d’une troisième corde, il a relié les deux premières par-devant, puis l’a attachée à mes poignets en la faisant passer des deux côtés de ma tête. Ainsi (très) serrée, la corde faisant gonfler un peu mes seins, me rendant un peu plus féminine, et surtout un peu plus immobilisée. Puis il a attaché une laisse à mon collier qu’il a prise en main pour me guider vers le garage.
Là, j’ai vu qu’il avait fixé à un tréteau le gode vibrant de bonne dimension qu’il utilise quand il a la flemme ou qu’il est trop fatigué pour me baiser.
Ce tréteau étant assez haut, vos pieds ne touchent pas le sol quand vous êtes assis à califourchon dessus.
Il m’ordonna de m’asseoir sur le gode. Un petit escabeau était placé sur le côté. Il m’aida à monter et à prendre place. Je n’ai eu aucun mal à m’empaler dessus, ayant l’anus encore dilaté de la sodomie du matin. Puis il attacha serré ma queue au madrier, mes couilles légèrement écrasées sur le bois.
Mes jambes pendant de chaque côté, mon Maître fixa à mes chevilles une barre d’écartement qui m’interdisait de serrer les jambes. Et mon Maître a actionné le gode avant de s’affairer à son établi.
Tout mon poids reposant sur cet engin, les sensations ne se sont pas fait attendre.
Vous avez déjà subi les vibrations impitoyables d’un gros gode sans RIEN pouvoir faire, sans pouvoir bouger, sans pouvoir vous exprimer, alors que la main qui l’actionné est devant vous mais ne vous prête aucune attention, quoi que vous essayiez de lui faire comprendre ?
Je ne vous le cache pas, le plaisir a commencé à se faire sentir. Il faut dire que j’avais déjà été bien « préparée » le matin. Satané gode, satanée position : incapable de résister longtemps, j’ai essayé pourtant, me concentrant pour ne pas « ressentir ».
Mais les vibrations ne connaissent aucun répit, aucune pitié. Et moi, dans ces-là, eh bien je jouis. Je ne peux pas faire autrement. Je suis une petite salope anale (bon orale aussi, mais là, je prenais du plaisir par l’anus pendant que ma petite queue attachée mouillait).
Je ne sais pas combien de temps a duré mon « supplice » et je n’ai pas compté les fois où j’ai joui, mais j’ai joui comme une lope, davantage que le matin.
À la fin j’ai crié dans mon bâillon pour le supplier de me libérer car je n’en pouvais plus de jouir. Le sadique a pris tout son temps pour me délivrer.
Quand je suis descendue de ce fichu tréteau, je ne tenais plus sur mes jambes et il a dû me jeter sur son épaule, comme ça, attachée et bâillonnée, pour me ramener à l’intérieur de la maison.
J’étais devenue une lope loque, étourdie, éreintée, abasourdie de plaisir. Alanguie pour le reste du jour. Rendue folle de désir par et pour mon Maître. Car lui seul sait faire de moi ce que je suis vraiment. Il m’a détachée et m’a déposée sur le lit à l’étage. J’étais épuisée mais électrisée par le tsunami de plaisir que j’avais ressenti depuis le matin.
Aussi je l’ai retenu par la ceinture de son short et l’ai abaissé pour le sucer.
Il ne s’y attendait pas et, pour une fois, n’avait rien exigé. Surpris, il s’est laissé faire, debout au pied du lit. Moi j’en suis descendue, du lit, pour me mettre à genoux et le prendre confortablement en bouche. Il n’a pas mis longtemps à devenir dur comme du bois. J’ai pris tout mon temps pour lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné. Il fallait que je le remercie.
La fellation a duré longtemps, et j’adore quand ça dure. Je vous l’ai dit, mon Maître est endurant quand il est excité. Et avec son endurance, il m’a transformée en une soumise folle de sexe. J’ai goûté chaque seconde de cette fellation. Quand il a éjaculé en chaudes et longues giclées, je ne l’ai pas laissé m’asperger : je me suis appliquée à avaler consciencieusement chaque goutte de sa semence.
Un week-end comme les autres en somme…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon texte. J’apprécie l’effort de trouble sur le sexe de l’auteur. Est elle un mec ( sa queue) ou une femme car c’est le féminin qui domine dans l’écris. En tout cas J adorerai être à la place de l’auteur
Salut histoire vraie ou imaginé

