Le vieux dominateur.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le vieux dominateur.
Je reviens sur mes rencontres imposées par Jean.
Je ne suis pas là pour m'en plaindre, j'y ai pris beaucoup de plaisir.
On ne peut décemment pas tout accepter, mais l'un de ces hommes m'a particulièrement plu.
Cette fin d'après-midi là, je croise ma femme, qui me demande:
"J'ai vu Bruno ! T'étais pas avec lui ? Il est venu te voir, j'ai pas su quoi lui dire !".
"C'était pas prévu qu'on se voit, j'y peux rien !".
"Tu vas bien ?".
"Euh, oui, si on veut, je suis un peu barbouillé ! Mais ça va passer !".
On reste ensemble jusqu'à 18h30, puis je rentre chez moi, pendant qu'elle va faire des courses.
Par chance, elle n'a pas remarqué que ma gêne, était causée par une séance de sexe anal extrême.
En arrivant chez moi, je me remémore mon expérience.
Je me fais couler un bain, et me dénude en attendant qu'il y ait assez d'eau.
Pourquoi suis-je allé voir cet homme ?
Je le revois, devant moi, sur son palier.
Il me lance un regard admiratif et lubrique, de la tête aux pieds.
Puis, il m'attire à l'intérieur, tout en scrutant les environs, afin de savoir si des voisins curieux nous ont vus ensemble.
J'avance dans la maison, alors qu'il me dit:
"Je vais dans ma chambre ! je reviens ! Mets toi à l'aise ! Enlèves tes vêtements, ça ira plus vite !".
Je suis étonné de ce coté direct, mais je m'enfonce dans le salon, en quittant mon pantalon et tout le reste.
Je ressens un trouble en l'attendant nu sur son canapé.
L'homme ne me plait vraiment pas, mais Jean m'a assuré que j'allais adorer cette rencontre.
Le type est très âgé, ce qui n'est pas un souci, mais surtout, il est laid, et antipathique.
Comme lui, sa maison sent le vieux! Pas très bien tenue, également.
Il revient en slip et tee-shirt.
Son ventre est un peu bedonnant, mais ça reste convenable.
Par contre, il sent la transpiration.
Il me touche longuement le corps.
"Hummmmm ! C'est excitant tout ça ! Alors comme ça, t'es une petite salope ? Tu aimes les grosses bites !".
"Orhhhh ! Oui ! J'avoue ! ... mais vous le connaissez d'où Jean ?".
"Je le connais pas vraiment, il m'a abordé au cinéma de cul ! Il m'a regardé me faire sucer par une vieille salope, et m'a demandé, si ça m'intéresserait de baiser un petit jeune ! J'ai répondu "Pourquoi pas !".
Il ajoute:
"Il m'a raconté plein de choses sur toi, Il m'a donné envie ! Mais je regrette pas d'avoir donné mon adresse, ça fait longtemps que j'ai pas eu de jeune de ton âge ! Tu vas être bien gentil avec moi, et tout ce passera bien !".
Il attire ma petite main sur son slip kangourou bien rempli.
Je vois une bosse énorme, puis je sens un anneau pénien à la base de sa grosse verge.
Il se dégage le membre, et j'écarquille en grand mes yeux, en voyant ses proportions.
La très grosse queue est gonflée, et violacée de sang.
J'ai du mal à l'entourer de mes petits doigts, il me faut mes deux mains.
A cette époque, j'avais pas encore rencontré Fred le sadique, avec sa bite toute aussi énorme.
Donc, je me sens chanceux de cette rencontre, mais je me demande bien comment je vais l'encaisser.
Si le type va tenir le coup pour me prendre assez longtemps, et savoir si je vais souffrir plus, que je vais jouir.
Son anneau pénien me trouble, est ce que c'est efficace ? En tout cas, il bande bien dur, et très très large !
Il force ma bouche, pour m'écarteler le visage avec sa bite.
"Allez, prends moi mieux que ça ! Petite salope !".
"Pfffffffhhhh ! Pfffffffhhhh ! Glllllllllllhhhhhhhhhhhrrrrrrr ! Gllllllllllhhhhhhhhhhhhhrrrrrrr !...".
Je subis cette pénétration buccale, mais mon érection naissante me confirme que j'aime ce traitement.
Il me fait m'allonger avec la tête penchée en arrière, puis me baise la gorge avec puissance d'abord, puis varie ses rythmes et sa force d'enfoncement.
Mon visage se couvre de salive.
Je profite de son calme retrouvé pour le saisir à la base, et lui dévorer la bite de fond en comble, et sur toute sa surface.
"Hummmm ! Voilà ! C'est bien ! Régales toi ! Tu l'aimes ma bite ! Pas vrai, minot ?".
Ma langue lèche chaque millimètre de son gland énorme.
"Mmmmmmm ! Mmmmoui ! J'en ai jamais sucé d'aussi grosse, ça m'excite !".
"On va essayé de te la mettre dans le cul, t'en penses quoi ? Ca va rentrer ?".
"Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! Je sais pas, tu feras doucement ?".
"On verra ! Bon, tu m'as assez mangé la bite ! Tends moi ton cul !".
Je me redresse, puis me place en lui tournant le dos, cambré devant lui.
Tout mon corps est autant saisi d'envie, que de crainte.
"Putain, t'as un beau cul, ma salope ! Je vais bien m'amuser !".
Il se tourne et attrape un tube de gel anal.
Il m'enfonce un de ses gros doigts, tout en me lubrifiant l'anus.
"Aiiiiie ! Doucement !".
"Fermes là ! On a pas encore commencé !".
"Oui, mais je préfèrerais que vous m'enculiez directement, j'aime pas les doigts, c'est trop rêche !".
"Si, il n'y a que ça pour te faire plaisir ! On y va ! Je vais t'enculer comme une pute ! Et t'auras pas le choix !".
Il pousse avec son énorme gland, pendant que je me redresse en le retenant, et en essayant de me détendre analement.
Malgré tout, il ne force pas la pénétration, me laissant m'habituer à sa tentative d'insertion.
"Putain ! C'est trop gros, je sais pas si ça va être possible ! Arghhhhhhhhhh ! Stop ! Arhhhh... Attends ! Ne bougez plus ! Orhhhh, enlevez la !".
Il recule, son gland n'est toujours pas passé.
Il se recolle à ma corolle anale, qui commence à me faire un peu mal.
Je devine mon muscle anal qui travaille de lui-même.
Sa verge s'insère un peu plus loin, il recule, et me laisse un peu de répit, pour me détendre l'anus.
J'en profite pour faire travailler mon sphincter.
J'ai déjà une sensation d'écartèlement énorme.
Il revient en poussant plus fort, et en s'agrippant à mon épaule.
Son gland retrouve son chemin, et reprend sa conquête, là où il s'était arrêté.
Puis, il gagne en profondeur, je dois mordre mon bras pour résister à cette sensation de déchirement anal.
"Ohhhhh ! On dirait que tu vas finir par l'encaisser ma grosse bite ! Il a raison ton mec, t'es une bonne petite pute ! Encore un p'tit effort, et tu vas l'avoir en entier dans ta p'tite chatte ! Salope !".
"Mmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Muhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Il vient de franchir mes dernières barrières.
J'ai l'impression d'être écartelé par l'anus, je le supplie de ne pas bouger.
"Pas trop longtemps ! J'ai trop envie de t'éclater le cul ! Ca fait un moment que ça m'est pas arrivé !".
Il n'arrive pas à s'empêcher de bouger sur quelques centimètres, ce qui me donne énormément de plaisir, malgré le picotement douloureux que je ressens au niveau de mon œillet.
Enfin, il m'enfonce la tête dans le canapé, et entreprend de m'empaler de plus en plus amplement.
Mon petit corps se voute sous ses assauts destructeurs et incessants.
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Monsieur ! Vous allez... arhhhhh... me faire... orhhhh... jouir...".
Il m'insulte avec beaucoup de vulgarité, et assied sa domination en me disant que je suis fait pour ça.
Je suis son jouet du jour, et je dois être content de mon sort.
"Arghhhhhhhhhh ! Aïe ! Doucement, Monsieur ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".
Il m'a claqué le cul avec force, tout en me défonçant l'anus avec puissance.
"La ferme ! Je fais ce que je veux ! Sale petite pute ! Putain, c'est bon ! Je m'éclate la bite ! Tu vas r'venir ma salope ! T'y auras encore droit ! D'accord ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Ouu... Ouiiii ! D'accord ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"T'aimes comme je t'encule ! Allez avoues le !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, Monsieur ! C'est bon, elle est bonne votre queue ! Arghhhhhhhhhh...".
"J'en étais sûr ! Putain, t'as une bonne chatte ! Tu le sais ça ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ... merci... je jouis encore ! Arghhhhhhhhhh...".
Il attend ma jouissance, puis me retourne, pour s'enfoncer entre mes cuisses.
J'ai une sensation de vide anal énorme pendant ce changement.
Je me mets à penser qu'il me manque quelque chose, que je retrouve vite quand il revient dans ma chatte.
Voilà, c'est plus naturel, mon anus est plus "normal, ainsi comblé.
Je fixe mon entrejambe, et hallucine en devinant ce qu'il m'enfonce dans la chatte.
Putain, ce gros pieu est en moi, et malgré la légère brulure, je prend beaucoup de plaisir.
Il sort sa grosse bite, et remarque que je me pisse sur le ventre, aussitôt après.
Il m'insulte et me défonce de plus belle.
Il joue avec moi, en admirant mes écoulements, à chacune de ses sorties anales.
J'ai trop joui, mais j'ai pas envie qu'il s'arrête avant d'éjaculer, grâce à mon petit corps de jeune homme.
Il se pose sur son canapé, et m'invite à lui monter dessus, en lui faisant face.
J'en profite pour me toucher l'œillet avec les doigts, ça brule un peu.
Mais surtout, j'ai un trou énorme et poisseux entre les fesses !
En me tenant sur sa poitrine, je vois mes doigts embués de muqueuses, tachées de sang.
Je ne m'inquiète pas, il faut passer par là pour augmenter mes possibilités, et je ne regrette pas ce que je vis.
Sa bite retrouve son chemin sans difficulté, je suis aux anges.
Je bouge sur lui. Cette fois, c'est moi qui le baise.
Il me touche la queue, jusqu'à me faire bander, je le supplie d'arrêter !
"Arghhhhhhhhhh ! Non ! Arghhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiii !".
J'éjacule sur lui, en restant enfoncé à l'extrême, sans bouger, le temps de mon déversement de foutre.
Il reprend alors les rênes, et m'empale sans vergogne.
Je pers la tête en vivant ce double plaisir.
Il s'active comme un bourrin, jusqu'à ce que je retrouve mes esprits, après mon orgasme.
Je l'accompagne alors dans cette frénésie sexuelle.
Ca claque à chaque enfoncement, ma verge se secoue en complète anarchie.
Je fini par crier un nouvel orgasme anal, qui me fige sur sa grosse bite.
C'est à ce moment qu'il se met à grogner comme une bête en rut.
Il secoue son ventre, en s'enfonçant contre mon cul trempé.
Je me penche en arrière pour caresser son énorme bite qui se déverse en moi.
Je sens si bien le passage de sa semence, dans son canal urinaire !
"Orhhhhhhhhhhhh ! Monsieur ! C'est bon ! Oui, J'aime vous faire jouir !".
"Arghhhhhhhhhh ! Quelle pute ! Putain, tu vaux l'coup ! Ma salope ! Arghhhhhhhhhh ! Putain, j'me vide les couilles ! Arghhhhhhhhhh ! C'est trop bon...".
Il m'attire vers son visage, et me donne un baiser pervers et baveux, dont je me serais bien passé.
Beurk !
Mais malgré ce dégout, je glisse encore longuement sur sa grosse verge, elle est si bonne !
Après un long moment de partage de sensations de mutuels, on se sépare enfin.
Il me dit:
"Ben, ma salope ! Tu m'as bien vidé ! T'as bien fait de venir ! C'était bon !".
Je quitte sa verge en me bouchant l'anus avec mes doigts.
Je flatule deux fois avec force, sans pouvoir m'en empêcher.
La brulure anale regagne du terrain, c'est plus douloureux à présent.
Mes doigts sont pleins de sperme. Pas étonnant, vu la taille de sa bite, et ce qu'il m'a injecté.
Il me pousse sur le coté, et admire mon trou écartelé, dont s'écoule son jus chaud.
Il s'amuse avec son gland et son sperme, à me masturber l'orifice.
"Orhhhhh ! Monsieur ! Stop ! J'en peux plus !".
Il me demande de me tourner, et enlève son anneau pénien en faisant remonter ses doigts le long de sa bite.
Je comprends que je dois avaler le reste de foutre qui en sort.
Je m'en régale avec bonheur, sous ses insultes vulgaires.
Il agrémente ses insultes par des compliments.
"C'est bien ! T'es un bon garçon ! T'as assuré ! T'es une bonne salope ! Reviens me voir, dès que tu peux ! D'accord ?".
"D'accord Monsieur !".
Je dois me forcer, pour résister à mon dégout de cet homme, mais j'ai tellement bien joui !
Je me dis que je vais finir par m'y habituer.
Pendant que je me ressource en restant nu et étendu, il se prépare un café.
Puis, il me regarde me rhabiller sans m'adresser la parole, sauf pour demander:
"Tu peux revenir quand ?".
"Euh... je suis au chômage, en ce moment, quand vous voulez, sauf les week-end, je vis avec une fille".
"T'as une gonzesse ? Ha ! Ha / Si elle avait vu ce que tu t'es pris dans le cul, aujourd'hui ! Ha ! Ha ! Bon ! Reviens Jeudi ! Moi, j'suis à la retraite ! Donc, c'est parfait !".
"Mais c'est dans 3 jours, c'est pas un peu rapproché ?".
"Pas pour moi ! A jeudi ! Tu poses pas de question !".
"Oui, M'sieur".
"C'est bien !".
Je sors avec une douleur entre les fesses que je n'ai jamais connue auparavant.
J'ai gardé cette béance anale pendant presque une heure.
Je reviens au moment présent, dans ma baignoire.
Tous ces souvenirs m'ont excité.
Mes doigts s'activent sur ma verge, le sperme encore présent dans mon trou poisseux, se met à polluer l'eau, derrière mes fesses.
Je ressens encore la légère brulure sur ma corole anale.
Cette sensation ajoute à mon excitation, et je me déverse en râlant et en prononçant:
"Arghhhhhhhh ! Tu m'as déchiré le cul ! Salaud ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh...".
Mon jus pollue l'eau devant moi.
Je suis cerné par ces jus de plaisir, et j'en ressens un bonheur extrême.
Je m'enfonce ensuite dans mon bain pour m'y prélasser, et sombrer un moment.
Quelle journée.
Les RDV improvisés par Jean avec d'autres hommes ont commencé par me lasser.
Il y avait trop de part d'inconnu, certains allaient trop loin.
Donc, quand mes scrupules ont été trop bousculés, j'ai dis stop a mon amant (Jean).
Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours assumé ma présence, avec les participants vicieux qui profitaient de moi.
Je me suis toujours dis que cela n'était qu'un jeu ponctuel, après tout.
Donc, j'étais là, il fallait que j'aille au bout de la rencontre.
Si ça ne me plaisait pas, je ne revenais pas.
Bien sûr, le vieux vicieux et laid, m'a revu plusieurs fois.
A la longue, je m'y suis fait, il suffisait de se laver, après chaque baise avec lui.
Je lui dois un franchissement de cap, au niveau de mes capacités d'encaissement anal.
Les suivants en ont bien profité.
Et moi également, du coup !
Après mon bain, j'ai aussitôt pensé:
"Vivement jeudi !".
Je ne suis pas là pour m'en plaindre, j'y ai pris beaucoup de plaisir.
On ne peut décemment pas tout accepter, mais l'un de ces hommes m'a particulièrement plu.
Cette fin d'après-midi là, je croise ma femme, qui me demande:
"J'ai vu Bruno ! T'étais pas avec lui ? Il est venu te voir, j'ai pas su quoi lui dire !".
"C'était pas prévu qu'on se voit, j'y peux rien !".
"Tu vas bien ?".
"Euh, oui, si on veut, je suis un peu barbouillé ! Mais ça va passer !".
On reste ensemble jusqu'à 18h30, puis je rentre chez moi, pendant qu'elle va faire des courses.
Par chance, elle n'a pas remarqué que ma gêne, était causée par une séance de sexe anal extrême.
En arrivant chez moi, je me remémore mon expérience.
Je me fais couler un bain, et me dénude en attendant qu'il y ait assez d'eau.
Pourquoi suis-je allé voir cet homme ?
Je le revois, devant moi, sur son palier.
Il me lance un regard admiratif et lubrique, de la tête aux pieds.
Puis, il m'attire à l'intérieur, tout en scrutant les environs, afin de savoir si des voisins curieux nous ont vus ensemble.
J'avance dans la maison, alors qu'il me dit:
"Je vais dans ma chambre ! je reviens ! Mets toi à l'aise ! Enlèves tes vêtements, ça ira plus vite !".
Je suis étonné de ce coté direct, mais je m'enfonce dans le salon, en quittant mon pantalon et tout le reste.
Je ressens un trouble en l'attendant nu sur son canapé.
L'homme ne me plait vraiment pas, mais Jean m'a assuré que j'allais adorer cette rencontre.
Le type est très âgé, ce qui n'est pas un souci, mais surtout, il est laid, et antipathique.
Comme lui, sa maison sent le vieux! Pas très bien tenue, également.
Il revient en slip et tee-shirt.
Son ventre est un peu bedonnant, mais ça reste convenable.
Par contre, il sent la transpiration.
Il me touche longuement le corps.
"Hummmmm ! C'est excitant tout ça ! Alors comme ça, t'es une petite salope ? Tu aimes les grosses bites !".
"Orhhhh ! Oui ! J'avoue ! ... mais vous le connaissez d'où Jean ?".
"Je le connais pas vraiment, il m'a abordé au cinéma de cul ! Il m'a regardé me faire sucer par une vieille salope, et m'a demandé, si ça m'intéresserait de baiser un petit jeune ! J'ai répondu "Pourquoi pas !".
Il ajoute:
"Il m'a raconté plein de choses sur toi, Il m'a donné envie ! Mais je regrette pas d'avoir donné mon adresse, ça fait longtemps que j'ai pas eu de jeune de ton âge ! Tu vas être bien gentil avec moi, et tout ce passera bien !".
Il attire ma petite main sur son slip kangourou bien rempli.
Je vois une bosse énorme, puis je sens un anneau pénien à la base de sa grosse verge.
Il se dégage le membre, et j'écarquille en grand mes yeux, en voyant ses proportions.
La très grosse queue est gonflée, et violacée de sang.
J'ai du mal à l'entourer de mes petits doigts, il me faut mes deux mains.
A cette époque, j'avais pas encore rencontré Fred le sadique, avec sa bite toute aussi énorme.
Donc, je me sens chanceux de cette rencontre, mais je me demande bien comment je vais l'encaisser.
Si le type va tenir le coup pour me prendre assez longtemps, et savoir si je vais souffrir plus, que je vais jouir.
Son anneau pénien me trouble, est ce que c'est efficace ? En tout cas, il bande bien dur, et très très large !
Il force ma bouche, pour m'écarteler le visage avec sa bite.
"Allez, prends moi mieux que ça ! Petite salope !".
"Pfffffffhhhh ! Pfffffffhhhh ! Glllllllllllhhhhhhhhhhhrrrrrrr ! Gllllllllllhhhhhhhhhhhhhrrrrrrr !...".
Je subis cette pénétration buccale, mais mon érection naissante me confirme que j'aime ce traitement.
Il me fait m'allonger avec la tête penchée en arrière, puis me baise la gorge avec puissance d'abord, puis varie ses rythmes et sa force d'enfoncement.
Mon visage se couvre de salive.
Je profite de son calme retrouvé pour le saisir à la base, et lui dévorer la bite de fond en comble, et sur toute sa surface.
"Hummmm ! Voilà ! C'est bien ! Régales toi ! Tu l'aimes ma bite ! Pas vrai, minot ?".
Ma langue lèche chaque millimètre de son gland énorme.
"Mmmmmmm ! Mmmmoui ! J'en ai jamais sucé d'aussi grosse, ça m'excite !".
"On va essayé de te la mettre dans le cul, t'en penses quoi ? Ca va rentrer ?".
"Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! Je sais pas, tu feras doucement ?".
"On verra ! Bon, tu m'as assez mangé la bite ! Tends moi ton cul !".
Je me redresse, puis me place en lui tournant le dos, cambré devant lui.
Tout mon corps est autant saisi d'envie, que de crainte.
"Putain, t'as un beau cul, ma salope ! Je vais bien m'amuser !".
Il se tourne et attrape un tube de gel anal.
Il m'enfonce un de ses gros doigts, tout en me lubrifiant l'anus.
"Aiiiiie ! Doucement !".
"Fermes là ! On a pas encore commencé !".
"Oui, mais je préfèrerais que vous m'enculiez directement, j'aime pas les doigts, c'est trop rêche !".
"Si, il n'y a que ça pour te faire plaisir ! On y va ! Je vais t'enculer comme une pute ! Et t'auras pas le choix !".
Il pousse avec son énorme gland, pendant que je me redresse en le retenant, et en essayant de me détendre analement.
Malgré tout, il ne force pas la pénétration, me laissant m'habituer à sa tentative d'insertion.
"Putain ! C'est trop gros, je sais pas si ça va être possible ! Arghhhhhhhhhh ! Stop ! Arhhhh... Attends ! Ne bougez plus ! Orhhhh, enlevez la !".
Il recule, son gland n'est toujours pas passé.
Il se recolle à ma corolle anale, qui commence à me faire un peu mal.
Je devine mon muscle anal qui travaille de lui-même.
Sa verge s'insère un peu plus loin, il recule, et me laisse un peu de répit, pour me détendre l'anus.
J'en profite pour faire travailler mon sphincter.
J'ai déjà une sensation d'écartèlement énorme.
Il revient en poussant plus fort, et en s'agrippant à mon épaule.
Son gland retrouve son chemin, et reprend sa conquête, là où il s'était arrêté.
Puis, il gagne en profondeur, je dois mordre mon bras pour résister à cette sensation de déchirement anal.
"Ohhhhh ! On dirait que tu vas finir par l'encaisser ma grosse bite ! Il a raison ton mec, t'es une bonne petite pute ! Encore un p'tit effort, et tu vas l'avoir en entier dans ta p'tite chatte ! Salope !".
"Mmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Muhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Il vient de franchir mes dernières barrières.
J'ai l'impression d'être écartelé par l'anus, je le supplie de ne pas bouger.
"Pas trop longtemps ! J'ai trop envie de t'éclater le cul ! Ca fait un moment que ça m'est pas arrivé !".
Il n'arrive pas à s'empêcher de bouger sur quelques centimètres, ce qui me donne énormément de plaisir, malgré le picotement douloureux que je ressens au niveau de mon œillet.
Enfin, il m'enfonce la tête dans le canapé, et entreprend de m'empaler de plus en plus amplement.
Mon petit corps se voute sous ses assauts destructeurs et incessants.
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Monsieur ! Vous allez... arhhhhh... me faire... orhhhh... jouir...".
Il m'insulte avec beaucoup de vulgarité, et assied sa domination en me disant que je suis fait pour ça.
Je suis son jouet du jour, et je dois être content de mon sort.
"Arghhhhhhhhhh ! Aïe ! Doucement, Monsieur ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".
Il m'a claqué le cul avec force, tout en me défonçant l'anus avec puissance.
"La ferme ! Je fais ce que je veux ! Sale petite pute ! Putain, c'est bon ! Je m'éclate la bite ! Tu vas r'venir ma salope ! T'y auras encore droit ! D'accord ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Ouu... Ouiiii ! D'accord ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"T'aimes comme je t'encule ! Allez avoues le !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, Monsieur ! C'est bon, elle est bonne votre queue ! Arghhhhhhhhhh...".
"J'en étais sûr ! Putain, t'as une bonne chatte ! Tu le sais ça ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ... merci... je jouis encore ! Arghhhhhhhhhh...".
Il attend ma jouissance, puis me retourne, pour s'enfoncer entre mes cuisses.
J'ai une sensation de vide anal énorme pendant ce changement.
Je me mets à penser qu'il me manque quelque chose, que je retrouve vite quand il revient dans ma chatte.
Voilà, c'est plus naturel, mon anus est plus "normal, ainsi comblé.
Je fixe mon entrejambe, et hallucine en devinant ce qu'il m'enfonce dans la chatte.
Putain, ce gros pieu est en moi, et malgré la légère brulure, je prend beaucoup de plaisir.
Il sort sa grosse bite, et remarque que je me pisse sur le ventre, aussitôt après.
Il m'insulte et me défonce de plus belle.
Il joue avec moi, en admirant mes écoulements, à chacune de ses sorties anales.
J'ai trop joui, mais j'ai pas envie qu'il s'arrête avant d'éjaculer, grâce à mon petit corps de jeune homme.
Il se pose sur son canapé, et m'invite à lui monter dessus, en lui faisant face.
J'en profite pour me toucher l'œillet avec les doigts, ça brule un peu.
Mais surtout, j'ai un trou énorme et poisseux entre les fesses !
En me tenant sur sa poitrine, je vois mes doigts embués de muqueuses, tachées de sang.
Je ne m'inquiète pas, il faut passer par là pour augmenter mes possibilités, et je ne regrette pas ce que je vis.
Sa bite retrouve son chemin sans difficulté, je suis aux anges.
Je bouge sur lui. Cette fois, c'est moi qui le baise.
Il me touche la queue, jusqu'à me faire bander, je le supplie d'arrêter !
"Arghhhhhhhhhh ! Non ! Arghhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiii !".
J'éjacule sur lui, en restant enfoncé à l'extrême, sans bouger, le temps de mon déversement de foutre.
Il reprend alors les rênes, et m'empale sans vergogne.
Je pers la tête en vivant ce double plaisir.
Il s'active comme un bourrin, jusqu'à ce que je retrouve mes esprits, après mon orgasme.
Je l'accompagne alors dans cette frénésie sexuelle.
Ca claque à chaque enfoncement, ma verge se secoue en complète anarchie.
Je fini par crier un nouvel orgasme anal, qui me fige sur sa grosse bite.
C'est à ce moment qu'il se met à grogner comme une bête en rut.
Il secoue son ventre, en s'enfonçant contre mon cul trempé.
Je me penche en arrière pour caresser son énorme bite qui se déverse en moi.
Je sens si bien le passage de sa semence, dans son canal urinaire !
"Orhhhhhhhhhhhh ! Monsieur ! C'est bon ! Oui, J'aime vous faire jouir !".
"Arghhhhhhhhhh ! Quelle pute ! Putain, tu vaux l'coup ! Ma salope ! Arghhhhhhhhhh ! Putain, j'me vide les couilles ! Arghhhhhhhhhh ! C'est trop bon...".
Il m'attire vers son visage, et me donne un baiser pervers et baveux, dont je me serais bien passé.
Beurk !
Mais malgré ce dégout, je glisse encore longuement sur sa grosse verge, elle est si bonne !
Après un long moment de partage de sensations de mutuels, on se sépare enfin.
Il me dit:
"Ben, ma salope ! Tu m'as bien vidé ! T'as bien fait de venir ! C'était bon !".
Je quitte sa verge en me bouchant l'anus avec mes doigts.
Je flatule deux fois avec force, sans pouvoir m'en empêcher.
La brulure anale regagne du terrain, c'est plus douloureux à présent.
Mes doigts sont pleins de sperme. Pas étonnant, vu la taille de sa bite, et ce qu'il m'a injecté.
Il me pousse sur le coté, et admire mon trou écartelé, dont s'écoule son jus chaud.
Il s'amuse avec son gland et son sperme, à me masturber l'orifice.
"Orhhhhh ! Monsieur ! Stop ! J'en peux plus !".
Il me demande de me tourner, et enlève son anneau pénien en faisant remonter ses doigts le long de sa bite.
Je comprends que je dois avaler le reste de foutre qui en sort.
Je m'en régale avec bonheur, sous ses insultes vulgaires.
Il agrémente ses insultes par des compliments.
"C'est bien ! T'es un bon garçon ! T'as assuré ! T'es une bonne salope ! Reviens me voir, dès que tu peux ! D'accord ?".
"D'accord Monsieur !".
Je dois me forcer, pour résister à mon dégout de cet homme, mais j'ai tellement bien joui !
Je me dis que je vais finir par m'y habituer.
Pendant que je me ressource en restant nu et étendu, il se prépare un café.
Puis, il me regarde me rhabiller sans m'adresser la parole, sauf pour demander:
"Tu peux revenir quand ?".
"Euh... je suis au chômage, en ce moment, quand vous voulez, sauf les week-end, je vis avec une fille".
"T'as une gonzesse ? Ha ! Ha / Si elle avait vu ce que tu t'es pris dans le cul, aujourd'hui ! Ha ! Ha ! Bon ! Reviens Jeudi ! Moi, j'suis à la retraite ! Donc, c'est parfait !".
"Mais c'est dans 3 jours, c'est pas un peu rapproché ?".
"Pas pour moi ! A jeudi ! Tu poses pas de question !".
"Oui, M'sieur".
"C'est bien !".
Je sors avec une douleur entre les fesses que je n'ai jamais connue auparavant.
J'ai gardé cette béance anale pendant presque une heure.
Je reviens au moment présent, dans ma baignoire.
Tous ces souvenirs m'ont excité.
Mes doigts s'activent sur ma verge, le sperme encore présent dans mon trou poisseux, se met à polluer l'eau, derrière mes fesses.
Je ressens encore la légère brulure sur ma corole anale.
Cette sensation ajoute à mon excitation, et je me déverse en râlant et en prononçant:
"Arghhhhhhhh ! Tu m'as déchiré le cul ! Salaud ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh...".
Mon jus pollue l'eau devant moi.
Je suis cerné par ces jus de plaisir, et j'en ressens un bonheur extrême.
Je m'enfonce ensuite dans mon bain pour m'y prélasser, et sombrer un moment.
Quelle journée.
Les RDV improvisés par Jean avec d'autres hommes ont commencé par me lasser.
Il y avait trop de part d'inconnu, certains allaient trop loin.
Donc, quand mes scrupules ont été trop bousculés, j'ai dis stop a mon amant (Jean).
Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours assumé ma présence, avec les participants vicieux qui profitaient de moi.
Je me suis toujours dis que cela n'était qu'un jeu ponctuel, après tout.
Donc, j'étais là, il fallait que j'aille au bout de la rencontre.
Si ça ne me plaisait pas, je ne revenais pas.
Bien sûr, le vieux vicieux et laid, m'a revu plusieurs fois.
A la longue, je m'y suis fait, il suffisait de se laver, après chaque baise avec lui.
Je lui dois un franchissement de cap, au niveau de mes capacités d'encaissement anal.
Les suivants en ont bien profité.
Et moi également, du coup !
Après mon bain, j'ai aussitôt pensé:
"Vivement jeudi !".
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Les avis des lecteurs
ce serait d'avoir la taille!!
